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18/03/2017

Guy SAJER : Le soldat oublié

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

 

Guy Sajer n’a pas 17 ans quand, en juillet 1942, il endosse l’uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l’Alsace. A cause de son jeune âge, il n’est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l’hiver s’abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l’unité de Sajer n’atteindra Stalingrad qu’elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n’est pas une partie de plaisir, que survivre dans l’hiver russe est déjà un combat. Et pourtant, ce premier hiver, il n’a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lorsqu’il est versé dans la division Gross Deutschland, division d’élite, avec laquelle, à partir de l’été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d’Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l’offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque –40° degrés, sous le martèlement terrifiant de l’artillerie russe, face aux vagues d’assaut d’un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la Gross Deutschland, portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l’enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l’échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d’Apocalypse. Plus tard, quand le front allemand s’est désagrégé, quand l’immense armée reflue, aux combats réguliers s’ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c’est la retraite des derniers survivants de la division d’élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu’en Pologne. Dans l’hiver 1944-1945, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l’entrée du Vateriand aux Russes. C’est encore Memel, où l’horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l’exode des populations allemandes de l’Est. Enfin, malade, épuisé, Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre… Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s’il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n’est pas seulement parce que l’auteur a réellement vécu tout ce qu’il rapporte, ce n’est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l’accent et la force terrible de la réalité, c’est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu’il n’y a pas là de "littérature", pas de morceaux de bravoure – mais que c’était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l’horreur…

 

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Une légère trace de pliure sur le premier plat ainsi qu’une fine marque de cassure sur la tranche, mais l’ensemble n’est pas mal du tout… la tranche n’est quasiment pas incurvée (ce qui est plutôt rare pour un Livre de Poche aussi épais !) l’intérieur est propre et sain, il est assez rare de pouvoir trouver cette version en aussi bon état !!!…

>>> 5,80 €uros. / Vendu!

 

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Egalement disponible en version grand format :

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

Robert Laffont – 1967 – 543 pages – 24 x 15,5 cm – 690 grammes.

Broché (reliure souple), couverture rempliée (comme une jaquette), carte au verso du premier plat.

Etat = bords de plats (par endroit) très légèrement frottés, ainsi qu’une petite déchirure (restaurée avec soin) en haut de quatrième, côté tranche. Aber so, rien de bien grave… et comme les plats sont toujours bien brillant, que la tranche n’est pas cassée (!!!) et que l’intérieur est comme neuf ; ce ne sont pas ces infimes défauts qui m’empêcheront de l’estampiller comme BON !!!…

>>> 12 €uros. / Vendu!

 

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Ailleurs (au format poche) = entre 3,50 et 10 €uros sur priceminister.

(Selon les états... et les vendeurs !)

Ailleurs (grand fomat) = entre 8,50 et 13,50 sur Priceminister

entre 10 et 16 €uros sur livre-rare-book.com / entre 10 et 30 €uros sur ebay.

 

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> Interview de Guy Sajer, 39-45 Magazine, décembre 1993.

 

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Mes parents sont nés sur la terre, à quelque mille kilomètres de distance.

D'une distance encombrée de difficultés, de complexes étranges, de frontières entremêlées, de sentiments équivalents et intraduisibles. Moi, j'ai abouti de cette alliance, à cheval sur cet ensemble délicat avec une seule vie pour débattre tant de problèmes. J'ai été enfant, mais cela est sans importance. Les problèmes existaient avant moi, et je les ai découverts.

Puis il y a eu la guerre. Je l'ai alors épousée, parce qu'il n'y avait guère qu'elle a l'âge que j'ai eu, moi aussi, lorsque l'on est amoureux.

Je fus brutalement comblé. J'avais soudain deux drapeaux à honorer, deux lignes de défense, l'une Siegfried, l'autre Maginot, et puis aussi de grands ennemis à l'extérieur. J'ai servi, j'ai rêvé, j'ai espéré. J'ai eu également froid et peur sous le portail où jamais n'est apparue Lilli Marlène.

J'ai dû mourir aussi un jour, et depuis, rien n'a eu tellement d'importance.

Alors, je demeure ainsi, sans regret, désolidarisé de toute condition humaine.

( Guy Sajer )

 

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"Le soldat oublié" occupe une place à part dans les témoignages sur le front de l'Est. Il possède une force propre et une puissance unique dans l'évocation de ce que fut la guerre contre le bolchevisme et de tout ce que vécurent les soldats pendant presque quatre années. En France, la plupart des témoignages sur cette épopée concernent d'anciens Waffen SS mais ici, c'est celui d'un jeune Franco-Allemand de la Wehrmacht. Sous le casque à 16 ans, en 1942, Guy Sajer sera d'abord convoyeur de trains puis passera l'année suivante dans la fameuse division Grossdeutschland dans laquelle il restera jusqu'à la fin de la guerre. "Le soldat oublié" est le récit de la guerre à l'Est vue par un jeune soldat qui, quelques années après la guerre, écrira au cours d'une maladie ce qu'il avait vécu durant trois ans.

Peut-être plus que dans aucun autre récit, l'horreur du front russe y est décrite d'une façon très détaillée qui frappe le lecteur par l'intensité de son évocation. Ici, sans concession, est racontée la guerre vécue par un garçon qui y enterrera son adolescence entre le sang, la faim et la peur. Aucun enjolivement ne fut apporté à ce récit qui frappe par son intensité et nous plonge au cœur de la vie quotidienne de tous ces hommes, de leurs peurs et de leurs épreuves. L'auteur a mis son cœur et ses tripes dans ce récit, cela en renforce le côté émouvant et la force. C'est en effet le récit des désillusions; à la fin, la guerre est perdue, les camarades morts ou emprisonnés, la fiancée berlinoise perdue ou morte, les survivants ne sont plus que des parias… La guerre est plus qu'un souvenir, c'est un traumatisme. Robert Dun disait que "Le soldat oublié" était l'un des meilleurs ouvrages sur la seconde guerre mondiale. Il avait raison.

Le livre a d'ailleurs connu un grand succès: vendu à plus de 3 millions d'exemplaires, traduit dans près de 40 langues, il a également été primé.

Chronique signée Rüdiger,

pour « Le Cercle Non Conforme »

(http://cerclenonconforme.hautetfort.com/) 

  

12/08/2016

Jean LARTÉGUY et Marc FLAMENT : Les dieux meurent en Algérie.

Lartéguy & Flament : 

Les dieux meurent en Algérie.

 

Texte de Jean Lartéguy / Photos de Marc Flament.‎

 

Présentation :

« Il n’y a pas que les hommes, les dieux meurent aussi en Algérie, toutes nos bonnes vieilles idoles d’Occident avec leurs grands principes.

Ils avaient régné sur les cités Helléniques, sur Périclès, Platon et les Jeux Olympiques, sur le sénat romain et les juristes en toge, sur les catacombes et les cloîtres romains. Ils avaient été la chevalerie et la trêve de Dieu, le panache d’Henri IV et les petits marquis de Fontenoy, les dieux en Carmagnole de 1789 et ceux casqués de bleu des tranchées de Verdun, les dieux de Montaigne et de Pascal, de Bossuet, de Diderot, de Voltaire et de Saint-Just, dieux à la tripe républicaine, marqués de la fleur de lys ou de l’abeille des Bonaparte, les dieux de Notre-Dame et de la Grande Loge, de Péguy et d’Anatole France.

En vieillissant, ils avaient pris du ventre et des manies de vieillards égoïstes, confinés dans des asiles. Souvent, il nous arrivait de les tourner en ridicule et le plus souvent de les oublier. Mais de les voir agoniser sur la Terre d’Afrique nous rappelle soudain combien ils nous étaient encore indispensables ; ils faisaient toujours partie de nous-mêmes.

Car la guerre d’Algérie n’est pas une guerre comme les autres. Elle fait table rase de beaucoup de nos illusions : elle n’exige ni vainqueur, ni vaincu mais va bien plus loin dans ce qu’on nomme le sens de l’histoire. Elle chasse les nomades de leurs tentes et les envoie dans les camps de regroupement ; elle entoure de barbelés les mosquées et les églises, transforme les écoles en casernes et les casernes en écoles. Elle laisse les soldats à leur solitude et leur désespoir, incertains, désemparés mais serrant contre eux leurs mitraillettes comme si elles étaient désormais leur seule justification et leur seule certitude.

Rebelles et forces de l’ordre en arrivent insensiblement à livrer le même combat et de la même manière, un combat sans pitié et sans trêve, un combat sans issue qui ne connaît ni le jour ni la nuit, qui se place au-delà du Bien et du Mal, dans le monde glacé de l’efficacité ».

 

C'est l'image cruelle d'une guerre qui n'est pas comme les autres.

Des bords d'un oued aux sables sans fin, apparaît le visage glacé de l'efficacité et ces fleurs écrasées rencontrées en chemin : des ruines noircies, la détresse d'un blessé, un visage d'enfant. Ensemble Lartéguy et Flament nous donnent un grand livre… comme il en paraît seulement quelques-uns par génération.

 

« J'ai arrêté d'être soldat parce que j'avais pris une grenade dans les jambes. C'est comme ça que j'ai commencé à écrire. J'ai suivi la fin des grands empires coloniaux, l'époque était fascinante, c'était l'écroulement d'un monde. » (Jean Lartéguy) ‎

 

Ré-édition de 1998 (aux éditions : Trésor du Patrimoine) de l’ouvrage originellement paru en 1960, aux Editions de la Pensée Moderne.

88 pages – 30,5 x 23,5 cms – 790 grammes.

60 photographies N&B de Marc Flament, reproduites pleine page ou double page, commentées par Jean Lartéguy.

 

Etat = quelques infimes mini-micro-traces de lecture et manipulations… mais du genre que seuls les maniaco-maniaques dans mon genre prennent la peine de signaler ! Car l’ensemble : plats, tranche, intérieur est propre, sain, et en excellent état ! Un exemplaire qu’on peut sans problème, et sans hésiter, estampiller comme très bon.

 

>>> 23 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

 

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Ailleurs (et pour cette édition de 1998) : … 

De 30 à 39,95 €uros sur Priceminister.

De 22 à 40 €uros (et plus) sur Amazon.fr / 28 £ sur abebooks.co.uk 

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28/06/2016

Bob MALOUBIER : Plonge dans l’or noir, espion !

Bob MALOUBIER :
"Plonge dans l’or noir, espion !"

Laissé pour mort ici, prisonnier là, la France libre et le maquis, les parachutages en Indochine dès 1945, ce n’est encore pour Bob Maloubier qu’un prologue. Fondateur du 11ème bataillon de choc et des nageurs de combat d’Aspretto, recruteur et instructeur d’espions, il devient l’exécuteur des hautes et nasses œuvres des services secrets, parfois avec l’aide de truands au grand cœur, tel Jo Attia. Chef de la sécurité au Gabon, mêlé à la guerre du Biafra, côté Nigérian, il plonge dans l’or noir à travers tout le Moyen-Orient en ébullition…
On ne résume pas Bob Maloubier, on le lit. Et comme l’humour, lui aussi, coule à flots, on ne s’ennuie pas. C’est James Bond sous les traits d’un major Thompson.

Robert LAFONT, collection "Vécu", 1986.
413 pages – 15,5 x 24 cms – 600 grammes.
16 pages de reproductions photographiques (N&B, papier glacé) hors-texte.
Broché, reliure souple… très beau portrait de Bob Maloubier sur dernier plat.

Etat = de minuscules micro-frottis en bord de premier plat ; une fine cassure de lecture ; et quelques petits chocs, doublés d’une légère marque de pliure, en haut à gauche (bordure extérieure) de quatrième… mais rien de vraiment grave pour autant, l’ensemble est toujours bien "carré et compact", les plats sont propres et brillants, et l’intérieur est parfait ! Un ouvrage assez rare (comme tous ceux de Bob Maloubier), qui ne demande qu’à faire le bonheur d’un passionné collectionneur.

>>> 22 €uros. / disponible. 

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Ailleurs = 25 €uros sur naturabuy.fr / 29,80 €uros sur le-livre.com
De 11,36 (couv légèrement déchirée) à 24,88 €uros (et plus) sur Amazon.fr.
Trois exemplaire, de 18,09 à 35,80 €uros (en passant par 28,90) sur abebooks.fr
De 18,60 à 49,99 €uros sur Priceminister / 40,20 €uros sur chapitre.com
Prix honnête, moyen et conseillé : entre 25 et 30 €uros !

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21/06/2016

Pauline GEDGE : Les seigneurs de la lande

Pauline GEDGE : "Les seigneurs de la lande"

Au premier siècle après J.C., Rome réalise patiemment et inexorablement sa fantastique entreprise de colonisation et, après avoir envahi la Gaule, pénètre peu à peu dans le Sud-Ouest de l’Angleterre actuelle.
"Les Seigneurs de la lande", c’est l’histoire de Caradoc qui, prenant la tête de toutes les tribus celtes, tente de repousser l’envahisseur. A ses côtés, Eugrain, sa femme, guerrière indomptable, mais épouse infidèle. C’est aussi l’histoire de Gladys, sœur de Caradoc qui, en dépit de sa fierté, tombe amoureuse de Plautius, un général romain. Et celle d’Aricia qui, repoussée par Caradoc, a juré de se venger et pour cela s’allie avec Rome.
C’est enfin l’histoire de Bouddica l’irréductible qui, à la tête de ses derniers partisans, refuse d’admettre la suprématie de l’ennemi et livre, au nom de la liberté, un combat sans merci.

Comme dans "La Dame du Nil" la grande romancière canadienne s'est attachée à faire revivre des personnages ayant réellement existé. Et ceci donne une force singulière à ce fantastique roman dont la richesse historique n'est jamais prise en défaut. 
Là encore, Pauline Gedge réserve une grande place aux femmes puisque ce sont elles aussi qui écrivent l'Histoire. Combattant aux côtés des hommes, l'épée à la main, elles acquièrent un authentique pouvoir de décision. Seules la passion et la jalousie les font parfois faillir et les entraînent sur le chemin de la trahison.
De ce roman jaillissent des combats singuliers, des histoires d'amour, des ambitions déçues, des batailles sans merci, des vengeances cruelles et tout un flot de larmes et de sang. Mais on succombe aussi au charme envoûtant et rugueux des vastes huttes tapissées de peaux de bêtes, des torchères qui grésillent, de la puissante odeur de la venaison et surtout du vent humide et doux qui fait voleter, sur cette terre rousse, une brume légère, si légère…

France Loisirs, 1981.
577 pages – 16 x 24 cms – 840 grammes.
Reliure cartonnée éditeur, entoilée d’orange + jaquette illustrée en couleurs.

Etat = Franchement excellent ! Jaquette bien brillante et sans accroc… reliure parfaite… intérieur parfait… il est quasiment comme neuf !!! Un bon gros pavé (on approche le kilo), qui se lit tout seul et avec grand plaisir !

>>> 4,50 €uros. / disponible. 

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13/06/2016

Le livre d'heures d'Etienne Chevalier, par Jean Fouquet.

Germain BAZIN :
"Jean Fouquet,
Les Heures d’Etienne Chevalier".

"Miniaturiste, Fouquet apprivoise le monde extérieur, l'aimante vers son pinceau. Il ouvre la voie à ce qui sera la tradition française dans les futures écoles de la peinture moderne : le naturel. C'est en cela que Fouquet est vraiment pionnier. Il y a du Poussin, du Le Nain, de l'intimiste hollandais, du Corot, de L'Ingres dans ses miniatures" (Germain Bazin)

Ce livre est un rare témoignage de cette oeuvre peu connue : le livre d'heures d'Etienne Chevalier par Jean Fouquet conservé à Chantilly (60). Il existe une édition plus récente mais celle-ci nous est proposée par Germain Bazin qui fut le conservateur du Musée Condé ; et la qualité des reproductions permet véritablement d'apprécier le travail précis et minutieux du peintre. (Babelio)

Un magnifique ouvrage, qui vous fera à merveille comprendre le fonctionnement de ces "livres d'heures" du temps jadis.

France Loisirs, 1990.
126 pages – 20 x 27 cms – 725 grammes / Reliure éditeur cartonnée et entoilée de bleu, vignette dorée sur premier plat + jaquette illustrée couleurs.

Etat = Excellent de chez excellent ! Quelques petites traces de manipulations ou stockage sur la jaquette, mais c’est vraiment histoire d’écrire quelques chose ! Ladite jaquette, bien brillante, ne souffre d’aucun accroc, l’intérieur et la reliure – aux coiffes intactes – sont tous deux absolument parfaits… rien à signaler, très bel exemplaire !

>>> 10 €uros. / disponible. 

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09/06/2016

Donetsk International Press Center

Doni Press, Donetsk International Press center, Donetsk, Novorossia, DPR, Donbass

Cliquez sur le logo 

Ou ici > https://dnipress.com/fr/ 

03/06/2016

Jean-Jacques CÉCILE - Histoire secrète des S.A.S

Jean-Jacques CÉCILE :
"Histoire secrète des S.A.S"

Pour beaucoup, le Special Air Service britannique fait partie des mythes.
Formidable machine de guerre dont les membres tutoient les sommets de l'art militaire, il demeure l'une des plus éminentes références en matière de forces spéciales. "Qui ose gagne", "Ici on mène, on suit ou on dégage" ou encore "Ils osent surpasser les autres" sont ses devises.
Dès sa création dans les sables du désert nord-africain par David Stirling en 1941, l'unité a réalisé les opérations clandestines les plus pointues et les plus dangereuses. Tragédie de Munich, conflit en Irlande, guerre en Irak… Aux quatre coins du monde, les hommes du S.A.S ont su s'adapter à toutes les menaces et être à la pointe du combat contre-terroriste.
Pour autant, l'ombre du mystère plane obstinément sur les opérations qu'ils ont menées… Dans le secret de leur antre, quelles tactiques, quelles ruses ces hommes exceptionnels ont-ils mis au point pour accomplir leurs missions ? De quels moyens disposent-ils pour surprendre l'ennemi? Et surtout, jusqu'où les " hommes en noir " de Hereford sont-ils prêts à aller pour remporter la victoire ?
A la fois documentaire passionnant et livre de référencé sur les forces spéciales britanniques, cet ouvrage retrace les plus grandes opérations du SAS et dévoile la face la plus secrète de l'establishment militaire britannique.

Ancien membre d'une unité spéciale et des services de renseignement militaires, Jean-Jacques Cécile est spécialiste de l'espionnage et des unités d'élite. Il est également l'auteur de "Chiens de guerre - Enquête au cœur des sociétés militaires privées" et de "Espions et terroristes - Les liaisons dangereuses".

Nouveau Monde éditions, 2009.
297 pages – 14 x 22,5 cms – 410 grammes.
Broché, reliure souple illustrée d’une photo N&B.

Etat = Excellent ! Quelques petites traces de manipulations ou stockage ça et là… mais rien de vraiment notable pour autant. Non cassé, compact, bien brillant, intérieur parfait, je ne suis pas sûr que ce livre ait déjà été lu… en fait !?! Un livre qui se vend 22 €uros (prix indiqué en bas de quatrième), neuf, en librairie ou chez l’éditeur… et que nous vous proposons ici, en très bon état, pour : …

>>> 7 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

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08/01/2016

Albert SPEER : Au cœur du troisième Reich

Albert SPEER : « Au cœur du troisième Reich »

C'est le récit d'un homme dont le destin fut, douze années durant, lié à celui de Hitler. Occupant des situations très différentes mais toujours exceptionnelles, il fut tour à tour l'architecte de la métropole germanique ; l'ami fidèle des réunions nocturnes à la Chancellerie du Reich et au Berghof ; le technocrate et l'organisateur qui obtint, dans la production d'armements, des résultats qui étonnèrent le monde ; l'opposant enfin, aussi efficace qu'inattendu, à qui l'Europe doit, pour sa large part, sa survie économique.
De la naissance à la chute du IIIe Reich, Albert Speer occupa un poste d'observation idéal. Appartenant au cercle des intimes de Hitler sans pourtant s'y intégrer, il fut puissant sans rechercher le pouvoir. Restant en marge, il conserva, seul dans l'entourage immédiat du «Führer», un regard droit et lucide. Même ses détracteurs les plus résolus ont reconnu qu'il avait préservé son intégrité morale tout au long de sa carrière au service d'un système amoral. Après avoir entendu ses déclarations à Nuremberg, Göring affirma que Speer n'avait jamais réellement été des leurs et conclut : "Nous n'aurions jamais dû lui faire confiance !"...
Il possède à la fois le discernement et la connaissance intime des faits. "Je n'ai pas seulement voulu raconter, mais aussi comprendre", affirme-t-il dans le dernier chapitre de ses mémoires, tirant ainsi le bilan de sa vie et de ses souvenirs.
Eugène Davidson, président de la Yale University Press, auteur d'un livre sur les procès des criminels de guerre, écrivit, après avoir lu le manuscrit des mémoires de Speer, que ceux-ci ne constituaient pas une tentative de justification ni une plaidoirie, mais "un témoignage historique incomparable, un document absolument irremplaçable".

Fayard / Collection "Les grandes études contemporaines", 1971.
( Première édition française )
816 pages – 14 x 22 cms – 920 grammes.
24 pages de reproductions photographiques (N&B) sur papier glacé, hors-texte.
Reliure cartonnée éditeur entoilée de jaune, titre et nom d’auteur en noir sur dos et premier plat + jaquette de protection en couleurs.

Etat = Quelques infimes traces de manipulations, ainsi que de minuscules frottis et un petit accroc (soigneusement restauré) sur le haut de la jaquette, sont les seuls « défauts » à relever. La jaquette est toujours bien brillante et la reliure, comme l’intérieur, sont en excellent état ! Bel exemplaire !

>>> 15 €uros. / disponible. 

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18/12/2015

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Dans le fracas de la chute de Diên Biên Phu, un autre désastre passe presque inaperçu : la disparition quasi-complète d’un groupement mobile opérationnel franco-vietnamien. Fort de 5000 hommes, il est anéanti le 4 juillet 1954 à 13 kilomètres d’An Khé.
« Mourir au Laos » raconte l’épopée d’un survivant de cette embuscade : le sergent Seilhac. Après une marche épuisante, il rejoint un groupe de partisans Moï, à demi-sauvages, qui mènent un combat de guérilla sur les arrières Viets près de la frontière laotienne. Seilhac participe à de nombreuses actions, d’abord par nécessité, puis par goût de la revanche, enfin parce qu’il est devenu conscient de l’importance que revêt le combat qui oppose les Moïs de la forêt aux Viets de la plaine ; ceux-là défendent leur vie, ceux-ci une politique.
Vaincus, malades et épuisés, Seilhac sera abandonné, puis trahi par le chef du commando, son compatriote. Désormais un but unique lui servira de raison de vivre : se venger. Il survivra à la brousse, à la guerre, à la maladie, mais lorsqu’il la tiendra à bout de bras, sa vengeance lui paraîtra fade et indigne. Tournant le dos à la civilisation, il reviendra vivre et sans doute mourir au Laos.

« Mourir au Laos » d’Erwan Bergot, un rescapé de Diên Biên Phu et du « Camp de l’enfer vert », est l’hallucinant récit d’un combat moyenâgeux dans la brousse, étouffante, hostile et impénétrable.

Editions France Empire, 1965.
267 pages – 19 x 14 cms – 310 grammes.
Reliure souple protégée par une jaquette couleur avec rabats / nombreuses reproductions photographiques (N&B) hors-texte. Une belle édition, délicieusement vintage !

Etat = la jaquette présente quelques minuscules frottis (visibles sur les photos) en haut à gauche de premier plat ainsi qu’au niveau des extrémités du dos… mais rien de bien grave ! L’ensemble est toujours bien compact, ladite jaquette est brillante et sans accrocs, et l’intérieur – au papier resté bien blanc – est tout simplement parfait : un très bel exemplaire !

>>> 7 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

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24/11/2015

Antoine ARGOUD

Antoine ARGOUD : « La décadence, l’imposture et la tragédie »

 

Quatrième de couv’ : « Ce que personne n’avait encore osé écrire. Partisan de l’Algérie française, adversaire du général de Gaulle, dont il conteste toute l’action, le colonel Argoud est de ceux qui se rallièrent au général en mai 1958, comptant qu’il se prononcerait en faveur d’une Algérie française. L’illusion fut courte. Dans son livre, le colonel Argoud ne recule devant la description d’aucune scène, devant la mise en cause d’aucun des collaborateurs les plus proches du chef de l’Etat. Et l’on ne s’étonnera pas que cet ouvrage soit probablement le document le plus explosif de l’après Algérie française ». 

 

L’auteur : Le colonel Antoine Argoud, né le 26 juin 1914 à Darney (Vosges) et mort le 10 juin 2004 à Vittel, est un officier français. Il fit partie de l'Armée d'Armistice en Afrique du Nord puis combattit dans l'Armée Française de la Libération en Afrique et jusqu'en Allemagne. Ardent partisan de l'Algérie française, il fut dirigeant de l'Organisation Armée Secrète.

Enlevé par les barbouzes (services spéciaux français) en février 1963 à Munich, il est condamné à la réclusion à perpétuité et libéré en juillet 1968. Cet épisode qui suscita la colère des milieux nationalistes fut l'objet de nombreuses critiques de la part des partis politiques de droite et d'extrême droite. Cet incident est souvent désigné par l'expression « l'affaire Argoud ».

 

Le Livre Poste – Editions Albatros – 1990.

24 x 15,5 cms – 670 grammes.

357 pages ( + 32 pages de photos et de reproductions de documents ).

Broché, quelques très fines « griffures » et infimes traces de stockage sur premier plat, sans quoi de la tranche à l’intérieur, tout est nickel. Bel exemplaire.

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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