27/09/2013
Pierre Delsol
Georges FLEURY : « Le Neuvième Compagnon »
L’épopée de Pierre Delsol, Bir Hakeim, Garigliano, Provence 1940-1944.
Pierre Delsol, sergent de la Coloniale en Syrie, rejoint les forces anglaises, dès le 27 juin 1940. Il sera de tous les combats contre l’Afrikakorps de Rommel, des déserts de Libye au camp retranché de Bir Hakeim, de la bataille d’El-Alamein à la ruée sur Tunis. Débarqué en Italie, il se bat au célèbre Garigliano, défile dans Rome libérée avant d’être lâché sur les côtes de Provence. Seule l’amputation d’un bras à la suite d’une blessure par balle explosive arrêtera sa course folle.
9ème compagnon de la Libération, décoré par de Gaulle en Palestine, Pierre Delsol, dit Malapeste, est une figure représentative de ces chevaliers de la France libre qui ont sauvé l’honneur de la patrie.
La découverte de ses carnets de route permet à Georges Fleury de reconstituer la vie du guerrier au quotidien avec ses drames et ses joies, ses horreurs mais aussi ses moments de tendresse et de détente. Un grand livre de guerre par un maître du genre, un témoigage unique sur ces héros célèbres mais encore mal connus – les compagnons de la Libération.
GRASSET / 1990.
274 pages / 24 x 15,5 cms / 450 grammes.
Broché ( reliure souple ). Deux fines cassures sur tranche, quelques infimes marques de manip’ et une petite marque de pliure en haut de la quatrième… mais rien de bien grave, un exemplaire sain, propre et tout à fait bon pour le service !
>>> 5 €uros. / disponible.
Nota: il est tout de même à noter que la photo de
couverture est celle du Compagnon Dimitri Amilakvari
(Lieutenant-colonel de la Légion Etrangère, mort à El-Alamein)
et non celle de Pierre Delsol...
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Ailleurs = Entre 6,70 et 12 €uros sur Priceminister
15 €uros sur naturabuy.fr
23 €uros sur abebooks.fr
15:13 Publié dans Biographies, Georges Fleury, Guerres et guerriers, Histoire, Politique / Géopolitique & économie, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges fleury, pierre delsol, le neuvième compagnon, bir hakeim, garigliano, el-alamein, compagnons de la libération, de gaulle, seconde guerre mondiale, histoire, histoire de france, guerre, guerriers
03/05/2013
E. BERGOT : Les cadets de la France libre
Erwan BERGOT : « Les cadets de la France libre »
« 14 juin 1940. Paris est tombé. Les panzers allemands se ruent à la curée.
Tout semble perdu et pourtant, depuis les côtes de France, des jeunes garçons dont les plus jeunes n'ont pas 14 ans s'embarquent pour l'Angleterre, répondant à l'appel d'un général inconnu.
Trop jeunes pour faire des soldats, ces gamins sont d'abord rassemblés en une école qui prendra le nom d'Ecole des Cadets de la France Libre. Au premier noyau s'ajoutent d'autres irréductibles, arrivant de tous les coins du monde.
Certains s'évadent de France occupée, traversant la Manche en canoë canadien ou franchissant les Pyrénées au prix de difficultés inouïes. Certains connaissent le bagne…
Tous souhaitent participer à la Libération. Ce sont les Cadets ».
France loisirs – 1980 – 24,5 x 16 cm – 250 pages – 560 grammes.
Reliure éditeur entoilée de noir + jaquette couleur.
16 pages de photographies hors-texte.
Deux petits accrocs ( 2 mm – restaurés ) au haut d’une jaquette néanmoins bien brillante, reliure et intérieur tout à fait ok, bel exemplaire.
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = entre 3,85 et 9 €uros sur priceminister, pour cette édition et selon les états.
Entre 5 et 9 €uros sur Amazon.fr / 5 €uros sur abebooks.fr
( Moyenne aux alentours de 6 €uros. )
Pour les autres Erwan BERGOT présents en ces lieux…
15:05 Publié dans Erwan Bergot, Guerres et guerriers, Histoire, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : erwan bergot, les cadets de la france libre, seconde guerre mondiale, général de gaulle
07/03/2013
Alain GUYENNE
Gerfaut Grand format / Hors-série.
Alain GUYENNE : « Tous les démons de l’enfer »
Un vent glacial soufflait sur la plaine.
Les hommes titubaient, marchaient mécaniquement, sans bien se rendre compte de leurs actes. Ils fuyaient. Les Russes avaient pulvérisé les défenses qu’on leur opposait.
Les Allemands reculaient, abandonnant leurs morts, laissant leur matériel, oubliant les prisonniers russes à bout de force. Amaigris, affamés, rompus de fatigue, gelés, sales, barbus, repoussants, ils fuyaient. Quand ils traversèrent les anciens bâtiments de l’Etat-Major, ils ne trouvèrent que le désert. Par acquit de conscience, les soldats jetèrent un coup d’œil dans les isbas brûlées. La fureur les envahirent lorsqu’ils s’aperçurent qu’on avait détruit également les provisions, les vivres, la nourriture. Dans les cendres encore fumantes, ils ramassèrent ce qui pouvait être encore utilisé : des pommes de terre racornies et des tranches de viande calcinées.
Tous les démons de l’enfer semblaient s’être donnés rendez-vous dans la poche de Stalingrad.
Mais en cette fin d’année 1942, ne régnaient-ils pas également en Allemagne et dans les pays occupés ? A Stalingrad, comme à Munich, à Berlin, à Paris, à Vichy, à Nice où se répercutaient les drames provoqués par le nazisme et l’antisémitisme ? Ne tentaient-ils pas de gouverner le monde, tout comme Hitler gouvernait l’Allemagne ?
Editions du Gerfaut – 1971 – 375 pages – 21 x 13,5 cms – 480 grammes.
Un Gerfaut grand format, « Hors-Série », à la reliure « éditeur » cartonnée et entoilée de rouge (titre, nom d’auteur et logo Gerfaut en doré sur tranche). La reliure est en excellent état, hormis un haut de tranche un peu frotté et un tout petit accro’ de 2 mm en bas de couv’… la reliure est à l’avenant (excellent état hormis un bas de tranche très légèrement frotté) et l’intérieur est propre et sain. Bel exemplaire, entre bon et bon+.
>>> 5,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = entre 3,50 et 7 €uros (selon les états) sur Priceminister.
( Comptez environ 6 €uros pour un ex bon état comme celui proposé ici )…
9,20 €uros sur amazon.fr / 10 €uros sur auxcentmillebouquins.fr
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« Editée par Gerfaut, « Guerre » est une collection uniquement composée de romans militaires traitant de batailles, de camps et de discipline. Elle s'apparente à la collection « Feu » de Fleuve Noir dans laquelle on retrouve d'ailleurs beaucoup d'auteurs communs… auteurs qui, malgré des noms à consonnances allemandes ou russes, écrivaient quasiment tous sous des pseudonymes. »… Nous explique gentiment je ne sais plus quel site spécialisé dans la vente de livre de poche !?
( Livrenpoche ou Bibliopoche ou quelque chose comme ça !? )…
Et ouais… c’est clair que si vous recherchez des ouvrages sérieux sur la seconde guerre mondiale ou tout autre conflit du siècle écoulé, mieux vaut passer votre chemin ! Cette collection relevant (en fait) de tout sauf de « l’ouvrage sérieux », du témoignage vécu ou de quoi que ce soit d’autre dans le même style… mais plutôt du pur délire façon « Pulp » !
Méchants nazis sadiques, à faire frémir les pires scénaristes de « fumetti » et autres « giallos » transalpins des seventies… ambiances à la « Ilsa, la louve des SS » croisées « Salon Kitty »… on donne ici dans la fesse, le cul, la tripaille, le sadisme bien salace et autres joyeusetés du même genre ! (Façon « Men’s Adventures » quoi, pour ceusses qui connaissent ce célèbre pulp américain !? Les couvertures érotiques en moins !)…
La grande majorité de ces books sont en fait l’œuvre d’un certain Enrique Sanchez y Pascual, un écrivain espagnol ultra-prolifique qui n’a quasiment jamais écrit sous son vrai nom… mais comptabilisé pas moins d’une quarantaine de pseudonymes ; aussi bien anglo-saxons, lorsqu’il écrivait de la Science Fiction… que germaniques, lorsqu’il écrivait de la « littérature guerrière » ! (N’hésitant pas, au besoin, à signer Isaias Bronstein, lorsqu’il écrivait des ouvrages sur la psychanalyse !?!!! Haha)…
Et même si quelques N° sont (parfois) un peu plus « sérieux » (ceux qui ne doivent pas être du sieur Enrique, en fait !?!) l’ensemble de la collection baigne les trois-quarts du temps dans une sorte de déjante outrancière tout à fait à même de séduire les fans de « pulp littérature » bien déglinguée et/ou les accros aux films façon Grindhouse !
De vraies petites perles d’action débridée et de mauvais goût bien kitsch…
Kurgan
Cliquez sur le lien ci-dessous, pour des Gerfaut au format poche…
http://bouquinorium.hautetfort.com/archive/2012/03/28/collection-guerre-de-chez-gerfaut.html
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Voir aussi :
http://lacrypteduchatroux.hautetfort.com/archive/2012/06/26/fraulein-ss-kurt-gerwitz.html
15:11 Publié dans Guerres et guerriers, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : alain guyennes, guerre, gerfaut, éditions du gerfaut, outrances
06/03/2013
Les jeunes fauves du Führer
Jean MABIRE : Les jeunes fauves du Führer
( La division SS Hitlerjugend dans la bataille de Normandie)
Saignée par les durs combats du front de l’Est et frappée en son cœur par les bombardements aériens, l’Allemagne national-socialiste connaît en 1943 de graves difficultés pour lever et armer de nouveaux combattants. Le chef de la jeunesse du Reich, Arthur Axmann, propose de former une division de volontaires encore trop jeunes pour être mobilisés. Ils sont âgés de seize ou dix-sept ans et ont tous reçu l’impitoyable éducation virile de la jeunesse hitlérienne. Vingt mille d’entre eux vont former une division blindée de la Waffen SS, qui reçoit le nom de Hitlerjugend et devient la « jeune garde » hitlérienne.
Encadrés par de jeunes officiers ayant vécu toutes les campagnes, de la Pologne à l’Ukraine, ils se trouvent en Normandie au débarquement de juin 1944. La division Hitlerjugend reçoit l’ordre de contre-attaquer et de rejeter les assaillants à la mer. Mais « le jour le plus long » a déjà décidé du sort de la bataille ! Les jeunes SS montent vers le front sous un terrible bombardement aérien et parviendront tout juste à verrouiller la route de Caen. Pendant plus d’un mois, ils vont se battre, contre les Canadiens, subissant des pertes effroyables. Les Alliés, qui nommaient la Hitlerjugend la « Baby’s division », découvrent qu’ils ont en face d’eux les plus coriaces et les plus féroces des adversaires.
Après la chute de Caen, les jeunes SS continuent la lutte pour tenir Falaise et protéger le flanc nord de la « poche » où se trouvent prises au piège les armées allemandes de Normandie. Soixante grenadiers se battront seuls contre plusieurs régiments canadiens avant de se faire tuer plutôt que de se rendre. Seuls, Panzermeyer et quelques dizaines de jeunes SS parviendront à percer les lignes, le 20 août 1944, et à franchir la Dives. La division Hitlerjugend se trouve pratiquement anéantie à la fin de la bataille de Normandie. Jean Mabire raconte, jour par jour et heure par heure, ce que fut le sacrifice, finalement inutile, de ces cadets allemands.
Le Livre de Poche – 1978 – 416 pages – 200 grammes.
Cartes, organigrammes divers et bibliographie.
>>> Je n’irai pas jusqu’à dire « comme neuf », vu qu’il y a deux petites marques de manipulation la quatrième de couv’, et qu’il est tout de même de 1978… mais presque ! Très bon état !
>>> 6 €uros. / disponible.
Ailleurs = de 3 ou 11,25 €uros sur priceminister.
( De 5,50 à 8 €uros pour du très bon état et des vendeurs honnêtes/compétents ).
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Egalement dans la version : …
Presses Pocket de 1986 – 346 pages – 180 grammes.
Fines cassures sur tranche, nombreuses traces de manipulations et stockage sur plats ainsi qu’une marque de pliure sur la quatrième de couv’… l’aspect extérieur est assez moyen.
Mais l’intérieur est nickel et comme l’ensemble est – au final – propre et sain, l’exemplaire est déclaré "tout à fait bon pour le service" ! (D’autant que contrairement à la version Livre de Poche , cette version Presse Pocket vous propose, elle, 12 pages de reproductions photographiques (hors-texte) en sus.
>>> 5 €uros. / Vendu ! / Temporairement indisponible.
Ailleurs = 5 ou 7,37 €uros sur priceminister.
10:18 Publié dans Guerres et guerriers, Histoire, Jean Mabire, Politique / Géopolitique & économie, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean mabire, les jeunes fauves du führer, division ss hitlerjugend, waffen ss, bataille de normandie, débarquement, seconde guerre mondiale, troisième reich, histoire, guerres, guerriers
15/09/2012
Robert BRASILLACH
Robert BRASILLACH : « Les sept couleurs »
Résumé : Avec son amie Catherine, Patrice découvre les rues du Paris des années 1920. Il vit dans une pension peuplée de personnages pittoresques, fréquente les restaurants bon marché, les cinémas, les parcs. Ayant terminé ses études, Patrice se rend en Italie fasciste, qu'il soutient, et exerce le métier d'enseignant tout en gardant contact avec Catherine. Il correspond plusieurs mois avec elle, mais leurs liens se distendent peu à peu. Apprenant que celle-ci a épousé François Courtet, militant communiste, Patrice rejoint la Légion étrangère et opère au Maroc français.
Son engagement terminé, il se rend dans le nouveau Troisième Reich sur la recommandation de Siegfried Kast, ancien légionnaire d'origine allemande devenu adjoint de Julius Streicher, et travaille dans une chambre de commerce française à Nuremberg. Patrice entame une liaison avec une jeune Allemande, Lisbeth.
Lors d'un voyage en France, Patrice tente de reconquérir Catherine, toujours mariée à François — qui, depuis, est passé dans le camp fasciste. Ce dernier, doutant de la sincérité de sa femme, s'enrôle dans dans les troupes de Franco afin de participer à la guerre d'Espagne…
Les Sept couleurs est un roman de Robert Brasillach paru à la veille de la Seconde Guerre mondiale, en 1939 aux éditions Plon. Il a manqué de peu le prix Goncourt.
Outre l'intérêt historique d'une description du climat d'avant-guerre d'un point de vue fasciste, l'originalité du roman tient dans la variation successive du style de narration à chacun des sept chapitres : récit, correspondance épistolaire, journal, réflexions personnelles de l'auteur, théâtre, articles de presse, flux de conscience (monologue).
Le roman met également en avant l'exaltation de Brasillach pour le congrès de Nuremberg — exaltation plus d'ordre esthétique que politique —, et son enthousiasme pour les grand-messes païennes du Parti nazi telles qu'elles ont pu être filmées par Leni Riefenstahl dans Le Triomphe de la volonté. ( Wikipedia )
Le Livre de Poche – 1966 / 255 pages / 140 grammes.
Retour en stock de deux exemplaires…
Un exemplaire en excellent état ( impossible de dire « comme neuf » vu qu’il date tout de même de 1966, mais c’est clair qu’il est vraiment très bien ! )
>>> 2,50 €uros. / Vendu !
Et un autre ( même année ) un petit poil moins bien ( une petite marque de pliure en haut à droite de quatrième ), mais en très bon état tout de même…
>>> 2 €uros. / Vendu !
17:39 Publié dans Grands classiques, Histoire, Politique / Géopolitique & économie, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert brasillach, les sept couleurs, fascisme, nazisme, entre-deux-guerres
24/05/2012
Staline
Jean ELLEINSTEIN : « Staline »
Quatrième de couverture :
Comment un militant révolutionnaire clandestin, emprisonné et déporté, devient-il un des tyrans les plus sanguinaires de l'histoire ? Quelle est la part du système et celle de l’homme dans ces événements ? Quelle fut vraiment la vie de celui qui fut adulé comme le Vojd ( le guide ) de l’Union Soviétique ? Avec passion et rigueur, sans complaisance, Jean Elleinstein tente de répondre à ces questions.
La révolution de 1917, la guerre civile, la NEP, la collectivisation des terres, l’industrialisation, la terreur de masse contre les communistes, tous les peuples de l’URSS et toutes les catégories sociales, le pacte germano-soviétique, la seconde guerre mondiale, Stalingrad, Téhéran, Yalta et Potsdam, la fondation d’un Empire, la guerre froide, la reconstruction, à nouveau la terreur : tels sont les épisodes d’une vie qui est au cœur de l’histoire contemporaine.
Jean Elleinstein n’hésite pas, à ce propos, à comparer la vie et l’œuvre des deux grands dictateurs du XXe siècle : Hitler et Staline qui, s’il n’a pas créé Auschwitz, a créé des centaines de Buchenwald et de Dachau, et a fait tuer des millions de Soviétiques.
Ce livre irritera peut-être certains lecteurs qui restent reconnaissants à l’Union Soviétique d’avoir aidé à libérer l’Europe. C’est la ruse de l’Histoire que l’un et l’autre points de vue soient vrais. Comme disait Marx : « les faits sont têtus ». Staline restera à la fois comme le vainqueur de Stalingrad et le fondateur du goulag.
FAYARD / 1984.
568 pages / 21,5 x 13,5 cms / 600 grammes.
Quelques cartes en noir et blanc, hors texte.
Broché ( reliure souple ). Plusieurs fines cassures sur une tranche légèrement incurvée attestent que l’ouvrage a été lu et relu… mais hormis quelques traces de manip’ (donc), une petite marque de pliure en haut de la quatrième et des coins légèrement « heurtés »… l’exemplaire est sain, l’intérieur propre et l’ensemble tout à fait O.K !
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = Entre 5 et 12 €uros ( bon à très bon ) sur priceminister
( Si l’on ôte – bien sûr – de la liste les exemplaires « restaurés au scotch » à 2 €uros et les voleurs le proposant à 25 ou 37 €uros !?!?!! )
5 €uros ( occasion « satisfaisante » ) sur abebooks.fr
12 ou 14,90 €uros sur galaxidion.com
14:17 Publié dans Biographies, Histoire, Politique / Géopolitique & économie, Russie / Monde slave, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean elleinstein, staline, communisme, union soviétique, russie, biographie, histoire, politique
07/05/2012
Maréchal PAULUS - Stalingrad
Maréchal PAULUS : « Stalingrad »
Vie du Feldmaréchal-Général Friedrich PAULUS
Lettres et documents inédits rassemblés par Walter GÖRLITZ.
Avant-propos d’Ernst Alexander PAULUS.
Librairie Arthème Fayard / 1961.
315 pages / 22 x 14 cms / 460 grammes.
Reliure cartonnée recouverte d’un tissu jaune, titre et nom d’auteur en noir sur premier plat et tranche, nombreuses cartes et photographies hors-texte, très bon état, si ce n’est un petit choc en bas de couv’ >>> 7 €uros. / Vendu !
« Devant l’histoire, Friedrich Paulus reste à jamais le vaincu de la bataille de Stalingrad. Contrairement à d’autres chefs de guerre comme le Maréchal Model, il préfère la captivité au suicide, et le personnage ne sort pas grandi de sa confrontation avec le destin impitoyable. D’autant que les Soviétiques allaient obtenir de lui qu’il prenne position publiquement en août 1944 contre ses compatriotes qui s obstinaient a continuer un combat, même sans espoir, pour leur patrie. Pourtant, Paulus n’est jamais apparu comme un opposant à la politique de conquête d’Adolf Hitler, n’ayant jamais cessé d’être, jusqu’à Stalingrad, un subordonné obéissant et respectueux.
Né à Breitenau, dans la Hesse, en 1890, il songe d’abord à faire une carrière d’officier de marine, puis se lance dans des études de droit avant de se décider finalement à entrer dans l’armée de terre. En 1910, à vingt ans, il est aspirant dans un régiment d’infanterie badois à Rastatt. Sous-lieutenant l’année suivante, il épouse une comtesse roumaine et semble destiné à mener une vie de garnison sans histoires.
La guerre éclate. Le sous-lieutenant tombe malade. Guéri, il est affecté aux chasseurs de montagne. Il se bat alors à Verdun et en Roumanie, gagne ses deux croix de fer et termine la guerre comme capitaine. Il servira alors à l’Ouest dans un état major puis à l’Est après l’armistice.
Paulus reste dans la Reichswehr et sera détaché au ministère pour y suivre différents cours, car cet officier est sans nul doute un intellectuel. Professeur de tactique et d histoire militaire, c’est un esprit brillant, mais un peu schématique, sans grand contact avec la troupe. Cela n’empêche pas un avancement assez rapide : major en 1931, lieutenant-colonel en 1933 et colonel en 1935. Il se passionne pour la motorisation, ce qui correspond bien aux vues militaires du nouveau régime.
Friedrich Paulus est promu général le 1er janvier 1939 et se distingue comme chef d’état major dans un corps d’armée, puis dans une armée que commande le général von Reichenau. Il met au point les plans d’invasion de la Pologne, puis travaille aux projets d’attaque sur le front de l’Ouest. A la fin du mois de mai 1940, il est le premier quartier-maître-général à l’Oberkommando des Wehrmacht avec le grade de général de division. Il reste un homme d’état major, froid, efficace, méthodique.
Paulus joue indéniablement un grand rôle lors de l’élaboration du plan Barbarossa, celui de l’attaque contre l’Union Soviétique. A cette époque, il ne songe pas à se monter antinazi. Bien au contraire, il est de ceux qui suggèrent qu’Adolf Hitler prenne le commandant des forces armées et celui de l’armée de terre. Nommé général de corps d’armée, Paulus reçoit le commandement de la 6e armée. Son sort est scellé.
Il va se battre dans le cadre du groupe d’armées Sud et se retrouvera sur la Volga, en avant-garde des troupes allemandes et alliées.
Le 17 juillet 1942 commence la bataille pour Stalingrad. La ville tombe presque entièrement aux mains des troupes du Reich, mais les soviétiques résistent avec acharnement. La mauvaise saison arrive. A la mi-novembre, alors que la Volga charrie des glaces, l’Armée rouge prend l’offensive. Les alliés roumains sont bousculés. Avant la fin du mois la 6e armeé est pratiquement encerclée. Le corps d’armée expéditionnaire italien est lui aussi disloqué. Les tentatives allemandes pour briser l’encerclement échouent les unes après les autres. D’impitoyables combats de rues se déroulent dans les ruines de Stalingrad. Von Manstein, qui commande le groupe d’armée du Don, ne peut plus rien faire.
Le 26 décembre, les troupes placées sous les ordres de Paulus sont coupées en deux. C’est le commencement de la fin. Le 30 janvier, Paulus est nommé maréchal, mais ce geste honorifique n’est sans doute qu’une invitation à emporter son bâton de commandement dans sa tombe. Le lendemain, le commandement de la 6e armée décide de se rendre.
150 000 de ses hommes ont été tués au combat, près de 100 000 ont été faits prisonniers, dont 24 généraux. Bien peu reviendront de captivité. Paulus ne sera libéré qu’en 1954, dix ans après une proclamation au peuple allemand où il rejetait sur Hitler toute la responsabilité du désastre de Stalingrad. Il mourra en 1957, à Dresde. »
( www.39-45.org )
« Voici un livre très intéressant sur la vie de Frédéric Paulus, Général-feldmaréchal de la VIéme Armée, défaite à Stalingrad… personnage qui de part son indécision et son esprit d'obéissance totale au Führer, se laissa enfermer avec toute son armée dans la poche de Stalingrad, ex-Tsaritsine, surnommée le Verdun Rouge pour la violence de ses combats...
Ce livre est tiré des notes du Maréchal lui-même et réunies par son fils, Ernst-Alexander Paulus, officier dans la Waffen-SS et blessé au début de la campagne de Stalingrad. En 1957, il confia ces dernières à l'historien militaire allemand Walter Görlitz qui avec l'aide d'autres archives retrace la vie de Paulus de l'opération Barbarossa à Stalingrad, puis jusqu'à sa mort, à Dresde, en 1957.
A lire, car la personnalité de Paulus et la bataille de Stalingrad y sont traitées bien plus en profondeur, grâce aux notes de ce dernier, que dans bien des livres sur le sujet. »
( histoquiz-contemporain.com )
« Il ne s’agit ni des mémoires posthumes du maréchal ni d’une simple biographie écrite par un tiers, mais bien d’un ouvrage sur lui, qui procède à la fois de l’un et de l’autre »…
( auxcentmillebouquins.fr )
Ailleurs = entre 8 et 14,90 €uros sur priceminister
( http://www.priceminister.com/offer/buy/89437678/paulus-ma... )
11 €uros sur livre-rare-book.com
( http://www.livre-rare-book.com/book/5472977/AGDL110035/fr )
17:19 Publié dans Biographies, Guerres et guerriers, Histoire, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maréchal paulus, stalingrad, walter görlitz, friedrich paulus, ernst alexander paulus, troisième reich, ww.ii, seconde guerre mondiale, front de l'est, histoire, guerre, guerres
06/05/2012
Theodor Plievier
Theodor Plievier
Écrivain allemand (Berlin 1892 – Avegno, près de Locarno, 1955).
Après avoir bourlingué à travers l'Europe et sur les océans, il s'enrôla en 1914 dans la Kriegsmarine et prit part en 1918 à la mutinerie de Wilhelmshaven. Pendant les premières années de la République de Weimar, il continua à mener une existence vagabonde et fréquenta les milieux anarchistes. Sa percée littéraire eut lieu en 1929 avec les "Galériens du Kaiser", récit incisif et violemment antimilitariste de ses souvenirs de guerre dans la marine. C'est cet antimilitarisme ("l'Empereur est parti, les généraux sont restés" de 1932) qui le contraignit à l'exil en 1933.
Il passa plus de dix ans en Union soviétique, où il écrivit, à partir de 1943, le récit mi-documentaire, mi-romancé de la bataille de Stalingrad : paru en 1945, le livre connut un succès mondial ; l'accueil réservé aux deux romans suivants, écrits après le passage de Plievier à l'Ouest en 1947, Moscou (1952) et Berlin (1954), fut moins favorable.
( http://www.larousse.fr/encyclopedie/litterature/Plievier/176102 )
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Theodor PLIEVIER : Stalingrad
Flammarion – Le Grand livre du Mois – le Club / 1999.
444 pages / 21,5 x 15 cms / 505 grammes.
Reliure souple, couverture illustrée d’une photo Noir et Blanc.
Neuf ! Encore sous cellophane
Ailleurs = 18 €uros ( neuf ) sur priceminister.
13,50 €uros sur livre-ancien.eu
Theodor PLIEVIER : Moscou
Flammarion – Le Grand livre du Mois – le Club / 1999.
314 pages / 21,5 x 15 cms / 390 grammes.
Reliure souple, couverture illustrée d’une photo Noir et Blanc.
Neuf ! Encore sous cellophane
Ailleurs = 14,90 €uros sur abebooks.fr
15,90 ( neuf ) sur gibertjeune.fr
Theodor PLIEVIER : Berlin
Flammarion – Le Grand livre du Mois – le Club / 1999.
420 pages / 21,5 x 15 cms / 490 grammes.
Reliure souple, couverture illustrée d’une photo Noir et Blanc.
Neuf ! Encore sous cellophane
Ailleurs = 12 €uros sur amazon.fr
16,50 €uros ( neuf ) sur abebooks.fr
Les 3 ouvrages ( tous neufs et toujours sous cello’ ), poids total = 1385 grammes.
>>> 30 €uros > 25 €uros / Vendus !
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Theodor Otto Richard Plievier (Plivier jusqu'en 1933), né le 12 février 1892 à Berlin, mort le 12 mars 1955 à Avegno (Suisse) est un romancier allemand.
Il est principalement connu pour sa trilogie romanesque sur les combats sur le Front de l'Est durant la Seconde Guerre mondiale, composée des ouvrages Moscou, Stalingrad et Berlin.
Plivier (fils d'un artisan limeur) passe son enfance dans le quartier de Gesundbrunnen à Berlin. Il s'intéresse dès son jeune âge à la littérature. Il entre en apprentissage à seize ans chez un stuccateur et quitte peu après la maison paternelle. Il voyage pour son apprentissage à travers l'Empire allemand, en Autriche-Hongrie, et aux Pays-Bas. De retour chez ses parents, il s'engage comme matelot dans la marine marchande.
Il visite l'Amérique du Sud en 1910, et travaille dans des mines de salpêtre en 1913 au Chili. Il retourne en Allemagne, à Hambourg, en 1914. Il a vingt-deux ans. Mais il est arrêté par la police pour une rixe dans une taverne de marins. Il est donc recruté dans la marine impériale, alors qu'éclate la Première Guerre mondiale.
Il passe son temps de service sur le croiseur auxiliaire SMS Wolf, commandé par le fameux capitaine de frégate Nerger. Celui-ci mène une guerre commerciale victorieuse dans les mers du Sud. Cependant, le jeune Plivier, qui ne peut descendre à terre pendant quatre-cent cinquante jours, à cause de l'urgence du danger, se convertit aux idées révolutionnaires et devient communiste à son retour.
En novembre 1918, il est à Wilhelmshaven et participe aux émeutes et aux révoltes qui accompagnent la chute de l'Empire allemand, dont la mutinerie de Kiel. Lorsque la révolution de novembre fait rage, Plivier y participe en marge.
Il quitte la marine après l'armistice et fonde avec Karl Raichle et Gregor Gog la « commune du chemin vert », près de Bad Urlach, sorte de phalanstère révolutionnaire. C'est le début de la maison d'édition des Douze qui a une orientation anarchiste. Il est influencé par les idées de Bakounine, mais aussi de Nietzsche. Prend corps alors un « anarchisme de l'individu » qui lui ôte l'envie d'adhérer à un quelconque parti.
Plivier connaît ensuite une crise personnelle à l'exemple du poète Gusto Gräser. Il se met à rechercher la façon de penser de certains « prophètes » en sandales et en froc.
Il épouse à Berlin en 1920 l'actrice Maria Stoz, et appartient au cercle d'amis de Käthe Kollwitz qui fait un portrait de lui. Son fils Peter et sa fille Thora meurent de malnutrition pendant les temps terribles de la crise de l'inflation en 1923. Un an plus tard, il commence une carrière de journaliste et de traducteur. Il travaille ensuite un temps en Amérique du Sud comme négociant de bétail et comme secrétaire du consul allemand à Pisagua.
De retour en Allemagne, il écrit en 1929 Des Kaisers Kulis (Les coolies du Kaiser), récit critique de son service dans la marine impériale et procès de la guerre impérialiste. Erwin Piscator met en scène son roman au Lessingtheater de Berlin. La première a lieu le 30 août 1930.
Il épouse en deuxièmes noces l'actrice juive Hildegard Piscator en 1931.
Lorsqu'Hitler accède au pouvoir comme chancelier en 1933, ses livres sont victimes d'autodafés. Il change son nom en Plievier. Il décide d'émigrer cette année-là, et, au bout d'un long voyage qui le mène de Prague à Zürich, à Paris et à Oslo, il s'installe en URSS, mère de la Révolution socialiste.
Il n'est victime d'aucune censure à Moscou et publie des récits d'aventures et des commentaires politiques. Lorsque l'opération Barbarossa est enclenchée, il est évacué, comme d'autres étrangers à Tachkent, où il fait la connaissance de Johannes Robert Becher.
Il devient membre en septembre 1943 du comité national pour une Allemagne libre qui regroupe des intellectuels communistes allemands vivant en URSS. En 1945 il écrit Stalingrad d'après des témoignages de prisonniers allemands recueillis par lui dans des camps autour de Moscou (il avait obtenu l'autorisation de la censure stalinienne pour interroger les soldats prisonniers). Ce roman sera traduit en quatorze langues.
Ses descriptions sans faille et sans pitié de l'échec militaire allemand constituent un documentaire important sur les fautes de l'état-major allemand ; mais il sera toutefois censuré par les autorités soviétiques, pour ce qui en est de sa parution en URSS.
Il revient en Allemagne (comme fonctionnaire de l'Armée rouge, à Weimar) à la fin de l'année 1945. Il travaille pendant deux ans comme délégué de l'assemblée régionale, comme directeur d'éditions et comme cadre dirigeant au sein de l'association culturelle (Kulturbund) pour un renouveau démocratique de l'Allemagne qui est un organe soviétique destiné au changement de mentalités en Allemagne et à son inclusion dans le système socialiste soviétique. Plievier finit par rompre avec le système soviétique en 1948, et prononce un discours dans ce sens à l'assemblée des écrivains allemands de Francfort-sur-le-Main en mai.
Il s'installe alors dans la zone d'occupation britannique. Il fait ensuite un voyage en Allemagne de l'Ouest qu'il ne parcourera plus.
Il se marie en troisièmes noces en 1950 avec Margarete Grote qui a la moitié de son âge et s'établit au bord du lac de Constance.
Il publie Moscou (Moskau) en 1952 et Berlin en 1954.
Il meurt d'un infarctus en Suisse en 1955, à l'âge de soixante-trois ans.
( Wikipedia / http://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_Plievier )
15:31 Publié dans Guerres et guerriers, Histoire, Russie / Monde slave, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : theodor plievier, stalingrad, moscou, berlin, communisme, communiste, anarchiste, bakounine
20/04/2012
Quinto NAVARRA
Quinto NAVARRA : « Valet de chambre chez Mussolini »
Avant-propos / page 7 :
« Quinto Navarra fut huissier de Mussolini depuis la conférence de Cannes jusqu’au 25 juillet 1943. A partir de cette date il dut, pour raisons de santé, renoncer à son service effectif, mais des motifs de famille l’obligeant à séjourner dans le nord de l’Italie, il put suivre de très près l’activité de Mussolini jusqu’au 25 avril 1945.
Le but poursuivi par Navarra en publiant ses souvenirs est de détruire les nombreuses légendes qui courent sur Mussolini. Il relate fidèlement, dégagé de toute influence politique ou partisane, ce qu’il a pu observer. Ce n’est pas pour écrire en sa propre faveur un plaidoyer, dont son honnêteté et sa conscience n’ont nul besoin, mais seulement pour servir la vérité. »
Editions Bader Dufour (Traduction de Jean-Marie Rozé) / 1949.
295 pages / 18,5x12 / 220 grammes.
Lu (comme l’attestent quelques fines pliures sur une tranche légèrement « choquée » à ses extrémités) mais dans un excellent état pour un livre de cette époque.
Exemplaire sans jaquette >>> 14 €uros. / disponible.
17:45 Publié dans Biographies, Histoire, Politique / Géopolitique & économie, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quinto navarra, mussolini, histoire, fascisme, années 30, seconde guerre mondiale, témoignage, politique
27/03/2012
Guerriers / Part.1
Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…
Mois du livre de poche !
Mikhaïl CHOLOKHOV : « Ils ont combattu pour la patrie »
Quatrième de couv’ : II semble que Cholokhov, enfant du Don, ait retrouvé pour parler de la guerre moderne à la fois le souffle épique et la bouleversante tendresse humaine qui caractérisaient le Tolstoi de GUERRE ET PAIX. Dans ce roman, il évoque avec une grande force de témoignage la terrible retraite de 1942, l'armée russe vaincue, traquée, se repliant vers le Don, mais il l'évoque aussi bien à l'échelle de l'Europe face à l'avenir qu'au niveau du simple troupier avec ses terreurs, ses pauvres expédients pour survivre, sa faim constante, son humour tragique et involontaire, ses préoccupations tantôt héroïques, tantôt sordides. C'est cette dualité qui donne à « ILS ONT COMBATTU POUR LA PATRIE » une dimension universelle, et qui valut à l'écrivain, pour son talent et sa sincérité, le Prix Nobel de littérature 1965.
Presses pocket – 1969 – 315 pages – 200 grammes
Etat = quelques petits chocs en haut de couv ( visibles sur la photo ) sans quoi il n’est même pas « cassé »… et de fait, très certainement jamais lu !?!! Comme neuf !
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Pierre SERGENT : « 2ème R.E.P »
( Algérie – Tchad – Djibouti – Kolwezi – Beyrouth )
Quatrième de couv : Né du 2e B.E.P. d'Indochine, le 2e R.E.P. devient, en 1956, en Algérie, le fer de lance de la zone Est algérien. Il se taille une solide réputation et accumule les plus importants bilans. En 1962, replié à Bou Sfer, en protection de la base de Mers el-Kébir, le 2e R.E.P. s'enlise dans la boue et le marasme. Alors, son colonel décide de spécialiser son régiment, de le rendre capable de remplir n'importe quelle mission, dans n'importe quel contexte, sous n'importe quelle latitude. Cadres et légionnaires deviennent chuteurs opérationnels, tireurs d'élite à toutes les armes, nageurs de combat, alpinistes.
Le 2e R.E.P. a trouvé sa voie : il sera l'unité des missions impossibles.
Il fait campagne au Tchad. Il saute sur Kolwezi. Il délivre les otages à Djibouti. Il débarque en tête à Beyrouth en 1983. Il repart au Tchad en janvier 1984.
Ce livre raconte la passionnante aventure d'un groupe d'hommes appartenant à une prestigieuse unité de choc supérieurement entraînée, au service de la Patrie que ces étrangers se sont choisie.
L’auteur : Il commençe sa carrière militaire dans le maquis à l'âge de 17 ans, puis suit une carrière d'officier dans la Légion Etrangère après un passage à Saint-Cyr-Coëtquidan. A sa sortie de l'ESM en 1949, il est affecté au 1er Regiment Etranger, à Saïda (Algérie). Lieutenant, il combat au 1er Bataillon Etranger de Parachutistes durant la guerre d'Indochine (1951-1953), où il est grièvement blessé, puis comme capitaine pendant la guerre d'Algérie au sein du 1er Régiment Etranger de Parachutistes (1958-1961), après avoir été affecté au 1er Régiment Etranger d'Infanterie en 1956.
Après l'échec du putsch d'Alger en avril 1961, il passe à l'OAS dont il devint le chef pour la métropole (OAS-métro). Pendant sept ans, il échappe aux recherches policières tandis qu'il est condamné à mort par contumace deux fois. Il est finalement amnistié après les évènements de mai 1968. Proche des milieux solidaristes, en particulier du Mouvement jeune révolution et de Jean-Pierre Stirbois, il fut élu en 1986 député des Pyrénées-Orientales sous l'étiquette du Front national, après un passage au Centre national des indépendants et paysans.
Pierre Sergent est l'auteur de nombreux livres sur la Légion étrangère et sur la guerre d'Algérie.
Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »
Nombreuses photos hors-texte / 1986 – 377 pages – 195 grammes.
Etat = quelques petites marques de stockage / manipulation… ainsi qu’une cassure sur tranche, mais rien de grave, tout à fait O.K !
>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Capitaine BARRIL : « Missions très spéciales »
Quatrième de couv : Paul Barril, l'État ne connaît pas. Nous sommes le 5 octobre 1983, Max Gallo, porte-parole du gouvernement à cette époque, vient de nier l'existence de l'un des officiers de gendarmerie les plus prestigieux de ces dernières années. Un an s'est écoulé depuis la création par l'Élysée d'une cellule de lutte contre le terrorisme, confiée au commandant Christian Prouteau et à son adjoint le capitaine Paul Barril. A 38 ans, après des dizaines d'actions prestigieuses au service de la France, Paul Barril connaît la disgrâce.
Lâché par sa hiérarchie, livré aux soupçons de la presse, aux coups bas de certains policiers, harcelé par les convocations des juges d'instruction, il devient en quelques semaines la cible privilégiée des critiques adressées à l'organisation des services secrets français, la première victime importante de la guerre des polices. On lui reproche indistinctement ses initiatives personnelles, son non-respect des règles de la procédure pénale dans quelques opérations secrètes exécutées à la demande de sa hiérarchie. On oublie aussitôt que « l'inconnu de la Présidence » a arrêté 113 personnes, participé à la reddition de 61 forcenés, neutralisé à mains nues 16 individus armés, libéré 500 otages, de l'Ambassade de France au Salvador, à la Somalie en passant par La Mecque dont il ne sera pas parlé ici.
Aujourd'hui Paul Barril livre ses réflexions sur une carrière interrompue contre son gré. Sans amertume, il règle quelques comptes. Il retrace son incroyable parcours au service de l'État, il décrit ses méthodes de combat, il évoque ses rencontres avec ceux qui ont fait l'actualité du terrorisme, d'Action Directe aux mouvements d'Extrême Droite, de Klaus Croissant à Charly Ching, des mouvements autonomistes corses à l'affaire de l'Ambassade d'Irak, à l'occasion de laquelle quatorze impacts de balles sont relevés sur la voiture qui lui a servi de bouclier. Il retrace ses missions contre le grand banditisme, de « Pierrot » Conti à Mesrine. Il propose aussi des solutions.
Presses de la cité – 1984 – 400 pages – 210 gr – Nombreuses photos hors-texte –
Quelques marques de lecture et de stockage sur plats + une cassure sur tranche, mais intérieur tout à fait O.K, bon pour le service : 2 €uros. / Vendu !
Jean MABIRE : « Les panzers de la garde noire »
Quatrième de couv : Forte d'une simple compagnie en 1933, la garde personnelle d'Adolf Hitler, la « Leibstandarte », est devenue une dizaine d'années plus tard une Panzerdivision qui fut parmi les plus redoutables de la Waffen SS. Cette troupe d'élite, formée de jeunes soldats sélectionnés pour leur stature, leur fanatisme et leur courage, a combattu sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale.
Commandée par le légendaire lansquenet bavarois « Sepp » Dietrich, elle a participé aux offensives les plus hardies comme aux combats les plus désespérés. En Pologne en Hollande, en Macédoine, en Grèce, en Ukraine, en Normandie, dans les Ardennes ou en Hongrie, les hommes de la Garde Noire ont toujours été à la pointe de l'armée allemande. A l'approche de la défaite, ses Panzers tentèrent vainement de forcer la décision, et le sacrifice des régiments de la « Leibstandarte » acheva l'aventure militaire du IIIème Reich.
Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »
Nombreuses photos hors-texte / 1980 – 350 pages – 180 grammes.
Etat = quelques infimes petites marques de stockage / manipulation… mais vraiment infimes, exemplaire en très très bon état… nickel !
>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
23:50 Publié dans Guerres et guerriers, Histoire, Indochine & Algérie, Jean Mabire, Pierre Sergent, Politique / Géopolitique & économie, Russie / Monde slave, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mikhaïl cholokhov, pierre sergent, 2ème r.e.p, capitaine barril, jean mabire, waffen ss, légion étrangère, guerre, guerres, guerriers, wwii, seconde guerre mondiale, sepp dietrich, kolwezi