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13/04/2012

Isaac ASIMOV / Part.2

Isaac ASIMOV / Part.2

Les romans Policiers.

 

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Isaac ASIMOV : « A table avec les veufs noirs »

 

Quatrième de couv’ : Avant d'écrire Le Club des veufs noirs, Asimov a-t-il lorgné du côté de Chesterton ? Il n'en dit rien dans sa préface, préférant citer Hercule Poirot et ses petites cellules grises. En lisant son livre, on ne peut cependant que songer au créateur du père Brown. C'est peut-être pour cette raison que le plaisir qu'on en éprouve a quelque choses de joyeux.

 

On entre dans la lecture du Club des veufs noirs parce que l'on aime Asimov, avant tout. Ici, pas de robots, de Spaciens, pas de cavernes d'acier ni d'Elijah Bailey: nous sommes dans un lieu cosy, où un groupe d'amis, pas forcément veufs ni célibataires, un peu âgés se réunit pour boire un coup et fumer le cigare, sous la présence bienveillante d'un majordome discret, mais attentif. Le livre est conçu comme un groupe de nouvelles, chacun décrivant une soirée de réflexion des veufs noirs autour d'une énigme apportée par un invité, souvent criminelle mais pas seulement. L'énigme est soumise aux veufs, et leur réflexion collective fait avancer vers la solution. A chaque fois, le majordome, le moindre des membres du club mais pas le moins sage, éclaire la conversation et la fait pencher vers la solution logique, il chasse les incohérences, et la vérité triomphe.

On est entre Hercule Poirot et Rouletabille, l'ambiance est calme, studieuse, sombre et gourmande – et parfois, comme lorsque l'énigme concerne l’œuvre de Gilbert et Sullivan, qui travaillèrent sur des opéras comique au XIXème siècle, on est un peu perdu, mais globalement, les 60 textes du cycle des veufs noirs (en plusieurs tomes) sont des vraies petites perles délicieuses à déguster – avec le même recul que l'on doit adopter lorsque l'on lit les aventures d’Hercule Poirot, ou Jonathan Strange et Mr Norrell, il y a beaucoup de second degré.

Asimov a toujours dit que de son vivant il ne cesserait de publier des veufs noirs.

Il a réussit à nous surprendre à chacun des volumes.

Pour les inconditionnels du style policier de Asimov et à découvrir si on aime réfléchir.

Les commentaires de l'auteur à la fin de chaque histoire sont à eux seuls un régal.

( http://www.amazon.fr/table-avec-veufs-noirs/dp/2264014318 )

 

Collection 10/18 – 1989 - 321 pages – 185 grammes / Etat =  une assez nette cassure sur tranche sans quoi le reste est tout à fait ok, entre bon et bon+.

>>> 2 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Isaac ASIMOV : « Une bouffée de mort » 

« C'est à l'Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C'est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c'est le choc alors éprouvé qui l'incite à s'informer en marge de l'enquête officielle. Il ira d'émotion en surprise. »…

Avec ce premier roman policier, Isaac Asimov, déjà considéré comme un des maîtres de la science-fiction, se range d'emblée parmi l'élite de cette autre discipline.

Collection « Les grands maîtres du roman policier », François Beauval éditeur.

Luxueuse reliure façon « cuir et dorures » / Nombreuses illustrations hors texte.

1975 – 270 pages – 315 grammes / Etat = Un petit choc sur tranche ( rien de grave, c’est parce qu’on est titilleux ! ) sans quoi il serait comme neuf, nickel ! 

>>> 4 €uros. / disponible.

 

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