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29/04/2015

Sven HASSEL

Sven HASSEL

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche

( les Panzers en première ligne ) »

 

Quatrième de couv’ :

Ce roman raconte l'odyssée d'une poignée de Tankers – les soldats des chars d'assaut allemands –  qui, en uniforme russe et sur des chars T.34 russes, furent un jour désignés pour tenter un raid suicide derrière les lignes russes.

Mieux que personne, Sven Hassel a su peindre l'ambiance de douleur, de violence et de désespoir qui caractérisait l'armée allemande lors des derniers mois de la guerre avec la chaleur et la force d'un style extrêmement percutant et viril.

Presses de la Cité – 1969 / 284 pages – 20,5 x 13,5 cms – 435 grammes.

Reliure éditeur imitation cuir rouge, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Etat = un petit accro ( restauré ) sur le haut de la jaquette côté couv’, sans quoi il est très bien… sain et propre.

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

( Ailleurs = entre 6 et 14 €uros ( selon les états ) sur marelibri.com ) 

 

Egalement disponible dans sa version poche :

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche »

 

Presses Pocket – 1973 – 307 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, mais néanmoins en excellent état pour un Sven Hassel de chez Presses Pocket ( et de 1973 ), on sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu !!!…

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Sven HASSEL : « Général S.S. »

 

On connaît les nombreux récits de guerre de Sven Hassel, combattant du front russo-allemand dans un régiment particulièrement exposé, parce que « politiquement douteux » aux yeux des nazis. On retrouve dans cet ouvrage les héros traditionnels de l’auteur : Porta, Petit-Frère, le légionnaire, Heide le fanatique, mais dans un cadre s’il est possible encore plus tragique, puisque c’est de la bataille de Stalingrad qu’il s’agit ici… et que nos soldats ; après de furieux combats contre les Sibériens ; se retrouvent vaincus, mourant de faim et de froid, transformés en cannibales. Ce récit tragique se termine sur une note qui ne l’est pas moins : la percée, effectuée par un groupe de soldats sous les ordres d’un général S.S. plus humain que les autres, coûte finalement la vie à trois officiers qui ont tenté, contre les ordres de Hitler, d’arracher leurs hommes à la torture et à la mort inévitable.

Un aspect de la bataille de Stalingrad, peu connu du grand public, trouve ici un écrivain digne de lui.

Presses Pocket – 1973 – 317 pages – 190 grammes.

Etat = une fine cassure/nervure sur tranche, est à peu près le seul « défaut » à signaler ! Ensemble bien compact, plats en excellent état et intérieur parfait, l’exemplaire peut sans problème être estampillé comme bon+ tirant sur le très bon !

>>> 4,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs (et pour CETTE édition) :

Entre 3 et 8,90 €uros sur Amazon.fr (moyenne/majorité aux alentours de 4 à 5 €uros ).

De 3,90 à 6,99 €uros (idem, pour cette édition) sur Priceminister.

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

 

Quatrième de couv’ : « 90 % de cette histoire reposent sur des faits réels », déclare l'auteur en parlant de son livre. Pourtant il faut bien préciser qu'il s'agit d'un roman, un roman dur écrit par un combattant de la dernière guerre, un roman révolté, désespéré mais baigné de tendresse. D'ascendance danoise et autrichienne, Sven Hassel s'est vu contraint de servir dans l'armée allemande et, après une tentative d'évasion, a été muté dans un régiment disciplinaire.

Ceux qu'il évoque forment donc un groupe de camarades jetés dans la bagarre, haïssant le destin fatal qui les a précipités dans cette démence. Nous les voyons tomber l'un après l'autre, même les femmes, jusqu'à ce que le narrateur demeure seul – seul et amer. 

Pourtant ces pages ne sont pas entièrement noires. On y trouve de l’humour, on y trouve l’honnêteté de « A l’ouest rien de nouveau », la grandeur humaine du « bal des Maudits », on y trouve aussi le cynisme de l’inoubliable Porta.

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bordeaux, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente elle aussi quelques petits frottis en haut et bas de tranche, mais aucune déchirure (ce qui est plutôt rare) et un bel aspect bien brillant ! L’intérieur est en excellent état, propre et sain. 

>>> 7 €uros. / disponible.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bleu nuit, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente, elle, quelques petits accros ( haut de tranche et de quatrième / bas de premier plat ), mais ceux-ci ont été délicatement restaurés… et en dehors de ça, elle est de bel aspect, propre et brillante. L’intérieur est sain et en excellent état !

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = pour un exemplaire bon état avec jaquette, tel que celui-ci, comptez entre 6,50 et 12,60 € (selon les états) sur Priceminister / ou entre 6 et 15 € (idem, selon les états) sur livre-rare-book.com 

 

Egalement disponible au format poche : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses Pocket – 1976 – 312 pages – 170 grammes.

Etat = quelques légères marques/traces de stockage, ainsi que des bords de tranche très légèrement frottés… mais bon, rien de vraiment notable pour autant !

Compact, brillant, non cassé, intérieur parfait… tout à fait bon pour le service !

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Liquidez Paris »

 

Quatrième de couv’ :

Poursuivant sa marche hagarde à travers l'Europe, en guerre, le « quintette de la mort » de Sven Hassel a évidemment vécu et le débarquement de Normandie, et la libération de Paris.

Non, Von Choltitz ne fut pas le bienfaiteur annoncé par les communiqués officiels. Il avait reçu de Himmler même – et le chapitre qui relate leur rencontre est une page d'anthologie – l'ordre de miner Paris et de le détruire.

Il ne le fit pas, soit : mais ce ne fut pas par générosité. Au dernier moment, la débâcle empêcha la mise en place du dispositif meurtrier, et Von Choltitz trembla jusqu'à l'écrasement de Von Rundstedt à la pensée de rendre des comptes sur l'échec de sa mission.

Voilà qui jette une lumière nouvelle sur les grandes journées de juin 44… et nous permet de retrouver nos amis des précédents romans dans leur plus tragique aventure.

Presses Pocket – 1978 – 313 pages – 170 grammes.

Bel exemplaire, entre « bon+ » et très bon !

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Monte Cassino »

  

Quatrième de couv’ : Comme tous les ouvrages de Sven Hassel, MONTE CASSINO est basé sur les expériences personnelles de l'auteur qui décrit la bataille de titans dont l'enjeu était le célèbre monastère. Affrontement, gigantesque qui fut appelé le « Verdun de la Seconde Guerre mondiale ». Dans cet univers d'apocalypse, un groupe de jeunes gens qui ont subi dès leur enfance un entraînement intensif dans le seul but de faire d'eux des robots prêts à obéir aux ordres les plus insensés.

Ce ne sont plus des hommes, mais des machines à tuer qui agissent par réflexes conditionnés sans que leur intelligence intervienne. Tout au long de la longue bataille, ils lutteront pour un idéal incrusté au fond d'eux-mêmes, sans même s'apercevoir que les souffrances qu'ils endurent, leur héroïsme aveugle ne mènent à rien car leurs mobiles sont condamnés.

Livre dur, âpre, sans concessions, qui se dresse comme une accusation implacable contre la guerre et la dictature, et l'on pourrait reprendre les mots du général nordiste Sherman qui déclarait après le succès de ses armées dans la guerre de Sécession : « La guerre me fatigue et me rend malade. La mort glorieuse des combattants est une monumentale stupidité. Il n'y a que ceux qui n'ont jamais tiré un coup de feu ou entendu les gémissements des agonisants le soir d'une bataille pour réclamer de la vengeance et du sang. La guerre, c'est l'enfer ! ».

Presses Pocket – 1975 – 314 pages ( volume double ) – 180 grammes.

Etat : trois « micro-pliures » (ou « très fines nervures », plutôt, le terme est plus juste !) sur la tranche, témoignent que le livre a été lu ! Mais son précédent propriétaire devait être quelqu’un de très soigneux, car hormis ce tout petit détail, le livre est quasi-parfait ! Plats bien brillants, ensemble rigide et compact, intérieur comme neuf… un exemplaire qu’on peut sans problème estampiller entre « bon+ », avec un gros «+» !!! 

>>> 3,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1973 – 314 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, petites pliures en haut et bas de couv’ et bas de tranche légèrement « frottée », mais néanmoins en très bon état pour un Hassel de chez Presses Pocket ! On sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu ! 

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1975 – 314 pages – 180 grammes.

Etat = Ensemble bien compact ne souffrant d’aucune déformation, plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait !

Comme neuf de chez comme neuf !!! Très certainement jamais lu !!!

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 5 à 12,99 €uros sur Priceminister.

2 exemplaires à 5 et 6 euros (états « correct / moyen ») sur auxcentmillebouquins

Un seul ex, à 16, 49 €uros sur abebooks.fr / Un seul exemplaire, à 19,90 €uros sur Amazon.fr

 

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Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

 

Aux actions d’éclat succèdent les retraites des combattants traqués, faméliques, dans les steppes où la température descend fréquemment au-dessous de 50°C.

Les actes de bravoure, les décisions prises dans des situations désespérées, quand la seule chance de salut consiste à abandonner les blessés, sont récompensés par les jugements expéditifs des tribunaux militaires d’une armée à l’agonie. Horreur, souffrance, peur, vilenie, telles sont les couleurs de ce monde où nous suivons Porta, Petit-Frère, Barcelona, le Légionnaire et les autres, dans cette lutte sans merci qu’ils mènent sur le front finlandais contre un ennemi impitoyable. Un ennemi humain et qui n’a pas meilleurs sosies que ceux qui le combattent.

Tantôt témoin objectif, tantôt participant, jouet dérisoire pris dans l’implacable étau du conflit, Sven Hassel nous plonge au cœur du paradoxe de la guerre : tuer pour vivre, exécuter les ordres puisqu’il n’y a pas d’alternative, les exécuter malgré sa conscience, froidement, méticuleusement, puis, pour oublier au plus vite, se griser de cette vie d’autant plus précieuse qu’elle est précaire…

Presses de la Cité – 1980.

Broché, (reliure souple en couleurs) – 270 pages – 24 x 15,5 cms – 460 grammes.

Etat = Coins de plats légèrement talés-cornées + quelques salissures sur les tranches papier… et c’est dommage, car hormis ces petits défauts « de stockage et manipulations », le reste est franchement pas mal ! Plats toujours bien brillant, tranche non cassée, intérieur propre et sain (sans même parler d’une SUPERBE illustration de couv’ ), il est carrément sympa !!!…

>>> 8,80 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = entre 11,15 et 19,99 sur Priceminister pour des exemplaires juste "moyens" (pliure(s) sur couv’, taches, etc.), 30 € pour un « très bon » / 8 € sur livre-rare-book.com / 8 à 16 € sur abebooks.fr.

 

Egalement disponible en version poche :

 

Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

Presses Pocket – 1986 – 319 pages – 170 grammes.

Etat = Excellent état, je n’irai pas jusqu’à dire « comme neuf » vu qu’il a tout de même bientôt 30 ans, mais c’est tout comme ! Tranche intacte, vernis bien brillant, plats en excellent état, intérieur nickel… très bel exemplaire !!!

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Kommando Reichsführer Himmler »

 

Ce nouveau roman de Sven Hassel aborde les derniers mois de la guerre russo-allemande.

Le thème principal en est la bataille de Varsovie. On retrouvera les personnages devenus familiers aux lecteurs : Porta, le légionnaire, Petit-Frère, Heide, le nazi et Hassel lui-même, lancés dans une retraite où, comme toujours, le burlesque côtoie la terreur.

On assiste à l’écrasement d’une nation héroïque, la Pologne, alors que les Russes de Rokossovski restent l’arme au pied, et cette chute de Varsovie soulevée contre Hitler annonce la fin d’une guerre meurtrière et cruelle, car la sauvagerie de Staline n’a d’égale que celle de Himmler.

Presses Pocket – 1975 – 241 pages – 160 grammes.

Etat = compact, tranche non cassée, intérieur parfait : pas sûr que ce livre ait été lu en fait !?! Ou alors juste une fois… Mais bon, quelques petites marques/traces de stockage (donc… à défaut d’être « d’usage ») font que je ne pourrai pas l’estampiller comme « très bon » pour autant ! Il sera juste « bon »… 

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = Priceminister, comptez entre 4,09 et 6,80 pour des ex « acceptables »…

Et jusqu’à 14,50 pour du très bon !

 

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Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

 

Chroniqueur et témoin de la campagne de Russie, Sven Hassel retrace magistralement dans ce livre les souffrances et les exploits inouïs de ces soldats livrés à un climat inhumain par la folie d’Hitler.

Au cours de leur odyssée se placent des faits d’armes, tel le coup de main en uniformes russes sur une usine de Moscou. Puis vient la retraite. Mourant de faim et de froid, le commando cher à l’auteur fuit la torture et la captivité des camps russes. On retrouvera donc ici des héros familiers : Porta, Heide le fanatique, le légionnaire qui garde la nostalgie de la France, l’inénarrable Petit-Frère, et leur chef sagace, ce sergent aimé de tous et que tous appellent le Vieux. Perdus dans l’immense Russie, à la recherche d’un front allemand toujours évanescent, ils parviennent enfin à retrouver leurs lignes après un épisode dramatique dont le récit est l’un des plus poignants de Sven Hassel.

Presses Pocket – 1979 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = quelques p’tites marques/traces de manipulations, lectures et/ou stockage… mais rien de franchement notable pour autant ! Plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait… tout à fait BON pour le service !

>>> 2,70 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 2 à 6 €uros sur Amazon.fr / 3,90 à 6,90 €uros sur Priceminister.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

Presses Pocket – 1976 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = Moins bien que le précédent ! Couv’ quelque peu « matifiée », petits frottis sur les bords de tranche… l’intérieur est excellent et la tranche non cassée, mais les plats sont assez moyens !

On vous le fait à >>> 1,50 €uros. Vendu ! 

 

( L’occasion ou jamais de découvrir ! )

 

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07/05/2012

Maréchal PAULUS - Stalingrad

Maréchal PAULUS : « Stalingrad »

 

Vie du Feldmaréchal-Général Friedrich PAULUS

Lettres et documents inédits rassemblés par Walter GÖRLITZ.

Avant-propos d’Ernst Alexander PAULUS.

Librairie Arthème Fayard / 1961.

315 pages / 22 x 14 cms / 460 grammes.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu jaune, titre et nom d’auteur en noir sur premier plat et tranche, nombreuses cartes et photographies hors-texte, très bon état, si ce n’est un petit choc en bas de couv’ >>> 7 €uros. / Vendu !

 

« Devant l’histoire, Friedrich Paulus reste à jamais le vaincu de la bataille de Stalingrad. Contrairement à d’autres chefs de guerre comme le Maréchal Model, il préfère la captivité au suicide, et le personnage ne sort pas grandi de sa confrontation avec le destin impitoyable. D’autant que les Soviétiques allaient obtenir de lui qu’il prenne position publiquement en août 1944 contre ses compatriotes qui s obstinaient a continuer un combat, même sans espoir, pour leur patrie. Pourtant, Paulus n’est jamais apparu comme un opposant à la politique de conquête d’Adolf Hitler, n’ayant jamais cessé d’être, jusqu’à Stalingrad, un subordonné obéissant et respectueux. 

Né à Breitenau, dans la Hesse, en 1890, il songe d’abord à faire une carrière d’officier de marine, puis se lance dans des études de droit avant de se décider finalement à entrer dans l’armée de terre. En 1910, à vingt ans, il est aspirant dans un régiment d’infanterie badois à Rastatt. Sous-lieutenant l’année suivante, il épouse une comtesse roumaine et semble destiné à mener une vie de garnison sans histoires.

La guerre éclate. Le sous-lieutenant tombe malade. Guéri, il est affecté aux chasseurs de montagne. Il se bat alors à Verdun et en Roumanie, gagne ses deux croix de fer et termine la guerre comme capitaine. Il servira alors à l’Ouest dans un état major puis à l’Est après l’armistice. 

Paulus reste dans la Reichswehr et sera détaché au ministère pour y suivre différents cours, car cet officier est sans nul doute un intellectuel. Professeur de tactique et d histoire militaire, c’est un esprit brillant, mais un peu schématique, sans grand contact avec la troupe. Cela n’empêche pas un avancement assez rapide : major en 1931, lieutenant-colonel en 1933 et colonel en 1935. Il se passionne pour la motorisation, ce qui correspond bien aux vues militaires du nouveau régime.

Friedrich Paulus est promu général le 1er janvier 1939 et se distingue comme chef d’état major dans un corps d’armée, puis dans une armée que commande le général von Reichenau.  Il met au point les plans d’invasion de la Pologne, puis travaille aux projets d’attaque sur le front de l’Ouest. A la fin du mois de mai 1940, il est le premier quartier-maître-général à l’Oberkommando des Wehrmacht avec le grade de général de division. Il reste un homme d’état major, froid, efficace, méthodique. 

Paulus joue indéniablement un grand rôle lors de l’élaboration du plan Barbarossa, celui de l’attaque contre l’Union Soviétique. A cette époque, il ne songe pas à se monter antinazi. Bien au contraire, il est de ceux qui suggèrent qu’Adolf Hitler prenne le commandant des forces armées et celui de l’armée de terre. Nommé général de corps d’armée, Paulus reçoit le commandement de la 6e armée. Son sort est scellé. 

Il va se battre dans le cadre du groupe d’armées Sud et se retrouvera sur la Volga, en avant-garde des troupes allemandes et alliées. 

Le 17 juillet 1942 commence la bataille pour Stalingrad. La ville tombe presque entièrement aux mains des troupes du Reich, mais les soviétiques résistent avec acharnement. La mauvaise saison arrive. A la mi-novembre, alors que la Volga charrie des glaces, l’Armée rouge prend l’offensive. Les alliés roumains sont bousculés. Avant la fin du mois la 6e armeé est pratiquement encerclée. Le corps d’armée expéditionnaire italien est lui aussi disloqué. Les tentatives allemandes pour briser l’encerclement échouent les unes après les autres. D’impitoyables combats de rues se déroulent dans les ruines de Stalingrad. Von Manstein, qui commande le groupe d’armée du Don, ne peut plus rien faire. 

Le 26 décembre, les troupes placées sous les ordres de Paulus sont coupées en deux. C’est le commencement de la fin. Le 30 janvier, Paulus est nommé maréchal, mais ce geste honorifique n’est sans doute qu’une invitation à emporter son bâton de commandement dans sa tombe. Le lendemain, le commandement de la 6e armée décide de se rendre. 

150 000 de ses hommes ont été tués au combat, près de 100 000 ont été faits prisonniers, dont 24 généraux. Bien peu reviendront de captivité.  Paulus ne sera libéré qu’en 1954, dix ans après une proclamation au peuple allemand où il rejetait sur Hitler toute la responsabilité du désastre de Stalingrad. Il mourra en 1957, à Dresde. »

( www.39-45.org )

 

« Voici un livre très intéressant sur la vie de Frédéric Paulus, Général-feldmaréchal de la VIéme Armée, défaite à Stalingrad… personnage qui de part son indécision et son esprit d'obéissance totale au Führer, se laissa enfermer avec toute son armée dans la poche de Stalingrad, ex-Tsaritsine, surnommée le Verdun Rouge pour la violence de ses combats...

Ce livre est tiré des notes du Maréchal lui-même et réunies par son fils, Ernst-Alexander Paulus, officier dans la Waffen-SS et blessé au début de la campagne de Stalingrad. En 1957, il confia ces dernières à l'historien militaire allemand Walter Görlitz qui avec l'aide d'autres archives retrace la vie de Paulus de l'opération Barbarossa à Stalingrad, puis jusqu'à sa mort, à Dresde, en 1957. 

A lire, car la personnalité de Paulus et la bataille de Stalingrad y sont traitées bien plus en profondeur, grâce aux notes de ce dernier, que dans bien des livres sur le sujet. »

( histoquiz-contemporain.com )

 

« Il ne s’agit ni des mémoires posthumes du maréchal ni d’une simple biographie écrite par un tiers, mais bien d’un ouvrage sur lui, qui procède à la fois de l’un et de l’autre »…

( auxcentmillebouquins.fr )

 

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( http://www.livre-rare-book.com/book/5472977/AGDL110035/fr )

06/05/2012

Theodor Plievier

Theodor Plievier

 

Écrivain allemand (Berlin 1892 – Avegno, près de Locarno, 1955).

Après avoir bourlingué à travers l'Europe et sur les océans, il s'enrôla en 1914 dans la Kriegsmarine et prit part en 1918 à la mutinerie de Wilhelmshaven. Pendant les premières années de la République de Weimar, il continua à mener une existence vagabonde et fréquenta les milieux anarchistes. Sa percée littéraire eut lieu en 1929 avec les "Galériens du Kaiser", récit incisif et violemment antimilitariste de ses souvenirs de guerre dans la marine. C'est cet antimilitarisme ("l'Empereur est parti, les généraux sont restés" de 1932) qui le contraignit à l'exil en 1933.

Il passa plus de dix ans en Union soviétique, où il écrivit, à partir de 1943, le récit mi-documentaire, mi-romancé de la bataille de Stalingrad : paru en 1945, le livre connut un succès mondial ; l'accueil réservé aux deux romans suivants, écrits après le passage de Plievier à l'Ouest en 1947, Moscou (1952) et Berlin (1954), fut moins favorable.

 

( http://www.larousse.fr/encyclopedie/litterature/Plievier/176102 )

 

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Theodor PLIEVIER : Stalingrad

 

Flammarion – Le Grand livre du Mois – le Club / 1999.

444 pages / 21,5 x 15 cms / 505 grammes.

Reliure souple, couverture illustrée d’une photo Noir et Blanc.

Neuf ! Encore sous cellophane 

 

Ailleurs = 18 €uros ( neuf ) sur priceminister.

13,50 €uros sur livre-ancien.eu

 

Theodor PLIEVIER : Moscou

 

Flammarion – Le Grand livre du Mois – le Club / 1999.

314 pages / 21,5 x 15 cms / 390 grammes.

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Ailleurs = 14,90 €uros sur abebooks.fr

15,90 ( neuf ) sur gibertjeune.fr

 

Theodor PLIEVIER : Berlin

 

Flammarion – Le Grand livre du Mois – le Club / 1999.

420 pages / 21,5 x 15 cms / 490 grammes.

Reliure souple, couverture illustrée d’une photo Noir et Blanc.

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Les 3 ouvrages ( tous neufs et toujours sous cello’ ), poids total = 1385 grammes.

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Theodor Otto Richard Plievier (Plivier jusqu'en 1933), né le 12 février 1892 à Berlin, mort le 12 mars 1955 à Avegno (Suisse) est un romancier allemand.

Il est principalement connu pour sa trilogie romanesque sur les combats sur le Front de l'Est durant la Seconde Guerre mondiale, composée des ouvrages Moscou, Stalingrad et Berlin.

 

Plivier (fils d'un artisan limeur) passe son enfance dans le quartier de Gesundbrunnen à Berlin. Il s'intéresse dès son jeune âge à la littérature. Il entre en apprentissage à seize ans chez un stuccateur et quitte peu après la maison paternelle. Il voyage pour son apprentissage à travers l'Empire allemand, en Autriche-Hongrie, et aux Pays-Bas. De retour chez ses parents, il s'engage comme matelot dans la marine marchande.

Il visite l'Amérique du Sud en 1910, et travaille dans des mines de salpêtre en 1913 au Chili. Il retourne en Allemagne, à Hambourg, en 1914. Il a vingt-deux ans. Mais il est arrêté par la police pour une rixe dans une taverne de marins. Il est donc recruté dans la marine impériale, alors qu'éclate la Première Guerre mondiale.

Il passe son temps de service sur le croiseur auxiliaire SMS Wolf, commandé par le fameux capitaine de frégate Nerger. Celui-ci mène une guerre commerciale victorieuse dans les mers du Sud. Cependant, le jeune Plivier, qui ne peut descendre à terre pendant quatre-cent cinquante jours, à cause de l'urgence du danger, se convertit aux idées révolutionnaires et devient communiste à son retour.

En novembre 1918, il est à Wilhelmshaven et participe aux émeutes et aux révoltes qui accompagnent la chute de l'Empire allemand, dont la mutinerie de Kiel. Lorsque la révolution de novembre fait rage, Plivier y participe en marge.

Il quitte la marine après l'armistice et fonde avec Karl Raichle et Gregor Gog la « commune du chemin vert », près de Bad Urlach, sorte de phalanstère révolutionnaire. C'est le début de la maison d'édition des Douze qui a une orientation anarchiste. Il est influencé par les idées de Bakounine, mais aussi de Nietzsche. Prend corps alors un « anarchisme de l'individu » qui lui ôte l'envie d'adhérer à un quelconque parti.

Plivier connaît ensuite une crise personnelle à l'exemple du poète Gusto Gräser. Il se met à rechercher la façon de penser de certains « prophètes » en sandales et en froc.

Il épouse à Berlin en 1920 l'actrice Maria Stoz, et appartient au cercle d'amis de Käthe Kollwitz qui fait un portrait de lui. Son fils Peter et sa fille Thora meurent de malnutrition pendant les temps terribles de la crise de l'inflation en 1923. Un an plus tard, il commence une carrière de journaliste et de traducteur. Il travaille ensuite un temps en Amérique du Sud comme négociant de bétail et comme secrétaire du consul allemand à Pisagua.

De retour en Allemagne, il écrit en 1929 Des Kaisers Kulis (Les coolies du Kaiser), récit critique de son service dans la marine impériale et procès de la guerre impérialiste. Erwin Piscator met en scène son roman au Lessingtheater de Berlin. La première a lieu le 30 août 1930.

Il épouse en deuxièmes noces l'actrice juive Hildegard Piscator en 1931.

Lorsqu'Hitler accède au pouvoir comme chancelier en 1933, ses livres sont victimes d'autodafés. Il change son nom en Plievier. Il décide d'émigrer cette année-là, et, au bout d'un long voyage qui le mène de Prague à Zürich, à Paris et à Oslo, il s'installe en URSS, mère de la Révolution socialiste.

Il n'est victime d'aucune censure à Moscou et publie des récits d'aventures et des commentaires politiques. Lorsque l'opération Barbarossa est enclenchée, il est évacué, comme d'autres étrangers à Tachkent, où il fait la connaissance de Johannes Robert Becher.

Il devient membre en septembre 1943 du comité national pour une Allemagne libre qui regroupe des intellectuels communistes allemands vivant en URSS. En 1945 il écrit Stalingrad d'après des témoignages de prisonniers allemands recueillis par lui dans des camps autour de Moscou (il avait obtenu l'autorisation de la censure stalinienne pour interroger les soldats prisonniers). Ce roman sera traduit en quatorze langues.

Ses descriptions sans faille et sans pitié de l'échec militaire allemand constituent un documentaire important sur les fautes de l'état-major allemand ; mais il sera toutefois censuré par les autorités soviétiques, pour ce qui en est de sa parution en URSS.

Il revient en Allemagne (comme fonctionnaire de l'Armée rouge, à Weimar) à la fin de l'année 1945. Il travaille pendant deux ans comme délégué de l'assemblée régionale, comme directeur d'éditions et comme cadre dirigeant au sein de l'association culturelle (Kulturbund) pour un renouveau démocratique de l'Allemagne qui est un organe soviétique destiné au changement de mentalités en Allemagne et à son inclusion dans le système socialiste soviétique. Plievier finit par rompre avec le système soviétique en 1948, et prononce un discours dans ce sens à l'assemblée des écrivains allemands de Francfort-sur-le-Main en mai.

Il s'installe alors dans la zone d'occupation britannique. Il fait ensuite un voyage en Allemagne de l'Ouest qu'il ne parcourera plus.

Il se marie en troisièmes noces en 1950 avec Margarete Grote qui a la moitié de son âge et s'établit au bord du lac de Constance.

Il publie Moscou (Moskau) en 1952 et Berlin en 1954.

Il meurt d'un infarctus en Suisse en 1955, à l'âge de soixante-trois ans.

 

( Wikipedia / http://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_Plievier )