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18/12/2015

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Dans le fracas de la chute de Diên Biên Phu, un autre désastre passe presque inaperçu : la disparition quasi-complète d’un groupement mobile opérationnel franco-vietnamien. Fort de 5000 hommes, il est anéanti le 4 juillet 1954 à 13 kilomètres d’An Khé.
« Mourir au Laos » raconte l’épopée d’un survivant de cette embuscade : le sergent Seilhac. Après une marche épuisante, il rejoint un groupe de partisans Moï, à demi-sauvages, qui mènent un combat de guérilla sur les arrières Viets près de la frontière laotienne. Seilhac participe à de nombreuses actions, d’abord par nécessité, puis par goût de la revanche, enfin parce qu’il est devenu conscient de l’importance que revêt le combat qui oppose les Moïs de la forêt aux Viets de la plaine ; ceux-là défendent leur vie, ceux-ci une politique.
Vaincus, malades et épuisés, Seilhac sera abandonné, puis trahi par le chef du commando, son compatriote. Désormais un but unique lui servira de raison de vivre : se venger. Il survivra à la brousse, à la guerre, à la maladie, mais lorsqu’il la tiendra à bout de bras, sa vengeance lui paraîtra fade et indigne. Tournant le dos à la civilisation, il reviendra vivre et sans doute mourir au Laos.

« Mourir au Laos » d’Erwan Bergot, un rescapé de Diên Biên Phu et du « Camp de l’enfer vert », est l’hallucinant récit d’un combat moyenâgeux dans la brousse, étouffante, hostile et impénétrable.

Editions France Empire, 1965.
267 pages – 19 x 14 cms – 310 grammes.
Reliure souple protégée par une jaquette couleur avec rabats / nombreuses reproductions photographiques (N&B) hors-texte. Une belle édition, délicieusement vintage !

Etat = la jaquette présente quelques minuscules frottis (visibles sur les photos) en haut à gauche de premier plat ainsi qu’au niveau des extrémités du dos… mais rien de bien grave ! L’ensemble est toujours bien compact, ladite jaquette est brillante et sans accrocs, et l’intérieur – au papier resté bien blanc – est tout simplement parfait : un très bel exemplaire !

>>> 7 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

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11/05/2015

Jean LARTÉGUY

Jean LARTEGUY : « L’adieu à Saigon »

 

Dans ce récit, vécu et rédigé sur place, des dernières heures de Saïgon, Jean Lartéguy décrit la disparition d’une ville et d’un monde qu’il avait intimement connus et parfois passionnément aimés comme soldat, journaliste, écrivain. Il essaie en même temps de répondre à cette question : Comment l’une des armées les mieux équipées du sud-est asiatique a-t-elle pu s’effondrer en deux mois, pratiquement sans se battre ? Qui était Thieu ? Quel fut le rôle de la France ?

Il révèle enfin pourquoi Saïgon n’a pas brûlé et comment, un  mercredi, se joua son sort entre un vieux général recru de fatigue et de jeunes officiers qui voulaient mourir.

Presses Pocket – 1976 – 314 pages – 170 grammes.

Etat = Plats bien brillants (une petite pliure de 2 mm en bas à droite de couv’ et c’est tout), tranche non cassée, intérieur en parfait état ;  seules quelques rousseurs éparses (au dos des plats et sur pages de garde) nous indiquent que le livre a dû passer quelques années au grenier… Mais bon, rien de bien grave il n’a pas pris l’humidité pour autant (il est même bien compact) et il ne demande qu’à reprendre du service, sur vos rayonnages !

>>> 2,20 €uros >>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Les Prétoriens »

 

Avec le nouveau roman de Jean Lartéguy, nous allons voir les Centurions devenir Les Prétoriens. Le meurtre d'un de leurs camarades entraîne, en effet, les amis d'Esclavier et Boisfeuras à déborder le cadre normal de l'action militaire et à « faire de la politique ». Rien ne pourra plus endiguer ce torrent d'hommes farouches, pas même ceux qui, d'Alger ou de la Métropole, essayent de les soumettre. Par-delà le complot principal du 13 mai, auquel ils vont servir d'instruments, ils ont ce jour-là un complot à eux, ici raconté pour la première fois et dont le succès aurait peut-être changé le cours ultérieur de la guerre d'Algérie.

Les Prétoriens acculés au suicide ou à la démission - ou bien à de nouveaux complots…

Presses pocket – 1976 – 380 pages – 200 grammes.

Etat = quelques menues marques de stockage ( petites traces de choc en haut de premier et dernier plats…), mais rien de grave. L’ensemble est de bonne tenue, la tranche non cassée et l’intérieur sain et propre. Bon pour le service.

>>> 2,80 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Le mal jaune »

 

Ce roman est l’histoire de deux villes qui n’existent plus : Hanoï et Saïgon.

Il y a bien dans le delta du Tonkin une ville qui porte encore le nom d’Hanoï, comme dans le delta du Cochin-Chine une autre qui s’appelle toujours Saïgon. L’une est la capitale d’une république autoritaire et bureaucratique, l’autre d’un état papelard et anachronique. Elles sont prudes, hypocrites et si leurs parcs sont ratissés et leurs bâtiments repeints, elles n’ont plus rien à voir avec les deux villes métisses qui, nées de l’union des Blancs et des Jaunes, moururent de leur divorce. 

C’étaient deux belles métisses infidèles et tendres, cruelles et sensuelles, paresseuses, violentes, impudiques et secrètes.

Ceux qui les aimèrent – et ils furent nombreux – contractèrent auprès d’elles un mal dont ils n’arrivent point à se guérir : le Mal Jaune ; une sorte de nostalgie qui devient poussée de fièvre certains soirs de cafard, certains jours d’abandon. Je dédie ce livre à tous ceux qui, comme moi, furent atteints de cette maladie pernicieuse et éprouvent encore un certain plaisir à l’entretenir.

Les presses de la cité – 1963 – 377 pages – 21,5 x 13,5 cm – 510 grammes.

Couverture cartonnée recouverte de tissu jaune avec inscriptions en rouge + jaquette en couleurs.

Etat = Un petit accro (5 mm) sur jaquette en haut de quatrième, ainsi qu’un bas de tranche très légèrement « talé »… sans quoi il serait presque parfait !?! Un bel exemplaire, en excellent état !

>>> 4 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Les mercenaires »

 

1955. Lorsqu’ils débarquent à Marseille, par une froide matinée de novembre, un an et demi après Diên Biên Phu, d’Esclavier, de Boisfeuras et quelques-uns de leurs compagnons, officiers comme eux de l’armée française, sont devenus des étrangers à leur propre pays.

Si la France vient en effet d’abandonner l’Indochine, les hommes qui constituent ce petit groupe ne se considèrent nullement comme des vaincus. Esclavier et Boisfeuras ont tout simplement subi une défaite au cours d’une guerre qui ne ressemblait à aucune autre, à laquelle ils n’étaient pas préparés.

Au contact des communistes vietnamiens, qui se sont vainement occupés de les « rééduquer », les deux officiers ont compris que, pour lutter à armes égales contre des révolutionnaires, il fallait soi-même le devenir. Cette mue douloureuse est irréversible. Amis, parents, supérieurs hiérarchiques ne reconnaissent plus les hommes qu’ils ont quittés – abandonnés ? – plus d’une année auparavant. Des hommes qui, jetés sans transition dans une autre fournaise – en Algérie cette fois - essaieront de tirer sur tous les plans la leçon de Diên Biên Phu, en patriotes révoltés, en héros désespérés qu’ils sont à jamais devenus.

Presses Pocket – 1978 – 437 pages – 230 grammes.

Etat = petites marques/traces de lectures, stockage et manipulations… une ou deux fines nervures sur une tranche au bas très légèrement frotté… il est clair que le livre a été lu et relu ! Mais par un/des lecteur(s) très soigneux, puisqu’en fait ce ne sont que de micro-mini défauts de rien du tout, qui donnent plus une agréable « patine » à l’ensemble, qu’autre chose !

Tout à fait bon pour le service ! >>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

Ou : …

 

Jean LARTÉGUY : « Les Mercenaires »

( Qui se souvient encore de la guerre de Corée ? )

 

A ma connaissance, aucun mercenaire ne répond plus à la définition qu'en donne le Larousse : "soldat qui sert à prix d'argent un gouvernement étranger".

Les mercenaires que j'ai rencontrés et dont parfois j'ai partagé la vie combattent de vingt à trente ans pour refaire le monde.

Jusqu'à quarante ans, ils se battent pour leurs rêves et cette image d'eux-mêmes qu'ils se sont inventée. Puis, s'ils ne se font pas tuer, ils se résignent à vivre comme tout le monde - mais mal, car ils ne touchent pas de retraite - et ils meurent dans leur lit d'une congestion ou d'une cirrhose du foie.

Jamais l'argent ne les intéresse, rarement la gloire, et ils ne se soucient que fort peu de l'opinion de leurs contemporains. C'est en cela qu'ils diffèrent des autres hommes.

Presses Pocket – 1966 – 437 pages – 290 grammes.

Etat = Excellent de chez excellent !

Un pocket « volume triple » (3,5 cms d’épaisseur, exactement le double de l’exemplaire proposé juste au-dessus, alors qu’il n’est pas imprimé plus gros ! La qualité du papier était toute autre dans les années 60 !), dont la tranche est absolument intacte… et qu’il suffit d’entrouvrir pour comprendre qu’il n’a jamais été lu ! Un cadeau… le prix indiqué en bas de quatrième est masqué au marqueur noir… qui n’a pas fait plus plaisir que ça, et qui est resté inviolé pendant presque 50 ans (jusqu’à la mort du propriétaire !?) avant d’arriver chez nous via une « bourse aux livres » !

Délicieusement vintage… et dans un état pour le moins exceptionnel !

>>> 3,60 €uros. / disponible. 

 

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17/02/2015

Erwan BERGOT : Mourir au Laos

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

 

Dans le fracas de la chute de Diên Biên Phu, un autre désastre passe presque inaperçu : la disparition quasi-complète d’un groupement mobile opérationnel franco-vietnamien. Fort de 5000 hommes, il est anéanti le 4 juillet 1954 à 13 kilomètres d’An Khé.

« Mourir au Laos » raconte l’épopée d’un survivant de cette embuscade : le sergent Seilhac. Après une marche épuisante, il rejoint un groupe de partisans Moï, à demi-sauvages, qui mènent un combat de guérilla sur les arrières Viets près de la frontière laotienne. Seilhac participe à de nombreuses actions, d’abord par nécessité, puis par goût de la revanche, enfin parce qu’il est devenu conscient de l’importance que revêt le combat qui oppose les Moïs de la forêt aux Viets de la plaine ; ceux-là défendent leur vie, ceux-ci une politique.

Vaincus, malades et épuisés, Seilhac sera abandonné, puis trahi par le chef du commando, son compatriote. Désormais un but unique lui servira de raison de vivre : se venger. Il survivra à la brousse, à la guerre, à la maladie, mais lorsqu’il la tiendra à bout de bras, sa vengeance lui paraîtra fade et indigne. Tournant le dos à la civilisation, il reviendra vivre et sans doute mourir au Laos.

« Mourir au Laos » d’Erwan Bergot, un rescapé de Diên Biên Phu et du « Camp de l’enfer vert », est l’hallucinant récit d’un combat moyenâgeux dans la brousse, étouffante, hostile et impénétrable.

Editions France Empire, 1965 – 267 pages – 19 x 14 cms – 310 grammes.

Reliure souple protégée par une jaquette couleur avec rabats / nombreuses reproductions photographiques (N&B) hors-texte. Une belle édition, délicieusement vintage !

Etat = quelques minuscules frottis en haut et bas de jaquette… et c’est à peu près tout ce qu’il y a à signaler ! Ladite jaquette est bien brillante, et l'intérieur (au papier resté bien blanc) parfait : un très bel exemplaire !

>>> 6,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

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Ailleurs =  De 4,50 (ex avec jaquette abîmée) à 14 € (très bon état) sur Priceminister.

( Comptez sur du 8 ou 9,50 € pour des ex. en « bon état » )…

8 €uros sur livre-rare-book.com / moyenne aux alentours de 8 €uros.

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15/04/2014

Erwan BERGOT : La légion au combat

2014, soixantenaire de la fin de la guerre d'Indochine.

 

Erwan BERGOT :

 

« La légion au combat – Narvik, Bir-Hakeim, Diên Biên Phu »

 

Juin 1940. Alors que la France est vaincue, une jeune unité de la Légion Etrangère remporte à Narvik, en Norvège, la seule victoire terrestre de la campagne 39/42. C’est la 13ème demi-brigade – D.B.L.E – composés d’Espagnols républicains, d’Italiens et d’Allemands antifascistes.

La première, elle rejoint ensuite la France Libre et mène campagne en Afrique jusqu’à Bir-Hakeim. Douze années après, décorée de l’Ordre de la Libération, cette unité sombre à Diên Biên Phu, dans la plus gigantesque bataille de l’après-guerre.

Narvik, Bir-Hakeim, Diên Biên Phu, trois combats menés pour la gloire de la Légion, pour l’honneur du pays, dans l’esprit de sacrifice hérité de Camerone. Ce livre est un hommage rendu à une unité de la Légion. C’est aussi une grande fresque historique et un récit fourmillant d’anecdotes, de souvenirs. Un beau livre sur la ténacité, l’abnégation, la fidélité.

 

France Loisirs – 1977 – 316 pages – 24,5 x 16 cms – 640 grammes.

Reliure éditeur recouverte d’un tissu bleu nuit + jaquette couleurs.

16 pages de reproductions photographiques !

Etat = haut de tranche jaquette très légèrement frottée (mais restaurée avec soin !) ainsi qu’une ou deux p'tites traces/marques de manip’ ou stockage (au dos de la jaquette pour la plupart). Mais bon, c'est le maniaque obsessionnel qui parle… car en fait, il est franchement bien ! Jaquette bien brillante, reliure O.K, intérieur comme neuf… bel exemplaire, bon pour le service !

>>> 7 €uros. / disponible.

 

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02/04/2014

Erwan BERGOT

2014, soixantenaire de la fin de la guerre d'Indochine.

 

Erwan BERGOT :

« Convoi 42, la marche à la mort des prisonniers de Diên Biên Phu »

 

Convoi 42 est l’histoire d’un groupe de soldats, capturés le 7 mai 1954 à Diên Biên Phu, qui vont être rassemblés en brousse avant d’entreprendre la longue marche qui les mènera, 700 kilomètres au nord, dans un camp "de rééducation par le travail et le repentir". 

Mais la mort est à la fête ! Sur les 400 prisonniers que comporte à son départ le "Convoi 42" ; 87 vont disparaître au cours de la longue marche ; 250 reposent à jamais dans les fondrières de l’effroyable camp "42"…  et seuls 73 recouvreront la liberté.

Quelques témoignages ont déjà été publiés sur les "Camps de l’enfer vert". Peu d’entre eux ont rendu compte de l’essentiel : la lente dégradation des corps, mais surtout cette transformation morale où la haine des autres, le mépris de soi-même sont autant d’étapes vers le désespoir absolu. Un point de non-retour dont on ne guérit jamais tout àfait. On n’invente pas l’horreur dans Convoi 42, tout est vrai. Sauf les noms ; les survivants les reconnaîtront. C’est à eux qu’Erwan Bergot a voulu dédier ce récit.

 

France Loisirs – 1987 – 340 pages – 24,5 x 16 cm – 610 grammes.

Reliure éditeur, cartonnée et recouverte de tissu rouge + jaquette en couleurs.

Etat = des bords légèrement frottés et présentant 3 ou 4 petits accros, de menues traces de manipulation, ainsi que quelques rousseurs sur la face interne : la jaquette n’est que moyenne («moyen+» néanmoins, vu que toujours bien brillante et ne présentant – au final – pas de gros défaut(s) majeur(s)…). Mais comme la reliure est O.K et l’intérieur comme neuf… l’ensemble est tout à fait bien, et déclaré bon pour le service ! Oh oui !

>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

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Erwan BERGOT :

« Bataillon de Corée– Les volontaires français 1950-1953 » 

 

Wonju (Corée), 10 janvier 1951 : « Baïonnette au canon ! A l’assaut ! »

Après un bref et brutal corps à corps, sur un piton enneigé, ils culbutent une compagnie nord-coréenne fanatisée. Cet exploit s’est déroulé sous les yeux des correspondants de guerre américains, stupéfaits. La "charge à la baïonnette des Français à Wonju" va devenir légendaire et leur bataillon entrer dans le club des unités d’élite servant en Corée. Ce bataillon, créé au mois d’août 1950 par le gouvernement pour aider les Nations Unies à rétablir la paix en Corée du Sud, envahie depuis juin par les forces communistes du Nord, en trois ans, va devenir l’une des unités les plus décorées de cette campagne. Célébré partout Outre-Atlantique, le bataillon français est resté méconnu dans son propre pays où son histoire complète n’avait encore jamais écrite !

Et pourtant, quelle épopée ! En trois ans de présence en Corée, de 1950 à 1953, ses combats se comptent par dizaines – Twin Tunnels, Chipyong-ni, la côte 1037, Crèvecœur, le T-Bone, Arrow-Head, Kumhwa, etc. – ses morts, ses blessés, ses disparus, par centaines.

 

Presses Pocket – 1986 – 412 pages – 220 grammes.

Edition illustrée par des reproductions photographiques et de plans + annexes avec la liste des morts et portés disparus, les citations pour le bataillon français des différents pays, la chronologie sommaire de la guerre de Corée…

Etat = quelques traces de manipulation(s), stockage et usage(s), mais ça va, rien de foncièrement dommageable… les plats sont toujours bien brillants, l’intérieur est nickel et la tranche non cassée ! Bon pour le service !

>>> 2,40 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Erwan BERGOT :

« La guerre des appelés en Algérie, 1956-1962 »

 

Février 1956 : dans le cadre des renforts promis par Guy Mollet à l’Algérie, les premiers "Disponibles" quittent Marseille pour Alger. A leur suite, l’auteur nous entraîne à Oran, à Bône, en Kabylie, dans des fermes qu’il faut aménager, des postes qu’il faut construire, en bordure des forêts, des montagnes où, insaisissable, rôde le Rebelle. Peu à peu pourtant, les "Appelés" apprennent à dominer leur peur, à "crapahuter" comme leur adversaire, à nouer contact avec la population. Et ils se prennent d’amour pour ce pays rude, sauvage, difficile.

Voici la Bataille d’Alger. Vue du bled, elle prend une autre dimension : sur place, avec leurs pauvres moyens, les "naufragés du Quadrillage" font face à la grève, à l’insurrection. Voici le 13 mai, vécu de loin, à travers les transistors, depuis le bled, en Oranie ou en Kabylie ; vécu de près, en contact étroit avec les habitants des mechtas, des douars, des villages.

Si les "Barricades" de 1960, le "Putsch" de 1961, ne les atteignent qu’étouffés par la distance, ils leur montrent que la fin de l’Algérie française est proche. Après avoir cru à la victoire en participant aux grandes opérations "Challe", ils se résignent au départ.

L’auteur, qui les a vus vivre, souffrir, être tristes ou gais, a voulu rendre hommage à tous ces Appelés qui avaient vingt ans, et qui étaient fiers.

 

Presses de la Cité – 1980 – 286 pages – 24 x 15,5 cm – 520 grammes.

Etat = Une fine cassure sur tranche, quelques p’tites marques-traces d’usage(s) ou stockage(s) mais rien de franchement notable. Ensemble bien brillant et compact, intérieur en excellent état… estampillé « bon »… et bon pour le service !

>>> 5,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = entre 4,99 et 10 €uros sur Priceminister (moyenne aux alentours de 6-7 €uros ) pour des exemplaires en bon état et des vendeurs sérieux ! Entre 7 et 15 €uros sur livre-rare-book.com / de 6 à 12 €uros sur abebooks.fr / un ex. à 10 €uros sur Amazon.fr. 

  

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27/03/2014

Erwan BERGOT : Bigeard

2014, soixantenaire de la fin de la guerre d'Indochine. 

 

Erwan BERGOT : « Bigeard »

 

Il y a un style Bigeard, un vocabulaire Bigeard, une légende Bigeard. Mais l’homme est-il à l’image de ce guerrier qui n’a jamais accepté de renoncer et qui a définitivement pris pour devise un seul mot : « durer » ? Nul n’était plus qualifié qu’Erwan Bergot pour écrire la première biographie de ce personnage d’exception. C’est en 1952 que la presse découvre le jeune commandant Bigeard. Dès lors, elle ne le lâchera plus. Chef de bataillon, colonel, général, secrétaire d’Etat, député, où qu’il soit, la renommée l’accompagne. Erwan Bergot a servi naguère sous les ordres de celui qui, pour les paras, était « Bruno ». Il nous entraîne sur les traces de ce baroudeur qui n’a jamais rien renié, ni les combats qu’il a menés, ici ou là, pour sa patrie, ni les convictions qui ont fait de lui, sous l’écharpe de député, un élu pas comme les autres, qui avait choisi son camp mais conserva, en dépit de tout, sa liberté de penser et son franc-parler.

En suivant pas à pas cette existence fertile, de la Lorraine aux palais nationaux, Erwan Bergot nous fait découvrir un Bigeard secret : l’homme timide, pudique, fraternel qui, arrivé au faîte de la célébrité et de la popularité, aura toujours la faculté juvénile de s’émerveiller de ce que la vie lui a apporté.

 

 

Reliure éditeur cartonnée recouverte d’un tissu marron clair + jaquette couleurs / 48 pages (!!!) de reproductions photographiques.

France Loisirs – 1989 – 586 pages – 23 x 14,5 cms – 820 grammes.

Etat = Quelques petites marques-traces de manipulation(s) et lecture… mais vraiment trois fois rien ! Un bon gros pavé en excellent état, que l’on peut sans problème estampiller comme « entre bon et bon+ » !

>>> 7,50 €uros. / disponible.

 

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Ailleurs = entre 5 et 9 €uros sur Priceminister pour des exemplaires en bon état et avec jaquette…

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de 6 à 11 €uros sur abebooks.fr / 10 à 13 sur marelibri.com

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26/03/2014

Diên Biên Phu, artilleurs dans la fournaise

2014, soixantenaire de la fin de la guerre d'Indochine.

 

Henri DE BRANCION :

« Diên Biên Phu, artilleurs dans la fournaise »

 

Préfacé par le Général Bigeard.

 

 

Diên Biên Phu, 30 mars 1954, onze heures du soir.

- Ici, le « gars Pierre ». Si vous vous estimez en danger, retirez-vous.

- Et mes canons ?

- Sabotez-les…

- Hors de question ! Je tiendrai tant que je pourrai.

Au dix-septième jour de la bataille, la situation est désespérée. Sur les cinq collines de l’est, quatre sont aux mains des divisions vietminh : rien ne semble devoir arrêter leur élan. Face à elles, il ne reste plus que les artilleurs du lieutenant Brunbrouk qui refusent de se replier. Présents à Diên Biên Phu du premier au dernier jour, les artilleurs ont apporté sans répit, et malgré des pertes énormes, l’appui de leurs feux, forçant l’admiration de leurs compagnons d’armes.

Grâce à de nombreux témoignages et à des documents encore inédits, l’auteur fait revivre ici, pour la première fois, la vie quotidienne des artilleurs de Diên Biên Phu, Français, Marocains, Africains, Vietnamiens et légionnaires des unités de mortiers lourds.

 

Le général de Brancion est saint-cyrien. Passé dans la Résistance, il est arrêté par la Gestapo et interné. Il a fait carrière dans l’artillerie. Il a combattu en Indochine et en Algérie. Son précédent ouvrage, Commando Bergerol a reçu le prix Raymond Poincaré.

 

Presses de la Cité – 1992 – 298 pages – 24 x 15,5 cms – 430 grammes.

Broché (reliure souple en couleurs) – 16 pages de reproductions photographiques + 5 pages de croquis explicatifs.

Etat = nombreuses petites traces de manipulation(s) et lecture(s)… il est clair que le livre a été lu, relu et même re-relu !

Mais bon, rien de franchement notable pour autant… il est toujours bien « compact », la tranche n’est pas cassée (j’aime les gens qui savent lire sans marquer les tranches des livres !), l’intérieur est nickel… et l’ensemble est donc tout à fait bon pour le service !!!

>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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09/03/2013

Erwan BERGOT - Indochine

Erwan BERGOT :

Les 170 jours de Diên Biên Phu

 

Depuis le 20 novembre 1954, alors que le général Navarre a succédé à Salan, les Français occupent le village de Diên Biên Phu (Haut Tonkin). Peu avant Noël, Giap, chef des forces du Viêt-minh, décide de mener une bataille décisive contre le camp retranché. Le combat s’engage le 13 mars 1954. Au bout de cinquante-sept jours de résistance et d’assauts meurtriers, plus de onze mille Français capitulent. Trois mille seulement en reviendront.

Ce désastre marque la fin des empires coloniaux. A paris, le gouvernement et Mendès France, pressés d’en finir, préparent la conférence de Genève, sans discerner les conséquences de cette victoire communiste.

Reportage saisissant et document historique capital, le récit d’Erwan Bergot est aussi un témoignage vécu sur cette chose mystérieuse et si simple qu’on appelle l’honneur militaire. Erwan Bergot est né en 1930. Ancien officier d’active, il a participé aux guerres d’Indochine et d’Algérie. Blessé en Algérie dans les rangs des légionnaires-parachutistes, il quitte l’armée et devient journaliste et écrivain. Son but : porter témoignage sur les guerres qu’il a faites, les hommes qu’il a connus, paras, légionnaires, partisans.

Presses Pocket – 1992 – 350 pages – 170 grammes.

Etat = Exemplaire réformé de bibliothèque, avec premier plat plastifié artisanalement et pochette plastique « pour fiche » collée sur l’intérieur de la 4ème de couv’. Il est clair que l’état extérieur est plutôt « moyen » (même si très propre ! Voir photos)… mais l’intérieur est – lui – nickel, et l’ensemble est donc tout à fait bon pour le service !

 

Erwan BERGOT : La marche à la mort

( Le calvaire des survivants de Diên Biên Phu )

 

« Dans trente ans, dans quarante ans, si vous survivez, vous resterez marqués par ce séjour en enfer… ». Ainsi parlait Jo, l’un des 400 soldats capturés en mai 1954, après Diên Biên Phu, et qui formèrent le tristement célèbre Convoi 42.

Commença pour eux, une longue marche, vers le camp de « rééducation par le travail et le repentir » qui les attendait à 700 kilomètres au nord. 83 d’entre eux devaient mourir avant d’arriver. 250 autres laissèrent leur vie dans l’enfer du camp. 73 seulement en ressortir vivants.

Alors commandant d’une compagnie de la Légion étrangère, Erwan Bergot est un de ces survivants. Pour écrire ce livre, il a fait appel à sa mémoire, mais aussi rassemblé le témoignage de ses camarades. Tout dans ce roman est vrai.

Sauf les noms propres. Parce que nul n’a le droit de juger des hommes que la souffrance, l’humiliation, le désespoir avaient brisés.

Le livre de poche – 1992 – 412 pages – 210 grammes.

Etat = de petites marques/traces de manipulation(s) sir premier plat… sans quoi il serait comme neuf. Vernis bien brillant, tranche non cassée, intérieur nickel, il n’a très certainement pas été lu plus d’une fois, et par quelqu’un de très soigneux ! Très bon…

 

Les 2 livres ( poids total = 380 grammes ) pour…

>>> ( 1,50 + 2,50 ) = 4 €uros. / Vendus Temporairement indisponibles.

 

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