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29/08/2015

Phyllis Dorothy JAMES - 5 Romans

P.D. JAMES : « A visage couvert »

 

À Martingale, la belle demeure des Maxie dans la campagne anglaise, on est assez tolérant pour admettre une domestique mère célibataire, et qui ne veut pas être séparée de son enfant. Mais rien ne va plus lorsque celle-ci arbore la même robe que la fille de la maison… et annonce ses fiançailles avec le "jeune maître".

Un meurtre est commis le soir même chez les Maxie. Et le policier Dalgliesh, spécialement mandaté par Scotland Yard, va entrer dans une des affaires les plus troublantes de sa carrière.

Le Livre de Poche, 1993 – 284 pages – 130 grammes.

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P.D. JAMES : « Par action et par omission »

 

En vacances sur la côte du Norfolk, l'inspecteur Dalghiesh compte bien oublier Scotland Yard pour quelque temps. Il se promène, fait connaissance avec les personnalités de l'endroit, le directeur de la centrale nucléaire voisine, l'écologiste qui depuis sa caravane anime la "résistance", et d'autres encore. Et il n'a aucune envie de se préoccuper de l'Étrangleur qui sévit dans la région.

Mais voilà qu'au cours d'une promenade il découvre lui-même un cadavre portant la "signature" de l'Étrangleur une mutilation particulièrement macabre. Or le criminel, on l'apprend presque aussitôt, s'est suicidé avant que ce dernier meurtre n'ait été commis…

Le Livre de Poche, 1993 – 537 pages – 240 grammes.

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P.D. JAMES : « Meurtre dans un fauteuil »

 

Adam Dalgliesh, un des plus fins limiers de Scotland Yard, a reçu une lettre d’un vieil ami l’invitant à lui rendre visite. Lorsqu’il arrive à Toynton Manor – l’institution pour handicapés dont son ami est l’aumônier –, Dalgliesh apprend la triste nouvelle : le père Baddeley est mort et enterré.

Dalgliesh ne croit guère à une crise cardiaque. Aussi s’attarde-t-il dans cette étrange demeure. Très vite, Toynton Manor lui apparaît comme un repaire où les intrigues, les haines, les jalousies créent une atmosphère irrespirable. La série de morts mystérieuses qui s’ensuivent ne fait que confirmer ses soupçons…

Le Livre de Poche, 1994 – 411 pages – 185 grammes.

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P.D. JAMES : « Meurtres en blouse blanche »

 

Le décor : l’hôpital John Carpendar, imposant établissement d’époque victorienne abritant plusieurs services, dont une école d’infirmières. La première victime : une des élèves, tuée d’une manière particulièrement atroce. Les suspects : les infirmières, et, surtout, la directrice, la formidable Mary Taylor, ses trois «secondes», mais aussi le grand patron, le docteur Courtney-Briggs, dont on découvre bientôt qu’il a eu une liaison avec une des victimes. L’enquêteur : le commissaire Dalgliesh, bien sûr, qui, face à des femmes aguerries à la souffrance, dures à la tâche, habituées au secret professionnel et farouchement féministes, aura fort à faire pour dénouer une intrigue dont les ramifications plongent loin dans le passé.

Un P.D. James grand cru, qui valut à son auteur deux distinctions prestigieuses : la Dague d’or de l’Association des écrivains policiers britanniques et l’Edgar américain.

Le Livre de Poche, 1994 – 377 pages – 165 grammes.

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P.D. JAMES : « Un certain goût pour la mort »

 

Le commandant Adam Dalgliesh, de Scotland Yard, fouille dans le passé de Sir Paul Berowne. Cet aristocrate, promis à un brillant avenir, a été égorgé dans la sacristie d'une église de Paddington, aux côtés d'un clochard, lui aussi saigné à blanc. Qui était Paul Berowne ? Une vendetta familiale, une jeune fille noyée dans la Tamise, une révélation mystique – autant d'indices qui semblent ne mener nulle part. Mais c'est peut-être en lui même que Dalgliesh trouvera la réponse. Car ce flic peu ordinaire, poète à ses heures, amateur d'architecture et de musique baroque, possède lui aussi un passé douloureux.

Et un certain goût pour la mort… 

Le Livre de Poche, 1992 – 669 pages – 290 grammes.

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P.D. JAMES, Phyllis Dorothy JAMES, Adam Dalgliesh, Scotland Yard, polars, romans policiers, polars anglais

Phyllis Dorothy JAMES

Les enquêtes de l'inspecteur Dalghiesh

Polars… à l’anglaise !

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13/04/2012

Isaac ASIMOV / Part.2

Isaac ASIMOV / Part.2

Les romans Policiers.

 

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Isaac ASIMOV : « A table avec les veufs noirs »

 

Quatrième de couv’ : Avant d'écrire Le Club des veufs noirs, Asimov a-t-il lorgné du côté de Chesterton ? Il n'en dit rien dans sa préface, préférant citer Hercule Poirot et ses petites cellules grises. En lisant son livre, on ne peut cependant que songer au créateur du père Brown. C'est peut-être pour cette raison que le plaisir qu'on en éprouve a quelque choses de joyeux.

 

On entre dans la lecture du Club des veufs noirs parce que l'on aime Asimov, avant tout. Ici, pas de robots, de Spaciens, pas de cavernes d'acier ni d'Elijah Bailey: nous sommes dans un lieu cosy, où un groupe d'amis, pas forcément veufs ni célibataires, un peu âgés se réunit pour boire un coup et fumer le cigare, sous la présence bienveillante d'un majordome discret, mais attentif. Le livre est conçu comme un groupe de nouvelles, chacun décrivant une soirée de réflexion des veufs noirs autour d'une énigme apportée par un invité, souvent criminelle mais pas seulement. L'énigme est soumise aux veufs, et leur réflexion collective fait avancer vers la solution. A chaque fois, le majordome, le moindre des membres du club mais pas le moins sage, éclaire la conversation et la fait pencher vers la solution logique, il chasse les incohérences, et la vérité triomphe.

On est entre Hercule Poirot et Rouletabille, l'ambiance est calme, studieuse, sombre et gourmande – et parfois, comme lorsque l'énigme concerne l’œuvre de Gilbert et Sullivan, qui travaillèrent sur des opéras comique au XIXème siècle, on est un peu perdu, mais globalement, les 60 textes du cycle des veufs noirs (en plusieurs tomes) sont des vraies petites perles délicieuses à déguster – avec le même recul que l'on doit adopter lorsque l'on lit les aventures d’Hercule Poirot, ou Jonathan Strange et Mr Norrell, il y a beaucoup de second degré.

Asimov a toujours dit que de son vivant il ne cesserait de publier des veufs noirs.

Il a réussit à nous surprendre à chacun des volumes.

Pour les inconditionnels du style policier de Asimov et à découvrir si on aime réfléchir.

Les commentaires de l'auteur à la fin de chaque histoire sont à eux seuls un régal.

( http://www.amazon.fr/table-avec-veufs-noirs/dp/2264014318 )

 

Collection 10/18 – 1989 - 321 pages – 185 grammes / Etat =  une assez nette cassure sur tranche sans quoi le reste est tout à fait ok, entre bon et bon+.

>>> 2 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Isaac ASIMOV : « Une bouffée de mort » 

« C'est à l'Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C'est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c'est le choc alors éprouvé qui l'incite à s'informer en marge de l'enquête officielle. Il ira d'émotion en surprise. »…

Avec ce premier roman policier, Isaac Asimov, déjà considéré comme un des maîtres de la science-fiction, se range d'emblée parmi l'élite de cette autre discipline.

Collection « Les grands maîtres du roman policier », François Beauval éditeur.

Luxueuse reliure façon « cuir et dorures » / Nombreuses illustrations hors texte.

1975 – 270 pages – 315 grammes / Etat = Un petit choc sur tranche ( rien de grave, c’est parce qu’on est titilleux ! ) sans quoi il serait comme neuf, nickel ! 

>>> 4 €uros. / disponible.

 

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