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18/03/2017

Guy Sajer / Historama N°238

En parfait complément du livre « Le Soldat Oublié » de Guy Sajer ; qui vous est présenté via la note suivante ; nous vous proposons également :  

 

Historama N°238 ( Septembre 1971 )

« La tragique aventure d’un Alsacien de 17 ans sur le front Russe »

 

Sommaire :

La tragique aventure d’un Alsacien de 17 ans sur le front Russe / par Guy Sajer

( 21 pages, illustrées par de nombreuses photographies issues de la revue Signal )

 

Les Français à l’assaut des Dardanelles / par Jérôme Carcopino

Pourquoi j’ai approuvé les accords de Munich / par Georges Bonnet

Comment la France abandonna Dupleix et les Indes / par Pierre Gaxotte

Triomphes inconnus du contre-espionnage Français / par Louis Garros

Rudolf Hess livrera-t-il ses secrets avant de mourir ? / par J.B Hutton

 

162 pages – 220 grammes – 24 x 16,5 cms.

Etat = les plats (couv' et quatrième de couv') présentent quelques petites traces de stockage et/ou manipulation(s), mais rien de bien grave… pas de manques ni de déchirures, le magazine est toujours bien compact et l'intérieur est en parfait état !

Tout à fait O.K bon pour le service >>> 5 €uros. / Temporairement indisponible!.  

 

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Ailleurs = de 3,5 à 6,5 € sur priceminister (pour des exemplaires allant de "moyen" à "bon",

les "couvertures déchirées" à 1,50 n'entrant, bien sûr, pas en ligne de compte).

7 ou 10 €uros sur amazon.fr / 10 €uros sur chapitre.com / 14,95 €uros sur le-livre.fr

19 €uros (!!!) sur livre.fnac.com et gibertjeune.fr

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Guy SAJER : Le soldat oublié

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

 

Guy Sajer n’a pas 17 ans quand, en juillet 1942, il endosse l’uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l’Alsace. A cause de son jeune âge, il n’est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l’hiver s’abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l’unité de Sajer n’atteindra Stalingrad qu’elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n’est pas une partie de plaisir, que survivre dans l’hiver russe est déjà un combat. Et pourtant, ce premier hiver, il n’a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lorsqu’il est versé dans la division Gross Deutschland, division d’élite, avec laquelle, à partir de l’été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d’Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l’offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque –40° degrés, sous le martèlement terrifiant de l’artillerie russe, face aux vagues d’assaut d’un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la Gross Deutschland, portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l’enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l’échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d’Apocalypse. Plus tard, quand le front allemand s’est désagrégé, quand l’immense armée reflue, aux combats réguliers s’ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c’est la retraite des derniers survivants de la division d’élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu’en Pologne. Dans l’hiver 1944-1945, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l’entrée du Vateriand aux Russes. C’est encore Memel, où l’horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l’exode des populations allemandes de l’Est. Enfin, malade, épuisé, Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre… Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s’il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n’est pas seulement parce que l’auteur a réellement vécu tout ce qu’il rapporte, ce n’est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l’accent et la force terrible de la réalité, c’est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu’il n’y a pas là de "littérature", pas de morceaux de bravoure – mais que c’était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l’horreur…

 

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Une légère trace de pliure sur le premier plat ainsi qu’une fine marque de cassure sur la tranche, mais l’ensemble n’est pas mal du tout… la tranche n’est quasiment pas incurvée (ce qui est plutôt rare pour un Livre de Poche aussi épais !) l’intérieur est propre et sain, il est assez rare de pouvoir trouver cette version en aussi bon état !!!…

>>> 5,80 €uros. / Vendu!

 

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Egalement disponible en version grand format :

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

Robert Laffont – 1967 – 543 pages – 24 x 15,5 cm – 690 grammes.

Broché (reliure souple), couverture rempliée (comme une jaquette), carte au verso du premier plat.

Etat = bords de plats (par endroit) très légèrement frottés, ainsi qu’une petite déchirure (restaurée avec soin) en haut de quatrième, côté tranche. Aber so, rien de bien grave… et comme les plats sont toujours bien brillant, que la tranche n’est pas cassée (!!!) et que l’intérieur est comme neuf ; ce ne sont pas ces infimes défauts qui m’empêcheront de l’estampiller comme BON !!!…

>>> 12 €uros. / Vendu!

 

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Ailleurs (au format poche) = entre 3,50 et 10 €uros sur priceminister.

(Selon les états... et les vendeurs !)

Ailleurs (grand fomat) = entre 8,50 et 13,50 sur Priceminister

entre 10 et 16 €uros sur livre-rare-book.com / entre 10 et 30 €uros sur ebay.

 

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> Interview de Guy Sajer, 39-45 Magazine, décembre 1993.

 

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Mes parents sont nés sur la terre, à quelque mille kilomètres de distance.

D'une distance encombrée de difficultés, de complexes étranges, de frontières entremêlées, de sentiments équivalents et intraduisibles. Moi, j'ai abouti de cette alliance, à cheval sur cet ensemble délicat avec une seule vie pour débattre tant de problèmes. J'ai été enfant, mais cela est sans importance. Les problèmes existaient avant moi, et je les ai découverts.

Puis il y a eu la guerre. Je l'ai alors épousée, parce qu'il n'y avait guère qu'elle a l'âge que j'ai eu, moi aussi, lorsque l'on est amoureux.

Je fus brutalement comblé. J'avais soudain deux drapeaux à honorer, deux lignes de défense, l'une Siegfried, l'autre Maginot, et puis aussi de grands ennemis à l'extérieur. J'ai servi, j'ai rêvé, j'ai espéré. J'ai eu également froid et peur sous le portail où jamais n'est apparue Lilli Marlène.

J'ai dû mourir aussi un jour, et depuis, rien n'a eu tellement d'importance.

Alors, je demeure ainsi, sans regret, désolidarisé de toute condition humaine.

( Guy Sajer )

 

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"Le soldat oublié" occupe une place à part dans les témoignages sur le front de l'Est. Il possède une force propre et une puissance unique dans l'évocation de ce que fut la guerre contre le bolchevisme et de tout ce que vécurent les soldats pendant presque quatre années. En France, la plupart des témoignages sur cette épopée concernent d'anciens Waffen SS mais ici, c'est celui d'un jeune Franco-Allemand de la Wehrmacht. Sous le casque à 16 ans, en 1942, Guy Sajer sera d'abord convoyeur de trains puis passera l'année suivante dans la fameuse division Grossdeutschland dans laquelle il restera jusqu'à la fin de la guerre. "Le soldat oublié" est le récit de la guerre à l'Est vue par un jeune soldat qui, quelques années après la guerre, écrira au cours d'une maladie ce qu'il avait vécu durant trois ans.

Peut-être plus que dans aucun autre récit, l'horreur du front russe y est décrite d'une façon très détaillée qui frappe le lecteur par l'intensité de son évocation. Ici, sans concession, est racontée la guerre vécue par un garçon qui y enterrera son adolescence entre le sang, la faim et la peur. Aucun enjolivement ne fut apporté à ce récit qui frappe par son intensité et nous plonge au cœur de la vie quotidienne de tous ces hommes, de leurs peurs et de leurs épreuves. L'auteur a mis son cœur et ses tripes dans ce récit, cela en renforce le côté émouvant et la force. C'est en effet le récit des désillusions; à la fin, la guerre est perdue, les camarades morts ou emprisonnés, la fiancée berlinoise perdue ou morte, les survivants ne sont plus que des parias… La guerre est plus qu'un souvenir, c'est un traumatisme. Robert Dun disait que "Le soldat oublié" était l'un des meilleurs ouvrages sur la seconde guerre mondiale. Il avait raison.

Le livre a d'ailleurs connu un grand succès: vendu à plus de 3 millions d'exemplaires, traduit dans près de 40 langues, il a également été primé.

Chronique signée Rüdiger,

pour « Le Cercle Non Conforme »

(http://cerclenonconforme.hautetfort.com/) 

  

28/06/2016

Bob MALOUBIER : Plonge dans l’or noir, espion !

Bob MALOUBIER :
"Plonge dans l’or noir, espion !"

Laissé pour mort ici, prisonnier là, la France libre et le maquis, les parachutages en Indochine dès 1945, ce n’est encore pour Bob Maloubier qu’un prologue. Fondateur du 11ème bataillon de choc et des nageurs de combat d’Aspretto, recruteur et instructeur d’espions, il devient l’exécuteur des hautes et nasses œuvres des services secrets, parfois avec l’aide de truands au grand cœur, tel Jo Attia. Chef de la sécurité au Gabon, mêlé à la guerre du Biafra, côté Nigérian, il plonge dans l’or noir à travers tout le Moyen-Orient en ébullition…
On ne résume pas Bob Maloubier, on le lit. Et comme l’humour, lui aussi, coule à flots, on ne s’ennuie pas. C’est James Bond sous les traits d’un major Thompson.

Robert LAFONT, collection "Vécu", 1986.
413 pages – 15,5 x 24 cms – 600 grammes.
16 pages de reproductions photographiques (N&B, papier glacé) hors-texte.
Broché, reliure souple… très beau portrait de Bob Maloubier sur dernier plat.

Etat = de minuscules micro-frottis en bord de premier plat ; une fine cassure de lecture ; et quelques petits chocs, doublés d’une légère marque de pliure, en haut à gauche (bordure extérieure) de quatrième… mais rien de vraiment grave pour autant, l’ensemble est toujours bien "carré et compact", les plats sont propres et brillants, et l’intérieur est parfait ! Un ouvrage assez rare (comme tous ceux de Bob Maloubier), qui ne demande qu’à faire le bonheur d’un passionné collectionneur.

>>> 22 €uros. / disponible. 

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Prix honnête, moyen et conseillé : entre 25 et 30 €uros !

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03/06/2016

Jean-Jacques CÉCILE - Histoire secrète des S.A.S

Jean-Jacques CÉCILE :
"Histoire secrète des S.A.S"

Pour beaucoup, le Special Air Service britannique fait partie des mythes.
Formidable machine de guerre dont les membres tutoient les sommets de l'art militaire, il demeure l'une des plus éminentes références en matière de forces spéciales. "Qui ose gagne", "Ici on mène, on suit ou on dégage" ou encore "Ils osent surpasser les autres" sont ses devises.
Dès sa création dans les sables du désert nord-africain par David Stirling en 1941, l'unité a réalisé les opérations clandestines les plus pointues et les plus dangereuses. Tragédie de Munich, conflit en Irlande, guerre en Irak… Aux quatre coins du monde, les hommes du S.A.S ont su s'adapter à toutes les menaces et être à la pointe du combat contre-terroriste.
Pour autant, l'ombre du mystère plane obstinément sur les opérations qu'ils ont menées… Dans le secret de leur antre, quelles tactiques, quelles ruses ces hommes exceptionnels ont-ils mis au point pour accomplir leurs missions ? De quels moyens disposent-ils pour surprendre l'ennemi? Et surtout, jusqu'où les " hommes en noir " de Hereford sont-ils prêts à aller pour remporter la victoire ?
A la fois documentaire passionnant et livre de référencé sur les forces spéciales britanniques, cet ouvrage retrace les plus grandes opérations du SAS et dévoile la face la plus secrète de l'establishment militaire britannique.

Ancien membre d'une unité spéciale et des services de renseignement militaires, Jean-Jacques Cécile est spécialiste de l'espionnage et des unités d'élite. Il est également l'auteur de "Chiens de guerre - Enquête au cœur des sociétés militaires privées" et de "Espions et terroristes - Les liaisons dangereuses".

Nouveau Monde éditions, 2009.
297 pages – 14 x 22,5 cms – 410 grammes.
Broché, reliure souple illustrée d’une photo N&B.

Etat = Excellent ! Quelques petites traces de manipulations ou stockage ça et là… mais rien de vraiment notable pour autant. Non cassé, compact, bien brillant, intérieur parfait, je ne suis pas sûr que ce livre ait déjà été lu… en fait !?! Un livre qui se vend 22 €uros (prix indiqué en bas de quatrième), neuf, en librairie ou chez l’éditeur… et que nous vous proposons ici, en très bon état, pour : …

>>> 7 €uros. / Vendu ! N'est plus disponible.

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08/01/2016

Albert SPEER : Au cœur du troisième Reich

Albert SPEER : « Au cœur du troisième Reich »

C'est le récit d'un homme dont le destin fut, douze années durant, lié à celui de Hitler. Occupant des situations très différentes mais toujours exceptionnelles, il fut tour à tour l'architecte de la métropole germanique ; l'ami fidèle des réunions nocturnes à la Chancellerie du Reich et au Berghof ; le technocrate et l'organisateur qui obtint, dans la production d'armements, des résultats qui étonnèrent le monde ; l'opposant enfin, aussi efficace qu'inattendu, à qui l'Europe doit, pour sa large part, sa survie économique.
De la naissance à la chute du IIIe Reich, Albert Speer occupa un poste d'observation idéal. Appartenant au cercle des intimes de Hitler sans pourtant s'y intégrer, il fut puissant sans rechercher le pouvoir. Restant en marge, il conserva, seul dans l'entourage immédiat du «Führer», un regard droit et lucide. Même ses détracteurs les plus résolus ont reconnu qu'il avait préservé son intégrité morale tout au long de sa carrière au service d'un système amoral. Après avoir entendu ses déclarations à Nuremberg, Göring affirma que Speer n'avait jamais réellement été des leurs et conclut : "Nous n'aurions jamais dû lui faire confiance !"...
Il possède à la fois le discernement et la connaissance intime des faits. "Je n'ai pas seulement voulu raconter, mais aussi comprendre", affirme-t-il dans le dernier chapitre de ses mémoires, tirant ainsi le bilan de sa vie et de ses souvenirs.
Eugène Davidson, président de la Yale University Press, auteur d'un livre sur les procès des criminels de guerre, écrivit, après avoir lu le manuscrit des mémoires de Speer, que ceux-ci ne constituaient pas une tentative de justification ni une plaidoirie, mais "un témoignage historique incomparable, un document absolument irremplaçable".

Fayard / Collection "Les grandes études contemporaines", 1971.
( Première édition française )
816 pages – 14 x 22 cms – 920 grammes.
24 pages de reproductions photographiques (N&B) sur papier glacé, hors-texte.
Reliure cartonnée éditeur entoilée de jaune, titre et nom d’auteur en noir sur dos et premier plat + jaquette de protection en couleurs.

Etat = Quelques infimes traces de manipulations, ainsi que de minuscules frottis et un petit accroc (soigneusement restauré) sur le haut de la jaquette, sont les seuls « défauts » à relever. La jaquette est toujours bien brillante et la reliure, comme l’intérieur, sont en excellent état ! Bel exemplaire !

>>> 15 €uros. / disponible. 

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14/10/2015

Général Raoul SALAN : Mémoires / Fin d'un Empire

Raoul SALAN / Mémoires

 

Fin d’un empire : 3 tomes sur 4

                                              

Vendus uniquement en lot ! 

 

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Raoul SALAN : « Le sens d’un engagement. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 1.

 

Présentation de quatrième :

 

"Ce livre, le premier de mes mémoires, c’est par ma jeunesse que je l’ouvre. En effet, je la considère comme une vie antérieure qui m’a marqué, décidant de ma carrière, de mon engagement.
C’est pourquoi j’évoquerai en quelques pages l’école primaire, le lycée avant 1914, puis Saint-Cyr en 1917-1918, l’armistice sur la ligne de feu, le Levant d’Alexandrette à Déir ez-Zor, ma blessure, le Val-de-Grâce, Paris…

Je parlerai ensuite de mes jeunes années en Indochine, mes séjours à Cao-Bang, dans le Haut-Mékong, ou tout près du Kouang Toung… période heureuse…

La jeunesse est finie, la carrière bien engagée.

Je raconterai mon séjour au ministère des colonies avec Georges Mandel, à mon retour en France, ma mission secrète aux frontières d’Abyssinie, la guerre 39-40, la défaite, Vichy et Dakar, au deuxième bureau, et, enfin, les bords du Rhin, à la tête d’une division F.F.I., cadeau de De Lattre.

Je dirai ensuite mon nouveau départ pour l’Indochine, en 45, aux côtés de Leclerc, tous nos efforts – négociations avec les Chinois, débarquement à Haiphong, accords avec le Viêt-minh, conférences de Dalat, de Fontainebleau – pour éviter la guerre qui s’annonce… et qui, vingt-cinq ans après, dure encore."

 

 

Presses de la Cité, 1970 – 443 pages – 14 x 20,5 cms – 610 grammes.

36 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = Un petit manque (5 mm par trois) à l’arrière de la jaquette (bord supérieur de quatrième) et deux petits accrocs (soigneusement restaurés) sur le devant…

Sans quoi, pas grand chose à signaler… ladite jaquette est toujours bien brillante, la reliure est en excellent état et l’intérieur (au papier toujours bien blanc) est tout simplement parfait ! Tout à fait bon pour le service… un livre qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

>>> 8 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = de 6,70 (exemplaires abîmés ou "acceptables") à 24,90 €uros (ex. état très bon) sur Amazon.fr / de 10 à 25 €uros sur livre-rare-book.com.

De 6 à 20/25 €uros sur Priceminister (une fois écartés les ex. abîmés à 1,50 sans description ni photos et les cramés qui proposent ce livre à 40 €uros et plus !?!??!!!), avec une énorme majorité d’ex. en bon état aux alentours de 10/12 €uros. 

 

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Raoul SALAN : « Le Viêt-minh mon adversaire. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 2. 

 

Présentation de quatrième :

 

"L’Indochine française, soumise de février 1940 à août 1945 à l’occupation japonaise, connaît, dès septembre 1945, la période chinoise, l’installation du Viêt-minh, puis la « convention préliminaire » signée à Hanoi le 6 mars 1946 et la demi-rupture à la conférence de Fontainebleau au mois de septembre de la même année. Le premier livre de mes mémoires relate cette époque jusqu’au départ de France de Hô Chi Minh pour rejoindre son pays. 

Le président est rentré chez lui ; des incidents où nous déplorons des morts se produisent au Tonkin et en Cochinchine. Je demeure sans commandement mais ne puis me désintéresser de ce qui se passe là-bas, et c’est malheureusement inactif que je suis les événements. Des camarades, à leur retour, m’informent. Je rencontre à Paris, venu en mission, le colonel Trocard, chef du 2ème bureau du commandant supérieur des forces françaises d’Extrême-Orient, ancien officier du service de renseignement inter-colonial que je dirigeais en 1937-1939.

– C’est une guerre qui s’annonce, lui dis-je, prenez vos dispositions…

Trocard sera tué quelques semaines plus tard.

Mon vieux camarade, le général Valluy, dans ses lettres, me fait part de ses craintes.

Le général Leclerc me demande souvent d’aller le voir à l’hôtel Continental où réside son état-major. Il me dit combien il se désespère de n’avoir pas été écouté. Puis le 19 décembre 1946, c’est l’attaque soudaine de Hanoi par le Viêt-minh. Des semaines difficiles commencent. Bien que je n’en ai pas été le témoin direct, je les décris en me basant sur les documents que j’ai recueillis .

Le début de l’année 1947 passe. Valluy me demande de revenir pour mener une offensive contre les forces Viêt-minh, dont le gros s’est replié en haute région dans le Cao-Bac-Lang (provinces de Cao-Bang, Bac Kan, Langson ) que je connais bien. J’accepte et en mai je repars.

Désormais, il faudra se battre… les combats menés par les forces françaises se termineront par la signature des accords de Genève le 22 juillet 1954.

Je quitte Saigon le 9 octobre suivant.

Nous avions perdu l’Indochine, le plus beau fleuron de l’Empire Français.

C’est la période qui va d’octobre 1946 à octobre 1954 que je décris dans ce tome de mes mémoires. A la fin de cet ouvrage, en quelques pages, je donne mon sentiment sur la phase actuelle de la guerre et sur la situation présente du Viêt-nam… cette guerre qui dure toujours. Elle avait commencé le 19 décembre 1946, il y a un quart de siècle.

La prédiction d’Hô Chi Minh : « Nous irons vers une guerre de cent ans… » Va-t-elle se réaliser ?"

 

Presses de la Cité, 1971 – 480 pages – 14 x 20,5 cms – 640 grammes.

36 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = deux petits accrocs (soigneusement restaurés) sur la charnière et l’arrière de la jaquette, sans quoi, pas grand chose à signaler… ladite jaquette est toujours bien brillante, la reliure est en excellent état et l’intérieur (au papier toujours bien blanc) est tout simplement parfait ! Un livre qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

>>> 10 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = de 8 à 14 €uros sur Priceminister / de 16 à 25 €uros sur livre-rare-book.com.

Un ex. à 20 €uros sur Amazon.fr

 

*****

 

Raoul SALAN : « Algérie Française. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 3. 

 

Présentation de quatrième :

 

"Dans les deux premiers volumes de mes mémoires j’ai dit nos combats pour garder l’Indochine au sein de l'union française, et notre échec, dû à l’incapacité et à l’incompréhension gouvernementales.

J’ai fermé nos cimetières d’Hanoi… La lente dislocation de notre Empire commençait. J’en poursuis la triste histoire dans le présent livre qui a pour objet notre action en Algérie.

Après avoir évoqué en détails et avec plusieurs documents inédits la sinistre affaire du bazooka, je donne de la bataille d’Alger, qui, aujourd’hui encore, passionne l’opinion, un tableau véridique et explicite. Je dis ensuite les efforts de nos soldats, « vieille garde d’Indochine », pleine d’amertume, et jeunes du contingent, pour ramener à nous les populations musulmanes. C’est pour eux une grande réussite. Malheureusement, beaucoup de ces jeunes hommes ne reviendront pas à leurs foyers, nombreux seront les mutilés, ou ceux marqués par la maladie.

Et voilà qu’on leur refuse le titre de « combattant »…

J’évoque enfin nos problèmes frontaliers qui me conduisirent à bombarder Sakiet Sidi Youssef, déterminant ainsi le gouvernement à faire appel aux « bons offices » de l’étranger.

Cette décision, qui ulcère profondément les Français d’Algérie, est à la base de ce grand mouvement d’union nationale que fût le 13 mai 1958 et auquel je consacre la dernière partie de ce livre.

J’y explique quelles circonstances m’amenèrent à prononcer le nom du général de Gaulle et dans quelles conditions celui-ci reçut l’investiture le 1er juin.

Les pages finales de ce volume racontent par le menu le voyage du général en Algérie et comment il nous mit au cœur un espoir qui devait être déçu, lors de son discours de Mostaganem où retentit le cri célèbre : Vive l’Algérie française !"

 

Presses de la Cité, 1972 – 445 pages – 14 x 20,5 cms – 635 grammes.

48 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte ainsi que de très nombreuses cartes in et hors-texte. / Reliure éditeur façon cuir rouge avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection illustrée en couleurs.

Etat = jaquette intacte et toujours bien brillante, reliure est en excellent état et intérieur parfait ! Un très bel exemplaire ! 

>>> 14 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = De 13,7 à 16,95 €uros sur Priceminister / de 16 à 25 €uros (et plus) sur Amazon.fr.

Un ex. à 30 €uros livre-rare-book

 

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Manque le tome 4,

 

Raoul SALAN : « De Gaulle et moi. »

Mémoires – Fin d’un empire, tome 4.

 

Cliquez ci-dessous pour plus de détails et le résumé de ce tome 4 manquant :

http://www.salan.asso.fr/pageLibre000100a9.html

 

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Les 3 volumes (1368 pages / 1885 grammes) pour :

8 + 10 + 14 = 32 >>> 30 €uros.

 

Lot disponible.

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Ailleurs = 44 €uros les 3 (avec jaquettes) ou 26,50 (sans jaquettes) sur Priceminister.

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21/06/2015

Les grandes énigmes de l’Occupation

Collectif :

« Les grandes énigmes de l’Occupation »

 

Textes de : Jean Mabire, André Brissaud, François de Clermont-Tonnerre,

François d’Orcival et Stan-Michel Pellistrandi.

 

Tome 1

Table des matières :

01. Le jeu diplomatique secret de l’été et de l’automne 1940 ;

      par André Brissaud.

02. Les minorités ethniques devant l’Occupation ;

      par Paul Sérant.

03. Les Cagoulards dans l’organisation de la Résistance (juin 40 - juin 41) ;

      par Jean Mabire.

04. L’affaire St-Pierre-et-Miquelon, mini-aventure, immenses conséquences ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

05. Révélations sur les énigmes Darlan ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

 

Tome 2 

Table des matières :

01. Les énigmes Giraud, mystères de la guerre ;

      par François de Clermont-Tonnerre.           

02. Les chemins de croix de la marine française (1940-1942) ;

      par Stan-Michel Pellistrandi.

03. Une libération exclusivement française, celle de la Corse ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

04. L’énigme du redressement de l’armée française ;

      par François de Clermont-Tonnerre.

05. Comment les SS obtinrent l’abdication du maréchal Pétain (oct-déc 43) ;

      par André Brissaud.

 

Tome 3 

Table des matières :

01. Les Français contre les Français : la Milice ;

      par François d’Orcival.          

02. Les Waffen-SS français, derniers défenseurs du bunker de Hitler ; 

      par Jean Mabire.

03. Les mystères de l’opinion publique (1940-1944) ;

      par Stan-Michel Pellistrandi.

04. La très curieuse occupation des îles anglo-normandes ;

      par Jean Mabire.

 

Editions de Crémille, 1970.

18 x 12 cms

Les 3 livres font, au total : 761 pages et 920 grammes.

Reliure cartonnée éditeur, simili-cuir noir et gris avec croix de fer, motifs et titres en vert, rouge et argent sur tranche et premier plat.

Nombreuses reproductions photographiques, hors-texte et sur papier glacé.

 

Etat = quelques petits défauts d’impression/d’usine au niveau de la sérigraphie des plats et tranches des tomes 2 et 3, sous la forme de microscopiques bavures de peinture rouge et argentée… mais bon, c’est vraiment histoire de « chichiter » ! Les reliures sont en parfait état et les intérieurs (au papier resté bien blanc) sont comme neufs… ces trois ouvrages ne demandent qu’à partager le savoir contenu en leur pages… et à rejoindre vos rayons !

 

Les 3 volumes >>> 7 €uros. / disponibles.

 

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19/06/2015

Yves BREHERET : « Les Cosaques »

Yves BREHERET : « Les Cosaques »

 

Présentation éditeur :

Avril 1945. Hourré l Les nagaikas fouettent les flancs des chevaux.

Dressés sur leurs étriers, les cosaques de Von Pannwitz lancent la dernière grande charge de cavalerie de l'histoire sur la rivière Dave, en Croatie. Leur fabuleux destin, commencé dix siècles plus tôt, s'achève-t-il le 31 mai 1945 dans la vallée de Lintz ? Ou bien se sont-ils une fois de plus fondus dans le brouillard des steppes ; les cavaliers blancs de l'ataman Koulakov, avec les Rouges de Boudionny et les rôdeurs noirs de Makhno ?

Les premiers cosaques font refluer la Horde d'or tatare au XIVe siècle, chevaliers zaporogues au crâne rasé ou fils du Don paisible, ils avaient pris le nom des oies sauvages pour en faire leur symbole d'hommes libres. 

Fiers et cruels, ils ont bivouaqué sur les Champs-Elysées, conquis la Sibérie et poussé jusqu'en Alaska. Les premiers mots de l'enfant cosaque étaient pour dire "cheval", et "tirer". Ils mouraient debout, prétendant que leurs étoiles étaient plus brillantes que les autres. Les frontières de l'empire étaient sur la selle de leurs chevaux.

Ils avaient imposé en 1613 Michael Michaelovitch Romanov comme tsar de Russie et, tour à tour fidèles ou révoltés, ils devaient suivre le destin de cette lignée jusqu'à sa chute, en 1917.

Le vieil espoir d'indépendance revint alors, mais le rêve fou allait être brisé.

 

Balland, 1972 / Collection « Les corps d’élite ».

366 pages – 15,5 x 23,5 cms – 950 grammes. 

Broché (reliure souple avec rabats) – 52 pages de reproductions photographiques hors-texte.

 

Etat = Excellent de chez excellent !

Compact, brillant, tranche non-cassée, intérieur parfait… très bel exemplaire !

 

>>> 8 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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29/05/2015

Grands classiques français... / Part.2

Grands classiques de la littérature française …

Dans leurs très « vintages » éditions du Livre de Poche … façon années 60.

 

Tous ces livres sont en excellent état, voire – pour quelques-uns – quasi-neufs !

Certains peuvent présenter quelques infimes marques d’usage, qui une fine cassure sur tranche, qui une petite trace de pliure en bas de quatrième… Mais nous ne vous proposons (et ne vous proposerons) ici que du bon (à 2 €uros), du « bon+ » (2,20) ou du très bon (2,50). 

 

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J. BARBEY D’AUREVILLY : « Le chevalier Des Touches »

 

Un jour de décembre, quelques années avant la révolution de 1830, dans une petite ville du Cotentin, plusieurs amis se réunissent pour leur causerie du soir et, très vite, l’un d’entre eux évoque la rencontre qu’il vient de faire : celle du chevalier Des Touches, un héros de la chouannerie.

Mais le chevalier n’est-il pas mort ? Ce soir-là on remonte le temps... et devant ses amis, mademoiselle de Percy, qui y participait, raconte "l'expédition des Douze": l'enlèvement du chevalier, prisonnier à Coutances, par ses compagnons d'armes. 

De cette soirée de décembre, un enfant silencieux avait été témoin, et c’est l’auteur lui-même, qui en fait la matière de ce roman de 1864. Peu importe que Des Touches y devienne un héros plus glorieux qu’il ne le fut en réalité. L’essentiel est ailleurs : c’est que si les chouans, vers 1799, au moment de ce récit, mènent encore la guerre, ils l’ont déjà perdue.

Un royalisme désenchanté teinte ainsi tout le roman sans en atténuer la vigueur et, bien plus tard, Anatole France évoquera « l’impression très forte » que lui auront laissée ces « figures à la fois héroïques et brutales » : « Ce livre, dira-t-il, me donna le frisson. »

Le Livre de Poche – 1967 – 254 pages – 140 grammes.

Etat = Comme neuf ! Exceptionnel, même, pour un poche de 1967 !!!

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

Georges BLOND : « Mary Marner »

 

Un naufrage conduit un jeune marin français dans un port anglais. Là, il croise une fille étrange, fascinante, mystérieuse et plus belle qu'un rêve. Elle s'appelle Mary Marner, elle vit avec son grand-père, ancien du cap Horn, à bord d'un vieux voilier. Notre héros tombe amoureux de Mary, qui semble le lui rendre. Mais un secret redoutable menace leur bonheur.

Un Roman où l'atmosphère prenante le dispute à une intrigue particulièrement ingénieuse.

Le Livre de Poche – 1976 – 220 pages – 120 grammes.

Etat = tout simplement « comme neuf » ! Parfait !

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

Antoine BLONDIN : « Un singe en hiver »

 

Quatrième : « Le chauffeur n'avait plus le loisir de ralentir... Immobile, le ventre à toucher le capot, les pieds joints, Fouquet enveloppa d'un mouvement caressant la carrosserie de la voiture qui filait contre lui ; un instant, il donna l'impression qu'il allait abandonner sa veste au flanc hérissé de l'auto, mais déjà celle-ci l'avait dépassé, et, coinçant son vêtement sous son bras, il libéra sa main droite pour saluer à la ronde les spectateurs qui s'exclamaient diversement.  « Ollé », dit-il... »

Le Livre de Poche – 1962 – 247 pages – 140 grammes.

Etat = Excellent !

Un très beau Poche des années 60, au charme délicieusement vintage ! ( J’adore les aquarelles / lavis qui illustrent les plats ! )

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Robert BRASILLACH : « Les 7 couleurs »

 

Présentation de l’éditeur : De même qu'un peintre dispose des sept couleurs du spectre pour fixer sa vision sur la toile, de même l'écrivain a le choix entre diverses techniques. Au lieu de les mêler comme les tons sur une palette, pourquoi ne pas recourir tour à tour à celle qui mettra le mieux en valeur l'événement à décrire ?

C'est le parti qu'adopte Robert Brasillach pour conter l'histoire de Patrice, de Catherine et de François. Avec Patrice, Catherine découvre les merveilles que peut offrir le Paris de 1926 à deux jeunes étudiants. Puis lui se rend en Italie, et la séparation fait son travail de sape : tandis qu'il se grise de nouveautés, Catherine épouse François. Le fantôme de Patrice est-il à jamais conjuré ? Pour en avoir douté, François s'enrôle dans la guerre d'Espagne.

Autour de ces trois destinées, Robert Brasillach brosse un tableau de l'entre-deux-guerres où une certaine jeunesse inquiète s'est laissé attirer par le fascisme.

Le Livre de Poche – 1965 / 255 pages / 140 grammes.

Un exemplaire estampillé « Bon + » >>> 2,20 €uros. / Vendu !

Ou, un autre exemplaire, un tout petit poil moins bien, à 2 €uros. / disponible.

 

Gilbert CESBRON : « Avoir été »

 

Une colonne allemande reflue vers Paris. Au bord de la route, un vieil homme, la poitrine barrée de décorations, brave l’ennemi en mémoire de ses compagnons tombés à Verdun, mais les soldats passent, indifférents. Dans un camion, une bâche se soulève : Patrick, le petit orphelin, se croit arrivé à Paris avec les Américains. Il n’est qu’au Plessis Belle-Isle avec l’ennemi. Kléber Demartin recueille l’enfant. Patrick grandit, le monde change, les fidélités anciennes sont la risée d’une jeunesse tournée vers un avenir que réprouve le vieillard. Dans la banlieue envahie peu à peu par les grands ensembles, Kleber vit le crève-cœur de ceux qui ne peuvent plus marcher avec leur temps.

Le livre de poche – 1973 – 438 pages – 230 grammes.

Bon état >>> 2 €uros. / disponible.

 

René FALLET : « Paris au mois d’août »

 

Houspillé par un automobiliste furieux de le voir flâner devant ses roues, Henri Plantin mesure la justesse des injures reçues en regagnant le refuge du trottoir. Qu’il ne soit pas grand-chose sur terre, c’est indéniable. Son bilan ? Quarante ans, une femme et trois enfants (qui se grisent actuellement d’air marin), un emploi de vendeur à la Samaritaine, l’espoir de passer chef de rayon et de trouver la bonne combinaison au tiercé. Il y en a des millions  comme lui – il n’est parmi cette foule qu’un visage anonyme sur qui personne ne se retourne.

Si, pourtant, voilà quelqu’un : cette jolie fille en robe rouge qu’il vient d’admirer au passage en songeant qu’elle est trop belle pour jamais s’intéresser à un minus comme lui. Elle s’approche, demande son chemin, accepte qu’il l’accompagne...

"Héhé" dira-t-on. Mais non ! Henri n’est pas un coureur de jupons ; sa rencontre avec cette jeune anglaise perdue dans Paris tombe à pic pour le réconforter, c’est tout, et cela lui enflamme tant et si bien le cœur qu’il en perd la tête. Henri Plantin le timide est prêt à faire n’importe quoi, même des choses héroïques, pour conquérir Pat. Et il le fait.

C’est ce qui donne son charme, sa poésie, à cette chronique ironique et tendre d’un amour d’été.

Le livre de poche – 1972 – 191 pages – 120 grammes.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Anatole FRANCE : Les sept femmes de la barbe bleue 

 

( Et autres contes merveilleux )

 

Quatrième de couverture : Qui ne connaît le conte où Charles Perrault relate comment la femme d’un seigneur surnommé Barbe-Bleue échappe au sort infligé par lui à ses six précédentes épouses ? Barbe-Bleue a été voué à l’exécration générale sur la foi de ce texte, mais la raison commande de ne rien croire sans preuve et Anatole France feint d’avoir trouvé la vérité sur les sept femmes de la Barbe-Bleue – alias Bernard de Montragoux, châtelain des Guillettes, homme calomnié s’il en fut.

Jugez-en sur son récit tout pétri d’inventions enrobées dans une prose musicale et précise, inspirée des poètes grecs et latins.

Le Livre de Poche – 1975 – 214 pages – 120 grammes.

Etat = brillant, sain, propre, non cassé… bel exemplaire !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Jean GIONO : « Colline »

 

Un débris de hameau où quatre maisons fleuries d'orchis émergent de blés drus et hauts. Ce sont les Bastides Blanches, à mi-chemin entre la plaine et le grand désert lavandier, à l'ombre des monts de Lure. C'est là que vivent douze personnes, deux ménages, plus Gagou l'innocent.

Janet est le plus vieux des Bastides. Ayant longtemps regardé et écouté la nature, il a appris beaucoup de choses et connaît sans doute des secrets. Maintenant, paralysé et couché près de l'âtre, il parle sans arrêt, « ça coule comme un ruisseau », et ce qu'il dit finit par faire peur aux gens des Bastides. Puis la fontaine tarit, une petite fille tombe malade, un incendie éclate.

C'en est trop ! Le responsable doit être ce vieux sorcier de Janet. Il faut le tuer…

Dans Colline, premier roman de la trilogie de Pan ( « Un de Baumugnes » - « Regain » ), Jean Giono, un de nos plus grands conteurs, exalte dans un langage riche et puissant les liens profonds qui lient les paysans à la nature.

Le livre de poche – 1979 – 190 pages – 100 grammes.

Bon état >>> 2 €uros. / disponible.

 

Jean GIONO : « Le serpent d’étoiles »

 

La nuit étoilée qui baigne la pastorale des bergers…

La terre, maternelle et dure, et, plus que tout : les bêtes, intermédiaires entre l’homme et la nature… Malheur à celui qui les méprise !

L’auteur, avec son enthousiasme lyrique, nous décrira le grand piétinement du troupeau en révolte, et son triomphe sur celui qui les a méconnues…

Le Livre de Poche – 1972 – 175 pages – 120 grammes.

Etat = une petite marque de stockage en bas de premier plat ainsi qu’une très fine cassure de la tranche… mais rien de vraiment notable, l’ensemble est sain, propre, bien brillant et de belle tenue !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Paul GUTH : « Le naïf sous les drapeaux »

 

A peine vainqueur des  pièges tendus par l’Université à ses étudiants, voici le nouvel agrégé repris par d’autres terreurs : les périls du servi-ce militaire remplacent, dans ses cauchemars, les traquenards des verbes grecs – et c’est, blindé par la méthode Coué, le cœur faussement allègre que le Naïf pénètre dans la caserne de Saint-Cloud pour son initiation aux armes.

Miracle du paquetage fait au carré, des bandes molletières bien tendues, joie de la marche à pied, triomphe du « Présentez… armes ! » – le Naïf est prêt pour la guerre. Cinq ans plus tard, elle vient.

Adieu femme, adieu Paris, adieu lycée, le professeur troque sa toge contre le casque et le fusil.

Dans cet épisode martial de la chronique du Naïf, Paul Guth s’amuse à peindre une période triste avec des tons gais et conjure le tragique du moment par la satire bon enfant de son célèbre personnage avec la « douce guerre ».

Le livre de poche – 1964 – 253 pages – 160 grammes.

Etat = Bon+ >>> 2,20 €uros. / disponible.

 

Paul GUTH : « Le naïf aux 40 enfants »

 

« J'étais en pays d'oïl. Sous le glacis d'accent pointu que je m'imposais, à aucun prix ne devait percer la pointe d'ail de ma langue d'oc.

La première phrase, articulée au seuil de mon premier poste, me semblait être le Sésame de ma carrière. Je renfonçai donc dans ma gorge les bouffées de chaleur méridionale qui me poussaient à prononcer : « Jo souis lo nouvô professor do lettro ».  A travers mon gosier, si serré qu'on n'aurait pas pu y enfiler une aiguille, je flûtai, à la parisienne : « Jeu suis leu nuveau preufessur de lettru ».

Puis, je laissai glisser, de biais, sur mon visage, l'ombre d'un sourire. »

Ainsi commence Le Naïf aux 40 enfants, roman étincelant d'humour, tendre aussi et touchant.

Le livre de poche – 1969 – 251 pages – 150 grammes.

Bon état >>> 2 €uros. / disponible.

 

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Pierre LOUŸS : « Les chansons de Bilitis »    

 

« Les Chansons de Bilitis » sont publiées en 1894 : il s'agit prétendument d'une traduction due à Pierre Louÿs de l'œuvre d'une poétesse antique fictive, à qui Louÿs attribue des poèmes érotiques et passionnés. L'ouvrage est précédé d'une Vie de Bilitis, retracée par le traducteur et suivi de plusieurs pages de notes.

Bilitis serait une jeune grecque du 6ème siècle avant J.C, qui aurait vécu sur l'île de Lesbos… où elle aurait été rivale de Sappho. En fait, Bilitis est un personnage fictif dont Pierre Louÿs est l'auteur : recueil de poèmes en prose, il y déploie toute son érudition et sa connaissance des textes poétiques grecs. C'est l’amour pour la langue, un style simple et le plus juste possible, qui permet de dégager une grande force au service de la sensualité et de l’amour saphique. Louÿs pousse la mystification jusqu'à insérer dans son recueil des pièces poétiques mentionnées comme « non traduites », et par donner des références bibliographiques, entre autres des articles d'un archéologue allemand imaginaire, le Pr. G. Heim ( Geheim et Geheimnis signifient « secret » en allemand )…

La critique se laissa abuser par cette supercherie littéraire, jusqu’à ce que Pierre Louÿs révèle la mystification.

Le Livre de Poche, 1966 – 242 pages – 140 grammes.

Bon état >>> : 2 €uros. / disponible.

 

Pierre MAC ORLAN : « Mademoiselle Bambù » 

 

( Filles, ports d’Europe et Père Barbançon )

 

Un soir qu’il pleut sur Hambourg, le capitaine Hartmann se prend à égrener le souvenir des gens qu’il a connus, aimés, combattus même. Car Hartmann, homme d’aventures, s’est trouvé plongé dans la vie curieuse à double et triple face qui est le lot des espions. Aussi a-t-il eu affaire au redoutable Père Barbançon, aussi a-t-il pu regretter jusqu’à l’heure des tempes grises la gracieuse signorita Bambũ. Ont-ils existé, ces gens du « peuple de la nuit » ?  Bien sûr, mais d’une autre manière, dira-t-on au confident du capitaine. Et qui sont-ils, ces deux-là, sinon peut-être Mac Orlan lui-même qui se souvient de sa jeunesse dans ces récits où le réel côtoie l’imaginaire.

Le Livre de Poche – 1966 – 192 pages – 120 grammes.

Etat = une tranche « finement nervurée » indique que l’ouvrage a été lu, mais par quelqu’un de très soigneux, car l’intérieur (nickel) et les plats (toujours bien brillants) sont comme neuf !!!

>>> 1,80 €uros. / disponible.  

 

Guy de MAUPASSANT : « Les contes de la bécasse » 

 

Chaque automne, un vieux chasseur régalait ses amis de bécasses. Les têtes de ces délicieux oiseaux étaient données à un seul convive désigné par le sort. Et ce dernier, pour dédommager les autres, devait raconter une histoire. Les seize nouvelles de ce recueil se situent presque toutes en Normandie où Maupassant vécut une jeunesse heureuse. Ses paysans chasseurs, ses aristocrates, sa rempailleuse, ses pêcheurs sont saisis sur le vif dans leur vie quotidienne. La folie de la femme qui a perdu toute sa famille, l'avarice sordide de la maîtresse du petit chien, la triste vieillesse des danseurs de menuets, la revanche de l'épouse bafouée, Maupassant voit tout dans les détails les plus poignants. Le célèbre auteur de Bel-Ami nous donne dans ce recueil ses meilleurs contes.

Le livre de poche – 1973 – 255 pages – 140 grammes.

Etat = quelques infimes marques de manip’, sans quoi il serait quasiment comme neuf !?!

« Bon+ » >>> 2,20 €uros. / disponible.

 

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François MAURIAC : « Les anges noirs »

 

Quatrième : Pendant les vacances, le jeune Gradère retrouve au château Du Buch, où il est invité, Adila Du Buch et sa cousine Mathilde. Adila, plus âgée que le narrateur, jeune fille sans grâce et très pieuse, souffre de la passion qu'elle éprouve pour ce garçon qui, lui, est attiré par la jeune Mathilde.

Devenu étudiant à Bordeaux, Gradère ne tarde pas à goûter aux charmes de la ville en se faisant entretenir par une prostituée, jusqu'à ce que celle-ci soit dénoncée et que son patron, un cafetier de Bordeaux, y mette un terme. Il va tirer désormais ses subsides d'Adila, avilie et humiliée qui devient sa maîtresse.      

Le Livre de Poche – 1976 – 256 pages – 130 grammes.

Etat = Plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait… quasiment comme neuf !

>>> 2,50 €uros. / disponible. 

 

François MAURIAC : « Le nœud de vipères »

 

Un coffre-fort vide, c'est la surprise que le maître de Calèse réservait à ses héritiers, coup de théâtre préparé de longue main pour se venger d'une famille aux yeux de qui il n'est que le possesseur détesté d'une fortune supposée énorme.

Elle l'est, car ce grand avocat d'affaires sur la place de Bordeaux a su faire fructifier son héritage et ses gains. Il a toujours tenu les siens par l’argent et entend garder jusqu'à la fin l'instrument de son pouvoir, sans souci des convoitises qui s'exaspèrent autour de lui. Son fils Hubert ne songe-t-il pas à obtenir contre lui une mesure d'internement sous prétexte de protéger le patrimoine familial ?

En écrivant à sa femme la lettre d'explications qui devait trôner dans le coffre vide, il rit sous cape d'un rire amer.

Et la lettre s'allonge, devient le récit d'une guerre commencée très vite après les noces, le jour où Louis a compris qu'il a épousé par amour Isabelle Fondaudège mais qu'elle s'est mariée avec lui par intérêt. L'intérêt, puissant ressort caché sous le voile des bons sentiments, ce roman incisif en démasque le jeu dans cette histoire d'une famille bourgeoise qui est aussi celle d'un amour meurtri.

Le livre de poche – 1974 – 287 pages – 150 grammes.

Etat = comme neuf ! Très bon >>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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H. de MONTHERLANT : Le Maître de Santiago ( Théâtre )

 

Des cinq chevaliers de Saint Jacques qui se rendent chez don Alvaro Dabo pour la réunion mensuelle de l’ordre, don Bernal est le plus intéressé à convaincre leur hôte de s’en aller au Nouveau-Monde chercher fortune. Son fils Jacinto n’est-il pas épris de Mariana Dabo ?

Un seul obstacle s’oppose à leur union : la pauvreté de Mariana. Mais qu’importe à don Alvaro l’ambition de ces « hommes de terre », lui dont l’idéal est de se rapprocher de Dieu en répudiant la richesse et son cortège de compromissions ?

Don Bernal tend l’unique piège où il puisse se prendre – un faux émissaire le sollicitera de la part du roi. L’austère Maître de Santiago sent vaciller sa volonté de retraite quand soudain, Mariana s’élance et révèle la supercherie… 

« Ce chef d’œuvre étrange, écouté dans le plus profond silence par un public qui a oublié d’applaudir au baisser du rideau... d’étonnement. J’ai été moi-même abasourdi. Entendu dire beaucoup de sottises sur Montherlant et, en particulier, sur cette pièce. Que leur faut-il donc ? Je ne comprends pas qu’ils ne sachent pas au moins garder le silence devant une œuvre d’une telle beauté, beauté irritante peut-être, exaspérante même, parce que l’auteur avec tout son génie, touche à des choses très graves avec une sorte d’insolence qui fait peur ». (Julien Green, Journal, t.V, 1951)

Le Livre de Poche – 1964 – 176 pages – 130 grammes.

Etat = Quelques infimes traces/marques de manipulation(s) et/ou stockage, un petit « frottis » (1 mm) en haut de tranche. Mais franchement rien de grave, ni même de foncièrement notable ! 

Ensemble compact et bien brillant, intérieur propre et sain…

Bon pour le service ! >>> 2 €uros. / disponible. 

 

Egalement disponible dans l’édition 1966 : …

 

Henry De MONTHERLANT : « Le maître de Santiago »

 

Le livre de poche – 1966 – 176 pages – 120 grammes.

Etat = Bon+ >>> 2,20 €uros. / disponible.

 

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Henry de MONTHERLANT : « Les bestiaires »

 

En 1909, âgé de treize ans, Henry de Montherlant assistait pour la première fois à une course de taureaux à Bayonne, et se prenait de passion pour l’art des toreros.

L’année suivante, il allait seul, en Espagne, pendant les vacances, et se faisait initier à la tauromachie par le matador Relampaguito. En 1911, il mettait à mort de jeunes taureaux dans une plaza privée, près de Burgos, et son nom paraissait pour la première fois dans les journaux français et espagnols. Une des coupures le concernant est citée à la fin de ce volume.

Vers 1930, le journaliste et poète provençal Marius André racontait, dans un article de l’Action Française, qu’il avait entendu chanter à la terrasse d’un café de Séville cette copla en l’honneur de Montherlant :

 

Un Français, dans l’arène,

Toréait un novillo (taureau de quatre ans)

Il faisait si bien les choses

Que el bicho se maravillò.

 

Livre de Poche – 1968 – 248 pages – 140 grammes.

Etat = Quelques infimes traces/marques de manipulation(s) et/ou stockage… mais franchement trois fois rien ! Ensemble compact, plats bien brillants, intérieur propre et sain…

Bon pour le service ! >>> 2 €uros. / disponible.   

 

Henry de MONTHERLANT : La Reine Morte ( Théâtre )

 

« Le vieux roi aimerait que son fils épousât l'Infante de Navarre pour des raisons politiques, peu importe qu'ils s'aimassent ou non, il n'a plus aucune illusion, ni sur l'amour, ni sur l'humain en général. Son fils n'a que faire du pouvoir et a bien compris que son bonheur personnel ne passait pas par les exigences du trône, c'est pourquoi il a de longue date préféré une belle bâtarde plutôt que l'Infante d'un quelconque royaume, aussi mirifique et bon pour le Portugal soit-il.

Évidemment, c'est un revers pour la politique royale, pour l'Infante bafouée et la vie de la dulcinée du Prince ne tient plus alors qu'à un fil, sachant que les conseillers du roi, qui eux n'ont aucun intérêt dans le bonheur du prince mais par contre en ont probablement dans les alliances intéressées poussent à la roue pour évincer la belle roturière… »…

"Théâtre, Montherlant, La Reine morte"… des mots qui peuvent faire peur à celui qui n'est pas tellement adepte des classiques ni du Théâtre ni des choses un peu vieilles comme on croit en déceler à chaque fois qu'on entend parler de rois ou de reines de temps révolus et lointains. Je conçois qu'on ne soit pas forcément très sensible au cadre formel, contraignant, des pièces de Théâtre et que, ce faisant, l'on s'avance toujours prudemment sur le terrain parfois lourd ou glissant de la prose si particulière à ce genre. Je conçois qu'on ressente toujours une certaine appréhension quand on se lance dans les bras d'un auteur qui nous est inconnu et dont la réputation forme comme une chape de plomb au-dessus de nos têtes.

Personnellement, je n'avais jamais lu de Montherlant avant d'aborder cette pièce et je peux seulement dire qu'elle m'a donné l'envie d'en lire d'autres. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver chez cet écrivain français du XXe des accents dignes de Lope de Vega et des intonations qui ne sont pas sans me rappeler un Shakespeare ! (Par Nastasia-B, pour Babelio.com)

Le Livre de Poche – 1963 – 187 pages – 140 grammes.

Etat = Excellent ! Plats bien brillants et quasiment sans traces, tranche non cassée, ensemble toujours bien compact, intérieur sain et propre… on peine à croire que cette petite chose à plus de cinquante ans ; tant il paraît quasiment comme neuf !!!!!

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Henry de MONTHERLANT : « Les célibataires »

Montherlant dépiaute l’animal humain, et nous montre, en fin connaisseur du genre, toutes ses faiblesses. Les hommes, les femmes ; les aristos, les gens du peuple ; personne n’est épargné.

Léon de Coantré, si timide et pourtant mesquin, radin, pusillanime, vit avec son oncle, Élie de Coëtquidan, un breton méchant, sale, aigri. Octave de Coëtquidan, plus prétentieux que son frère, joue le « genre moderne américain » en glissant des mots anglais dans toutes ses phrases ; mais il est aussi coincé, lâche et vénal que les autres.

Les trois hommes, célibataires et engoncés dans leur paresse quotidienne, vivent de leur petitesse et de leur médiocrité. Bourgeois et pauvres, ils doivent quitter la demeure familiale, dont le loyer est devenu trop élevé, et gagner de l’argent. Partant de cette condition, Montherlant suit les traces de leurs sécrétions : les « gens du monde » ne sortiront pas indemnes d’un roman féroce, impoli et follement transgressif. Comme les œuvres de Zola, la fin est tragique et jamais trompeuse.

Le style est jubilatoire ; on palpe le plaisir d’écrire, de dépouiller le genre humain ; on jubile ; on adore. Montherlant, délecté des entrailles humaines, plie la langue française à ses exigences, sans jamais être lassant ni faux, non plus que lourd et banal.

On ferme le livre repu, heureux d’avoir rencontré un auteur rare, sublime et surprenant.

( Par Lybertaire, pour bibliolingus.fr )

Le Livre de Poche – 1962 – 247 pages – 170 grammes.

Etat = Quelques infimes traces/marques de manipulation(s) et/ou stockage, un petit « frottis » (3 ou 4 mm de large sur 1 de haut) en haut du premier plat… mais franchement pas de quoi fouetter un chat, ni même une musaraigne !!! 

Ensemble compact et bien brillant, intérieur propre et sain… bon pour le service !

>>> 2 €uros. / disponible.   

 

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Roger NIMIER : « Histoire d’un amour »

 

En 1918, Michèle Vilmain qui dirige une maison de couture à Paris, retrouve Plilip Walden, un jeune peintre autrichien qu’elle a connu dans le tumulte de la guerre. Ardent, mais faible, il aime cette femme de génie qui ne prendra vraiment conscience de sa propre passion qu’au moment où le jeune homme cédant à l’indécision de son caractère et surtout refusant tout engagement profond va l’abandonner. Après une tentative de suicide, Michèle forme le projet de se venger ; elle fait connaître à Philip, Anne, une toute jeune fille qu’elle « construit », façonne, engage corps et âme dans une aventure dont elle veut garder la haute manœuvre. Mais si Philip revient enfin à Michèle par lassitude, si la petite Anne sort brisée par cette première expérience, n’a-t-on pas la conviction que l’Histoire d’un amour vient de s’achever dramatiquement ?

Au moyen d’une écriture à la fois éclatante et tendue, Roger Nimier nous propose ces êtres douloureux et cyniques, associés autant à leur destin qu’à l’époque de folie et de destruction dont ils sont issus.

Le livre de poche – 1964 – 191 pages – 140 grammes.

Etat = la tranche, incurvée et au pelliculage abîmé, nous indique que le livre a été lu, relu et même re-relu ! Mais bon, hormis ce défaut – inhérent à une très grande majorité des Livre de Poche des années 60 – le reste est plutôt pas mal ! Les plats sont toujours bien brillants, l’intérieur est très bien (propre, sain et tutti quanti) et l’ensemble tout à fait bon pour le service.

>>> 1,40 €uros. / disponible.  

 

Roger NIMIER : « Les enfants tristes »

 

Olivier Malentraide promène un regard narquois sur la faune qui l’entoure : beau-père bougonnant, mère coquette et infidèle, demi-frère abruti par les livres. Son ami Didier ne semble pas mieux partagé. Le monde n’est-il donc peuplé que de gens imparfaits ? Le jeune Olivier se rebelle contre le conformisme général. Puis vient l’interlude de la guerre.

Dans Paris redevenu libre, la verve insolente d’Olivier fait merveille. Pour secouer son ennui, la blonde Tessa joue avec lui et le perd : sous son armure étincelante, il cache une âme tendre éprise de grandeur et de beauté. Ils iront chacun leur chemin, elle vers d’autres futilités, lui vers une carrière littéraire et deux curieuses « petites filles », Dominique et Catherine. Il aime la première et se marie avec l’autre. Ensuite ? Il n’y aura pas d’ensuite pour ces enfants tristes à travers qui Roger Nimier décrit avec éclat une jeunesse passionnée qui ne lui a pas été étrangère.

Le livre de poche – 1965 – 446 pages – 230 grammes.

Etat = quelques fines nervures sur la tranche, de petites traces de stockage et manipulations de-ci de-là… il est clair que le livre a été lu et relu ! Mais l’intérieur est nickel, l’ensemble toujours compact et bien brillant… et, c’est donc sans hésiter que je l’estampille « bon… pour le service » !

>>> 2 €uros. / disponible. 

 

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Louis PERGAUD : « La guerre des boutons »

 

Il commença par la blouse, il arracha les agrafes métalliques du col, coupa les boutons des manches ainsi que ceux qui fermaient le devant de la blouse, puis il fendit entièrement les boutonnières, ensuite de quoi Camus fit sauter ce vêtement inutile ; les boutons du tricot et les boutonnières subirent un sort pareil ; les bretelles n'échappèrent point, on fit sauter le tricot.

Ce fut ensuite le tour de la chemise : du col au plastron et aux manches, pas un bouton ni une boutonnière n'échappa...

- T'as pas de « caneçon » ? Non ! reprit Lebrac, en vérifiant l'intérieur de la culotte qui dégringolait sur les jarrets. - Eh bien, maintenant, fous le camp !

Le livre de poche – 1968 – 384 pages – 230 grammes.

Etat = une très fine cassure sur tranche ainsi que quelques infimes traces de manip’, mais rien de vraiment notable, bon+ !

>>> 2,20 €uros. / disponible.

 

Louis PERGAUD : « De Goupil à Margot »

 

Avant d’écrire sa célèbre Guerre des boutons, Louis Pergaud écrivit ces « Histoires de bêtes », qui lui valurent le prix Goncourt en 1910.

« À leur vérité physiologique et psychologique s’ajoute l’art de choisir les situations, de ménager les péripéties, de nous mettre en présence d’aventures surprenantes, d’utiliser l’observation, l’intuition, le raisonnement, en conteur excellant à évoquer les luttes clandestines des terriers, les drames des sous-bois et des nids, à tisser le réseau de ruses, de feintes et de pièges qu’exigent […] la poursuite de la proie et la lutte contre l’homme et son chien. » (Roger Denux).

Le Livre de Poche – 1970 – 189 pages – 120 grammes.

Etat = Quelques infimes marques-traces « d’usage », mais rien de vraiment notable !

Tout à fait bon pour le service !

>>> 1,70 €uros. / disponible. 

 

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Arthur RIMBAUD : « Poèmes »

 

( Présenté par Paul Claudel )

 

Le livre de poche – 1960 – 179 pages – 140 grammes.

Etat = un infime défaut de pelliculage sur la tranche sans quoi, il est nickel…

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Arthur RIMBAUD : « Poésie Complètes »    

 

( Illuminations / Une saison en enfer / Autres poèmes ) 

 

Présenté par Paul Claudel

Le Livre de Poche – 1963 / 248 pages – 170 grammes. 

Comme neuf !!!>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Antoine de SAINT-EXUPERY : « Courrier Sud »

 

Ce roman reprend, en l’amplifiant, le tout premier texte de Saint-Exupéry : « L’Aviateur », publié en 1926 dans la revue Le Navire d’argent. Le personnage de son livre, Jacques Bernis (déjà héros de « L’Aviateur ») est pilote des lignes Latécoère, comme l'auteur.

Il achemine le courrier vers l’Amérique du Sud où la compagnie Latécoère assure une partie du courrier aérien à destination de l’Europe depuis 1926. Comme Saint-Exupéry, Jacques Bernis fait un métier dangereux qui rend difficile la vie paisible dont rêve Geneviève, la femme qu'il aime et dont il se sépare…

Le Livre de Poche – 1963 / 183 pages – 140 grammes…

Très bon état >>> 2,50 €uros. / disponible. 

 

Boris VIAN : « L’herbe Rouge » 

 

Serait-on heureux... si l'on obtenait sur-le-champ "ce que l'on désire le plus au monde"? La plupart des gens répondent oui, le sénateur Dupont aussi. Wolf, quant à lui, prétend que non. Pour le prouver, il va chercher l'objet des vœux du sénateur : un ouapiti. A la suite de quoi, le sénateur Dupont tombe dans un état de béatitude qui ressemble fort à de l'hébétude. 

Bien que le sénateur Dupont ne soit qu'un chien, ce spectacle déprimant accroît encore la mélancolie de Wolf. Vivre doit être autre chose qu'une oscillation de pendule entre cafard et sotte félicité. Pour en avoir le cœur net, Wolf utilise la machine qu'il a inventée avec l'aide de son mécanicien Saphir Lazuli. D'une plongée à l'autre, qu'apprendra-t-il… et où plonge-t-il ?

C'est le secret de L'Herbe rouge, qui est aussi celui de Boris Vian – sous le travesti de l'humour noir, il met en scène ses propres inquiétudes avec la frénésie d'invention burlesque qui l'a rendu célèbre.   

Le Livre de Poche – 1971 / 225 pages / 140 grammes.

>>> 2 €uros. / disponible. 

 

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29/04/2015

Sven HASSEL

Sven HASSEL

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche

( les Panzers en première ligne ) »

 

Quatrième de couv’ :

Ce roman raconte l'odyssée d'une poignée de Tankers – les soldats des chars d'assaut allemands –  qui, en uniforme russe et sur des chars T.34 russes, furent un jour désignés pour tenter un raid suicide derrière les lignes russes.

Mieux que personne, Sven Hassel a su peindre l'ambiance de douleur, de violence et de désespoir qui caractérisait l'armée allemande lors des derniers mois de la guerre avec la chaleur et la force d'un style extrêmement percutant et viril.

Presses de la Cité – 1969 / 284 pages – 20,5 x 13,5 cms – 435 grammes.

Reliure éditeur imitation cuir rouge, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Etat = un petit accro ( restauré ) sur le haut de la jaquette côté couv’, sans quoi il est très bien… sain et propre.

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

( Ailleurs = entre 6 et 14 €uros ( selon les états ) sur marelibri.com ) 

 

Egalement disponible dans sa version poche :

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche »

 

Presses Pocket – 1973 – 307 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, mais néanmoins en excellent état pour un Sven Hassel de chez Presses Pocket ( et de 1973 ), on sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu !!!…

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Sven HASSEL : « Général S.S. »

 

On connaît les nombreux récits de guerre de Sven Hassel, combattant du front russo-allemand dans un régiment particulièrement exposé, parce que « politiquement douteux » aux yeux des nazis. On retrouve dans cet ouvrage les héros traditionnels de l’auteur : Porta, Petit-Frère, le légionnaire, Heide le fanatique, mais dans un cadre s’il est possible encore plus tragique, puisque c’est de la bataille de Stalingrad qu’il s’agit ici… et que nos soldats ; après de furieux combats contre les Sibériens ; se retrouvent vaincus, mourant de faim et de froid, transformés en cannibales. Ce récit tragique se termine sur une note qui ne l’est pas moins : la percée, effectuée par un groupe de soldats sous les ordres d’un général S.S. plus humain que les autres, coûte finalement la vie à trois officiers qui ont tenté, contre les ordres de Hitler, d’arracher leurs hommes à la torture et à la mort inévitable.

Un aspect de la bataille de Stalingrad, peu connu du grand public, trouve ici un écrivain digne de lui.

Presses Pocket – 1973 – 317 pages – 190 grammes.

Etat = une fine cassure/nervure sur tranche, est à peu près le seul « défaut » à signaler ! Ensemble bien compact, plats en excellent état et intérieur parfait, l’exemplaire peut sans problème être estampillé comme bon+ tirant sur le très bon !

>>> 4,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs (et pour CETTE édition) :

Entre 3 et 8,90 €uros sur Amazon.fr (moyenne/majorité aux alentours de 4 à 5 €uros ).

De 3,90 à 6,99 €uros (idem, pour cette édition) sur Priceminister.

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

 

Quatrième de couv’ : « 90 % de cette histoire reposent sur des faits réels », déclare l'auteur en parlant de son livre. Pourtant il faut bien préciser qu'il s'agit d'un roman, un roman dur écrit par un combattant de la dernière guerre, un roman révolté, désespéré mais baigné de tendresse. D'ascendance danoise et autrichienne, Sven Hassel s'est vu contraint de servir dans l'armée allemande et, après une tentative d'évasion, a été muté dans un régiment disciplinaire.

Ceux qu'il évoque forment donc un groupe de camarades jetés dans la bagarre, haïssant le destin fatal qui les a précipités dans cette démence. Nous les voyons tomber l'un après l'autre, même les femmes, jusqu'à ce que le narrateur demeure seul – seul et amer. 

Pourtant ces pages ne sont pas entièrement noires. On y trouve de l’humour, on y trouve l’honnêteté de « A l’ouest rien de nouveau », la grandeur humaine du « bal des Maudits », on y trouve aussi le cynisme de l’inoubliable Porta.

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bordeaux, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente elle aussi quelques petits frottis en haut et bas de tranche, mais aucune déchirure (ce qui est plutôt rare) et un bel aspect bien brillant ! L’intérieur est en excellent état, propre et sain. 

>>> 7 €uros. / disponible.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bleu nuit, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente, elle, quelques petits accros ( haut de tranche et de quatrième / bas de premier plat ), mais ceux-ci ont été délicatement restaurés… et en dehors de ça, elle est de bel aspect, propre et brillante. L’intérieur est sain et en excellent état !

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = pour un exemplaire bon état avec jaquette, tel que celui-ci, comptez entre 6,50 et 12,60 € (selon les états) sur Priceminister / ou entre 6 et 15 € (idem, selon les états) sur livre-rare-book.com 

 

Egalement disponible au format poche : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses Pocket – 1976 – 312 pages – 170 grammes.

Etat = quelques légères marques/traces de stockage, ainsi que des bords de tranche très légèrement frottés… mais bon, rien de vraiment notable pour autant !

Compact, brillant, non cassé, intérieur parfait… tout à fait bon pour le service !

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Liquidez Paris »

 

Quatrième de couv’ :

Poursuivant sa marche hagarde à travers l'Europe, en guerre, le « quintette de la mort » de Sven Hassel a évidemment vécu et le débarquement de Normandie, et la libération de Paris.

Non, Von Choltitz ne fut pas le bienfaiteur annoncé par les communiqués officiels. Il avait reçu de Himmler même – et le chapitre qui relate leur rencontre est une page d'anthologie – l'ordre de miner Paris et de le détruire.

Il ne le fit pas, soit : mais ce ne fut pas par générosité. Au dernier moment, la débâcle empêcha la mise en place du dispositif meurtrier, et Von Choltitz trembla jusqu'à l'écrasement de Von Rundstedt à la pensée de rendre des comptes sur l'échec de sa mission.

Voilà qui jette une lumière nouvelle sur les grandes journées de juin 44… et nous permet de retrouver nos amis des précédents romans dans leur plus tragique aventure.

Presses Pocket – 1978 – 313 pages – 170 grammes.

Bel exemplaire, entre « bon+ » et très bon !

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Monte Cassino »

  

Quatrième de couv’ : Comme tous les ouvrages de Sven Hassel, MONTE CASSINO est basé sur les expériences personnelles de l'auteur qui décrit la bataille de titans dont l'enjeu était le célèbre monastère. Affrontement, gigantesque qui fut appelé le « Verdun de la Seconde Guerre mondiale ». Dans cet univers d'apocalypse, un groupe de jeunes gens qui ont subi dès leur enfance un entraînement intensif dans le seul but de faire d'eux des robots prêts à obéir aux ordres les plus insensés.

Ce ne sont plus des hommes, mais des machines à tuer qui agissent par réflexes conditionnés sans que leur intelligence intervienne. Tout au long de la longue bataille, ils lutteront pour un idéal incrusté au fond d'eux-mêmes, sans même s'apercevoir que les souffrances qu'ils endurent, leur héroïsme aveugle ne mènent à rien car leurs mobiles sont condamnés.

Livre dur, âpre, sans concessions, qui se dresse comme une accusation implacable contre la guerre et la dictature, et l'on pourrait reprendre les mots du général nordiste Sherman qui déclarait après le succès de ses armées dans la guerre de Sécession : « La guerre me fatigue et me rend malade. La mort glorieuse des combattants est une monumentale stupidité. Il n'y a que ceux qui n'ont jamais tiré un coup de feu ou entendu les gémissements des agonisants le soir d'une bataille pour réclamer de la vengeance et du sang. La guerre, c'est l'enfer ! ».

Presses Pocket – 1975 – 314 pages ( volume double ) – 180 grammes.

Etat : trois « micro-pliures » (ou « très fines nervures », plutôt, le terme est plus juste !) sur la tranche, témoignent que le livre a été lu ! Mais son précédent propriétaire devait être quelqu’un de très soigneux, car hormis ce tout petit détail, le livre est quasi-parfait ! Plats bien brillants, ensemble rigide et compact, intérieur comme neuf… un exemplaire qu’on peut sans problème estampiller entre « bon+ », avec un gros «+» !!! 

>>> 3,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1973 – 314 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, petites pliures en haut et bas de couv’ et bas de tranche légèrement « frottée », mais néanmoins en très bon état pour un Hassel de chez Presses Pocket ! On sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu ! 

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1975 – 314 pages – 180 grammes.

Etat = Ensemble bien compact ne souffrant d’aucune déformation, plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait !

Comme neuf de chez comme neuf !!! Très certainement jamais lu !!!

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 5 à 12,99 €uros sur Priceminister.

2 exemplaires à 5 et 6 euros (états « correct / moyen ») sur auxcentmillebouquins

Un seul ex, à 16, 49 €uros sur abebooks.fr / Un seul exemplaire, à 19,90 €uros sur Amazon.fr

 

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Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

 

Aux actions d’éclat succèdent les retraites des combattants traqués, faméliques, dans les steppes où la température descend fréquemment au-dessous de 50°C.

Les actes de bravoure, les décisions prises dans des situations désespérées, quand la seule chance de salut consiste à abandonner les blessés, sont récompensés par les jugements expéditifs des tribunaux militaires d’une armée à l’agonie. Horreur, souffrance, peur, vilenie, telles sont les couleurs de ce monde où nous suivons Porta, Petit-Frère, Barcelona, le Légionnaire et les autres, dans cette lutte sans merci qu’ils mènent sur le front finlandais contre un ennemi impitoyable. Un ennemi humain et qui n’a pas meilleurs sosies que ceux qui le combattent.

Tantôt témoin objectif, tantôt participant, jouet dérisoire pris dans l’implacable étau du conflit, Sven Hassel nous plonge au cœur du paradoxe de la guerre : tuer pour vivre, exécuter les ordres puisqu’il n’y a pas d’alternative, les exécuter malgré sa conscience, froidement, méticuleusement, puis, pour oublier au plus vite, se griser de cette vie d’autant plus précieuse qu’elle est précaire…

Presses de la Cité – 1980.

Broché, (reliure souple en couleurs) – 270 pages – 24 x 15,5 cms – 460 grammes.

Etat = Coins de plats légèrement talés-cornées + quelques salissures sur les tranches papier… et c’est dommage, car hormis ces petits défauts « de stockage et manipulations », le reste est franchement pas mal ! Plats toujours bien brillant, tranche non cassée, intérieur propre et sain (sans même parler d’une SUPERBE illustration de couv’ ), il est carrément sympa !!!…

>>> 8,80 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = entre 11,15 et 19,99 sur Priceminister pour des exemplaires juste "moyens" (pliure(s) sur couv’, taches, etc.), 30 € pour un « très bon » / 8 € sur livre-rare-book.com / 8 à 16 € sur abebooks.fr.

 

Egalement disponible en version poche :

 

Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

Presses Pocket – 1986 – 319 pages – 170 grammes.

Etat = Excellent état, je n’irai pas jusqu’à dire « comme neuf » vu qu’il a tout de même bientôt 30 ans, mais c’est tout comme ! Tranche intacte, vernis bien brillant, plats en excellent état, intérieur nickel… très bel exemplaire !!!

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Kommando Reichsführer Himmler »

 

Ce nouveau roman de Sven Hassel aborde les derniers mois de la guerre russo-allemande.

Le thème principal en est la bataille de Varsovie. On retrouvera les personnages devenus familiers aux lecteurs : Porta, le légionnaire, Petit-Frère, Heide, le nazi et Hassel lui-même, lancés dans une retraite où, comme toujours, le burlesque côtoie la terreur.

On assiste à l’écrasement d’une nation héroïque, la Pologne, alors que les Russes de Rokossovski restent l’arme au pied, et cette chute de Varsovie soulevée contre Hitler annonce la fin d’une guerre meurtrière et cruelle, car la sauvagerie de Staline n’a d’égale que celle de Himmler.

Presses Pocket – 1975 – 241 pages – 160 grammes.

Etat = compact, tranche non cassée, intérieur parfait : pas sûr que ce livre ait été lu en fait !?! Ou alors juste une fois… Mais bon, quelques petites marques/traces de stockage (donc… à défaut d’être « d’usage ») font que je ne pourrai pas l’estampiller comme « très bon » pour autant ! Il sera juste « bon »… 

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = Priceminister, comptez entre 4,09 et 6,80 pour des ex « acceptables »…

Et jusqu’à 14,50 pour du très bon !

 

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Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

 

Chroniqueur et témoin de la campagne de Russie, Sven Hassel retrace magistralement dans ce livre les souffrances et les exploits inouïs de ces soldats livrés à un climat inhumain par la folie d’Hitler.

Au cours de leur odyssée se placent des faits d’armes, tel le coup de main en uniformes russes sur une usine de Moscou. Puis vient la retraite. Mourant de faim et de froid, le commando cher à l’auteur fuit la torture et la captivité des camps russes. On retrouvera donc ici des héros familiers : Porta, Heide le fanatique, le légionnaire qui garde la nostalgie de la France, l’inénarrable Petit-Frère, et leur chef sagace, ce sergent aimé de tous et que tous appellent le Vieux. Perdus dans l’immense Russie, à la recherche d’un front allemand toujours évanescent, ils parviennent enfin à retrouver leurs lignes après un épisode dramatique dont le récit est l’un des plus poignants de Sven Hassel.

Presses Pocket – 1979 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = quelques p’tites marques/traces de manipulations, lectures et/ou stockage… mais rien de franchement notable pour autant ! Plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait… tout à fait BON pour le service !

>>> 2,70 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 2 à 6 €uros sur Amazon.fr / 3,90 à 6,90 €uros sur Priceminister.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

Presses Pocket – 1976 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = Moins bien que le précédent ! Couv’ quelque peu « matifiée », petits frottis sur les bords de tranche… l’intérieur est excellent et la tranche non cassée, mais les plats sont assez moyens !

On vous le fait à >>> 1,50 €uros. Vendu ! 

 

( L’occasion ou jamais de découvrir ! )

 

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