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18/03/2017

Guy Sajer / Historama N°238

En parfait complément du livre « Le Soldat Oublié » de Guy Sajer ; qui vous est présenté via la note suivante ; nous vous proposons également :  

 

Historama N°238 ( Septembre 1971 )

« La tragique aventure d’un Alsacien de 17 ans sur le front Russe »

 

Sommaire :

La tragique aventure d’un Alsacien de 17 ans sur le front Russe / par Guy Sajer

( 21 pages, illustrées par de nombreuses photographies issues de la revue Signal )

 

Les Français à l’assaut des Dardanelles / par Jérôme Carcopino

Pourquoi j’ai approuvé les accords de Munich / par Georges Bonnet

Comment la France abandonna Dupleix et les Indes / par Pierre Gaxotte

Triomphes inconnus du contre-espionnage Français / par Louis Garros

Rudolf Hess livrera-t-il ses secrets avant de mourir ? / par J.B Hutton

 

162 pages – 220 grammes – 24 x 16,5 cms.

Etat = les plats (couv' et quatrième de couv') présentent quelques petites traces de stockage et/ou manipulation(s), mais rien de bien grave… pas de manques ni de déchirures, le magazine est toujours bien compact et l'intérieur est en parfait état !

Tout à fait O.K bon pour le service >>> 5 €uros. / Temporairement indisponible!.  

 

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Ailleurs = de 3,5 à 6,5 € sur priceminister (pour des exemplaires allant de "moyen" à "bon",

les "couvertures déchirées" à 1,50 n'entrant, bien sûr, pas en ligne de compte).

7 ou 10 €uros sur amazon.fr / 10 €uros sur chapitre.com / 14,95 €uros sur le-livre.fr

19 €uros (!!!) sur livre.fnac.com et gibertjeune.fr

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Guy SAJER : Le soldat oublié

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

 

Guy Sajer n’a pas 17 ans quand, en juillet 1942, il endosse l’uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l’Alsace. A cause de son jeune âge, il n’est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l’hiver s’abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l’unité de Sajer n’atteindra Stalingrad qu’elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n’est pas une partie de plaisir, que survivre dans l’hiver russe est déjà un combat. Et pourtant, ce premier hiver, il n’a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lorsqu’il est versé dans la division Gross Deutschland, division d’élite, avec laquelle, à partir de l’été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d’Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l’offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque –40° degrés, sous le martèlement terrifiant de l’artillerie russe, face aux vagues d’assaut d’un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la Gross Deutschland, portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l’enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l’échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d’Apocalypse. Plus tard, quand le front allemand s’est désagrégé, quand l’immense armée reflue, aux combats réguliers s’ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c’est la retraite des derniers survivants de la division d’élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu’en Pologne. Dans l’hiver 1944-1945, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l’entrée du Vateriand aux Russes. C’est encore Memel, où l’horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l’exode des populations allemandes de l’Est. Enfin, malade, épuisé, Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre… Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s’il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n’est pas seulement parce que l’auteur a réellement vécu tout ce qu’il rapporte, ce n’est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l’accent et la force terrible de la réalité, c’est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu’il n’y a pas là de "littérature", pas de morceaux de bravoure – mais que c’était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l’horreur…

 

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Une légère trace de pliure sur le premier plat ainsi qu’une fine marque de cassure sur la tranche, mais l’ensemble n’est pas mal du tout… la tranche n’est quasiment pas incurvée (ce qui est plutôt rare pour un Livre de Poche aussi épais !) l’intérieur est propre et sain, il est assez rare de pouvoir trouver cette version en aussi bon état !!!…

>>> 5,80 €uros. / Vendu!

 

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Egalement disponible en version grand format :

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

Robert Laffont – 1967 – 543 pages – 24 x 15,5 cm – 690 grammes.

Broché (reliure souple), couverture rempliée (comme une jaquette), carte au verso du premier plat.

Etat = bords de plats (par endroit) très légèrement frottés, ainsi qu’une petite déchirure (restaurée avec soin) en haut de quatrième, côté tranche. Aber so, rien de bien grave… et comme les plats sont toujours bien brillant, que la tranche n’est pas cassée (!!!) et que l’intérieur est comme neuf ; ce ne sont pas ces infimes défauts qui m’empêcheront de l’estampiller comme BON !!!…

>>> 12 €uros. / Vendu!

 

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Ailleurs (au format poche) = entre 3,50 et 10 €uros sur priceminister.

(Selon les états... et les vendeurs !)

Ailleurs (grand fomat) = entre 8,50 et 13,50 sur Priceminister

entre 10 et 16 €uros sur livre-rare-book.com / entre 10 et 30 €uros sur ebay.

 

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> Interview de Guy Sajer, 39-45 Magazine, décembre 1993.

 

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Mes parents sont nés sur la terre, à quelque mille kilomètres de distance.

D'une distance encombrée de difficultés, de complexes étranges, de frontières entremêlées, de sentiments équivalents et intraduisibles. Moi, j'ai abouti de cette alliance, à cheval sur cet ensemble délicat avec une seule vie pour débattre tant de problèmes. J'ai été enfant, mais cela est sans importance. Les problèmes existaient avant moi, et je les ai découverts.

Puis il y a eu la guerre. Je l'ai alors épousée, parce qu'il n'y avait guère qu'elle a l'âge que j'ai eu, moi aussi, lorsque l'on est amoureux.

Je fus brutalement comblé. J'avais soudain deux drapeaux à honorer, deux lignes de défense, l'une Siegfried, l'autre Maginot, et puis aussi de grands ennemis à l'extérieur. J'ai servi, j'ai rêvé, j'ai espéré. J'ai eu également froid et peur sous le portail où jamais n'est apparue Lilli Marlène.

J'ai dû mourir aussi un jour, et depuis, rien n'a eu tellement d'importance.

Alors, je demeure ainsi, sans regret, désolidarisé de toute condition humaine.

( Guy Sajer )

 

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"Le soldat oublié" occupe une place à part dans les témoignages sur le front de l'Est. Il possède une force propre et une puissance unique dans l'évocation de ce que fut la guerre contre le bolchevisme et de tout ce que vécurent les soldats pendant presque quatre années. En France, la plupart des témoignages sur cette épopée concernent d'anciens Waffen SS mais ici, c'est celui d'un jeune Franco-Allemand de la Wehrmacht. Sous le casque à 16 ans, en 1942, Guy Sajer sera d'abord convoyeur de trains puis passera l'année suivante dans la fameuse division Grossdeutschland dans laquelle il restera jusqu'à la fin de la guerre. "Le soldat oublié" est le récit de la guerre à l'Est vue par un jeune soldat qui, quelques années après la guerre, écrira au cours d'une maladie ce qu'il avait vécu durant trois ans.

Peut-être plus que dans aucun autre récit, l'horreur du front russe y est décrite d'une façon très détaillée qui frappe le lecteur par l'intensité de son évocation. Ici, sans concession, est racontée la guerre vécue par un garçon qui y enterrera son adolescence entre le sang, la faim et la peur. Aucun enjolivement ne fut apporté à ce récit qui frappe par son intensité et nous plonge au cœur de la vie quotidienne de tous ces hommes, de leurs peurs et de leurs épreuves. L'auteur a mis son cœur et ses tripes dans ce récit, cela en renforce le côté émouvant et la force. C'est en effet le récit des désillusions; à la fin, la guerre est perdue, les camarades morts ou emprisonnés, la fiancée berlinoise perdue ou morte, les survivants ne sont plus que des parias… La guerre est plus qu'un souvenir, c'est un traumatisme. Robert Dun disait que "Le soldat oublié" était l'un des meilleurs ouvrages sur la seconde guerre mondiale. Il avait raison.

Le livre a d'ailleurs connu un grand succès: vendu à plus de 3 millions d'exemplaires, traduit dans près de 40 langues, il a également été primé.

Chronique signée Rüdiger,

pour « Le Cercle Non Conforme »

(http://cerclenonconforme.hautetfort.com/) 

  

12/08/2016

Jean LARTÉGUY et Marc FLAMENT : Les dieux meurent en Algérie.

Lartéguy & Flament : 

Les dieux meurent en Algérie.

 

Texte de Jean Lartéguy / Photos de Marc Flament.‎

 

Présentation :

« Il n’y a pas que les hommes, les dieux meurent aussi en Algérie, toutes nos bonnes vieilles idoles d’Occident avec leurs grands principes.

Ils avaient régné sur les cités Helléniques, sur Périclès, Platon et les Jeux Olympiques, sur le sénat romain et les juristes en toge, sur les catacombes et les cloîtres romains. Ils avaient été la chevalerie et la trêve de Dieu, le panache d’Henri IV et les petits marquis de Fontenoy, les dieux en Carmagnole de 1789 et ceux casqués de bleu des tranchées de Verdun, les dieux de Montaigne et de Pascal, de Bossuet, de Diderot, de Voltaire et de Saint-Just, dieux à la tripe républicaine, marqués de la fleur de lys ou de l’abeille des Bonaparte, les dieux de Notre-Dame et de la Grande Loge, de Péguy et d’Anatole France.

En vieillissant, ils avaient pris du ventre et des manies de vieillards égoïstes, confinés dans des asiles. Souvent, il nous arrivait de les tourner en ridicule et le plus souvent de les oublier. Mais de les voir agoniser sur la Terre d’Afrique nous rappelle soudain combien ils nous étaient encore indispensables ; ils faisaient toujours partie de nous-mêmes.

Car la guerre d’Algérie n’est pas une guerre comme les autres. Elle fait table rase de beaucoup de nos illusions : elle n’exige ni vainqueur, ni vaincu mais va bien plus loin dans ce qu’on nomme le sens de l’histoire. Elle chasse les nomades de leurs tentes et les envoie dans les camps de regroupement ; elle entoure de barbelés les mosquées et les églises, transforme les écoles en casernes et les casernes en écoles. Elle laisse les soldats à leur solitude et leur désespoir, incertains, désemparés mais serrant contre eux leurs mitraillettes comme si elles étaient désormais leur seule justification et leur seule certitude.

Rebelles et forces de l’ordre en arrivent insensiblement à livrer le même combat et de la même manière, un combat sans pitié et sans trêve, un combat sans issue qui ne connaît ni le jour ni la nuit, qui se place au-delà du Bien et du Mal, dans le monde glacé de l’efficacité ».

 

C'est l'image cruelle d'une guerre qui n'est pas comme les autres.

Des bords d'un oued aux sables sans fin, apparaît le visage glacé de l'efficacité et ces fleurs écrasées rencontrées en chemin : des ruines noircies, la détresse d'un blessé, un visage d'enfant. Ensemble Lartéguy et Flament nous donnent un grand livre… comme il en paraît seulement quelques-uns par génération.

 

« J'ai arrêté d'être soldat parce que j'avais pris une grenade dans les jambes. C'est comme ça que j'ai commencé à écrire. J'ai suivi la fin des grands empires coloniaux, l'époque était fascinante, c'était l'écroulement d'un monde. » (Jean Lartéguy) ‎

 

Ré-édition de 1998 (aux éditions : Trésor du Patrimoine) de l’ouvrage originellement paru en 1960, aux Editions de la Pensée Moderne.

88 pages – 30,5 x 23,5 cms – 790 grammes.

60 photographies N&B de Marc Flament, reproduites pleine page ou double page, commentées par Jean Lartéguy.

 

Etat = quelques infimes mini-micro-traces de lecture et manipulations… mais du genre que seuls les maniaco-maniaques dans mon genre prennent la peine de signaler ! Car l’ensemble : plats, tranche, intérieur est propre, sain, et en excellent état ! Un exemplaire qu’on peut sans problème, et sans hésiter, estampiller comme très bon.

 

>>> 23 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

 

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Ailleurs (et pour cette édition de 1998) : … 

De 30 à 39,95 €uros sur Priceminister.

De 22 à 40 €uros (et plus) sur Amazon.fr / 28 £ sur abebooks.co.uk 

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28/06/2016

Bob MALOUBIER : Plonge dans l’or noir, espion !

Bob MALOUBIER :
"Plonge dans l’or noir, espion !"

Laissé pour mort ici, prisonnier là, la France libre et le maquis, les parachutages en Indochine dès 1945, ce n’est encore pour Bob Maloubier qu’un prologue. Fondateur du 11ème bataillon de choc et des nageurs de combat d’Aspretto, recruteur et instructeur d’espions, il devient l’exécuteur des hautes et nasses œuvres des services secrets, parfois avec l’aide de truands au grand cœur, tel Jo Attia. Chef de la sécurité au Gabon, mêlé à la guerre du Biafra, côté Nigérian, il plonge dans l’or noir à travers tout le Moyen-Orient en ébullition…
On ne résume pas Bob Maloubier, on le lit. Et comme l’humour, lui aussi, coule à flots, on ne s’ennuie pas. C’est James Bond sous les traits d’un major Thompson.

Robert LAFONT, collection "Vécu", 1986.
413 pages – 15,5 x 24 cms – 600 grammes.
16 pages de reproductions photographiques (N&B, papier glacé) hors-texte.
Broché, reliure souple… très beau portrait de Bob Maloubier sur dernier plat.

Etat = de minuscules micro-frottis en bord de premier plat ; une fine cassure de lecture ; et quelques petits chocs, doublés d’une légère marque de pliure, en haut à gauche (bordure extérieure) de quatrième… mais rien de vraiment grave pour autant, l’ensemble est toujours bien "carré et compact", les plats sont propres et brillants, et l’intérieur est parfait ! Un ouvrage assez rare (comme tous ceux de Bob Maloubier), qui ne demande qu’à faire le bonheur d’un passionné collectionneur.

>>> 22 €uros. / disponible. 

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Trois exemplaire, de 18,09 à 35,80 €uros (en passant par 28,90) sur abebooks.fr
De 18,60 à 49,99 €uros sur Priceminister / 40,20 €uros sur chapitre.com
Prix honnête, moyen et conseillé : entre 25 et 30 €uros !

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03/06/2016

Jean-Jacques CÉCILE - Histoire secrète des S.A.S

Jean-Jacques CÉCILE :
"Histoire secrète des S.A.S"

Pour beaucoup, le Special Air Service britannique fait partie des mythes.
Formidable machine de guerre dont les membres tutoient les sommets de l'art militaire, il demeure l'une des plus éminentes références en matière de forces spéciales. "Qui ose gagne", "Ici on mène, on suit ou on dégage" ou encore "Ils osent surpasser les autres" sont ses devises.
Dès sa création dans les sables du désert nord-africain par David Stirling en 1941, l'unité a réalisé les opérations clandestines les plus pointues et les plus dangereuses. Tragédie de Munich, conflit en Irlande, guerre en Irak… Aux quatre coins du monde, les hommes du S.A.S ont su s'adapter à toutes les menaces et être à la pointe du combat contre-terroriste.
Pour autant, l'ombre du mystère plane obstinément sur les opérations qu'ils ont menées… Dans le secret de leur antre, quelles tactiques, quelles ruses ces hommes exceptionnels ont-ils mis au point pour accomplir leurs missions ? De quels moyens disposent-ils pour surprendre l'ennemi? Et surtout, jusqu'où les " hommes en noir " de Hereford sont-ils prêts à aller pour remporter la victoire ?
A la fois documentaire passionnant et livre de référencé sur les forces spéciales britanniques, cet ouvrage retrace les plus grandes opérations du SAS et dévoile la face la plus secrète de l'establishment militaire britannique.

Ancien membre d'une unité spéciale et des services de renseignement militaires, Jean-Jacques Cécile est spécialiste de l'espionnage et des unités d'élite. Il est également l'auteur de "Chiens de guerre - Enquête au cœur des sociétés militaires privées" et de "Espions et terroristes - Les liaisons dangereuses".

Nouveau Monde éditions, 2009.
297 pages – 14 x 22,5 cms – 410 grammes.
Broché, reliure souple illustrée d’une photo N&B.

Etat = Excellent ! Quelques petites traces de manipulations ou stockage ça et là… mais rien de vraiment notable pour autant. Non cassé, compact, bien brillant, intérieur parfait, je ne suis pas sûr que ce livre ait déjà été lu… en fait !?! Un livre qui se vend 22 €uros (prix indiqué en bas de quatrième), neuf, en librairie ou chez l’éditeur… et que nous vous proposons ici, en très bon état, pour : …

>>> 7 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

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18/12/2015

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Dans le fracas de la chute de Diên Biên Phu, un autre désastre passe presque inaperçu : la disparition quasi-complète d’un groupement mobile opérationnel franco-vietnamien. Fort de 5000 hommes, il est anéanti le 4 juillet 1954 à 13 kilomètres d’An Khé.
« Mourir au Laos » raconte l’épopée d’un survivant de cette embuscade : le sergent Seilhac. Après une marche épuisante, il rejoint un groupe de partisans Moï, à demi-sauvages, qui mènent un combat de guérilla sur les arrières Viets près de la frontière laotienne. Seilhac participe à de nombreuses actions, d’abord par nécessité, puis par goût de la revanche, enfin parce qu’il est devenu conscient de l’importance que revêt le combat qui oppose les Moïs de la forêt aux Viets de la plaine ; ceux-là défendent leur vie, ceux-ci une politique.
Vaincus, malades et épuisés, Seilhac sera abandonné, puis trahi par le chef du commando, son compatriote. Désormais un but unique lui servira de raison de vivre : se venger. Il survivra à la brousse, à la guerre, à la maladie, mais lorsqu’il la tiendra à bout de bras, sa vengeance lui paraîtra fade et indigne. Tournant le dos à la civilisation, il reviendra vivre et sans doute mourir au Laos.

« Mourir au Laos » d’Erwan Bergot, un rescapé de Diên Biên Phu et du « Camp de l’enfer vert », est l’hallucinant récit d’un combat moyenâgeux dans la brousse, étouffante, hostile et impénétrable.

Editions France Empire, 1965.
267 pages – 19 x 14 cms – 310 grammes.
Reliure souple protégée par une jaquette couleur avec rabats / nombreuses reproductions photographiques (N&B) hors-texte. Une belle édition, délicieusement vintage !

Etat = la jaquette présente quelques minuscules frottis (visibles sur les photos) en haut à gauche de premier plat ainsi qu’au niveau des extrémités du dos… mais rien de bien grave ! L’ensemble est toujours bien compact, ladite jaquette est brillante et sans accrocs, et l’intérieur – au papier resté bien blanc – est tout simplement parfait : un très bel exemplaire !

>>> 7 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

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24/11/2015

Antoine ARGOUD

Antoine ARGOUD : « La décadence, l’imposture et la tragédie »

 

Quatrième de couv’ : « Ce que personne n’avait encore osé écrire. Partisan de l’Algérie française, adversaire du général de Gaulle, dont il conteste toute l’action, le colonel Argoud est de ceux qui se rallièrent au général en mai 1958, comptant qu’il se prononcerait en faveur d’une Algérie française. L’illusion fut courte. Dans son livre, le colonel Argoud ne recule devant la description d’aucune scène, devant la mise en cause d’aucun des collaborateurs les plus proches du chef de l’Etat. Et l’on ne s’étonnera pas que cet ouvrage soit probablement le document le plus explosif de l’après Algérie française ». 

 

L’auteur : Le colonel Antoine Argoud, né le 26 juin 1914 à Darney (Vosges) et mort le 10 juin 2004 à Vittel, est un officier français. Il fit partie de l'Armée d'Armistice en Afrique du Nord puis combattit dans l'Armée Française de la Libération en Afrique et jusqu'en Allemagne. Ardent partisan de l'Algérie française, il fut dirigeant de l'Organisation Armée Secrète.

Enlevé par les barbouzes (services spéciaux français) en février 1963 à Munich, il est condamné à la réclusion à perpétuité et libéré en juillet 1968. Cet épisode qui suscita la colère des milieux nationalistes fut l'objet de nombreuses critiques de la part des partis politiques de droite et d'extrême droite. Cet incident est souvent désigné par l'expression « l'affaire Argoud ».

 

Le Livre Poste – Editions Albatros – 1990.

24 x 15,5 cms – 670 grammes.

357 pages ( + 32 pages de photos et de reproductions de documents ).

Broché, quelques très fines « griffures » et infimes traces de stockage sur premier plat, sans quoi de la tranche à l’intérieur, tout est nickel. Bel exemplaire.

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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14/10/2015

Général Raoul SALAN : Mémoires / Fin d'un Empire

Raoul SALAN / Mémoires

 

Fin d’un empire : 3 tomes sur 4

                                              

Vendus uniquement en lot ! 

 

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Raoul SALAN : « Le sens d’un engagement. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 1.

 

Présentation de quatrième :

 

"Ce livre, le premier de mes mémoires, c’est par ma jeunesse que je l’ouvre. En effet, je la considère comme une vie antérieure qui m’a marqué, décidant de ma carrière, de mon engagement.
C’est pourquoi j’évoquerai en quelques pages l’école primaire, le lycée avant 1914, puis Saint-Cyr en 1917-1918, l’armistice sur la ligne de feu, le Levant d’Alexandrette à Déir ez-Zor, ma blessure, le Val-de-Grâce, Paris…

Je parlerai ensuite de mes jeunes années en Indochine, mes séjours à Cao-Bang, dans le Haut-Mékong, ou tout près du Kouang Toung… période heureuse…

La jeunesse est finie, la carrière bien engagée.

Je raconterai mon séjour au ministère des colonies avec Georges Mandel, à mon retour en France, ma mission secrète aux frontières d’Abyssinie, la guerre 39-40, la défaite, Vichy et Dakar, au deuxième bureau, et, enfin, les bords du Rhin, à la tête d’une division F.F.I., cadeau de De Lattre.

Je dirai ensuite mon nouveau départ pour l’Indochine, en 45, aux côtés de Leclerc, tous nos efforts – négociations avec les Chinois, débarquement à Haiphong, accords avec le Viêt-minh, conférences de Dalat, de Fontainebleau – pour éviter la guerre qui s’annonce… et qui, vingt-cinq ans après, dure encore."

 

 

Presses de la Cité, 1970 – 443 pages – 14 x 20,5 cms – 610 grammes.

36 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = Un petit manque (5 mm par trois) à l’arrière de la jaquette (bord supérieur de quatrième) et deux petits accrocs (soigneusement restaurés) sur le devant…

Sans quoi, pas grand chose à signaler… ladite jaquette est toujours bien brillante, la reliure est en excellent état et l’intérieur (au papier toujours bien blanc) est tout simplement parfait ! Tout à fait bon pour le service… un livre qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

>>> 8 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = de 6,70 (exemplaires abîmés ou "acceptables") à 24,90 €uros (ex. état très bon) sur Amazon.fr / de 10 à 25 €uros sur livre-rare-book.com.

De 6 à 20/25 €uros sur Priceminister (une fois écartés les ex. abîmés à 1,50 sans description ni photos et les cramés qui proposent ce livre à 40 €uros et plus !?!??!!!), avec une énorme majorité d’ex. en bon état aux alentours de 10/12 €uros. 

 

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Raoul SALAN : « Le Viêt-minh mon adversaire. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 2. 

 

Présentation de quatrième :

 

"L’Indochine française, soumise de février 1940 à août 1945 à l’occupation japonaise, connaît, dès septembre 1945, la période chinoise, l’installation du Viêt-minh, puis la « convention préliminaire » signée à Hanoi le 6 mars 1946 et la demi-rupture à la conférence de Fontainebleau au mois de septembre de la même année. Le premier livre de mes mémoires relate cette époque jusqu’au départ de France de Hô Chi Minh pour rejoindre son pays. 

Le président est rentré chez lui ; des incidents où nous déplorons des morts se produisent au Tonkin et en Cochinchine. Je demeure sans commandement mais ne puis me désintéresser de ce qui se passe là-bas, et c’est malheureusement inactif que je suis les événements. Des camarades, à leur retour, m’informent. Je rencontre à Paris, venu en mission, le colonel Trocard, chef du 2ème bureau du commandant supérieur des forces françaises d’Extrême-Orient, ancien officier du service de renseignement inter-colonial que je dirigeais en 1937-1939.

– C’est une guerre qui s’annonce, lui dis-je, prenez vos dispositions…

Trocard sera tué quelques semaines plus tard.

Mon vieux camarade, le général Valluy, dans ses lettres, me fait part de ses craintes.

Le général Leclerc me demande souvent d’aller le voir à l’hôtel Continental où réside son état-major. Il me dit combien il se désespère de n’avoir pas été écouté. Puis le 19 décembre 1946, c’est l’attaque soudaine de Hanoi par le Viêt-minh. Des semaines difficiles commencent. Bien que je n’en ai pas été le témoin direct, je les décris en me basant sur les documents que j’ai recueillis .

Le début de l’année 1947 passe. Valluy me demande de revenir pour mener une offensive contre les forces Viêt-minh, dont le gros s’est replié en haute région dans le Cao-Bac-Lang (provinces de Cao-Bang, Bac Kan, Langson ) que je connais bien. J’accepte et en mai je repars.

Désormais, il faudra se battre… les combats menés par les forces françaises se termineront par la signature des accords de Genève le 22 juillet 1954.

Je quitte Saigon le 9 octobre suivant.

Nous avions perdu l’Indochine, le plus beau fleuron de l’Empire Français.

C’est la période qui va d’octobre 1946 à octobre 1954 que je décris dans ce tome de mes mémoires. A la fin de cet ouvrage, en quelques pages, je donne mon sentiment sur la phase actuelle de la guerre et sur la situation présente du Viêt-nam… cette guerre qui dure toujours. Elle avait commencé le 19 décembre 1946, il y a un quart de siècle.

La prédiction d’Hô Chi Minh : « Nous irons vers une guerre de cent ans… » Va-t-elle se réaliser ?"

 

Presses de la Cité, 1971 – 480 pages – 14 x 20,5 cms – 640 grammes.

36 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = deux petits accrocs (soigneusement restaurés) sur la charnière et l’arrière de la jaquette, sans quoi, pas grand chose à signaler… ladite jaquette est toujours bien brillante, la reliure est en excellent état et l’intérieur (au papier toujours bien blanc) est tout simplement parfait ! Un livre qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

>>> 10 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = de 8 à 14 €uros sur Priceminister / de 16 à 25 €uros sur livre-rare-book.com.

Un ex. à 20 €uros sur Amazon.fr

 

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Raoul SALAN : « Algérie Française. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 3. 

 

Présentation de quatrième :

 

"Dans les deux premiers volumes de mes mémoires j’ai dit nos combats pour garder l’Indochine au sein de l'union française, et notre échec, dû à l’incapacité et à l’incompréhension gouvernementales.

J’ai fermé nos cimetières d’Hanoi… La lente dislocation de notre Empire commençait. J’en poursuis la triste histoire dans le présent livre qui a pour objet notre action en Algérie.

Après avoir évoqué en détails et avec plusieurs documents inédits la sinistre affaire du bazooka, je donne de la bataille d’Alger, qui, aujourd’hui encore, passionne l’opinion, un tableau véridique et explicite. Je dis ensuite les efforts de nos soldats, « vieille garde d’Indochine », pleine d’amertume, et jeunes du contingent, pour ramener à nous les populations musulmanes. C’est pour eux une grande réussite. Malheureusement, beaucoup de ces jeunes hommes ne reviendront pas à leurs foyers, nombreux seront les mutilés, ou ceux marqués par la maladie.

Et voilà qu’on leur refuse le titre de « combattant »…

J’évoque enfin nos problèmes frontaliers qui me conduisirent à bombarder Sakiet Sidi Youssef, déterminant ainsi le gouvernement à faire appel aux « bons offices » de l’étranger.

Cette décision, qui ulcère profondément les Français d’Algérie, est à la base de ce grand mouvement d’union nationale que fût le 13 mai 1958 et auquel je consacre la dernière partie de ce livre.

J’y explique quelles circonstances m’amenèrent à prononcer le nom du général de Gaulle et dans quelles conditions celui-ci reçut l’investiture le 1er juin.

Les pages finales de ce volume racontent par le menu le voyage du général en Algérie et comment il nous mit au cœur un espoir qui devait être déçu, lors de son discours de Mostaganem où retentit le cri célèbre : Vive l’Algérie française !"

 

Presses de la Cité, 1972 – 445 pages – 14 x 20,5 cms – 635 grammes.

48 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = jaquette intacte et toujours bien brillante, reliure est en excellent état et intérieur parfait ! Un très bel exemplaire ! 

>>> 14 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = De 13,7 à 16,95 €uros sur Priceminister / de 16 à 25 €uros (et plus) sur Amazon.fr.

Un ex. à 30 €uros livre-rare-book

 

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Manque le tome 4,

 

Raoul SALAN : « De Gaulle et moi. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 4.

 

Cliquez ci-dessous pour plus de détails et le résumé de ce tome 4 manquant :

http://www.salan.asso.fr/pageLibre000100a9.html

 

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Les 3 volumes (1368 pages / 1885 grammes) pour :

8 + 10 + 14 = 32 >>> 30 €uros.

 

Lot disponible.

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Ailleurs = 44 €uros les 3 (avec jaquettes) ou 26,50 (sans jaquettes) sur Priceminister.

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21/06/2015

Les grandes énigmes de l’Occupation

Collectif :

« Les grandes énigmes de l’Occupation »

 

Textes de : Jean Mabire, André Brissaud, François de Clermont-Tonnerre,

François d’Orcival et Stan-Michel Pellistrandi.

 

Tome 1

Table des matières :

01. Le jeu diplomatique secret de l’été et de l’automne 1940 ;

      par André Brissaud.

02. Les minorités ethniques devant l’Occupation ;

      par Paul Sérant.

03. Les Cagoulards dans l’organisation de la Résistance (juin 40 - juin 41) ;

      par Jean Mabire.

04. L’affaire St-Pierre-et-Miquelon, mini-aventure, immenses conséquences ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

05. Révélations sur les énigmes Darlan ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

 

Tome 2 

Table des matières :

01. Les énigmes Giraud, mystères de la guerre ;

      par François de Clermont-Tonnerre.           

02. Les chemins de croix de la marine française (1940-1942) ;

      par Stan-Michel Pellistrandi.

03. Une libération exclusivement française, celle de la Corse ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

04. L’énigme du redressement de l’armée française ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

05. Comment les SS obtinrent l’abdication du maréchal Pétain (oct-déc 43) ;

      par André Brissaud.

 

Tome 3 

Table des matières :

01. Les Français contre les Français : la Milice ;

      par François d’Orcival.          

02. Les Waffen-SS français, derniers défenseurs du bunker de Hitler ; 

      par Jean Mabire.

03. Les mystères de l’opinion publique (1940-1944) ;

      par Stan-Michel Pellistrandi.

04. La très curieuse occupation des îles anglo-normandes ;

      par Jean Mabire.

 

Editions de Crémille, 1970.

18 x 12 cms

Les 3 livres font, au total : 761 pages et 920 grammes.

Reliure cartonnée éditeur, simili-cuir noir et gris avec croix de fer, motifs et titres en vert, rouge et argent sur tranche et premier plat.

Nombreuses reproductions photographiques, hors-texte et sur papier glacé.

 

Etat = quelques petits défauts d’impression/d’usine au niveau de la sérigraphie des plats et tranches des tomes 2 et 3, sous la forme de microscopiques bavures de peinture rouge et argentée… mais bon, c’est vraiment histoire de « chichiter » ! Les reliures sont en parfait état et les intérieurs (au papier resté bien blanc) sont comme neufs… ces trois ouvrages ne demandent qu’à partager le savoir contenu en leur pages… et à rejoindre vos rayons !

 

Les 3 volumes >>> 7 €uros. / disponibles.

 

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19/06/2015

Yves BREHERET : « Les Cosaques »

Yves BREHERET : « Les Cosaques »

 

Présentation éditeur :

Avril 1945. Hourré l Les nagaikas fouettent les flancs des chevaux.

Dressés sur leurs étriers, les cosaques de Von Pannwitz lancent la dernière grande charge de cavalerie de l'histoire sur la rivière Dave, en Croatie. Leur fabuleux destin, commencé dix siècles plus tôt, s'achève-t-il le 31 mai 1945 dans la vallée de Lintz ? Ou bien se sont-ils une fois de plus fondus dans le brouillard des steppes ; les cavaliers blancs de l'ataman Koulakov, avec les Rouges de Boudionny et les rôdeurs noirs de Makhno ?

Les premiers cosaques font refluer la Horde d'or tatare au XIVe siècle, chevaliers zaporogues au crâne rasé ou fils du Don paisible, ils avaient pris le nom des oies sauvages pour en faire leur symbole d'hommes libres. 

Fiers et cruels, ils ont bivouaqué sur les Champs-Elysées, conquis la Sibérie et poussé jusqu'en Alaska. Les premiers mots de l'enfant cosaque étaient pour dire "cheval", et "tirer". Ils mouraient debout, prétendant que leurs étoiles étaient plus brillantes que les autres. Les frontières de l'empire étaient sur la selle de leurs chevaux.

Ils avaient imposé en 1613 Michael Michaelovitch Romanov comme tsar de Russie et, tour à tour fidèles ou révoltés, ils devaient suivre le destin de cette lignée jusqu'à sa chute, en 1917.

Le vieil espoir d'indépendance revint alors, mais le rêve fou allait être brisé.

 

Balland, 1972 / Collection « Les corps d’élite ».

366 pages – 15,5 x 23,5 cms – 950 grammes. 

Broché (reliure souple avec rabats) – 52 pages de reproductions photographiques hors-texte.

 

Etat = Excellent de chez excellent !

Compact, brillant, tranche non-cassée, intérieur parfait… très bel exemplaire !

 

>>> 8 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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