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28/06/2016

Bob MALOUBIER : Plonge dans l’or noir, espion !

Bob MALOUBIER :
"Plonge dans l’or noir, espion !"

Laissé pour mort ici, prisonnier là, la France libre et le maquis, les parachutages en Indochine dès 1945, ce n’est encore pour Bob Maloubier qu’un prologue. Fondateur du 11ème bataillon de choc et des nageurs de combat d’Aspretto, recruteur et instructeur d’espions, il devient l’exécuteur des hautes et nasses œuvres des services secrets, parfois avec l’aide de truands au grand cœur, tel Jo Attia. Chef de la sécurité au Gabon, mêlé à la guerre du Biafra, côté Nigérian, il plonge dans l’or noir à travers tout le Moyen-Orient en ébullition…
On ne résume pas Bob Maloubier, on le lit. Et comme l’humour, lui aussi, coule à flots, on ne s’ennuie pas. C’est James Bond sous les traits d’un major Thompson.

Robert LAFONT, collection "Vécu", 1986.
413 pages – 15,5 x 24 cms – 600 grammes.
16 pages de reproductions photographiques (N&B, papier glacé) hors-texte.
Broché, reliure souple… très beau portrait de Bob Maloubier sur dernier plat.

Etat = de minuscules micro-frottis en bord de premier plat ; une fine cassure de lecture ; et quelques petits chocs, doublés d’une légère marque de pliure, en haut à gauche (bordure extérieure) de quatrième… mais rien de vraiment grave pour autant, l’ensemble est toujours bien "carré et compact", les plats sont propres et brillants, et l’intérieur est parfait ! Un ouvrage assez rare (comme tous ceux de Bob Maloubier), qui ne demande qu’à faire le bonheur d’un passionné collectionneur.

>>> 22 €uros. / disponible. 

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Prix honnête, moyen et conseillé : entre 25 et 30 €uros !

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21/06/2016

Pauline GEDGE : Les seigneurs de la lande

Pauline GEDGE : "Les seigneurs de la lande"

Au premier siècle après J.C., Rome réalise patiemment et inexorablement sa fantastique entreprise de colonisation et, après avoir envahi la Gaule, pénètre peu à peu dans le Sud-Ouest de l’Angleterre actuelle.
"Les Seigneurs de la lande", c’est l’histoire de Caradoc qui, prenant la tête de toutes les tribus celtes, tente de repousser l’envahisseur. A ses côtés, Eugrain, sa femme, guerrière indomptable, mais épouse infidèle. C’est aussi l’histoire de Gladys, sœur de Caradoc qui, en dépit de sa fierté, tombe amoureuse de Plautius, un général romain. Et celle d’Aricia qui, repoussée par Caradoc, a juré de se venger et pour cela s’allie avec Rome.
C’est enfin l’histoire de Bouddica l’irréductible qui, à la tête de ses derniers partisans, refuse d’admettre la suprématie de l’ennemi et livre, au nom de la liberté, un combat sans merci.

Comme dans "La Dame du Nil" la grande romancière canadienne s'est attachée à faire revivre des personnages ayant réellement existé. Et ceci donne une force singulière à ce fantastique roman dont la richesse historique n'est jamais prise en défaut. 
Là encore, Pauline Gedge réserve une grande place aux femmes puisque ce sont elles aussi qui écrivent l'Histoire. Combattant aux côtés des hommes, l'épée à la main, elles acquièrent un authentique pouvoir de décision. Seules la passion et la jalousie les font parfois faillir et les entraînent sur le chemin de la trahison.
De ce roman jaillissent des combats singuliers, des histoires d'amour, des ambitions déçues, des batailles sans merci, des vengeances cruelles et tout un flot de larmes et de sang. Mais on succombe aussi au charme envoûtant et rugueux des vastes huttes tapissées de peaux de bêtes, des torchères qui grésillent, de la puissante odeur de la venaison et surtout du vent humide et doux qui fait voleter, sur cette terre rousse, une brume légère, si légère…

France Loisirs, 1981.
577 pages – 16 x 24 cms – 840 grammes.
Reliure cartonnée éditeur, entoilée d’orange + jaquette illustrée en couleurs.

Etat = Franchement excellent ! Jaquette bien brillante et sans accroc… reliure parfaite… intérieur parfait… il est quasiment comme neuf !!! Un bon gros pavé (on approche le kilo), qui se lit tout seul et avec grand plaisir !

>>> 4,50 €uros. / disponible. 

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09/06/2016

Arturo PÉREZ-REVERTE : Le tango de la Vieille Garde

Livre neuf, toujours sous plastique.

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Arturo PÉREZ-REVERTE :
"Le tango de la Vieille Garde"

Présentation de quatrième :

En 1928, Max, gigolo, chasseur de femmes fortunées, fait route vers Buenos Aires à bord du Cap Polonio où il travaille comme danseur mondain, quand il aperçoit une pièce de choix : Mecha Inzunza, épouse richissime d'un célèbre compositeur, qui danse merveilleusement le tango. La passion de Max est immédiate et à Buenos Aires, où il guide le couple dans les cabarets des faubourgs, il noue avec elle une liaison qui tourne mal.
Le hasard les réunira deux fois : en 1937 à Nice, où ont été volées des lettres compromettantes sur le financement du coup d'État de Franco, et en 1966, dans un grand hôtel de Sorrente, où le fils de Mecha dispute un tournoi d'échecs sous l'œil vigilant du KGB chargé de veiller sur les carnets secrets de Sokolov, le champion soviétique.
Le tango, l'espionnage, le jeu relient les trois moments de ce roman d'amour et d'aventures, semé d'intrigues et de trahisons. Après avoir traversé un siècle flamboyant et tragique, Max et Mecha, tour à tour proie et chasseur, tireront lentement leur révérence dans la lumière crépusculaire d'une époque qui s'éteint.

L’auteur : Arturo Pérez-Reverte est né à Carthagène, Espagne, en 1951.
Il a été grand reporter et correspondant de guerre pendant vingt et un ans. Ses romans sont des succès dans le monde entier et plusieurs d’entre eux ont été portés à l’écran. Il partage aujourd’hui sa vie entre l’écriture et sa passion pour la mer et la navigation. Il est membre de la Real Academia Española de las Letras.

Seuil (Le Club), 2013.
Broché / 544 p – 14,5 x 22 cms – 630 grammes.
Etat = Neuf ! Toujours sous cellophane/plastique !

Neuf, ce livre coûte 22 €, en librairie ou sur le site de l’éditeur…
Nous vous le proposons ici (neuf également, toujours sous cello’) pour... 
>>> 8 €uros ! / disponible. 

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15/12/2015

FRISON-ROCHE & Pierre TAIRRAZ : Peuples chasseurs de l’Arctique

FRISON-ROCHE & Pierre TAIRRAZ :
« Peuples chasseurs de l’Arctique »

Frison-Roche raconte son voyage dans le Grand Nord canadien.
Accompagné de Pierre Tairraz - dont les photos illustrent le livre – il a vécu des mois durant dans ce territoire plus vaste que l'Europe et tout entier voué à la forêt, aux déserts glacés, à la banquise. C'est là au long de 2000 kms en traîneau à chiens – qu'il a partagé l'existence des Indiens et des Eskimos, chassant avec eux le caribou et l'ours, le bœuf musqué et le phoque. Frison-Roche a saisi ici, les derniers rites, les derniers gestes de ce qui fut durant des millénaires, la vie primitive de l'homme.

"Les chiens trottent museau sur la neige. Ils ne s'arrêtent pas. Ils ne s'arrêtent jamais ! Tabatiak et Tatigat, assis à l'avant des traîneaux, fixent leurs regards vers l'est, poussant parfois de petits cris d'encouragement : Oe ! Oe ! Giuseppi s'étale sur la peau d'ours, les yeux clos, il dort comme un ange sans souci du chaos, du paysage, du froid. Cette terre inhumaine c'est celle de sa race ! Il faut des millénaires d'acclimatation et d'adaptation pour y vivre."

Arthaud, 1966 – 285 pages + 47 photographies en N&B et 2 cartes.
15 x 20 cms – 450 grammes.
Broché, reliure souple (illustrée couleurs) avec rabats.

Etat = une cassure / marque de lecture sur le dos de l’ouvrage (la «tranche» comme on l’appelle familièrement, et à tort), ainsi qu’une petite pliure en haut à gauche de dernier plat ("quatrième de couv’"), et on en restera là pour ce qui en est des "petits défauts à signaler", vu que tout le reste est parfait ! Ensemble propre et sain, plats bien brillants et quasiment sans traces, intérieur parfait au papier resté très blanc… on tient là un très bel exemplaire, qui ne demande qu’à rejoindre votre bibliothèque.

>>> 7 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

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09/10/2015

Franck & Vautrin : Les aventures de Boro

Les aventures de Boro...

 

FRANCK & VAUTRIN : « La dame de Berlin (Vol.1) »

« Plus tard tu seras l’œil qui surveille le monde »,prédit un soir d'automne 1931 à paris une gitane au jeune reporter photographe Blèmia Borowicz, dit Boro. Une photographie compromettante d’Hitler, un amour fou pour Maryika, la jeune étoile montante du cinéma allemand… et voilà notre héros placé au centre d'un inquiétant ballet de croix gammées. Une course endiablée à travers l'Europe des années 30 commence. Suspense, aventures, humour et passion…

France Loisirs – 1988.

665 pages – 21 x 13,5 cms – 660 grammes.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu bleu avec titre et nom d’auteur en doré sur plats et tranche + jaquette couleurs / Illustration de couverture signée Enki Bilal.

Etat = Marques d’usage sur jaquette & un léger plat en haut de tranche, sans quoi il est très bien, propre et sain ! 

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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FRANCK & VAUTRIN : « Le temps des cerises  (Vol.2) »

Dans ce deuxième volume, le temps des cerises, l’intrépide et donjuanesque Boro, en proie à des situations à la fois rocambolesques et dramatiques, traverse l’année 1936. Celle-ci est marquée, en France, par l’émergence du Front Populaire et, en Espagne, par le début de la guerre civile. Confrontés à d’anciens adversaires dissimulés sous le masque de la Cagoule et des sociétés secrètes, aidé par des prolos au grand cœur séduits par cet aventurier généreux, Blèmia Borowicz risquera sa vie pour combattre les tyrannies qui, cette année-là, pèsent dangereusement sur les libertés – et finiront, mais il s’agit là d’une autre histoire, par les étouffer. L’époque est à l’engagement, Boro s’engage. Il a grandi.

Fayard – 1991.

576 pages – 23,5 x 15,5 cms – 750 grammes.

Illustration de couverture signée Enki Bilal !

Etat = une légère «patine», essentiellement constituée par quelques marques/traces d’usage et de manipulation(s) (ainsi qu’un petit choc sur la tranche papier extérieure) indiquent que le livre a été lu et relu. Mais rien de vraiment notable n’est pour autant à signaler, la tranche n’est pas cassée, l’intérieur est propre, l’exemplaire est tout à fait correct !

>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

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FRANCK & VAUTRIN : « Les Noces de Guernica (Vol.3) »

Revoici « Boro », son insolence et sa désinvolture de héros fitzgeraldien, dans le troisième volet de ses aventures. Nous sommes en 1937, alors que les républicains cèdent devant les troupes franquistes. La guerre d'Espagne a oublié le photographe-aventurier sur la paille humide d'un cachot, dans les couloirs des condamnés à mort, parmi les cris des suppliciés.

Mais pendant ce temps, dans le Paris du Front populaire, ses amis ne restent pas inactifs. Boro parviendra-t-il à s'évader de sa forteresse et à échapper à son gardien, l'impitoyable Von Riegenburg ? Sauvera-t-il Solana, sa compagne de cellule, farouche passionaria dont la beauté pourrait lui faire oublier la lointaine Maryika ?

France Loisirs – 1995.

638 pages – 21 x 13,5 cms – 670 grammes.

Illustration de couverture signée Enki Bilal !

Reliure cartonnée recouverte d’un simili cuir gris marbré avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleurs / d’infimes salissures sur tranches papiers ainsi que quelques petites marques de manipulation sur jaquette, mais tout à fait O.K… entre bon et bon+ 

>>> 3 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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FRANCK & VAUTRIN : « Boro s’en va-t-en guerre (Vol.5) »

Avec son  profil d’aigle, sa canne et son Leica, il a parcouru l’Europe des années 30, combattu les conjurés de la Cagoule, fait la guerre d’Espagne, bourlingué aux Indes, et même percé les codes ultra secrets de la Wehrmacht. Les nazis ne lui feront pas de cadeau.

Quand vient le temps de l’occupation, Blèmia Borowicz, le splendide émigré de Budapest, reprend les armes. Malgré la rencontre avec une jeune fille aux yeux verts, l’heure n’est plus à la séduction. La France se déchire. Boro a choisi son camp en ces temps de délation, de xénophobie et de terreur. Il devient l’homme à abattre.

Presses Pocket ( format poche ) – 2002.

681 pages – 350 grammes

Illustration de couverture signée Enki Bilal !

Etat = nickel ! Quasiment comme neuf !

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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29/05/2015

Grands classiques français... / Part.2

Grands classiques de la littérature française …

Dans leurs très « vintages » éditions du Livre de Poche … façon années 60.

 

Tous ces livres sont en excellent état, voire – pour quelques-uns – quasi-neufs !

Certains peuvent présenter quelques infimes marques d’usage, qui une fine cassure sur tranche, qui une petite trace de pliure en bas de quatrième… Mais nous ne vous proposons (et ne vous proposerons) ici que du bon (à 2 €uros), du « bon+ » (2,20) ou du très bon (2,50). 

 

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J. BARBEY D’AUREVILLY : « Le chevalier Des Touches »

 

Un jour de décembre, quelques années avant la révolution de 1830, dans une petite ville du Cotentin, plusieurs amis se réunissent pour leur causerie du soir et, très vite, l’un d’entre eux évoque la rencontre qu’il vient de faire : celle du chevalier Des Touches, un héros de la chouannerie.

Mais le chevalier n’est-il pas mort ? Ce soir-là on remonte le temps... et devant ses amis, mademoiselle de Percy, qui y participait, raconte "l'expédition des Douze": l'enlèvement du chevalier, prisonnier à Coutances, par ses compagnons d'armes. 

De cette soirée de décembre, un enfant silencieux avait été témoin, et c’est l’auteur lui-même, qui en fait la matière de ce roman de 1864. Peu importe que Des Touches y devienne un héros plus glorieux qu’il ne le fut en réalité. L’essentiel est ailleurs : c’est que si les chouans, vers 1799, au moment de ce récit, mènent encore la guerre, ils l’ont déjà perdue.

Un royalisme désenchanté teinte ainsi tout le roman sans en atténuer la vigueur et, bien plus tard, Anatole France évoquera « l’impression très forte » que lui auront laissée ces « figures à la fois héroïques et brutales » : « Ce livre, dira-t-il, me donna le frisson. »

Le Livre de Poche – 1967 – 254 pages – 140 grammes.

Etat = Comme neuf ! Exceptionnel, même, pour un poche de 1967 !!!

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

Georges BLOND : « Mary Marner »

 

Un naufrage conduit un jeune marin français dans un port anglais. Là, il croise une fille étrange, fascinante, mystérieuse et plus belle qu'un rêve. Elle s'appelle Mary Marner, elle vit avec son grand-père, ancien du cap Horn, à bord d'un vieux voilier. Notre héros tombe amoureux de Mary, qui semble le lui rendre. Mais un secret redoutable menace leur bonheur.

Un Roman où l'atmosphère prenante le dispute à une intrigue particulièrement ingénieuse.

Le Livre de Poche – 1976 – 220 pages – 120 grammes.

Etat = tout simplement « comme neuf » ! Parfait !

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

Antoine BLONDIN : « Un singe en hiver »

 

Quatrième : « Le chauffeur n'avait plus le loisir de ralentir... Immobile, le ventre à toucher le capot, les pieds joints, Fouquet enveloppa d'un mouvement caressant la carrosserie de la voiture qui filait contre lui ; un instant, il donna l'impression qu'il allait abandonner sa veste au flanc hérissé de l'auto, mais déjà celle-ci l'avait dépassé, et, coinçant son vêtement sous son bras, il libéra sa main droite pour saluer à la ronde les spectateurs qui s'exclamaient diversement.  « Ollé », dit-il... »

Le Livre de Poche – 1962 – 247 pages – 140 grammes.

Etat = Excellent !

Un très beau Poche des années 60, au charme délicieusement vintage ! ( J’adore les aquarelles / lavis qui illustrent les plats ! )

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Robert BRASILLACH : « Les 7 couleurs »

 

Présentation de l’éditeur : De même qu'un peintre dispose des sept couleurs du spectre pour fixer sa vision sur la toile, de même l'écrivain a le choix entre diverses techniques. Au lieu de les mêler comme les tons sur une palette, pourquoi ne pas recourir tour à tour à celle qui mettra le mieux en valeur l'événement à décrire ?

C'est le parti qu'adopte Robert Brasillach pour conter l'histoire de Patrice, de Catherine et de François. Avec Patrice, Catherine découvre les merveilles que peut offrir le Paris de 1926 à deux jeunes étudiants. Puis lui se rend en Italie, et la séparation fait son travail de sape : tandis qu'il se grise de nouveautés, Catherine épouse François. Le fantôme de Patrice est-il à jamais conjuré ? Pour en avoir douté, François s'enrôle dans la guerre d'Espagne.

Autour de ces trois destinées, Robert Brasillach brosse un tableau de l'entre-deux-guerres où une certaine jeunesse inquiète s'est laissé attirer par le fascisme.

Le Livre de Poche – 1965 / 255 pages / 140 grammes.

Un exemplaire estampillé « Bon + » >>> 2,20 €uros. / Vendu !

Ou, un autre exemplaire, un tout petit poil moins bien, à 2 €uros. / disponible.

 

Gilbert CESBRON : « Avoir été »

 

Une colonne allemande reflue vers Paris. Au bord de la route, un vieil homme, la poitrine barrée de décorations, brave l’ennemi en mémoire de ses compagnons tombés à Verdun, mais les soldats passent, indifférents. Dans un camion, une bâche se soulève : Patrick, le petit orphelin, se croit arrivé à Paris avec les Américains. Il n’est qu’au Plessis Belle-Isle avec l’ennemi. Kléber Demartin recueille l’enfant. Patrick grandit, le monde change, les fidélités anciennes sont la risée d’une jeunesse tournée vers un avenir que réprouve le vieillard. Dans la banlieue envahie peu à peu par les grands ensembles, Kleber vit le crève-cœur de ceux qui ne peuvent plus marcher avec leur temps.

Le livre de poche – 1973 – 438 pages – 230 grammes.

Bon état >>> 2 €uros. / disponible.

 

René FALLET : « Paris au mois d’août »

 

Houspillé par un automobiliste furieux de le voir flâner devant ses roues, Henri Plantin mesure la justesse des injures reçues en regagnant le refuge du trottoir. Qu’il ne soit pas grand-chose sur terre, c’est indéniable. Son bilan ? Quarante ans, une femme et trois enfants (qui se grisent actuellement d’air marin), un emploi de vendeur à la Samaritaine, l’espoir de passer chef de rayon et de trouver la bonne combinaison au tiercé. Il y en a des millions  comme lui – il n’est parmi cette foule qu’un visage anonyme sur qui personne ne se retourne.

Si, pourtant, voilà quelqu’un : cette jolie fille en robe rouge qu’il vient d’admirer au passage en songeant qu’elle est trop belle pour jamais s’intéresser à un minus comme lui. Elle s’approche, demande son chemin, accepte qu’il l’accompagne...

"Héhé" dira-t-on. Mais non ! Henri n’est pas un coureur de jupons ; sa rencontre avec cette jeune anglaise perdue dans Paris tombe à pic pour le réconforter, c’est tout, et cela lui enflamme tant et si bien le cœur qu’il en perd la tête. Henri Plantin le timide est prêt à faire n’importe quoi, même des choses héroïques, pour conquérir Pat. Et il le fait.

C’est ce qui donne son charme, sa poésie, à cette chronique ironique et tendre d’un amour d’été.

Le livre de poche – 1972 – 191 pages – 120 grammes.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Anatole FRANCE : Les sept femmes de la barbe bleue 

 

( Et autres contes merveilleux )

 

Quatrième de couverture : Qui ne connaît le conte où Charles Perrault relate comment la femme d’un seigneur surnommé Barbe-Bleue échappe au sort infligé par lui à ses six précédentes épouses ? Barbe-Bleue a été voué à l’exécration générale sur la foi de ce texte, mais la raison commande de ne rien croire sans preuve et Anatole France feint d’avoir trouvé la vérité sur les sept femmes de la Barbe-Bleue – alias Bernard de Montragoux, châtelain des Guillettes, homme calomnié s’il en fut.

Jugez-en sur son récit tout pétri d’inventions enrobées dans une prose musicale et précise, inspirée des poètes grecs et latins.

Le Livre de Poche – 1975 – 214 pages – 120 grammes.

Etat = brillant, sain, propre, non cassé… bel exemplaire !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Jean GIONO : « Colline »

 

Un débris de hameau où quatre maisons fleuries d'orchis émergent de blés drus et hauts. Ce sont les Bastides Blanches, à mi-chemin entre la plaine et le grand désert lavandier, à l'ombre des monts de Lure. C'est là que vivent douze personnes, deux ménages, plus Gagou l'innocent.

Janet est le plus vieux des Bastides. Ayant longtemps regardé et écouté la nature, il a appris beaucoup de choses et connaît sans doute des secrets. Maintenant, paralysé et couché près de l'âtre, il parle sans arrêt, « ça coule comme un ruisseau », et ce qu'il dit finit par faire peur aux gens des Bastides. Puis la fontaine tarit, une petite fille tombe malade, un incendie éclate.

C'en est trop ! Le responsable doit être ce vieux sorcier de Janet. Il faut le tuer…

Dans Colline, premier roman de la trilogie de Pan ( « Un de Baumugnes » - « Regain » ), Jean Giono, un de nos plus grands conteurs, exalte dans un langage riche et puissant les liens profonds qui lient les paysans à la nature.

Le livre de poche – 1979 – 190 pages – 100 grammes.

Bon état >>> 2 €uros. / disponible.

 

Jean GIONO : « Le serpent d’étoiles »

 

La nuit étoilée qui baigne la pastorale des bergers…

La terre, maternelle et dure, et, plus que tout : les bêtes, intermédiaires entre l’homme et la nature… Malheur à celui qui les méprise !

L’auteur, avec son enthousiasme lyrique, nous décrira le grand piétinement du troupeau en révolte, et son triomphe sur celui qui les a méconnues…

Le Livre de Poche – 1972 – 175 pages – 120 grammes.

Etat = une petite marque de stockage en bas de premier plat ainsi qu’une très fine cassure de la tranche… mais rien de vraiment notable, l’ensemble est sain, propre, bien brillant et de belle tenue !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Paul GUTH : « Le naïf sous les drapeaux »

 

A peine vainqueur des  pièges tendus par l’Université à ses étudiants, voici le nouvel agrégé repris par d’autres terreurs : les périls du servi-ce militaire remplacent, dans ses cauchemars, les traquenards des verbes grecs – et c’est, blindé par la méthode Coué, le cœur faussement allègre que le Naïf pénètre dans la caserne de Saint-Cloud pour son initiation aux armes.

Miracle du paquetage fait au carré, des bandes molletières bien tendues, joie de la marche à pied, triomphe du « Présentez… armes ! » – le Naïf est prêt pour la guerre. Cinq ans plus tard, elle vient.

Adieu femme, adieu Paris, adieu lycée, le professeur troque sa toge contre le casque et le fusil.

Dans cet épisode martial de la chronique du Naïf, Paul Guth s’amuse à peindre une période triste avec des tons gais et conjure le tragique du moment par la satire bon enfant de son célèbre personnage avec la « douce guerre ».

Le livre de poche – 1964 – 253 pages – 160 grammes.

Etat = Bon+ >>> 2,20 €uros. / disponible.

 

Paul GUTH : « Le naïf aux 40 enfants »

 

« J'étais en pays d'oïl. Sous le glacis d'accent pointu que je m'imposais, à aucun prix ne devait percer la pointe d'ail de ma langue d'oc.

La première phrase, articulée au seuil de mon premier poste, me semblait être le Sésame de ma carrière. Je renfonçai donc dans ma gorge les bouffées de chaleur méridionale qui me poussaient à prononcer : « Jo souis lo nouvô professor do lettro ».  A travers mon gosier, si serré qu'on n'aurait pas pu y enfiler une aiguille, je flûtai, à la parisienne : « Jeu suis leu nuveau preufessur de lettru ».

Puis, je laissai glisser, de biais, sur mon visage, l'ombre d'un sourire. »

Ainsi commence Le Naïf aux 40 enfants, roman étincelant d'humour, tendre aussi et touchant.

Le livre de poche – 1969 – 251 pages – 150 grammes.

Bon état >>> 2 €uros. / disponible.

 

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Pierre LOUŸS : « Les chansons de Bilitis »    

 

« Les Chansons de Bilitis » sont publiées en 1894 : il s'agit prétendument d'une traduction due à Pierre Louÿs de l'œuvre d'une poétesse antique fictive, à qui Louÿs attribue des poèmes érotiques et passionnés. L'ouvrage est précédé d'une Vie de Bilitis, retracée par le traducteur et suivi de plusieurs pages de notes.

Bilitis serait une jeune grecque du 6ème siècle avant J.C, qui aurait vécu sur l'île de Lesbos… où elle aurait été rivale de Sappho. En fait, Bilitis est un personnage fictif dont Pierre Louÿs est l'auteur : recueil de poèmes en prose, il y déploie toute son érudition et sa connaissance des textes poétiques grecs. C'est l’amour pour la langue, un style simple et le plus juste possible, qui permet de dégager une grande force au service de la sensualité et de l’amour saphique. Louÿs pousse la mystification jusqu'à insérer dans son recueil des pièces poétiques mentionnées comme « non traduites », et par donner des références bibliographiques, entre autres des articles d'un archéologue allemand imaginaire, le Pr. G. Heim ( Geheim et Geheimnis signifient « secret » en allemand )…

La critique se laissa abuser par cette supercherie littéraire, jusqu’à ce que Pierre Louÿs révèle la mystification.

Le Livre de Poche, 1966 – 242 pages – 140 grammes.

Bon état >>> : 2 €uros. / disponible.

 

Pierre MAC ORLAN : « Mademoiselle Bambù » 

 

( Filles, ports d’Europe et Père Barbançon )

 

Un soir qu’il pleut sur Hambourg, le capitaine Hartmann se prend à égrener le souvenir des gens qu’il a connus, aimés, combattus même. Car Hartmann, homme d’aventures, s’est trouvé plongé dans la vie curieuse à double et triple face qui est le lot des espions. Aussi a-t-il eu affaire au redoutable Père Barbançon, aussi a-t-il pu regretter jusqu’à l’heure des tempes grises la gracieuse signorita Bambũ. Ont-ils existé, ces gens du « peuple de la nuit » ?  Bien sûr, mais d’une autre manière, dira-t-on au confident du capitaine. Et qui sont-ils, ces deux-là, sinon peut-être Mac Orlan lui-même qui se souvient de sa jeunesse dans ces récits où le réel côtoie l’imaginaire.

Le Livre de Poche – 1966 – 192 pages – 120 grammes.

Etat = une tranche « finement nervurée » indique que l’ouvrage a été lu, mais par quelqu’un de très soigneux, car l’intérieur (nickel) et les plats (toujours bien brillants) sont comme neuf !!!

>>> 1,80 €uros. / disponible.  

 

Guy de MAUPASSANT : « Les contes de la bécasse » 

 

Chaque automne, un vieux chasseur régalait ses amis de bécasses. Les têtes de ces délicieux oiseaux étaient données à un seul convive désigné par le sort. Et ce dernier, pour dédommager les autres, devait raconter une histoire. Les seize nouvelles de ce recueil se situent presque toutes en Normandie où Maupassant vécut une jeunesse heureuse. Ses paysans chasseurs, ses aristocrates, sa rempailleuse, ses pêcheurs sont saisis sur le vif dans leur vie quotidienne. La folie de la femme qui a perdu toute sa famille, l'avarice sordide de la maîtresse du petit chien, la triste vieillesse des danseurs de menuets, la revanche de l'épouse bafouée, Maupassant voit tout dans les détails les plus poignants. Le célèbre auteur de Bel-Ami nous donne dans ce recueil ses meilleurs contes.

Le livre de poche – 1973 – 255 pages – 140 grammes.

Etat = quelques infimes marques de manip’, sans quoi il serait quasiment comme neuf !?!

« Bon+ » >>> 2,20 €uros. / disponible.

 

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François MAURIAC : « Les anges noirs »

 

Quatrième : Pendant les vacances, le jeune Gradère retrouve au château Du Buch, où il est invité, Adila Du Buch et sa cousine Mathilde. Adila, plus âgée que le narrateur, jeune fille sans grâce et très pieuse, souffre de la passion qu'elle éprouve pour ce garçon qui, lui, est attiré par la jeune Mathilde.

Devenu étudiant à Bordeaux, Gradère ne tarde pas à goûter aux charmes de la ville en se faisant entretenir par une prostituée, jusqu'à ce que celle-ci soit dénoncée et que son patron, un cafetier de Bordeaux, y mette un terme. Il va tirer désormais ses subsides d'Adila, avilie et humiliée qui devient sa maîtresse.      

Le Livre de Poche – 1976 – 256 pages – 130 grammes.

Etat = Plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait… quasiment comme neuf !

>>> 2,50 €uros. / disponible. 

 

François MAURIAC : « Le nœud de vipères »

 

Un coffre-fort vide, c'est la surprise que le maître de Calèse réservait à ses héritiers, coup de théâtre préparé de longue main pour se venger d'une famille aux yeux de qui il n'est que le possesseur détesté d'une fortune supposée énorme.

Elle l'est, car ce grand avocat d'affaires sur la place de Bordeaux a su faire fructifier son héritage et ses gains. Il a toujours tenu les siens par l’argent et entend garder jusqu'à la fin l'instrument de son pouvoir, sans souci des convoitises qui s'exaspèrent autour de lui. Son fils Hubert ne songe-t-il pas à obtenir contre lui une mesure d'internement sous prétexte de protéger le patrimoine familial ?

En écrivant à sa femme la lettre d'explications qui devait trôner dans le coffre vide, il rit sous cape d'un rire amer.

Et la lettre s'allonge, devient le récit d'une guerre commencée très vite après les noces, le jour où Louis a compris qu'il a épousé par amour Isabelle Fondaudège mais qu'elle s'est mariée avec lui par intérêt. L'intérêt, puissant ressort caché sous le voile des bons sentiments, ce roman incisif en démasque le jeu dans cette histoire d'une famille bourgeoise qui est aussi celle d'un amour meurtri.

Le livre de poche – 1974 – 287 pages – 150 grammes.

Etat = comme neuf ! Très bon >>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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H. de MONTHERLANT : Le Maître de Santiago ( Théâtre )

 

Des cinq chevaliers de Saint Jacques qui se rendent chez don Alvaro Dabo pour la réunion mensuelle de l’ordre, don Bernal est le plus intéressé à convaincre leur hôte de s’en aller au Nouveau-Monde chercher fortune. Son fils Jacinto n’est-il pas épris de Mariana Dabo ?

Un seul obstacle s’oppose à leur union : la pauvreté de Mariana. Mais qu’importe à don Alvaro l’ambition de ces « hommes de terre », lui dont l’idéal est de se rapprocher de Dieu en répudiant la richesse et son cortège de compromissions ?

Don Bernal tend l’unique piège où il puisse se prendre – un faux émissaire le sollicitera de la part du roi. L’austère Maître de Santiago sent vaciller sa volonté de retraite quand soudain, Mariana s’élance et révèle la supercherie… 

« Ce chef d’œuvre étrange, écouté dans le plus profond silence par un public qui a oublié d’applaudir au baisser du rideau... d’étonnement. J’ai été moi-même abasourdi. Entendu dire beaucoup de sottises sur Montherlant et, en particulier, sur cette pièce. Que leur faut-il donc ? Je ne comprends pas qu’ils ne sachent pas au moins garder le silence devant une œuvre d’une telle beauté, beauté irritante peut-être, exaspérante même, parce que l’auteur avec tout son génie, touche à des choses très graves avec une sorte d’insolence qui fait peur ». (Julien Green, Journal, t.V, 1951)

Le Livre de Poche – 1964 – 176 pages – 130 grammes.

Etat = Quelques infimes traces/marques de manipulation(s) et/ou stockage, un petit « frottis » (1 mm) en haut de tranche. Mais franchement rien de grave, ni même de foncièrement notable ! 

Ensemble compact et bien brillant, intérieur propre et sain…

Bon pour le service ! >>> 2 €uros. / disponible. 

 

Egalement disponible dans l’édition 1966 : …

 

Henry De MONTHERLANT : « Le maître de Santiago »

 

Le livre de poche – 1966 – 176 pages – 120 grammes.

Etat = Bon+ >>> 2,20 €uros. / disponible.

 

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Henry de MONTHERLANT : « Les bestiaires »

 

En 1909, âgé de treize ans, Henry de Montherlant assistait pour la première fois à une course de taureaux à Bayonne, et se prenait de passion pour l’art des toreros.

L’année suivante, il allait seul, en Espagne, pendant les vacances, et se faisait initier à la tauromachie par le matador Relampaguito. En 1911, il mettait à mort de jeunes taureaux dans une plaza privée, près de Burgos, et son nom paraissait pour la première fois dans les journaux français et espagnols. Une des coupures le concernant est citée à la fin de ce volume.

Vers 1930, le journaliste et poète provençal Marius André racontait, dans un article de l’Action Française, qu’il avait entendu chanter à la terrasse d’un café de Séville cette copla en l’honneur de Montherlant :

 

Un Français, dans l’arène,

Toréait un novillo (taureau de quatre ans)

Il faisait si bien les choses

Que el bicho se maravillò.

 

Livre de Poche – 1968 – 248 pages – 140 grammes.

Etat = Quelques infimes traces/marques de manipulation(s) et/ou stockage… mais franchement trois fois rien ! Ensemble compact, plats bien brillants, intérieur propre et sain…

Bon pour le service ! >>> 2 €uros. / disponible.   

 

Henry de MONTHERLANT : La Reine Morte ( Théâtre )

 

« Le vieux roi aimerait que son fils épousât l'Infante de Navarre pour des raisons politiques, peu importe qu'ils s'aimassent ou non, il n'a plus aucune illusion, ni sur l'amour, ni sur l'humain en général. Son fils n'a que faire du pouvoir et a bien compris que son bonheur personnel ne passait pas par les exigences du trône, c'est pourquoi il a de longue date préféré une belle bâtarde plutôt que l'Infante d'un quelconque royaume, aussi mirifique et bon pour le Portugal soit-il.

Évidemment, c'est un revers pour la politique royale, pour l'Infante bafouée et la vie de la dulcinée du Prince ne tient plus alors qu'à un fil, sachant que les conseillers du roi, qui eux n'ont aucun intérêt dans le bonheur du prince mais par contre en ont probablement dans les alliances intéressées poussent à la roue pour évincer la belle roturière… »…

"Théâtre, Montherlant, La Reine morte"… des mots qui peuvent faire peur à celui qui n'est pas tellement adepte des classiques ni du Théâtre ni des choses un peu vieilles comme on croit en déceler à chaque fois qu'on entend parler de rois ou de reines de temps révolus et lointains. Je conçois qu'on ne soit pas forcément très sensible au cadre formel, contraignant, des pièces de Théâtre et que, ce faisant, l'on s'avance toujours prudemment sur le terrain parfois lourd ou glissant de la prose si particulière à ce genre. Je conçois qu'on ressente toujours une certaine appréhension quand on se lance dans les bras d'un auteur qui nous est inconnu et dont la réputation forme comme une chape de plomb au-dessus de nos têtes.

Personnellement, je n'avais jamais lu de Montherlant avant d'aborder cette pièce et je peux seulement dire qu'elle m'a donné l'envie d'en lire d'autres. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver chez cet écrivain français du XXe des accents dignes de Lope de Vega et des intonations qui ne sont pas sans me rappeler un Shakespeare ! (Par Nastasia-B, pour Babelio.com)

Le Livre de Poche – 1963 – 187 pages – 140 grammes.

Etat = Excellent ! Plats bien brillants et quasiment sans traces, tranche non cassée, ensemble toujours bien compact, intérieur sain et propre… on peine à croire que cette petite chose à plus de cinquante ans ; tant il paraît quasiment comme neuf !!!!!

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Henry de MONTHERLANT : « Les célibataires »

Montherlant dépiaute l’animal humain, et nous montre, en fin connaisseur du genre, toutes ses faiblesses. Les hommes, les femmes ; les aristos, les gens du peuple ; personne n’est épargné.

Léon de Coantré, si timide et pourtant mesquin, radin, pusillanime, vit avec son oncle, Élie de Coëtquidan, un breton méchant, sale, aigri. Octave de Coëtquidan, plus prétentieux que son frère, joue le « genre moderne américain » en glissant des mots anglais dans toutes ses phrases ; mais il est aussi coincé, lâche et vénal que les autres.

Les trois hommes, célibataires et engoncés dans leur paresse quotidienne, vivent de leur petitesse et de leur médiocrité. Bourgeois et pauvres, ils doivent quitter la demeure familiale, dont le loyer est devenu trop élevé, et gagner de l’argent. Partant de cette condition, Montherlant suit les traces de leurs sécrétions : les « gens du monde » ne sortiront pas indemnes d’un roman féroce, impoli et follement transgressif. Comme les œuvres de Zola, la fin est tragique et jamais trompeuse.

Le style est jubilatoire ; on palpe le plaisir d’écrire, de dépouiller le genre humain ; on jubile ; on adore. Montherlant, délecté des entrailles humaines, plie la langue française à ses exigences, sans jamais être lassant ni faux, non plus que lourd et banal.

On ferme le livre repu, heureux d’avoir rencontré un auteur rare, sublime et surprenant.

( Par Lybertaire, pour bibliolingus.fr )

Le Livre de Poche – 1962 – 247 pages – 170 grammes.

Etat = Quelques infimes traces/marques de manipulation(s) et/ou stockage, un petit « frottis » (3 ou 4 mm de large sur 1 de haut) en haut du premier plat… mais franchement pas de quoi fouetter un chat, ni même une musaraigne !!! 

Ensemble compact et bien brillant, intérieur propre et sain… bon pour le service !

>>> 2 €uros. / disponible.   

 

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Roger NIMIER : « Histoire d’un amour »

 

En 1918, Michèle Vilmain qui dirige une maison de couture à Paris, retrouve Plilip Walden, un jeune peintre autrichien qu’elle a connu dans le tumulte de la guerre. Ardent, mais faible, il aime cette femme de génie qui ne prendra vraiment conscience de sa propre passion qu’au moment où le jeune homme cédant à l’indécision de son caractère et surtout refusant tout engagement profond va l’abandonner. Après une tentative de suicide, Michèle forme le projet de se venger ; elle fait connaître à Philip, Anne, une toute jeune fille qu’elle « construit », façonne, engage corps et âme dans une aventure dont elle veut garder la haute manœuvre. Mais si Philip revient enfin à Michèle par lassitude, si la petite Anne sort brisée par cette première expérience, n’a-t-on pas la conviction que l’Histoire d’un amour vient de s’achever dramatiquement ?

Au moyen d’une écriture à la fois éclatante et tendue, Roger Nimier nous propose ces êtres douloureux et cyniques, associés autant à leur destin qu’à l’époque de folie et de destruction dont ils sont issus.

Le livre de poche – 1964 – 191 pages – 140 grammes.

Etat = la tranche, incurvée et au pelliculage abîmé, nous indique que le livre a été lu, relu et même re-relu ! Mais bon, hormis ce défaut – inhérent à une très grande majorité des Livre de Poche des années 60 – le reste est plutôt pas mal ! Les plats sont toujours bien brillants, l’intérieur est très bien (propre, sain et tutti quanti) et l’ensemble tout à fait bon pour le service.

>>> 1,40 €uros. / disponible.  

 

Roger NIMIER : « Les enfants tristes »

 

Olivier Malentraide promène un regard narquois sur la faune qui l’entoure : beau-père bougonnant, mère coquette et infidèle, demi-frère abruti par les livres. Son ami Didier ne semble pas mieux partagé. Le monde n’est-il donc peuplé que de gens imparfaits ? Le jeune Olivier se rebelle contre le conformisme général. Puis vient l’interlude de la guerre.

Dans Paris redevenu libre, la verve insolente d’Olivier fait merveille. Pour secouer son ennui, la blonde Tessa joue avec lui et le perd : sous son armure étincelante, il cache une âme tendre éprise de grandeur et de beauté. Ils iront chacun leur chemin, elle vers d’autres futilités, lui vers une carrière littéraire et deux curieuses « petites filles », Dominique et Catherine. Il aime la première et se marie avec l’autre. Ensuite ? Il n’y aura pas d’ensuite pour ces enfants tristes à travers qui Roger Nimier décrit avec éclat une jeunesse passionnée qui ne lui a pas été étrangère.

Le livre de poche – 1965 – 446 pages – 230 grammes.

Etat = quelques fines nervures sur la tranche, de petites traces de stockage et manipulations de-ci de-là… il est clair que le livre a été lu et relu ! Mais l’intérieur est nickel, l’ensemble toujours compact et bien brillant… et, c’est donc sans hésiter que je l’estampille « bon… pour le service » !

>>> 2 €uros. / disponible. 

 

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Louis PERGAUD : « La guerre des boutons »

 

Il commença par la blouse, il arracha les agrafes métalliques du col, coupa les boutons des manches ainsi que ceux qui fermaient le devant de la blouse, puis il fendit entièrement les boutonnières, ensuite de quoi Camus fit sauter ce vêtement inutile ; les boutons du tricot et les boutonnières subirent un sort pareil ; les bretelles n'échappèrent point, on fit sauter le tricot.

Ce fut ensuite le tour de la chemise : du col au plastron et aux manches, pas un bouton ni une boutonnière n'échappa...

- T'as pas de « caneçon » ? Non ! reprit Lebrac, en vérifiant l'intérieur de la culotte qui dégringolait sur les jarrets. - Eh bien, maintenant, fous le camp !

Le livre de poche – 1968 – 384 pages – 230 grammes.

Etat = une très fine cassure sur tranche ainsi que quelques infimes traces de manip’, mais rien de vraiment notable, bon+ !

>>> 2,20 €uros. / disponible.

 

Louis PERGAUD : « De Goupil à Margot »

 

Avant d’écrire sa célèbre Guerre des boutons, Louis Pergaud écrivit ces « Histoires de bêtes », qui lui valurent le prix Goncourt en 1910.

« À leur vérité physiologique et psychologique s’ajoute l’art de choisir les situations, de ménager les péripéties, de nous mettre en présence d’aventures surprenantes, d’utiliser l’observation, l’intuition, le raisonnement, en conteur excellant à évoquer les luttes clandestines des terriers, les drames des sous-bois et des nids, à tisser le réseau de ruses, de feintes et de pièges qu’exigent […] la poursuite de la proie et la lutte contre l’homme et son chien. » (Roger Denux).

Le Livre de Poche – 1970 – 189 pages – 120 grammes.

Etat = Quelques infimes marques-traces « d’usage », mais rien de vraiment notable !

Tout à fait bon pour le service !

>>> 1,70 €uros. / disponible. 

 

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Arthur RIMBAUD : « Poèmes »

 

( Présenté par Paul Claudel )

 

Le livre de poche – 1960 – 179 pages – 140 grammes.

Etat = un infime défaut de pelliculage sur la tranche sans quoi, il est nickel…

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Arthur RIMBAUD : « Poésie Complètes »    

 

( Illuminations / Une saison en enfer / Autres poèmes ) 

 

Présenté par Paul Claudel

Le Livre de Poche – 1963 / 248 pages – 170 grammes. 

Comme neuf !!!>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Antoine de SAINT-EXUPERY : « Courrier Sud »

 

Ce roman reprend, en l’amplifiant, le tout premier texte de Saint-Exupéry : « L’Aviateur », publié en 1926 dans la revue Le Navire d’argent. Le personnage de son livre, Jacques Bernis (déjà héros de « L’Aviateur ») est pilote des lignes Latécoère, comme l'auteur.

Il achemine le courrier vers l’Amérique du Sud où la compagnie Latécoère assure une partie du courrier aérien à destination de l’Europe depuis 1926. Comme Saint-Exupéry, Jacques Bernis fait un métier dangereux qui rend difficile la vie paisible dont rêve Geneviève, la femme qu'il aime et dont il se sépare…

Le Livre de Poche – 1963 / 183 pages – 140 grammes…

Très bon état >>> 2,50 €uros. / disponible. 

 

Boris VIAN : « L’herbe Rouge » 

 

Serait-on heureux... si l'on obtenait sur-le-champ "ce que l'on désire le plus au monde"? La plupart des gens répondent oui, le sénateur Dupont aussi. Wolf, quant à lui, prétend que non. Pour le prouver, il va chercher l'objet des vœux du sénateur : un ouapiti. A la suite de quoi, le sénateur Dupont tombe dans un état de béatitude qui ressemble fort à de l'hébétude. 

Bien que le sénateur Dupont ne soit qu'un chien, ce spectacle déprimant accroît encore la mélancolie de Wolf. Vivre doit être autre chose qu'une oscillation de pendule entre cafard et sotte félicité. Pour en avoir le cœur net, Wolf utilise la machine qu'il a inventée avec l'aide de son mécanicien Saphir Lazuli. D'une plongée à l'autre, qu'apprendra-t-il… et où plonge-t-il ?

C'est le secret de L'Herbe rouge, qui est aussi celui de Boris Vian – sous le travesti de l'humour noir, il met en scène ses propres inquiétudes avec la frénésie d'invention burlesque qui l'a rendu célèbre.   

Le Livre de Poche – 1971 / 225 pages / 140 grammes.

>>> 2 €uros. / disponible. 

 

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16/05/2015

Cizia ZYKË

Cizia ZYKË 

 

Cizia ZYKË : « Oro »

 

Oro, c’est le carnet de bord d’un aventurier comme il n’en existe plus.

Son nom : Zykë. Son but dans l’existence : ramasser un énorme paquet d’or.

Avec son P.38, son absence de scrupules et un formidable courage, il se lance à la conquête des richesses tapies dans la péninsule d’Osa, au Costa Rica. Parmi les serpents, les fauves, les policiers véreux et les malfrats, il se taille un chemin jusqu’aux pépites. Un chemin jonché d’ivrognes, de prostituées, de trafiquants cupides et sans pitié.

Car, fascinant, l’or est au bout de cette aventure dont la morale, s’il y en a une, dit ceci : le monde est plein de filons, c’est une caverne remplie de trésors et ouverte à ceux qui consentent à enjamber l’abjection pour s’en saisir. Zykë deviendra riche, puis pauvre, mais cela n’a aucune importance. Son récit, tout cru pour une vérité toute nue, est une prodigieuse leçon d’audace pour tous ceux qui croient encore que la vie vaut bien quelques risques.

Dans cette aventure, vécue et écrite sur un rythme de mitraillette, l’amour et la dérision, l’excès et la solitude trouveront également leur compte. Il suffit d’y plonger, avec Zykë, comme dans un torrent boueux et magnifique.

Hachette – 1985 – 15,5 x 24 cms – 300 pages – 480 grammes.

Etat / descriptif = broché, reliure souple. Deux fines nervures sur la tranche indiquent que le livre a été lu (et même très certainement relu !?!), mais bon… par un lecteur pour le moins soigneux, vu qu’hormis quelques infimes traces de manipulations ça et là, il est franchement pas mal ! Brillant, bien compact, intérieur parfait…  bel exemplaire !!!

>>> 3,70 €uros. / disponible.

 

Ou : Cizia ZYKË : « Oro »

 

France loisirs – 1986 – 16 x 24,5 cms – 299 pages – 610 grammes.

Reliure éditeur cartonnée et entoilée de noir + jaquette couleur.

Etat = le haut et la bas de la jaquette ont bien souffert (frottements, petites déchirures, etc…), et les extrémités de la tranche reliure sont très légèrement talés. L’ensemble, reliure + intérieur, est néanmoins propre et de bonne tenue et – de fait – l’exemplaire est bon pour le service…

>>> 3,50 €uros. / disponible.

 

Ou : Cizia ZYKË : « Oro »

 

Le grand livre du mois / Hachette – 1985.

16 x 25 cms – 300 pages – 580 grammes.

Reliure éditeur cartonnée et entoilée de noir, titre et nom d’auteur en doré sur premier plat et tranche + jaquette couleur.

Etat = un haut de tranche (reliure) très légèrement talé + quelques petites déchirures soigneusement restaurées sur les bords de la jaquette mais rien de vraiment notable. L’ensemble est propre et de très bonne tenue.

>>> 4 €uros. / disponible.

 

Egalement disponible au format poche : …

 

Cizia  ZYKË : « Oro »

 

Le livre de poche – 1987 (texte intégral) – 410 pages – 190 gr.

Etat = quelques toutes petites traces de stockage, mais rien de très notable. Les plats sont bien brillants, la tranche n’est pas cassée et l’intérieur parfait ! Ce livre n’a très certainement jamais été lu !

>>> 4,50 €uros. / disponible.

 

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Cizia ZYKË : « Paranoïa »

 

« Tu es un écrivain, mon fils. Rien ne doit venir déranger ton travail. »

Sur cette ultime et austère recommandation, la vénérable Mme Duclos rend à Dieu son âme étriquée et abandonne Fernand à un peu plus de solitude. Que va-t-il faire alors, lui qui a vingt-cinq ans, une vie sans joie ni surprise, une lucidité féroce et beaucoup d’occasions d’être « dérangé » ?

Après Oro, Sahara, Parodie, sa célèbre trilogie autobiographique, et Fièvres, son premier roman, Cizia Zykë nous emporte, avec Paranoïa, dans un irrésistible tourbillon d’émotions, de sentiments et de passions. Un texte impitoyable qui nous mène de la plus folle des violences aux larmes, du fou rire au drame, de la cruauté à l’amour. Cizia Zykë allie un sens aigu de l’observation sociale à un art subtil de la psychologie et du suspense.

Le Livre de Poche – 1990 – 415 pages – 190 grammes.

Etat = quelques assez nettes marques/traces de manipulations, stockage, etc. (essentiellement sur 4ème), mais rien de bien grave pour autant. Les plats sont toujours brillants, la tranche non cassée et l’intérieur propre et sain… un livre qui ne demande qu’a vous régaler, du grand, très GRAND Cizia Zykë !!!

>>> 3,20 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Ou : …

 

Cizia ZYKË : « Paranoïa »

 

Le Livre de Poche – 1990 – 415 pages – 190 grammes. 

Etat = Un petit pli de pelliculage (1,5 cm) sur le bord du premier plat, ainsi qu’une tranche insolée (non cassée, titre et nom d’auteur parfaitement lisible… mais le logo « Livre de poche » – en haut – et le code prix ont disparu… le soleil adorant l’encre rouge !), sans quoi tout à fait O.K… 

Ensemble toujours bien compact, intérieur en excellent état : bon pour le service !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = de 2,90 (acceptable) à 7,50 (comme neuf) sur Amazon.fr (annonces sérieuses)

De 2,50 à 6,99 sur Priceminister (idem).

Prix moyen sur le net : entre 4,50 et 5 €uros.

 

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Cizia ZYKË : « Fièvres »

 

Le safari, commencé dans la joie et le plaisir, se transforma en une gigantesque partie de cache-cache, passionnante, irritante, puis insupportable. Insidieusement, la résolution de tuer M'Bumba l'éléphant s'installa. C'était lui ou nous. Alors s'amorça une lente descente vers l'horreur et l'irréel : la nature explosait d'une beauté violente, la nuit se faisait cataclysme, des milliers de crocodiles devenus déments massacraient les hommes. Nous étions partis pour la mort… perdus au milieu de quelque chose que je ne comprenais pas, qui n'existait pas, quelque chose qui nous tuait les uns après les autres.

Fièvres, roman fort, envoûtant, sensuel, nous confirme le grand talent de conteur de Cizia Zykë, révélé dans sa trilogie autobiographique : Oro, Sahara et Parodie.

Le Livre de Poche 1989 (édition originale – texte intégral !). 

311 pages – 150 grammes.

Quelques marques de stockage et manipulations sur plats… mais tout à fait O.K dans l’ensemble ! Tranche non cassée, intérieur sain et propre, vernis bien brillant… bel exemplaire. 

>>> 4,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Ailleurs = entre 3,25 et 11 €uros sur priceminister, prix moyen aux alentours de 4,50 €uros.

 

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Cizia ZYKË : « Tuan »

 

Sur un îlot pelé d’Indonésie où il est résolu à mourir, l’aventurier Tuan rédige au crayon quelques-uns de ses souvenirs : histoires d’amitié, de passion, de violence, de lutte pour la vie.

C’est le « Triangle d’or » de Birmanie, royaume de la drogue, où durant des mois il a été le prisonnier d’une tribu de gamins fous et armés. C’est l’Australie, où il a dû venger la petite aborigène Shoona, lapidée. D’autres histoires encore, loin de nos sociétés tranquilles, dans un monde de bruit et de fureur qui est pourtant le nôtre…

Un Cizia Zykë brutal, désabusé et secrètement tendre, qui ne décevra pas les lecteurs d’Oro et de La ferme d’Eden.

Le livre de poche – 1994 (édition originale – texte intégral !).

575 pages – 280 grammes.

Etat = Très certainement jamais lu… quasiment comme neuf !!!

>>> 9,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Ailleurs = entre 6,90 et 11 €uros sur Priceminister.

Entre 11 et 14,80 sur abebooks.fr / entre 10,38 et 25 €uros sur Amazon.fr.

 

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Cizia ZYKË : « Alixe »

 

Alixe à treize ans, mais elle n’est pas une adolescente comme les autres. Elle est sage et bonne élève, et chacun s’accorde à la dire très mûre pour son âge… Elle inquiète les adultes de son entourage avec son obstination à ne livrer aucun de ses sentiments.

Cet été là, Alixe retrouve (pour les vacances) sa mère, son beau-père, la mère de celui-ci et son demi-frère dans la grande villa qui domine Biarritz. Dans la chaleur étouffante, la tragédie se met en place. Dans la violence et dans le sang. Alixe va s’éveiller à la sexualité et vivre une véritable descente aux enfers. Autour d’elle, les cadavres s’accumulent. Alixe est-elle coupable ?

 

Fils d’une Grecque et d’un légionnaire albanais, Cizia Zykë a très tôt mené une vie d’aventurier. Tour à tour contrebandier, professeur de français ; chercheur d’or ou joueur de poker, il a raconté sa vie dans ses premiers romans et connu un énorme succès mondial dès son premier livre : Oro.

Le Livre de Poche - 1994 - 252 pages - 120 grammes.
Etat = Quelques infimes marques de manipulations (une toute petite pliure dans le coin supérieur droit du premier plat), mais rien de bien notable pour autant… plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait, il est en excellent état !

>>> 4,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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11/05/2015

Jean LARTÉGUY

Jean LARTEGUY : « L’adieu à Saigon »

 

Dans ce récit, vécu et rédigé sur place, des dernières heures de Saïgon, Jean Lartéguy décrit la disparition d’une ville et d’un monde qu’il avait intimement connus et parfois passionnément aimés comme soldat, journaliste, écrivain. Il essaie en même temps de répondre à cette question : Comment l’une des armées les mieux équipées du sud-est asiatique a-t-elle pu s’effondrer en deux mois, pratiquement sans se battre ? Qui était Thieu ? Quel fut le rôle de la France ?

Il révèle enfin pourquoi Saïgon n’a pas brûlé et comment, un  mercredi, se joua son sort entre un vieux général recru de fatigue et de jeunes officiers qui voulaient mourir.

Presses Pocket – 1976 – 314 pages – 170 grammes.

Etat = Plats bien brillants (une petite pliure de 2 mm en bas à droite de couv’ et c’est tout), tranche non cassée, intérieur en parfait état ;  seules quelques rousseurs éparses (au dos des plats et sur pages de garde) nous indiquent que le livre a dû passer quelques années au grenier… Mais bon, rien de bien grave il n’a pas pris l’humidité pour autant (il est même bien compact) et il ne demande qu’à reprendre du service, sur vos rayonnages !

>>> 2,20 €uros >>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Les Prétoriens »

 

Avec le nouveau roman de Jean Lartéguy, nous allons voir les Centurions devenir Les Prétoriens. Le meurtre d'un de leurs camarades entraîne, en effet, les amis d'Esclavier et Boisfeuras à déborder le cadre normal de l'action militaire et à « faire de la politique ». Rien ne pourra plus endiguer ce torrent d'hommes farouches, pas même ceux qui, d'Alger ou de la Métropole, essayent de les soumettre. Par-delà le complot principal du 13 mai, auquel ils vont servir d'instruments, ils ont ce jour-là un complot à eux, ici raconté pour la première fois et dont le succès aurait peut-être changé le cours ultérieur de la guerre d'Algérie.

Les Prétoriens acculés au suicide ou à la démission - ou bien à de nouveaux complots…

Presses pocket – 1976 – 380 pages – 200 grammes.

Etat = quelques menues marques de stockage ( petites traces de choc en haut de premier et dernier plats…), mais rien de grave. L’ensemble est de bonne tenue, la tranche non cassée et l’intérieur sain et propre. Bon pour le service.

>>> 2,80 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Le mal jaune »

 

Ce roman est l’histoire de deux villes qui n’existent plus : Hanoï et Saïgon.

Il y a bien dans le delta du Tonkin une ville qui porte encore le nom d’Hanoï, comme dans le delta du Cochin-Chine une autre qui s’appelle toujours Saïgon. L’une est la capitale d’une république autoritaire et bureaucratique, l’autre d’un état papelard et anachronique. Elles sont prudes, hypocrites et si leurs parcs sont ratissés et leurs bâtiments repeints, elles n’ont plus rien à voir avec les deux villes métisses qui, nées de l’union des Blancs et des Jaunes, moururent de leur divorce. 

C’étaient deux belles métisses infidèles et tendres, cruelles et sensuelles, paresseuses, violentes, impudiques et secrètes.

Ceux qui les aimèrent – et ils furent nombreux – contractèrent auprès d’elles un mal dont ils n’arrivent point à se guérir : le Mal Jaune ; une sorte de nostalgie qui devient poussée de fièvre certains soirs de cafard, certains jours d’abandon. Je dédie ce livre à tous ceux qui, comme moi, furent atteints de cette maladie pernicieuse et éprouvent encore un certain plaisir à l’entretenir.

Les presses de la cité – 1963 – 377 pages – 21,5 x 13,5 cm – 510 grammes.

Couverture cartonnée recouverte de tissu jaune avec inscriptions en rouge + jaquette en couleurs.

Etat = Un petit accro (5 mm) sur jaquette en haut de quatrième, ainsi qu’un bas de tranche très légèrement « talé »… sans quoi il serait presque parfait !?! Un bel exemplaire, en excellent état !

>>> 4 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Les mercenaires »

 

1955. Lorsqu’ils débarquent à Marseille, par une froide matinée de novembre, un an et demi après Diên Biên Phu, d’Esclavier, de Boisfeuras et quelques-uns de leurs compagnons, officiers comme eux de l’armée française, sont devenus des étrangers à leur propre pays.

Si la France vient en effet d’abandonner l’Indochine, les hommes qui constituent ce petit groupe ne se considèrent nullement comme des vaincus. Esclavier et Boisfeuras ont tout simplement subi une défaite au cours d’une guerre qui ne ressemblait à aucune autre, à laquelle ils n’étaient pas préparés.

Au contact des communistes vietnamiens, qui se sont vainement occupés de les « rééduquer », les deux officiers ont compris que, pour lutter à armes égales contre des révolutionnaires, il fallait soi-même le devenir. Cette mue douloureuse est irréversible. Amis, parents, supérieurs hiérarchiques ne reconnaissent plus les hommes qu’ils ont quittés – abandonnés ? – plus d’une année auparavant. Des hommes qui, jetés sans transition dans une autre fournaise – en Algérie cette fois - essaieront de tirer sur tous les plans la leçon de Diên Biên Phu, en patriotes révoltés, en héros désespérés qu’ils sont à jamais devenus.

Presses Pocket – 1978 – 437 pages – 230 grammes.

Etat = petites marques/traces de lectures, stockage et manipulations… une ou deux fines nervures sur une tranche au bas très légèrement frotté… il est clair que le livre a été lu et relu ! Mais par un/des lecteur(s) très soigneux, puisqu’en fait ce ne sont que de micro-mini défauts de rien du tout, qui donnent plus une agréable « patine » à l’ensemble, qu’autre chose !

Tout à fait bon pour le service ! >>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

Ou : …

 

Jean LARTÉGUY : « Les Mercenaires »

( Qui se souvient encore de la guerre de Corée ? )

 

A ma connaissance, aucun mercenaire ne répond plus à la définition qu'en donne le Larousse : "soldat qui sert à prix d'argent un gouvernement étranger".

Les mercenaires que j'ai rencontrés et dont parfois j'ai partagé la vie combattent de vingt à trente ans pour refaire le monde.

Jusqu'à quarante ans, ils se battent pour leurs rêves et cette image d'eux-mêmes qu'ils se sont inventée. Puis, s'ils ne se font pas tuer, ils se résignent à vivre comme tout le monde - mais mal, car ils ne touchent pas de retraite - et ils meurent dans leur lit d'une congestion ou d'une cirrhose du foie.

Jamais l'argent ne les intéresse, rarement la gloire, et ils ne se soucient que fort peu de l'opinion de leurs contemporains. C'est en cela qu'ils diffèrent des autres hommes.

Presses Pocket – 1966 – 437 pages – 290 grammes.

Etat = Excellent de chez excellent !

Un pocket « volume triple » (3,5 cms d’épaisseur, exactement le double de l’exemplaire proposé juste au-dessus, alors qu’il n’est pas imprimé plus gros ! La qualité du papier était toute autre dans les années 60 !), dont la tranche est absolument intacte… et qu’il suffit d’entrouvrir pour comprendre qu’il n’a jamais été lu ! Un cadeau… le prix indiqué en bas de quatrième est masqué au marqueur noir… qui n’a pas fait plus plaisir que ça, et qui est resté inviolé pendant presque 50 ans (jusqu’à la mort du propriétaire !?) avant d’arriver chez nous via une « bourse aux livres » !

Délicieusement vintage… et dans un état pour le moins exceptionnel !

>>> 3,60 €uros. / disponible. 

 

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04/04/2015

BENOIST-MÉCHIN : Lawrence d’Arabie ou le rêve fracassé

BENOIST-MÉCHIN :

 

« Lawrence d’Arabie ou le rêve fracassé »

 

Mythomane, imposteur, charlatan ou héros ? Tous ces termes ont été appliqués à Lawrence d’Arabie. Pour Churchill, il aura été « un des plus grands princes de la nature ». Pour Lord Allenby, le commandant en chef des forces britanniques en Egypte durant la première guerre mondiale, « sa vie vaut tous les contes de fées ». Mais pour d’autres, il n’a été qu’un baladin assoiffé de publicité personnelle, « un névrosé possédé par une attirance morbide de la boue ».

Qui était-il donc au juste cet homme énigmatique et déconcertant, porté aux nues par Bernard Shaw, vilipendé par Richard Aldington, et dont la légende a fait le « roi non couronné d’Arabie » ?

C’est l’aventure de ce personnage fabuleux que Benoist-Méchin nous décrit aujourd’hui dans cet ouvrage destiné à prendre place entre les biographies qu’il a déjà consacrées à Mustapha Kemal et Ibn Séoud. Fouillant les mémoires et les correspondances de ses contemporains, il situe l’auteur des Sept Piliers de la Sagesse dans le contexte épique de la révolte dans le désert. Mais il analyse aussi le destin d’une âme torturée par un des désespoirs les plus atroces qui aient jamais dévoré une conscience humaine.

 

Ainsi se déroule sous nos yeux une double trajectoire : d’une part, celle d’un homme d’action d’une surprenante vitalité qui souleva des Bédouins du Hedjaz contre la domination turque, conquit Akaba à la pointe de son épée, et, payant royalement de sa personne, mena victorieusement à Damas les cavaliers de l’émir Fayçal. De l’autre, celle, toute spirituelle, d’un poète et d’un écrivain prestigieux que ses tourments apparentent à Retz, à Nietzsche et à Dostoïevski.

Nous voyons Lawrence, conquérant de vingt-neuf ans, s’élancer sur les traces d’Alexandre le Grand dans un tourbillon de voiles blancs et un scintillement d’épées. Mais nous le voyons aussi descendre pas à pas au fond d’un gouffre désespéré où, dans la servitude volontaire et l’avilissement de lui-même, il cherchera des « équivalents infernaux » à son rêve fracassé.

Un drame humain d’une terrifiante intensité, né d’un drame politique aux répercussions imprévisibles, tels sont les deux pôles autour desquels gravite la carrière de Lawrence. C’est pourquoi il ne suffit pas, pour le connaître, de suivre les péripéties de sa campagne d’Arabie : il faut plonger dans les replis les plus secrets de sa douleur. On s’aperçoit alors que vaincu une première fois par les circonstances et une deuxième fois par lui-même, il a su transformer cette double défaite en une victoire unique que nul, désormais, n’a le pouvoir de lui arracher.

 

Editions Clairefontaine /  Lausanne, 1961.

277 pages – 21,3 x 14,8 cms –  450 grammes.

In-8 broché, couverture à rabat, 8 photos en hors texte ainsi qu’une carte dépliante…

Mais également une chronologie détaillée des principaux évènements de la vie de T.E. Lawrence et de l’histoire du Proche-Orient entre 1881 et 1935, une généalogie de la dynastie des Hachémites… et une importante et très complète bibliographie. 

 

Etat = 2 fines cassures sur tranche, ainsi qu’une petite déchirure (1 cm) restaurée en bas de premier plat à la jonction avec la tranche… mais rien de franchement notable, l’ensemble est sain, propre et tout à fait bon pour le service…

 

>>> 5 €uros. / disponible. 

 

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Ailleurs : de 5 à 13 € sur Amazon.fr ( pour du « Acceptable » à « très bon »)

De 8 à 17 € sur Priceminister.

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20/02/2015

Serge VACULIK : Béret rouge

Serge VACULIK : « Béret rouge »

Béret rouge : scènes de la vie des commandos parachutistes S.A.S.

 

( Par Serge VACULIK alias Jean DUPONTEL ).

 

Ce livre n’est pas à proprement parler un livre de guerre mais un livre d’aventures. Nulle période aussi bien n’a été plus fertile en aventures que celle qui s’étend de la « bataille perdue » de 1940 aux combats de la Libération.

Mais parmi tant de récits qui en font revivre les épisodes, aucun peut-être n’illustre de façon plus complète, plus significative et pour tout dire plus vraie, au sens balzacien du mot, ce drame d’une génération et l’avènement de ce type de combattant nouveau créé par la technique des guerres modernes : le parachutiste.

 

Composé à partir des souvenirs de l’auteur, parachutiste des Forces Françaises Libres, et de ses camarades de combat, ce récit ajoute au témoignage l’ampleur d’une vision propre à l’écrivain.

Dans le héros de tant d’aventures, un type plus encore qu’un homme se dégage, symbole d’une époque, héros non seulement de telle ou telle aventure, mais de l’Aventure.

Dédié à la jeunesse d’aujourd’hui, Béret rouge, comme le prouvent les centaines de lettres reçues par l’auteur, répond à l’enthousiasme de cette jeunesse pour une existence dont les dangers l’exaltent, parce qu’ils furent le prix, et restent, hélas, le risque de la liberté.

 

Arthaud / Collection « Clefs de l’aventure » – 1960.

Couverture souple en couleurs, avec rabat de présentation au dos de premier plat.

20 « héliogravures » (reproductions photographiques) hors-texte.

328 pages – 20,5 x 15,5 cms – 400 grammes.

Etat = de minuscules petits « frottis » (1 mm) en haut des plats et d’une tranche présentant 2 fines nervures… mais bon, ce ne sont là que constatations d’un maniaque pathologique dans mon genre, vu que l’ensemble est en excellent état ! Les plats sont superbes et bien brillants, l’ensemble est toujours bien « carré » et compact… et l’intérieur – propre et sain – frise la perfection !

Un exemplaire que l’on peut sans problème estampiller « entre bon+ et très bon » !

>>> 5,50 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible. 

 

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Ailleurs = de 3,90 à 10 €uros sur Priceminister (moyenne/majorité entre 4,50 et 6 €uros) selon les états et les vendeurs. (On oubliera l’habituel exemplaire à 0,90 €, proposé via une annonce sans photographie et description comportant 5 fautes d’orthographes pour 4 mots… et les deux ou trois voleurs (à moins qu'il ne s'agissent de cinglés, on ne sait plus !?!) proposant des ex. à 38,57 ou 42,85 €uros !?!????!!! )…  

De 6 à 12 €uros (et plus) sur Amazon.fr / de 6 à 14 €uros sur livre-rare-book.com.

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http://www.chemin-de-memoire-parachutistes.org/t3856-beret-rouge-de-serge-vaculik

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