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12/08/2016

Jean LARTÉGUY et Marc FLAMENT : Les dieux meurent en Algérie.

Lartéguy & Flament : 

Les dieux meurent en Algérie.

 

Texte de Jean Lartéguy / Photos de Marc Flament.‎

 

Présentation :

« Il n’y a pas que les hommes, les dieux meurent aussi en Algérie, toutes nos bonnes vieilles idoles d’Occident avec leurs grands principes.

Ils avaient régné sur les cités Helléniques, sur Périclès, Platon et les Jeux Olympiques, sur le sénat romain et les juristes en toge, sur les catacombes et les cloîtres romains. Ils avaient été la chevalerie et la trêve de Dieu, le panache d’Henri IV et les petits marquis de Fontenoy, les dieux en Carmagnole de 1789 et ceux casqués de bleu des tranchées de Verdun, les dieux de Montaigne et de Pascal, de Bossuet, de Diderot, de Voltaire et de Saint-Just, dieux à la tripe républicaine, marqués de la fleur de lys ou de l’abeille des Bonaparte, les dieux de Notre-Dame et de la Grande Loge, de Péguy et d’Anatole France.

En vieillissant, ils avaient pris du ventre et des manies de vieillards égoïstes, confinés dans des asiles. Souvent, il nous arrivait de les tourner en ridicule et le plus souvent de les oublier. Mais de les voir agoniser sur la Terre d’Afrique nous rappelle soudain combien ils nous étaient encore indispensables ; ils faisaient toujours partie de nous-mêmes.

Car la guerre d’Algérie n’est pas une guerre comme les autres. Elle fait table rase de beaucoup de nos illusions : elle n’exige ni vainqueur, ni vaincu mais va bien plus loin dans ce qu’on nomme le sens de l’histoire. Elle chasse les nomades de leurs tentes et les envoie dans les camps de regroupement ; elle entoure de barbelés les mosquées et les églises, transforme les écoles en casernes et les casernes en écoles. Elle laisse les soldats à leur solitude et leur désespoir, incertains, désemparés mais serrant contre eux leurs mitraillettes comme si elles étaient désormais leur seule justification et leur seule certitude.

Rebelles et forces de l’ordre en arrivent insensiblement à livrer le même combat et de la même manière, un combat sans pitié et sans trêve, un combat sans issue qui ne connaît ni le jour ni la nuit, qui se place au-delà du Bien et du Mal, dans le monde glacé de l’efficacité ».

 

C'est l'image cruelle d'une guerre qui n'est pas comme les autres.

Des bords d'un oued aux sables sans fin, apparaît le visage glacé de l'efficacité et ces fleurs écrasées rencontrées en chemin : des ruines noircies, la détresse d'un blessé, un visage d'enfant. Ensemble Lartéguy et Flament nous donnent un grand livre… comme il en paraît seulement quelques-uns par génération.

 

« J'ai arrêté d'être soldat parce que j'avais pris une grenade dans les jambes. C'est comme ça que j'ai commencé à écrire. J'ai suivi la fin des grands empires coloniaux, l'époque était fascinante, c'était l'écroulement d'un monde. » (Jean Lartéguy) ‎

 

Ré-édition de 1998 (aux éditions : Trésor du Patrimoine) de l’ouvrage originellement paru en 1960, aux Editions de la Pensée Moderne.

88 pages – 30,5 x 23,5 cms – 790 grammes.

60 photographies N&B de Marc Flament, reproduites pleine page ou double page, commentées par Jean Lartéguy.

 

Etat = quelques infimes mini-micro-traces de lecture et manipulations… mais du genre que seuls les maniaco-maniaques dans mon genre prennent la peine de signaler ! Car l’ensemble : plats, tranche, intérieur est propre, sain, et en excellent état ! Un exemplaire qu’on peut sans problème, et sans hésiter, estampiller comme très bon.

 

>>> 23 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

 

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Ailleurs (et pour cette édition de 1998) : … 

De 30 à 39,95 €uros sur Priceminister.

De 22 à 40 €uros (et plus) sur Amazon.fr / 28 £ sur abebooks.co.uk 

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28/06/2016

Bob MALOUBIER : Plonge dans l’or noir, espion !

Bob MALOUBIER :
"Plonge dans l’or noir, espion !"

Laissé pour mort ici, prisonnier là, la France libre et le maquis, les parachutages en Indochine dès 1945, ce n’est encore pour Bob Maloubier qu’un prologue. Fondateur du 11ème bataillon de choc et des nageurs de combat d’Aspretto, recruteur et instructeur d’espions, il devient l’exécuteur des hautes et nasses œuvres des services secrets, parfois avec l’aide de truands au grand cœur, tel Jo Attia. Chef de la sécurité au Gabon, mêlé à la guerre du Biafra, côté Nigérian, il plonge dans l’or noir à travers tout le Moyen-Orient en ébullition…
On ne résume pas Bob Maloubier, on le lit. Et comme l’humour, lui aussi, coule à flots, on ne s’ennuie pas. C’est James Bond sous les traits d’un major Thompson.

Robert LAFONT, collection "Vécu", 1986.
413 pages – 15,5 x 24 cms – 600 grammes.
16 pages de reproductions photographiques (N&B, papier glacé) hors-texte.
Broché, reliure souple… très beau portrait de Bob Maloubier sur dernier plat.

Etat = de minuscules micro-frottis en bord de premier plat ; une fine cassure de lecture ; et quelques petits chocs, doublés d’une légère marque de pliure, en haut à gauche (bordure extérieure) de quatrième… mais rien de vraiment grave pour autant, l’ensemble est toujours bien "carré et compact", les plats sont propres et brillants, et l’intérieur est parfait ! Un ouvrage assez rare (comme tous ceux de Bob Maloubier), qui ne demande qu’à faire le bonheur d’un passionné collectionneur.

>>> 22 €uros. / disponible. 

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Trois exemplaire, de 18,09 à 35,80 €uros (en passant par 28,90) sur abebooks.fr
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Prix honnête, moyen et conseillé : entre 25 et 30 €uros !

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18/12/2015

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

Dans le fracas de la chute de Diên Biên Phu, un autre désastre passe presque inaperçu : la disparition quasi-complète d’un groupement mobile opérationnel franco-vietnamien. Fort de 5000 hommes, il est anéanti le 4 juillet 1954 à 13 kilomètres d’An Khé.
« Mourir au Laos » raconte l’épopée d’un survivant de cette embuscade : le sergent Seilhac. Après une marche épuisante, il rejoint un groupe de partisans Moï, à demi-sauvages, qui mènent un combat de guérilla sur les arrières Viets près de la frontière laotienne. Seilhac participe à de nombreuses actions, d’abord par nécessité, puis par goût de la revanche, enfin parce qu’il est devenu conscient de l’importance que revêt le combat qui oppose les Moïs de la forêt aux Viets de la plaine ; ceux-là défendent leur vie, ceux-ci une politique.
Vaincus, malades et épuisés, Seilhac sera abandonné, puis trahi par le chef du commando, son compatriote. Désormais un but unique lui servira de raison de vivre : se venger. Il survivra à la brousse, à la guerre, à la maladie, mais lorsqu’il la tiendra à bout de bras, sa vengeance lui paraîtra fade et indigne. Tournant le dos à la civilisation, il reviendra vivre et sans doute mourir au Laos.

« Mourir au Laos » d’Erwan Bergot, un rescapé de Diên Biên Phu et du « Camp de l’enfer vert », est l’hallucinant récit d’un combat moyenâgeux dans la brousse, étouffante, hostile et impénétrable.

Editions France Empire, 1965.
267 pages – 19 x 14 cms – 310 grammes.
Reliure souple protégée par une jaquette couleur avec rabats / nombreuses reproductions photographiques (N&B) hors-texte. Une belle édition, délicieusement vintage !

Etat = la jaquette présente quelques minuscules frottis (visibles sur les photos) en haut à gauche de premier plat ainsi qu’au niveau des extrémités du dos… mais rien de bien grave ! L’ensemble est toujours bien compact, ladite jaquette est brillante et sans accrocs, et l’intérieur – au papier resté bien blanc – est tout simplement parfait : un très bel exemplaire !

>>> 7 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

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24/11/2015

Antoine ARGOUD

Antoine ARGOUD : « La décadence, l’imposture et la tragédie »

 

Quatrième de couv’ : « Ce que personne n’avait encore osé écrire. Partisan de l’Algérie française, adversaire du général de Gaulle, dont il conteste toute l’action, le colonel Argoud est de ceux qui se rallièrent au général en mai 1958, comptant qu’il se prononcerait en faveur d’une Algérie française. L’illusion fut courte. Dans son livre, le colonel Argoud ne recule devant la description d’aucune scène, devant la mise en cause d’aucun des collaborateurs les plus proches du chef de l’Etat. Et l’on ne s’étonnera pas que cet ouvrage soit probablement le document le plus explosif de l’après Algérie française ». 

 

L’auteur : Le colonel Antoine Argoud, né le 26 juin 1914 à Darney (Vosges) et mort le 10 juin 2004 à Vittel, est un officier français. Il fit partie de l'Armée d'Armistice en Afrique du Nord puis combattit dans l'Armée Française de la Libération en Afrique et jusqu'en Allemagne. Ardent partisan de l'Algérie française, il fut dirigeant de l'Organisation Armée Secrète.

Enlevé par les barbouzes (services spéciaux français) en février 1963 à Munich, il est condamné à la réclusion à perpétuité et libéré en juillet 1968. Cet épisode qui suscita la colère des milieux nationalistes fut l'objet de nombreuses critiques de la part des partis politiques de droite et d'extrême droite. Cet incident est souvent désigné par l'expression « l'affaire Argoud ».

 

Le Livre Poste – Editions Albatros – 1990.

24 x 15,5 cms – 670 grammes.

357 pages ( + 32 pages de photos et de reproductions de documents ).

Broché, quelques très fines « griffures » et infimes traces de stockage sur premier plat, sans quoi de la tranche à l’intérieur, tout est nickel. Bel exemplaire.

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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15/11/2015

Général Paul AUSSARESSES : « Services spéciaux / Algérie 1955-1957 »

Général Paul AUSSARESSES :

« Services spéciaux / Algérie 1955-1957 »

 

De 1955 à 57, la République française a dépêché en Algérie l'un de ses meilleurs agents secrets, Paul Aussaresses. Même si son nom était encore inconnu du grand public, dans les cercles très fermés des services spéciaux, cet ancien parachutiste de la France libre, baroudeur de la guerre d'Indochine et fondateur du 11e Choc (le bras armé du SDECE) était déjà considéré comme une légende vivante.

Mais ce héros de roman allait être entraîné en Algérie, sans l'avoir aucunement cherché, dans une mission qui allait s'avérer la plus difficile de toutes.
L'objectif ? Lutter contre le terrorisme érigé en système par le FLN.

Paul Aussaresses avait fait le vœu de silence qui s'impose aux hommes de l'ombre et ses secrets auraient pu disparaître avec lui. Ce qu'il a fait en Algérie, peu de gens le savaient. Pourtant, il a décidé de raconter avec une franchise impressionnante, sans tenir compte de l'air du temps, comment il a accompli sa mission au cours de deux épisodes décisifs dont il fut, dans l'ombre, l'un des acteurs essentiels : l'affaire de Philippeville en 1955 et la « bataille d'Alger » en 1957. Sans fausse honte et sans complaisance, Paul Aussaresses ose dire une vérité souvent difficile, parle de la torture et des exécutions sommaires.

Un témoignage essentiel, des révélations capitales.


Perrin, 2001 – 299 pages – 14 x 22,5 cms – 280 grammes.

Broché / reliure souple.


Etat = quelques infimes micro-traces de lecture et manipulations… mais bon, du genre de celles que seuls les maniaco-maniaques dans notre genre prennent la peine de signaler.

Compact, brillant, propre et sain… il n’est pas totalement « comme neuf », mais pour le moins en excellent état ! Nickel-chrome !

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Prix d’un exemplaire neuf, indiqué en bas de quatrième : 15,09 €. 

Ailleurs = de 3,19 (défraîchi) à 23 €uros (et plus) sur Amazon.fr…

Mais bon, grosse majorité des ouvrages (en bon état) entre 5 et 7 €uros.

Idem pour Priceminister : prix moyen aux alentours de 5 à 7 €uros. 

9,52 €uros sur gibertjoseph.com / 12 €uros en achat imm. sur ebay.Ann.0049_Aussaresses_Services-Spéciaux_02.jpg

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14/10/2015

Général Raoul SALAN : Mémoires / Fin d'un Empire

Raoul SALAN / Mémoires

 

Fin d’un empire : 3 tomes sur 4

                                              

Vendus uniquement en lot ! 

 

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Raoul SALAN : « Le sens d’un engagement. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 1.

 

Présentation de quatrième :

 

"Ce livre, le premier de mes mémoires, c’est par ma jeunesse que je l’ouvre. En effet, je la considère comme une vie antérieure qui m’a marqué, décidant de ma carrière, de mon engagement.
C’est pourquoi j’évoquerai en quelques pages l’école primaire, le lycée avant 1914, puis Saint-Cyr en 1917-1918, l’armistice sur la ligne de feu, le Levant d’Alexandrette à Déir ez-Zor, ma blessure, le Val-de-Grâce, Paris…

Je parlerai ensuite de mes jeunes années en Indochine, mes séjours à Cao-Bang, dans le Haut-Mékong, ou tout près du Kouang Toung… période heureuse…

La jeunesse est finie, la carrière bien engagée.

Je raconterai mon séjour au ministère des colonies avec Georges Mandel, à mon retour en France, ma mission secrète aux frontières d’Abyssinie, la guerre 39-40, la défaite, Vichy et Dakar, au deuxième bureau, et, enfin, les bords du Rhin, à la tête d’une division F.F.I., cadeau de De Lattre.

Je dirai ensuite mon nouveau départ pour l’Indochine, en 45, aux côtés de Leclerc, tous nos efforts – négociations avec les Chinois, débarquement à Haiphong, accords avec le Viêt-minh, conférences de Dalat, de Fontainebleau – pour éviter la guerre qui s’annonce… et qui, vingt-cinq ans après, dure encore."

 

 

Presses de la Cité, 1970 – 443 pages – 14 x 20,5 cms – 610 grammes.

36 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = Un petit manque (5 mm par trois) à l’arrière de la jaquette (bord supérieur de quatrième) et deux petits accrocs (soigneusement restaurés) sur le devant…

Sans quoi, pas grand chose à signaler… ladite jaquette est toujours bien brillante, la reliure est en excellent état et l’intérieur (au papier toujours bien blanc) est tout simplement parfait ! Tout à fait bon pour le service… un livre qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

>>> 8 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = de 6,70 (exemplaires abîmés ou "acceptables") à 24,90 €uros (ex. état très bon) sur Amazon.fr / de 10 à 25 €uros sur livre-rare-book.com.

De 6 à 20/25 €uros sur Priceminister (une fois écartés les ex. abîmés à 1,50 sans description ni photos et les cramés qui proposent ce livre à 40 €uros et plus !?!??!!!), avec une énorme majorité d’ex. en bon état aux alentours de 10/12 €uros. 

 

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Raoul SALAN : « Le Viêt-minh mon adversaire. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 2. 

 

Présentation de quatrième :

 

"L’Indochine française, soumise de février 1940 à août 1945 à l’occupation japonaise, connaît, dès septembre 1945, la période chinoise, l’installation du Viêt-minh, puis la « convention préliminaire » signée à Hanoi le 6 mars 1946 et la demi-rupture à la conférence de Fontainebleau au mois de septembre de la même année. Le premier livre de mes mémoires relate cette époque jusqu’au départ de France de Hô Chi Minh pour rejoindre son pays. 

Le président est rentré chez lui ; des incidents où nous déplorons des morts se produisent au Tonkin et en Cochinchine. Je demeure sans commandement mais ne puis me désintéresser de ce qui se passe là-bas, et c’est malheureusement inactif que je suis les événements. Des camarades, à leur retour, m’informent. Je rencontre à Paris, venu en mission, le colonel Trocard, chef du 2ème bureau du commandant supérieur des forces françaises d’Extrême-Orient, ancien officier du service de renseignement inter-colonial que je dirigeais en 1937-1939.

– C’est une guerre qui s’annonce, lui dis-je, prenez vos dispositions…

Trocard sera tué quelques semaines plus tard.

Mon vieux camarade, le général Valluy, dans ses lettres, me fait part de ses craintes.

Le général Leclerc me demande souvent d’aller le voir à l’hôtel Continental où réside son état-major. Il me dit combien il se désespère de n’avoir pas été écouté. Puis le 19 décembre 1946, c’est l’attaque soudaine de Hanoi par le Viêt-minh. Des semaines difficiles commencent. Bien que je n’en ai pas été le témoin direct, je les décris en me basant sur les documents que j’ai recueillis .

Le début de l’année 1947 passe. Valluy me demande de revenir pour mener une offensive contre les forces Viêt-minh, dont le gros s’est replié en haute région dans le Cao-Bac-Lang (provinces de Cao-Bang, Bac Kan, Langson ) que je connais bien. J’accepte et en mai je repars.

Désormais, il faudra se battre… les combats menés par les forces françaises se termineront par la signature des accords de Genève le 22 juillet 1954.

Je quitte Saigon le 9 octobre suivant.

Nous avions perdu l’Indochine, le plus beau fleuron de l’Empire Français.

C’est la période qui va d’octobre 1946 à octobre 1954 que je décris dans ce tome de mes mémoires. A la fin de cet ouvrage, en quelques pages, je donne mon sentiment sur la phase actuelle de la guerre et sur la situation présente du Viêt-nam… cette guerre qui dure toujours. Elle avait commencé le 19 décembre 1946, il y a un quart de siècle.

La prédiction d’Hô Chi Minh : « Nous irons vers une guerre de cent ans… » Va-t-elle se réaliser ?"

 

Presses de la Cité, 1971 – 480 pages – 14 x 20,5 cms – 640 grammes.

36 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = deux petits accrocs (soigneusement restaurés) sur la charnière et l’arrière de la jaquette, sans quoi, pas grand chose à signaler… ladite jaquette est toujours bien brillante, la reliure est en excellent état et l’intérieur (au papier toujours bien blanc) est tout simplement parfait ! Un livre qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

>>> 10 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = de 8 à 14 €uros sur Priceminister / de 16 à 25 €uros sur livre-rare-book.com.

Un ex. à 20 €uros sur Amazon.fr

 

*****

 

Raoul SALAN : « Algérie Française. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 3. 

 

Présentation de quatrième :

 

"Dans les deux premiers volumes de mes mémoires j’ai dit nos combats pour garder l’Indochine au sein de l'union française, et notre échec, dû à l’incapacité et à l’incompréhension gouvernementales.

J’ai fermé nos cimetières d’Hanoi… La lente dislocation de notre Empire commençait. J’en poursuis la triste histoire dans le présent livre qui a pour objet notre action en Algérie.

Après avoir évoqué en détails et avec plusieurs documents inédits la sinistre affaire du bazooka, je donne de la bataille d’Alger, qui, aujourd’hui encore, passionne l’opinion, un tableau véridique et explicite. Je dis ensuite les efforts de nos soldats, « vieille garde d’Indochine », pleine d’amertume, et jeunes du contingent, pour ramener à nous les populations musulmanes. C’est pour eux une grande réussite. Malheureusement, beaucoup de ces jeunes hommes ne reviendront pas à leurs foyers, nombreux seront les mutilés, ou ceux marqués par la maladie.

Et voilà qu’on leur refuse le titre de « combattant »…

J’évoque enfin nos problèmes frontaliers qui me conduisirent à bombarder Sakiet Sidi Youssef, déterminant ainsi le gouvernement à faire appel aux « bons offices » de l’étranger.

Cette décision, qui ulcère profondément les Français d’Algérie, est à la base de ce grand mouvement d’union nationale que fût le 13 mai 1958 et auquel je consacre la dernière partie de ce livre.

J’y explique quelles circonstances m’amenèrent à prononcer le nom du général de Gaulle et dans quelles conditions celui-ci reçut l’investiture le 1er juin.

Les pages finales de ce volume racontent par le menu le voyage du général en Algérie et comment il nous mit au cœur un espoir qui devait être déçu, lors de son discours de Mostaganem où retentit le cri célèbre : Vive l’Algérie française !"

 

Presses de la Cité, 1972 – 445 pages – 14 x 20,5 cms – 635 grammes.

48 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = jaquette intacte et toujours bien brillante, reliure est en excellent état et intérieur parfait ! Un très bel exemplaire ! 

>>> 14 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = De 13,7 à 16,95 €uros sur Priceminister / de 16 à 25 €uros (et plus) sur Amazon.fr.

Un ex. à 30 €uros livre-rare-book

 

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Manque le tome 4,

 

Raoul SALAN : « De Gaulle et moi. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 4.

 

Cliquez ci-dessous pour plus de détails et le résumé de ce tome 4 manquant :

http://www.salan.asso.fr/pageLibre000100a9.html

 

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Les 3 volumes (1368 pages / 1885 grammes) pour :

8 + 10 + 14 = 32 >>> 30 €uros.

 

Lot disponible.

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11/05/2015

Jean LARTÉGUY

Jean LARTEGUY : « L’adieu à Saigon »

 

Dans ce récit, vécu et rédigé sur place, des dernières heures de Saïgon, Jean Lartéguy décrit la disparition d’une ville et d’un monde qu’il avait intimement connus et parfois passionnément aimés comme soldat, journaliste, écrivain. Il essaie en même temps de répondre à cette question : Comment l’une des armées les mieux équipées du sud-est asiatique a-t-elle pu s’effondrer en deux mois, pratiquement sans se battre ? Qui était Thieu ? Quel fut le rôle de la France ?

Il révèle enfin pourquoi Saïgon n’a pas brûlé et comment, un  mercredi, se joua son sort entre un vieux général recru de fatigue et de jeunes officiers qui voulaient mourir.

Presses Pocket – 1976 – 314 pages – 170 grammes.

Etat = Plats bien brillants (une petite pliure de 2 mm en bas à droite de couv’ et c’est tout), tranche non cassée, intérieur en parfait état ;  seules quelques rousseurs éparses (au dos des plats et sur pages de garde) nous indiquent que le livre a dû passer quelques années au grenier… Mais bon, rien de bien grave il n’a pas pris l’humidité pour autant (il est même bien compact) et il ne demande qu’à reprendre du service, sur vos rayonnages !

>>> 2,20 €uros >>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Les Prétoriens »

 

Avec le nouveau roman de Jean Lartéguy, nous allons voir les Centurions devenir Les Prétoriens. Le meurtre d'un de leurs camarades entraîne, en effet, les amis d'Esclavier et Boisfeuras à déborder le cadre normal de l'action militaire et à « faire de la politique ». Rien ne pourra plus endiguer ce torrent d'hommes farouches, pas même ceux qui, d'Alger ou de la Métropole, essayent de les soumettre. Par-delà le complot principal du 13 mai, auquel ils vont servir d'instruments, ils ont ce jour-là un complot à eux, ici raconté pour la première fois et dont le succès aurait peut-être changé le cours ultérieur de la guerre d'Algérie.

Les Prétoriens acculés au suicide ou à la démission - ou bien à de nouveaux complots…

Presses pocket – 1976 – 380 pages – 200 grammes.

Etat = quelques menues marques de stockage ( petites traces de choc en haut de premier et dernier plats…), mais rien de grave. L’ensemble est de bonne tenue, la tranche non cassée et l’intérieur sain et propre. Bon pour le service.

>>> 2,80 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Le mal jaune »

 

Ce roman est l’histoire de deux villes qui n’existent plus : Hanoï et Saïgon.

Il y a bien dans le delta du Tonkin une ville qui porte encore le nom d’Hanoï, comme dans le delta du Cochin-Chine une autre qui s’appelle toujours Saïgon. L’une est la capitale d’une république autoritaire et bureaucratique, l’autre d’un état papelard et anachronique. Elles sont prudes, hypocrites et si leurs parcs sont ratissés et leurs bâtiments repeints, elles n’ont plus rien à voir avec les deux villes métisses qui, nées de l’union des Blancs et des Jaunes, moururent de leur divorce. 

C’étaient deux belles métisses infidèles et tendres, cruelles et sensuelles, paresseuses, violentes, impudiques et secrètes.

Ceux qui les aimèrent – et ils furent nombreux – contractèrent auprès d’elles un mal dont ils n’arrivent point à se guérir : le Mal Jaune ; une sorte de nostalgie qui devient poussée de fièvre certains soirs de cafard, certains jours d’abandon. Je dédie ce livre à tous ceux qui, comme moi, furent atteints de cette maladie pernicieuse et éprouvent encore un certain plaisir à l’entretenir.

Les presses de la cité – 1963 – 377 pages – 21,5 x 13,5 cm – 510 grammes.

Couverture cartonnée recouverte de tissu jaune avec inscriptions en rouge + jaquette en couleurs.

Etat = Un petit accro (5 mm) sur jaquette en haut de quatrième, ainsi qu’un bas de tranche très légèrement « talé »… sans quoi il serait presque parfait !?! Un bel exemplaire, en excellent état !

>>> 4 €uros. / disponible. 

 

Jean LARTEGUY : « Les mercenaires »

 

1955. Lorsqu’ils débarquent à Marseille, par une froide matinée de novembre, un an et demi après Diên Biên Phu, d’Esclavier, de Boisfeuras et quelques-uns de leurs compagnons, officiers comme eux de l’armée française, sont devenus des étrangers à leur propre pays.

Si la France vient en effet d’abandonner l’Indochine, les hommes qui constituent ce petit groupe ne se considèrent nullement comme des vaincus. Esclavier et Boisfeuras ont tout simplement subi une défaite au cours d’une guerre qui ne ressemblait à aucune autre, à laquelle ils n’étaient pas préparés.

Au contact des communistes vietnamiens, qui se sont vainement occupés de les « rééduquer », les deux officiers ont compris que, pour lutter à armes égales contre des révolutionnaires, il fallait soi-même le devenir. Cette mue douloureuse est irréversible. Amis, parents, supérieurs hiérarchiques ne reconnaissent plus les hommes qu’ils ont quittés – abandonnés ? – plus d’une année auparavant. Des hommes qui, jetés sans transition dans une autre fournaise – en Algérie cette fois - essaieront de tirer sur tous les plans la leçon de Diên Biên Phu, en patriotes révoltés, en héros désespérés qu’ils sont à jamais devenus.

Presses Pocket – 1978 – 437 pages – 230 grammes.

Etat = petites marques/traces de lectures, stockage et manipulations… une ou deux fines nervures sur une tranche au bas très légèrement frotté… il est clair que le livre a été lu et relu ! Mais par un/des lecteur(s) très soigneux, puisqu’en fait ce ne sont que de micro-mini défauts de rien du tout, qui donnent plus une agréable « patine » à l’ensemble, qu’autre chose !

Tout à fait bon pour le service ! >>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

Ou : …

 

Jean LARTÉGUY : « Les Mercenaires »

( Qui se souvient encore de la guerre de Corée ? )

 

A ma connaissance, aucun mercenaire ne répond plus à la définition qu'en donne le Larousse : "soldat qui sert à prix d'argent un gouvernement étranger".

Les mercenaires que j'ai rencontrés et dont parfois j'ai partagé la vie combattent de vingt à trente ans pour refaire le monde.

Jusqu'à quarante ans, ils se battent pour leurs rêves et cette image d'eux-mêmes qu'ils se sont inventée. Puis, s'ils ne se font pas tuer, ils se résignent à vivre comme tout le monde - mais mal, car ils ne touchent pas de retraite - et ils meurent dans leur lit d'une congestion ou d'une cirrhose du foie.

Jamais l'argent ne les intéresse, rarement la gloire, et ils ne se soucient que fort peu de l'opinion de leurs contemporains. C'est en cela qu'ils diffèrent des autres hommes.

Presses Pocket – 1966 – 437 pages – 290 grammes.

Etat = Excellent de chez excellent !

Un pocket « volume triple » (3,5 cms d’épaisseur, exactement le double de l’exemplaire proposé juste au-dessus, alors qu’il n’est pas imprimé plus gros ! La qualité du papier était toute autre dans les années 60 !), dont la tranche est absolument intacte… et qu’il suffit d’entrouvrir pour comprendre qu’il n’a jamais été lu ! Un cadeau… le prix indiqué en bas de quatrième est masqué au marqueur noir… qui n’a pas fait plus plaisir que ça, et qui est resté inviolé pendant presque 50 ans (jusqu’à la mort du propriétaire !?) avant d’arriver chez nous via une « bourse aux livres » !

Délicieusement vintage… et dans un état pour le moins exceptionnel !

>>> 3,60 €uros. / disponible. 

 

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26/03/2015

Erwan BERGOT : Indochine 1951 / L’année de Lattre

Erwan BERGOT :

 

Indochine 1951 / L’année de Lattre

 

Présentation de l’éditeur / quatrième :

En octobre 1950, les forces du viêt-minh infligent un désastre au Corps expéditionnaire français. L’Indochine est menacée de dislocation. Le général de Lattre arrive à Saïgon avant la fin de l’année et, par une série de décisions spectaculaires, rend une âme à des troupes démoralisées.

Pendant un an, le « roi Jean » va renverser le cours de la guerre par des opérations et des conquêtes extraordinaires. Seules la maladie et la mort le contraindront à abandonner sa mission.

C’est cette prodigieuse épopée que retrace, par le texte et l’image, cet ouvrage : l’Indochine à l’heure de la dernière chance, deux ans avant Diên-Biên-Phu.

 

Présentation/conclusion de l’auteur :

Il y avait, autrefois, une guerre en Indochine. Un jour de décembre 1950, un général s’embarqua pour ce pays lointain, gravement menacé. Il s’appelait de Lattre de Tassigny.

Ce grand soldat rejoignait volontairement ceux qui se battaient à 12.000 kilomètres de leur mère-patrie pour assurer l’indépendance du Viêt-nam, afin de prendre à sa charge la défense de la liberté. De Lattre de Tassigny répondait aux souhaits de ces jeunes combattants, car ils avaient à ses yeux le visage et la foi de son fils Bernard, engagé depuis plus d’un an dans les rizières du Tonkin.

En Indochine, de Lattre apparut comme « celui qui change le destin et qui trace un chemin nouveau » ainsi que devait le dire le président du Conseil dans son éloge funèbre. A ceux qu’on appelait « les soldats de la boue », de Lattre apportait sa foi de combattant et son moral de vainqueur.

Durant une année fulgurante, il infligea aux troupes ennemies cinq défaites écrasantes. Il donna un élan décisif à l’Etat vietnamien et lui apprit que, pour ne pas mourir, il fallait lutter.

Pour vaincre, de Lattre savait qu’il faut tout risquer. Il risqua tout. Il y sacrifia même son fils unique, et y compromit sa santé et sa vie. Ses dernières paroles furent pour exalter ce qui avait guidé sa vie et dirigé son action : « les raisons de vivre sont autant de raisons de mourir pour sauver ce qui donne un sens à la vie ». 

Erwan Bergot

 

France Loisirs, 1987.

29 x 22 cms / 1035 grammes.

192 pages, papier glacé, plusieurs centaines de reproductions photographiques, de grande qualité, in et hors-texte.

 

Reliure cartonnée illustrée… l’exemplaire est en excellent état.

Quasiment comme neuf !

 

>>> 12 €uros. / Vendu ! Indisponible.

 

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Ailleurs : 12, 17 ou 20 €uros sur abebooks.fr

Entre 10 et 18,30 €uros sur Priceminister (exception faite d’un voleur qui le propose à 45,80 !?!??!) / 12 €uros sur galaxidion.com / 12 à 15 €uros sur marelibri.com.

 

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23/03/2015

Pierre SERGENT : Histoire mondiale des parachutistes

Pierre SERGENT :

 

Histoire mondiale des parachutistes

 

 

Présentation de l’auteur :

Go !

Une traction des bras, un bond en avant, une grande bouffée d’air sur le visage, l’impression – une fraction de seconde – de pénétrer dans une soufflerie, un choc qui vous redresse, quelques balancements, et puis la griserie du glissement soyeux entre ciel et terre qui élargit le cœur et fait éclater la poitrine… Il faut avoir connu cela pour le comprendre ! C’est « cela » qui fait du parachutiste un homme qui n’est plus tout à fait comme les autres.

Pendant les quelques minutes du saut dans le ciel et de la descente vers la terre, qu’importent galons ou étoiles ! Seuls comptent les quelques mètres carrés de tissu auxquels on a tout confié. Dénominateur commun entre les hommes, qu’ils soient blancs, jaunes ou noirs, qu’ils appartiennent à des nations différentes, qu’ils défendent des idéaux divergents, le parachute est devenu symbole. Cet attrait de l’inconnu, cet appel du risque et de l’absolu, ce goût de l’impossible, je les ai trouvés sous tous les cieux. Une grande fraternité s’est nouée par delà les frontières, au-delà des combats.

Je souhaite que cet ouvrage contribue à resserrer les liens invisibles qui font des parachutistes du monde entier une grande communauté humaine. Pierre Sergent

 

Pages de garde :

Nous remercions les chefs historiques et les témoins de quarante années de l’épopée des parachutistes à travers le monde qui nous ont confié leurs souvenirs inédits : Général Georges Bergé - Général Marcel Bigeard - Colonel Eddy Blondel - Général Jacques Faure - Général Enrico Frattini - Général Sir Richard Gale - Général James M. Gavin - Colonel Fred Geille - Colonel Alfred Genz - Colonel Henry Glaizot - Général Guiseppe Izzo - Général Pierre Langlais - Général Charles Laurent - Capitaine Joseph Mathieu - Commandant Jacques Morin - Colonel Tomas Pallas-Sierra - Parachutiste du bataillon de choc Michel Poniatowski - Général Matthew B. Ridgway - Commandant Edoardo Sala - Général Henri Sauvagnac - Colonel Otto Skorzeny - Colonel David Stirling - Général Kurt Student - Général Maxwell D. Taylor - Général William C. Westmoreland - Capitaine Zabeline. 

 

Présentation éditeur / quatrième :

Le parachute est devenu symbole. Que les hommes qui l’utilisent appartiennent à des nations différentes, que les idéaux s’éloignent, que leurs peaux ne soient pas de la même couleur importe peu. Ils font partie de la même confrérie : ceux qui ont « sauté », par opposition à l’immense armée de ceux qui sont restés les pieds sur terre. Le parachutisme fait que, sous tous les cieux, on retrouve chez ceux qui le pratiquent ou chez les militaires de l’Arme, un attrait aigu pour le risque, une dynamique extraordinaire, une santé morale et physique hors pair.

Une chevalerie moderne ? Pourquoi pas ?

Il était important de retracer l’Histoire des Parachutistes de par le monde, et de les montrer, sans tenir compte des frontières ou des camps dans lesquels ils se rangèrent, en action et dans l’action.

 

Sommaire :

Le temps des précurseurs – Les troupes d’élite de la 2ème guerre mondiale – Les combattants de l’après-guerre – Tableaux chronologiques – Insignes et brevets parachutistes du monde entier – Souvenirs et témoignages.

 

Note de K : 368 pages, des centaines de photographies (toutes aussi rares que superbes), la plume de Pierre Sergent, des témoignages inédits des plus grands noms (voir liste ci-dessus), plus qu’un simple ouvrage sur les parachutistes… une véritable bible en la matière !   

 

SPL (société de production Littéraire), ré-édition de 1976.

(Édition originale en 1974, avec reliure différente, façon camouflage)

Hauteur = 31 cms / Largeur = 25 cms

368 pages / 1660 grammes

Reliure éditeur entoilée de gris avec titre sérigraphié en bleu nuit + jaquette couleurs. Plusieurs centaines de reproductions photographiques in et hors-texte, nombreux plans et schémas, 8 pages de reproductions d’insignes en couleurs.

 

Etat = quelques petits « frottis » au haut de la jaquette (visibles sur la photo), mais rien de bien notable pour autant ; celle-ci est toujours bien brillante et ne présente ni déchirures ni manques d’aucune sorte. La reliure est en excellent état et l’intérieur est parfait !

Un bel exemplaire, qui ne demande qu’à rejoindre votre bibliothèque.

 

>>> 22 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible. 

 

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Ailleurs (et pour cette édition de 1976) :

21 à 25 €uros sur abebooks.fr / 21 à 35 €uros sur Amazon.fr

De 19,99 à 29,89 €uros sur Priceminister.

 

45 €uros sur librairieduchene.com 

60 €uros sur livre-rare-book.com (Librairie de la Tour à Vichy) !?!???

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17/02/2015

Erwan BERGOT : Mourir au Laos

Erwan BERGOT : « Mourir au Laos »

 

Dans le fracas de la chute de Diên Biên Phu, un autre désastre passe presque inaperçu : la disparition quasi-complète d’un groupement mobile opérationnel franco-vietnamien. Fort de 5000 hommes, il est anéanti le 4 juillet 1954 à 13 kilomètres d’An Khé.

« Mourir au Laos » raconte l’épopée d’un survivant de cette embuscade : le sergent Seilhac. Après une marche épuisante, il rejoint un groupe de partisans Moï, à demi-sauvages, qui mènent un combat de guérilla sur les arrières Viets près de la frontière laotienne. Seilhac participe à de nombreuses actions, d’abord par nécessité, puis par goût de la revanche, enfin parce qu’il est devenu conscient de l’importance que revêt le combat qui oppose les Moïs de la forêt aux Viets de la plaine ; ceux-là défendent leur vie, ceux-ci une politique.

Vaincus, malades et épuisés, Seilhac sera abandonné, puis trahi par le chef du commando, son compatriote. Désormais un but unique lui servira de raison de vivre : se venger. Il survivra à la brousse, à la guerre, à la maladie, mais lorsqu’il la tiendra à bout de bras, sa vengeance lui paraîtra fade et indigne. Tournant le dos à la civilisation, il reviendra vivre et sans doute mourir au Laos.

« Mourir au Laos » d’Erwan Bergot, un rescapé de Diên Biên Phu et du « Camp de l’enfer vert », est l’hallucinant récit d’un combat moyenâgeux dans la brousse, étouffante, hostile et impénétrable.

Editions France Empire, 1965 – 267 pages – 19 x 14 cms – 310 grammes.

Reliure souple protégée par une jaquette couleur avec rabats / nombreuses reproductions photographiques (N&B) hors-texte. Une belle édition, délicieusement vintage !

Etat = quelques minuscules frottis en haut et bas de jaquette… et c’est à peu près tout ce qu’il y a à signaler ! Ladite jaquette est bien brillante, et l'intérieur (au papier resté bien blanc) parfait : un très bel exemplaire !

>>> 6,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

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Ailleurs =  De 4,50 (ex avec jaquette abîmée) à 14 € (très bon état) sur Priceminister.

( Comptez sur du 8 ou 9,50 € pour des ex. en « bon état » )…

8 €uros sur livre-rare-book.com / moyenne aux alentours de 8 €uros.

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