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14/05/2015

Les grands maîtres du polar... / part.2

Les Grands Maîtres du Roman policier

 

 

Collection dirigée par Albert DEMAZIERE

 

 

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Isaac ASIMOV : « Une bouffée de mort » 

 

« C'est à l'Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C'est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c'est le choc alors éprouvé qui l'incite à s'informer en marge de l'enquête officielle. Il ira d'émotion en surprise. »…

Avec ce premier polar, Isaac Asimov, déjà considéré comme un des maîtres de la science-fiction, se range d'emblée parmi l'élite de cette autre discipline.

Collection « Les grands maîtres du roman policier », François Beauval éditeur.

Luxueuse reliure façon « cuir et dorures » / Nombreuses illustrations hors texte.

1975 – 270 pages – 315 grammes. / Etat = Un petit choc sur tranche (rien de grave, c’est juste qu’on est chichiteux) sans quoi il serait comme neuf, nickel ! 

>>> 4 €uros. / disponible. 

 

Georges BERNANOS : « Un crime »

 

Ténébreuse histoire ! Crime ? Suicide ?

Il n’y a pas moins de quatre morts dans cette étrange affaire…

D’abord la vieille dame, assommée dans son château de Mégère. 

Un inconnu ensuite, meurtrier présumé, tué par balle dans les collines voisines. 

Pour corser le tout, madame Louise, ancienne religieuse, gouvernante de la défunte, absorbe une trop forte dose de morphine. Et voilà qu’un enfant de chœur est retrouvé flottant au fil du courant…

Au centre de l’intrigue, un jeune prêtre au masque tragique, au regard pénétrant, au sourire funèbre. Le curé de Mégère… A peine débarqué au presbytère la nuit du drame… Sous quel soleil est-il né, celui-là ?

A travers une enquête à tiroirs, Georges Bernanos décrit toute une société villageoise, ses jalousies et ses aigreurs. Une curiosité.

Editions de Crémille – 1973 – 271 pages – 11,5 x 18 – 300 grammes.

Luxueuse reliure façon cuir bleu et dorures / Nombreuses illustrations hors-texte.

Etat = excellent ! >>> 5 €uros. / disponible. 

 

Chester HIMES : « Le casse de l’oncle Tom »

 

Dans un parking de Harlem, le révérend O'Malley a réuni une centaine de familles pour leur prêcher le retour en Afrique contre un modeste pécule de 1000 dollars. Soudain, sorti de nulle part, un camion conduit par un Blanc fonce dans la foule et embarque le magot de 87000 dollars. Ed Cercueil et Fossoyeur Jones vont bien sûr courir après l'argent volé, mais dans Harlem, tout peut arriver : des escrocs déguisés en pasteurs, des prostituées en bonnes sœurs et, bien sûr, assez de cadavres pour saturer les services de la voirie.

(Note de K. : Ce roman est également paru sous le titre « Retour en Afrique »).

Coll. « Les grands maîtres du roman policier » – François Beauval.

Nombreuses illustrations ( Jean Kerleroux ) hors texte.

1977 – 269 pages – 11,5 x 18 cms – 300 grammes

Luxueuse reliure façon cuir et dorures.

Etat = excellent ! >>> 5 €uros. / disponible. 

 

Sébastien JAPRISOT :

« La dame dans l’auto ( avec des lunettes et un fusil ) »

 

(...) « Je n’ai jamais vu la mer » nous confie Dany Longo, notre héroïne, et mentalement nous lui répondons : « Oui et alors ?  Où veux-tu en venir ? » 

C'est une phrase à la banalité effarante qui nous pousse à continuer notre lecture car, petits curieux et grands cartésiens, nous voulons comprendre ! Nous en apprenons, petit à petit, plus sur cette jeune femme sans grande particularité qui, ayant décidé d'emprunter la voiture de son patron le temps d'un week-end pour aller voir la mer, se trouve rapidement totalement dépassée par les événements et perd la boussole lorsqu'elle découvre… un cadavre dans le coffre de la voiture. 

(...) Partant d'une incohérence, l'auteur rationalise sensiblement sa narration jusqu'au point d'impact, le vrai mystère dans toute sa splendeur, à travers un triangle policier peu commun : un homme mort la présence d'un fusil, arme incongrue et une femme paumée au point de se demander si elle n'est pas elle-même la coupable !?!

Encore une fois, Sébastien Japrisot, qui aime faire forte impression, n'a pas loupé son coup. Mais ce qui le rend exceptionnel, c'est son fin dosage des ingrédients d'un bon roman à suspense. Car doucement, sans qu'on ne comprenne comment, ses histoires, toutes aussi échevelées les unes que les autres, s'éclairent. Maître dans l'art puzzléen, cet homme a, aura et mérite toute notre admiration. Car donner du sens à l'insensé, et ce, dans ses moindres détails, est un talent aussi rare que précieux… (culturetco.com) 

Editions Famot – 1974 – 267 pages – 11,5 x 18 cms – 310 grammes.

Luxueuse reliure façon cuir rouge et dorures / Nombreuses illustrations hors texte.

Un tout tout petit choc sur quatrième, mais c’est vraiment « histoire de dire que »…

Excellent état ! >>> 4,50 €uros. / disponible. 

 

Auguste LE BRETON : « Le clan des Siciliens »

 

« Roger Sartet, dit Mouche de Mai, dit le Petit Gros du Vendredi, apparut menotté, encadré par deux gardes républicains. Tout juste si les treize mois de ratière l'avaient marqué. Un peu plus de bedaine peut-être ! Mais en prison, avec l'air confiné, le manque d'action… Plus que jamais il méritait son surnom de Petit gros du vendredi. Un agaçant sourire était accroché à ses lèvres que la détention avait rougies, et derrière les prunelles faussement indifférentes stagnait la vigilance ».

 

A propos de l'auteur : Son père Eugène Monfort est un acrobate et un clown, un auguste (d'où le prénom de son fils) qui meurt lors de la Première Guerre mondiale en septembre 1914. Sa mère « l'oublie » sur son parcours. Il sera adopté par les Pupilles de la Nation, et de la ferme bretonne où il garde les vaches, on le conduit, à huit ans, dans un orphelinat de guerre. Épris de liberté et d'aventures, il s'en évade à onze ans, puis à douze pour aller en Amérique combattre les indiens. 

Rêve d'enfant… À quatorze ans, ces évasions lui valent d'être transféré dans un Centre d'Éducation surveillée, à l'époque endroits implacables. Ensuite, les choses ne s'arrangent pas : il est couvreur, terrassier, il fréquente la pègre. Là, il noue de solides amitiés avec les voyous de Saint-Ouen qui, logiquement le baptisent « Le Breton ». Il est le témoin d'une époque aujourd'hui révolue. Il racontera plus tard : « Maurice la Gouine, il avait même fait mettre un diam' dans la canine de son chien. Du folklore, oh la la, c'est pas aujourd'hui qu'on trouverait ça à Paris ! ».

Lorsque la guerre survient, puis l'occupation, il fait le bookmaker, possède des parts dans des tripots et des restaurants, affronte parfois les gangsters de la Gestapo française. À la libération, on lui attribue la Croix de Guerre, mais non ce qu'il recherche : pouvoir pénétrer dans les orphelinats et maisons de correction pour s'informer et voir. Il reprend ses activités de bookmaker clandestin.

Puis, en 1947, il a 34 ans, naît sa fille Maryvonne. Il décide alors de tenir le serment qu'il s'était fait lorsqu'il dormait contre les grilles de métro pour bénéficier de sa chaleur fétide : « Si un jour j'ai un enfant, j'écrirai la mienne d'enfance, pour qu'il comprenne, pour qu'il reste humble et propre toute sa vie et devienne un homme ». Ce sera une fille, mais qu'importe, Auguste a toujours été un homme de parole : il prend la plume…

Editions Famot – Collection « Les grands maîtres du roman policier ».

1974 – 265 pages – 11,5 x 18 cms – 340 grammes.

Luxueuse reliure imitation cuir et dorures.

Nombreuses illustrations ( Jean Cheval ) hors texte.

Etat = excellent ! >>> 5 €uros. / disponible. 

 

Maurice LEBLANC : « L’aiguille creuse » (Arsène Lupin)

 

Drame au château du comte de Gesvres : un inconnu, surpris la nuit dans la propriété, est atteint d'un coup de fusil par la nièce du comte. Peu après, la jeune fille est enlevée. Arsène Lupin a-t-il encore frappé ? Isidore Bautrelet, lycéen surdoué, détective amateur, prétend en savoir plus long que la police. Il serait sur la piste de « l'Aiguille creuse », un secret considérable dont seuls les rois de France possédaient la clef !

François de Beauval / Collection « Les grands maîtres du roman policier ».

1973 – 255 pages – 11,5 x 18 cms – 310 grammes.

Luxueuse reliure éditeur façon cuir bleu + dorures.

Nombreuses illustrations hors-texte de Jean Kerleroux.

Etat = excellent ! Comme neuf ! >>> 5 €uros/ disponible. 

 

Léo MALET : « Brouillard au pont de Tolbiac »

 

Années 1950. Dans les brumes parisiennes du XIIIe arrondissement, Nestor Burma est rattrapé par son passé : une jeune gitane des rues le guide vers l'hôpital dela Salpetrière où il découvre le cadavre d'un ancien camarade de lutte. 

Il est loin le temps où « Dynamite Burma » fréquentait la cellule anarchiste du quartier… Reconverti dans la fausse monnaie et la ferraille, le mort continuait, lui, à vivre dangereusement, menacé par la bande de l'attentat du pont de Tolbiac, une affaire sanglante jamais élucidée. Le privé a beau se vanter de « mettre le mystère K.-O. », comme l'indique sa plaque de détective, il ne peut rien contre le jeu de massacre qui s'annonce. D'autant qu'il est prompt à s'émouvoir face à Bélita, la femme-enfant égarée sur son chemin…

 

Autant à la recherche de lui-même que de l'assassin d'un chiffonnier bizarre, Nestor Burma parcourt dans l'espace et dans le temps un XIIIe arrondissement devenu pour nous une ville fantôme. Dans la lumière laiteuse du Foyer végétalien, Léo Malet se dessine derrière l'adolescent Nestor Burma. Et l'ombre des bandits tragiques hante cette reconstitution libertaire et nostalgique, éclairée par des confidences de l'auteur et des documents inédits.

Editions de Crémille – 1973 – 244 pages – 11,5 x 18 cms – 300 gr.

Luxueuse reliure façon cuir bleu et dorures.

Nombreuses illustrations hors texte.

Etat = excellent ! >>> 5 €uros/ disponible. 

 

Georges SIMENON : « Le charretier de La Providence »

 

( Une enquête de Maigret ) 

 

Sur un yacht, à l'écluse 14 de Dizy, près d'Epernay, une femme a été assassinée : Mary Lampson, l'épouse d'un Anglais, colonel en retraite. Quelques jours plus tard, alors que Maigret a commencé son enquête, c'est au tour de Willy, l'homme de confiance du colonel et l'amant de Mary d'être tué.

Non loin de là vit jean, le charretier de la péniche La Providence, en compagnie de ses chevaux de halage et d'une femme, Hortense Canelle. Divers indices ont orienté Maigret vers lui.

Mais quel rapport peut-il exister entre cet homme taciturne et le couple Lampson ? Maigret finira par le découvrir loin dans le passé. Et le destin obscur et pathétique du charretier de La Providence émergera peu à peu des brumes.

Editions de Saint-Clair – 1975 – 235 pages – 11,5 x 18 cms – 300 gr.

Luxueuse reliure façon cuir rouge et dorures.

Nombreuses illustrations hors texte.

Un tout tout petit choc sur quatrième, mais c’est vraiment histoire « de dire que »…

Excellent état ! >>> 4,50 €uros. / disponible. 

 

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21/04/2014

Isaac ASIMOV / Part.1

Isaac ASIMOV / Part.1

Les romans de Science-Fiction.

 

( Mise à jour de la note du 11 janvier 2012 )

 

Isaac ASIMOV : « Tyrann »

« L’empire galactique des Tyrannis comprend des dizaines de mondes, dont la Terre, qui n’est qu’un de leurs nombreux vassaux. Or c’est sur Terre, justement, que Biron Farrill, le fils d’un de leurs principaux opposants ; qu’ils ont assassiné ; recherche un document mythique, datant d’un lointain passé, qui pourrait mettre fin au règne des despotes. Quand on attente à sa vie, Farrill doit cependant fuir in extremis pour se rendre sur Lingane, la seule planète où s’organise la résistance contre Tyrann. Là, il entend parler d’une mystérieuse planète, sur laquelle une armée de rebelles attendrait de reconquérir la galaxie. Mais cette armée existe-t-elle réellement ? Serait-ce sa dernière chance de sauver sa vie et de venger son père ? »

Editions J’ai Lu poche / 1973 / 313 pages / 195 gammes. 

Un exemplaire avec quelques cassures sur tranche légèrement insolée… 

>>> 2 €uros. /disponible. 

 

Ou un autre ( même année / édition ), avec tranche nickel…

Et juste quelques infimes marques de lecture… : 2,50 €uros. / Vendu !  

 

Isaac ASIMOV : « Quand les ténèbres viendront »

Lagash est une extraordinaire planète dont les habitants ne voient jamais la nuit puisque leur système solaire est composé de six soleils.

Or, voici venir une tragédie terrifiante le crépuscule tombe sur Lagash. Des six soleils, il ne reste plus que Beta à briller, lequel commence lui-même à faiblir singulièrement. Dans quelques heures, les ténèbres viendront, et avec elles la fin de la planète, prétendent les savants. Mais pourquoi les habitants de Lagash ne supporteraient-ils pas la nuit ? Auraient-ils si peur des étoiles ?…

Quatre des nouvelles sélectionnées par Asimov lui-même pour constituer le recueil américain Nightfall, dont la publication se poursuit dans Présence du Futur avec « L'amour vous connaissez ? » et « Jusqu'à la quatrième génération ».

Un livre paru dans la très recherchée collection : Présence du futur/ Denoël !!!…

1975 / 219 pages / 145 grammes.

Quelques infimes marques d’usage… sans quoi il est quasiment « comme neuf », et donc en « état exceptionnel » pour un exemplaire de 1975 et de l’époque des « reliures/couvertures blanches » ! 

>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Isaac ASIMOV : « Dangereuse Callisto »

Réunies en quatre volumes dont voici le premier, toutes les nouvelles qu'Asimov publia dans sa jeunesse et dont la plus grande partie parut dans le célèbre magazine de Campbell Astounding Science-Fiction, chaque récit étant précédé d'un texte explicatif où Asimov parle de sa vie littéraire et fait l'historique des débuts de la littérature d'anticipation aux Etats-Unis. Cette publication se poursuit avec « Noël sur Ganymède », « Chrono-minets » et « Jusqu'à la quatrième génération ».

Les sept premières missions qui se sont posées sur Callisto n'ont plus jamais donné signe de vie. Pourquoi en irait-il autrement de la huitième ? Peut-être parce qu'il s'y trouve un certain passager clandestin… Deux chercheurs mettent au point une matière plus belle que l'or et infiniment moins chère à produire. La ruée peut commencer. Sur Vénus, un autochtone découvre une arme effroyable capable de mettre les Terriens dehors… de manière radicale. Huit nouvelles qui en leur temps jetèrent les bases d'une science-fiction moderne et humaniste, révélant au public le talent précoce de celui qui allait devenir le père de Fondation et des Robots.

Un livre paru dans la très recherchée collection : Présence du futur/ Denoël !!!…

1977 / 315 pages / 215 grammes.

Quelques marques d’usage… état moyen + / bon : 3,50 €uros. / disponible.

( Prix du net  =  5 €uros sur librys.fr / 6,50 € sur alapage / 6,96 € sur chapitre.com )

 

Isaac ASIMOV : « Face aux feux du soleil »

Nous connaissons déjà Elijah Baley et Daneel R. Olivaw qui menèrent une difficile enquête dans Les cavernes d'acier. C'est désormais sur la lointaine planète Solaria qu'ils vont devoir exercer leur talent. Sur ce monde, les hommes n'acceptent plus de se rencontrer physiquement mais se visionnent grâce à des projections télévisées.

Or, un meurtre a été commis, un meurtre apparemment impossible puisque aucun Solarien n'aurait eu la force nerveuse suffisante pour s'approcher d'un de ses compatriotes. Qui plus est, un robot semble impliqué, ce qui est absurde, puisque les lois de la robotique interdisent à ces êtres de métal de causer le moindre tort aux hommes.

J’ai lu – 1980 – 309 pages – 160 grammes.

Etat = un tampon « foyer rural » sur page de garde, certainement lu une ou deux fois, mais excellent état général, tranche non cassée, tout à fait O.K !

>>> 2 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Egalement disponible : un autre exemplaire (même année / collection) présentant quelques marques de stockage et manipulations sur plats, mais tout aussi bon que le précédent pour ce qui en est de l’intérieur et de la tranche !

>>> 1,80 €uros. / disponible. 

 

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Isaac ASIMOV : « Un défilé de robots »

Dans les robots, nous avons fait connaissance du Dr Susan Calvin, robopsychologue de l'United States Robots Inc. Nous la retrouvons ici dans une série de récits consacrés aux robots positroniques, c'est-à-dire garantis inoffensifs et dévoués à l'homme.

Mais un robot prévu pour l'environnement lunaire ne peut-il être dangereux sur Terre en raison de sa programmation même ? Un autre ne peut-il nuire aux humains en croyant les protéger ? Est-il concevable de risquer la vie d'un homme pour sauver l'existence d'un robot prototype, d'un fabuleux prix de revient ?

C'est à de tels problèmes que Susan Calvin va être confrontée, mais surtout à la terreur innée que suscitent les robots chez l'homme de la rue, qui voit toujours en eux la monstrueuse création du Dr Frankenstein.

J’ai lu – 1978 – 247 pages – 140 grammes.

Etat = Une toute petite marque en bas de couv’, sans quoi : comme neuf !!!

>>> 2,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

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10/09/2013

Asimov & Silverberg

ASIMOV – SILVERBERG : « Le Retour des Ténèbres »

 

Tout a commencé par une attraction foraine. Les gens étaient joyeux d’entrer dans le Tunnel du Mystère. Ils en ressortaient fous. Les psychologues ont fait des hypothèses.

Ensuite, il y a eu le chantier de fouilles. Les villes préhistoriques empilées l’une sur l’autre, et les traces d’incendies. Les archéologues ont fait des hypothèses.

Un peu plus tard, il y a eu les anomalies orbitales. Comment les concilier avec la Théorie de la Gravitation Universelle ? Les astronomes ont fait des hypothèses.

Le comble, ce fut la prophétie : l’Année Sacrée allait finir. Les soleils se cacheraient, le ciel deviendrait tout noir et les étoiles paraîtraient, porteuses de mort, pour punir les hommes de leur méchanceté. Chez les Apôtres de la Flamme, ce n’était pas une hypothèse, c’était une idée fixe, et des plus haïssables.

Ainsi parlaient les esprits forts, et ils ne savaient pas. Mais brusquement tout est là : les Ténèbres et le Froid et la Fin des Temps. Horreur ! Horreur ! Horreur !

Dans l’effrayante noirceur du firmament palpite l’horrible splendeur des astres glacés. Comment détourner les yeux ? Les murs de l’univers basculent, nous allons être écrasés. On voit l’horizon, du côté de la ville, s’empourprer d’une lueur qui prend de l’éclat, et qui n’est pas celle d’un soleil. Du rez-de-chaussée monte le bruit insistant des coups sur la porte, le martèlement terrible et régulier de l’hydre à mille têtes. À toute force, elle veut entrer. Nous allons devenir fous et nous le savons. Bientôt nous ne le saurons plus ; nous serons morts au monde et le monde sera mort à nous.

 

Chez Olivier ORBAN / 1991.

309 pages / 23,5 x 15 cms / 480 grammes.

Quelques traces de manip’ et stockage sur plats ainsi qu’une très légère marque de pliure en haut de la quatrième, mais rien de bien grave / remarquable… la tranche n’est pas cassée, l’intérieur est sain et propre, et l’ensemble tout à fait O.K.

>>> 4,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Asimov et Silverberg.jpg

 

( >>> http://monot.jc.pagesperso-orange.fr/biblio/lerete__.htm )  

 

Ailleurs = 8 €uros sur galaxidion.com

Entre 4 et 7 €uros ( selon l’état ) sur priceminister

8 €uros sur livre-rare-book.com ( librairie Paroles / Avignon )

 

13/04/2012

Isaac ASIMOV / Part.2

Isaac ASIMOV / Part.2

Les romans Policiers.

 

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Isaac ASIMOV : « A table avec les veufs noirs »

 

Quatrième de couv’ : Avant d'écrire Le Club des veufs noirs, Asimov a-t-il lorgné du côté de Chesterton ? Il n'en dit rien dans sa préface, préférant citer Hercule Poirot et ses petites cellules grises. En lisant son livre, on ne peut cependant que songer au créateur du père Brown. C'est peut-être pour cette raison que le plaisir qu'on en éprouve a quelque choses de joyeux.

 

On entre dans la lecture du Club des veufs noirs parce que l'on aime Asimov, avant tout. Ici, pas de robots, de Spaciens, pas de cavernes d'acier ni d'Elijah Bailey: nous sommes dans un lieu cosy, où un groupe d'amis, pas forcément veufs ni célibataires, un peu âgés se réunit pour boire un coup et fumer le cigare, sous la présence bienveillante d'un majordome discret, mais attentif. Le livre est conçu comme un groupe de nouvelles, chacun décrivant une soirée de réflexion des veufs noirs autour d'une énigme apportée par un invité, souvent criminelle mais pas seulement. L'énigme est soumise aux veufs, et leur réflexion collective fait avancer vers la solution. A chaque fois, le majordome, le moindre des membres du club mais pas le moins sage, éclaire la conversation et la fait pencher vers la solution logique, il chasse les incohérences, et la vérité triomphe.

On est entre Hercule Poirot et Rouletabille, l'ambiance est calme, studieuse, sombre et gourmande – et parfois, comme lorsque l'énigme concerne l’œuvre de Gilbert et Sullivan, qui travaillèrent sur des opéras comique au XIXème siècle, on est un peu perdu, mais globalement, les 60 textes du cycle des veufs noirs (en plusieurs tomes) sont des vraies petites perles délicieuses à déguster – avec le même recul que l'on doit adopter lorsque l'on lit les aventures d’Hercule Poirot, ou Jonathan Strange et Mr Norrell, il y a beaucoup de second degré.

Asimov a toujours dit que de son vivant il ne cesserait de publier des veufs noirs.

Il a réussit à nous surprendre à chacun des volumes.

Pour les inconditionnels du style policier de Asimov et à découvrir si on aime réfléchir.

Les commentaires de l'auteur à la fin de chaque histoire sont à eux seuls un régal.

( http://www.amazon.fr/table-avec-veufs-noirs/dp/2264014318 )

 

Collection 10/18 – 1989 - 321 pages – 185 grammes / Etat =  une assez nette cassure sur tranche sans quoi le reste est tout à fait ok, entre bon et bon+.

>>> 2 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Isaac ASIMOV : « Une bouffée de mort » 

« C'est à l'Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C'est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c'est le choc alors éprouvé qui l'incite à s'informer en marge de l'enquête officielle. Il ira d'émotion en surprise. »…

Avec ce premier roman policier, Isaac Asimov, déjà considéré comme un des maîtres de la science-fiction, se range d'emblée parmi l'élite de cette autre discipline.

Collection « Les grands maîtres du roman policier », François Beauval éditeur.

Luxueuse reliure façon « cuir et dorures » / Nombreuses illustrations hors texte.

1975 – 270 pages – 315 grammes / Etat = Un petit choc sur tranche ( rien de grave, c’est parce qu’on est titilleux ! ) sans quoi il serait comme neuf, nickel ! 

>>> 4 €uros. / disponible.

 

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