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06/02/2015

Robert CULLEN : Andreï Tchikatilo, l’ogre de Rostov

Robert CULLEN : « L’ogre de Rostov »

 

Le 23 juillet 1992, Andreï Tchikatilo, membre du Parti communiste, bon père de famille et ancien enseignant, est condamné à mort par le tribunal de Rostov-sur-le-Don pour avoir commis cinquante-trois meurtres, accompagnés d’actes de barbarie et de cannibalisme.

Offrant en arrière-plan le tableau d’une Union Soviétique agonisante, prise dans la tourmente de la glasnost et de la perestroïka, L’Ogre de Rostov narre les méandres d’une enquête qui allait durer huit ans.

Sur les centaines de policiers successivement chargés de l’affaire, seuls deux la suivront du début à la fin : le lieutenant-colonel Viktor Bourakov, brillant détective doué d’intuitions fulgurantes, et son supérieur, le général Mikhaïl Fetissov, chef de la milice de la Région de Rostov. En dépit des entraves de tous ordres imposés par la bureaucratie soviétique, et dans un système où les confessions « forcées » étaient la règle, Bourakov et Fetissov firent appel à des méthodes d’investigation rigoureuse avec, à l’appui, le dernier cri de la technique : surveillance par caméra vidéo, patrouilles de nuit en hélicoptère, appel à des psychiatres de haut niveau pour mieux cerner le profil du monstre – du jamais vu en URSS. Ils finirent par mettre la main sur Tchikatilo après avoir, au passage, résolu plus de mille affaires criminelles, dont quatre-vingt quinze homicides.

Le récit haletant d’une affaire exemplaire et le portrait de trois hommes – dont l’un des plus grands meurtriers des temps modernes – qui resteront dans les annales du crime.

 

Ancien envoyé spécial permanent du magazine Newsweek à Moscou, Robert Cullen travaille aujourd’hui pour le prestigieux mensuel The New Yorker. Fin connaisseur du système judiciaire soviétique, il a obtenu en exclusivité la collaboration des deux principaux responsables de l’arrestation d’Andreï Tchikatilo.

 

Presses de la Cité / Collection « Document » – 1993.

235 pages ( + 8 pages de photographies ) – 22,5 x 14 cms – 340 grammes.

Etat = 2 fines nervures sur tranche, quelques petites traces de manipulations sur plats, mais bon… trois fois rien de chez trois fois rien (c’qui fait donc 9 fois rien, au final). Le livre a été lu – soit – mais par un/des lecteur(s) soigneux, qui nous/vous l’ont laissé en excellent état, propre, et sain !

Tout à fait O.K ! >>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Ailleurs =  entre 5 et 8,40 €uros sur priceminister (bon état, annonces sérieuses, faisons abstraction des ex. à 2,24 €uros « état correct » sans photos ni description, ou des voleurs qui cherchent à le vendre entre 15 et 30 €uros !) / Entre 6,59 à 11,74 €uros sur Amazon.fr (idem).

Majorité/moyenne aux alentours de 7/8 €uros. 

 

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29/10/2013

Belle Gunness, tueuse en série...

Philippe CHASSAIGNE :

« Belle Gunness, la première tueuse en série des Etats-Unis »

 

Le 28 avril 1908, entre 4 et 5 heures du matin, un violent incendie détruit une ferme située en périphérie de La Porte, petite ville de l’Indiana. En fin d’après-midi, on dégage les corps calcinés de deux fillettes et d’une femme, tenant un petit garçon dans ses bras. A l’évidence, la propriétaire des lieux, Belle Gunness, a péri dans les flammes avec ses trois enfants. Mais pourquoi son cadavre a-t-il la tête coupée… et où est donc la tête ?

Ce ne sera toutefois pas la seule question à laquelle le shérif Smutzer devra tenter de répondre, car en fouillant les décombres on découvre des fosses, et dans les fosses des cadavres ! L’enquête se resserre alors sur Belle Gunness : ses origines norvégiennes et pauvres, sa soif d’argent, ses deux veuvages suspects, son talent à piéger ses proies comme une araignée dans sa toile ! Entre 12 à 18 victimes avérées et 40 supposées…

Dans un récit précis et palpitant, l’auteur relate l’incroyable périple assassin de la première tueuse en série des Etats-Unis.

 

Editions Larousse – Collection « L’histoire comme un roman » –  2011.

252 pages – 21 x 14 cms – 370 gammes.

Broché / reliure souple.

Quelques petites traces de stockage et/ou manip’ sur plats, ainsi qu’un petit choc en haut de tranche… mais rien de grave, l’exemplaire est entre bon+ et très bon !

>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Prix neuf / en librairie = 18 €uros.

04/04/2012

CRIMES et ENQUÊTES

Collection CRIMES et ENQUÊTES

 

Les livres de cette ( maintenant recherchée ) collection se négocient généralement autour de 6 à 9 €uros ( et plus ), que ce soit sur le net ou chez les bouquinistes… et ce, même lorsque leur état n’est pas très bon !

( Ils sont d’ailleurs très durs à dénicher en bon / très bon état !?! )…

Mais bon, vous nous connaissez… on fait tout pour rester les meilleurs ! Ha ha… 

 

BUGLIOSI V. & HENDERSON B.B. :

« Meurtre sur une île déserte : l’affaire Jennifer Jenkins »

Été 1974. Palmyre, un atoll perdu au milieu de l'océan Pacifique. Au mouillage, un splendide voilier, le Sea Wind. Mac et Muff Graham ont décidé de passer là quelques mois en amoureux. Mais bientôt ils voient arriver un vieux rafiot, le Lolae. A bord, Jennifer et Buck, deux marginaux qui fuient la police. Mac et Muff, Jennifer et Buck…

Deux couples que tout sépare et qui vont devoir se côtoyer, jour après jour. Méfiance, jalousie… Quelque temps plus tard, le Sea Wind, repeint et débaptisé, fait son entrée dans une baie de Hawaii. A bord, Jennifer et Buck. Que sont devenus les Graham ?

Quand, des années plus tard, on découvre sur une plage de Palmyre un crâne et des ossements humains, la police inculpe Buck et Jennifer. Pour assurer sa défense, Jennifer choisit Vincent Bugliosi. Un défi pour ce ténor du barreau : peut-on innocenter un suspect que tout accuse ?

J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 504 pages – 275 grammes.

Quelques assez nettes marques de stockage / manipulation (notamment sur quatrième de couv’), mais tranche O.K et intérieur sain et propre, tout à fait bon pour le service !

Photos hors-texte >>> 3 €uros. / Vendu ! - Temporairement indisponible.

 

FINSTAD Suzanne :

« La maîtresse du diable : l’affaire Richard Minns »

Barbra Piotrowski est blonde, belle, sportive. Elle a 24 ans quand elle rencontre Richard Minns, un milliardaire texan de 48 ans.

Avec ce pygmalion, elle connaît l'amour fou. Liaison passionnée, vie dorée…

Quatre ans plus tard, c'est la rupture. Barbra découvre alors la vraie nature de Minns. Violent, il la frappe et lui fracture le nez. Elle quitte la maison où il l'avait installée à Houston, emporte les meubles et les bijoux qu'il lui avait offerts. Elle est jeune, elle peut refaire sa vie.

Sa vie ? Quatre coups de feu vont la détruire : par un bel après-midi d'octobre, deux inconnus lui tirent dessus à bout portant. Minns aurait-il commandité des tueurs ?

Barbra ne meurt pas mais reste paralysée. Elle multiplie les procès pour tenter d'obtenir réparation. Mais Minns est en Suisse, ne se présente jamais au tribunal. Combien d'années devra-t-elle lutter pour que justice soit faite ?

J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 377 pages – 210 grammes.

Quelques ( assez nettes ) marques de stockage / manipulation, ainsi que de fines cassures sur tranche,  mais intérieur sain et propre, tout à fait O.K !

Photographies hors-texte >>> 3 €uros. / Vendu ! - Temp. indisponible.

 

FRANKLIN E. & WRIGHT W. :

« Les péchés du père : l’affaire George Franklin »

1969, Foster Cité, Californie. Susan Nason et Eileen Franklin, huit ans, sont les meilleures amies du monde. Le 22 septembre, c'est le drame. Susan a disparu. On ne retrouvera son corps que quelques jours plus tard.

1989. Par un bel après-midi, Eileen Franklin joue avec ses deux enfants. Un regard, un geste de sa petite fille : la scène qu'elle avait enfouie en elle pendant plus de vingt ans resurgit. Susan, qui se débat ; la silhouette menaçante d'un homme brandissant une pierre. Cet homme, c'est son père…

Et les images atroces de son enfance reviennent la hanter…

Comment vivre avec un passé si lourd ? Osera-t-elle dire toute la vérité ? Affronter sa famille ? Déchirée, elle finit par dénoncer son père. Mais pour la justice, son témoignage est-il recevable ? Ses souvenirs sont-ils des réminiscences de faits réels ou des affabulations ?

J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 378 pages – 200 grammes.

Quelques (assez nettes) marques d’usage sur plats, tranche cassée et abîmée (même si restaurée de façon assez grossière) sur le haut et le bas, l’extérieur est plutôt moyen, mais l’intérieur est – lui – tout à fait O.K !

Pour la lecture, à défaut d’être « de collection »… 

Photographies hors-texte >>> 1,50 €uros. / Vendu ! - Temp. indisponible.

 

HARRIS Ellen :

« Mariage mortel : l’affaire Dennis Buloch »

6 mai 1986. Un pavillon de banlieue prend feu. Les pompiers maîtrisent l'incendie, et découvrent dans le garage le corps carbonisé de Julie Bulloch. Ligotée sur un fauteuil. L'autopsie révèle qu'elle est morte étouffée avant que le feu ne se déclare. Crime sadique ? Pratiques sadomasochistes ?

On soupçonne vite son mari, Dennis, séduisant, obsédé par l'ascension sociale et l'argent. Arrêté, il déclare que Julie est morte au cours d'une séance de bondage. Or, aux dires de tous ses amis, Julie était une jeune femme « très comme il faut… » et avait une bonne assurance-vie.

Au procès, pour des raisons propres au système juridique américain, l'accusation ne peut faire valoir les preuves qui accablent Dennis. Et la défense parvient à donner de Julie l'image d'une femme dépravée. Le jury est clément. Que penser d'une justice qui dépend uniquement des arguties juridiques des avocats ?

J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 376 pages – 210 grammes.

Quelques petites marques d’usage / stockage sur plats, mais tout à fait bien pour ce qui en est du reste, que ce soit la tranche ou l’intérieur !

Photographies hors-texte >>> 3,50 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

Egalement disponible, un autre exemplaire ( même année, même collection ) :

 

HARRIS Ellen :

« Mariage mortel : l’affaire Dennis Buloch »

J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 376 pages – 210 grammes.

Nombreuses et très nettes marques de pliures sur couv’ et quatrième + tranche cassée : l’extérieur est franchement « moyen moins »…

Et franchement, si cette collection n’était pas autant recherchée, je ne l’aurais pas pris !!! Mais bon, l’intérieur est sain et propre… et comme je sais qu’il y a vraiment des « die hard fans » de cette série, qui recherchent désespérément les N° qu’ils n’ont pas encore lu ; on vous le propose quand même !  Mais attention : « pour lecture uniquement »… pas pour collection !!! 

>>> 1,50 €uros. / disponible. 

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