14/05/2015
Les grands maîtres du polar... / part.2
Les Grands Maîtres du Roman policier
Collection dirigée par Albert DEMAZIERE
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Isaac ASIMOV : « Une bouffée de mort »
« C'est à l'Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C'est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c'est le choc alors éprouvé qui l'incite à s'informer en marge de l'enquête officielle. Il ira d'émotion en surprise. »…
Avec ce premier polar, Isaac Asimov, déjà considéré comme un des maîtres de la science-fiction, se range d'emblée parmi l'élite de cette autre discipline.
Collection « Les grands maîtres du roman policier », François Beauval éditeur.
Luxueuse reliure façon « cuir et dorures » / Nombreuses illustrations hors texte.
1975 – 270 pages – 315 grammes. / Etat = Un petit choc sur tranche (rien de grave, c’est juste qu’on est chichiteux) sans quoi il serait comme neuf, nickel !
>>> 4 €uros. / disponible.
Georges BERNANOS : « Un crime »
Ténébreuse histoire ! Crime ? Suicide ?
Il n’y a pas moins de quatre morts dans cette étrange affaire…
D’abord la vieille dame, assommée dans son château de Mégère.
Un inconnu ensuite, meurtrier présumé, tué par balle dans les collines voisines.
Pour corser le tout, madame Louise, ancienne religieuse, gouvernante de la défunte, absorbe une trop forte dose de morphine. Et voilà qu’un enfant de chœur est retrouvé flottant au fil du courant…
Au centre de l’intrigue, un jeune prêtre au masque tragique, au regard pénétrant, au sourire funèbre. Le curé de Mégère… A peine débarqué au presbytère la nuit du drame… Sous quel soleil est-il né, celui-là ?
A travers une enquête à tiroirs, Georges Bernanos décrit toute une société villageoise, ses jalousies et ses aigreurs. Une curiosité.
Editions de Crémille – 1973 – 271 pages – 11,5 x 18 – 300 grammes.
Luxueuse reliure façon cuir bleu et dorures / Nombreuses illustrations hors-texte.
Etat = excellent ! >>> 5 €uros. / disponible.
Chester HIMES : « Le casse de l’oncle Tom »
Dans un parking de Harlem, le révérend O'Malley a réuni une centaine de familles pour leur prêcher le retour en Afrique contre un modeste pécule de 1000 dollars. Soudain, sorti de nulle part, un camion conduit par un Blanc fonce dans la foule et embarque le magot de 87000 dollars. Ed Cercueil et Fossoyeur Jones vont bien sûr courir après l'argent volé, mais dans Harlem, tout peut arriver : des escrocs déguisés en pasteurs, des prostituées en bonnes sœurs et, bien sûr, assez de cadavres pour saturer les services de la voirie.
(Note de K. : Ce roman est également paru sous le titre « Retour en Afrique »).
Coll. « Les grands maîtres du roman policier » – François Beauval.
Nombreuses illustrations ( Jean Kerleroux ) hors texte.
1977 – 269 pages – 11,5 x 18 cms – 300 grammes
Luxueuse reliure façon cuir et dorures.
Etat = excellent ! >>> 5 €uros. / disponible.
Sébastien JAPRISOT :
« La dame dans l’auto ( avec des lunettes et un fusil ) »
(...) « Je n’ai jamais vu la mer » nous confie Dany Longo, notre héroïne, et mentalement nous lui répondons : « Oui et alors ? Où veux-tu en venir ? »
C'est une phrase à la banalité effarante qui nous pousse à continuer notre lecture car, petits curieux et grands cartésiens, nous voulons comprendre ! Nous en apprenons, petit à petit, plus sur cette jeune femme sans grande particularité qui, ayant décidé d'emprunter la voiture de son patron le temps d'un week-end pour aller voir la mer, se trouve rapidement totalement dépassée par les événements et perd la boussole lorsqu'elle découvre… un cadavre dans le coffre de la voiture.
(...) Partant d'une incohérence, l'auteur rationalise sensiblement sa narration jusqu'au point d'impact, le vrai mystère dans toute sa splendeur, à travers un triangle policier peu commun : un homme mort… la présence d'un fusil, arme incongrue… et une femme paumée au point de se demander si elle n'est pas elle-même la coupable !?!
Encore une fois, Sébastien Japrisot, qui aime faire forte impression, n'a pas loupé son coup. Mais ce qui le rend exceptionnel, c'est son fin dosage des ingrédients d'un bon roman à suspense. Car doucement, sans qu'on ne comprenne comment, ses histoires, toutes aussi échevelées les unes que les autres, s'éclairent. Maître dans l'art puzzléen, cet homme a, aura et mérite toute notre admiration. Car donner du sens à l'insensé, et ce, dans ses moindres détails, est un talent aussi rare que précieux… (culturetco.com)
Editions Famot – 1974 – 267 pages – 11,5 x 18 cms – 310 grammes.
Luxueuse reliure façon cuir rouge et dorures / Nombreuses illustrations hors texte.
Un tout tout petit choc sur quatrième, mais c’est vraiment « histoire de dire que »…
Excellent état ! >>> 4,50 €uros. / disponible.
Auguste LE BRETON : « Le clan des Siciliens »
« Roger Sartet, dit Mouche de Mai, dit le Petit Gros du Vendredi, apparut menotté, encadré par deux gardes républicains. Tout juste si les treize mois de ratière l'avaient marqué. Un peu plus de bedaine peut-être ! Mais en prison, avec l'air confiné, le manque d'action… Plus que jamais il méritait son surnom de Petit gros du vendredi. Un agaçant sourire était accroché à ses lèvres que la détention avait rougies, et derrière les prunelles faussement indifférentes stagnait la vigilance ».
A propos de l'auteur : Son père Eugène Monfort est un acrobate et un clown, un auguste (d'où le prénom de son fils) qui meurt lors de la Première Guerre mondiale en septembre 1914. Sa mère « l'oublie » sur son parcours. Il sera adopté par les Pupilles de la Nation, et de la ferme bretonne où il garde les vaches, on le conduit, à huit ans, dans un orphelinat de guerre. Épris de liberté et d'aventures, il s'en évade à onze ans, puis à douze pour aller en Amérique combattre les indiens.
Rêve d'enfant… À quatorze ans, ces évasions lui valent d'être transféré dans un Centre d'Éducation surveillée, à l'époque endroits implacables. Ensuite, les choses ne s'arrangent pas : il est couvreur, terrassier, il fréquente la pègre. Là, il noue de solides amitiés avec les voyous de Saint-Ouen qui, logiquement le baptisent « Le Breton ». Il est le témoin d'une époque aujourd'hui révolue. Il racontera plus tard : « Maurice la Gouine, il avait même fait mettre un diam' dans la canine de son chien. Du folklore, oh la la, c'est pas aujourd'hui qu'on trouverait ça à Paris ! ».
Lorsque la guerre survient, puis l'occupation, il fait le bookmaker, possède des parts dans des tripots et des restaurants, affronte parfois les gangsters de la Gestapo française. À la libération, on lui attribue la Croix de Guerre, mais non ce qu'il recherche : pouvoir pénétrer dans les orphelinats et maisons de correction pour s'informer et voir. Il reprend ses activités de bookmaker clandestin.
Puis, en 1947, il a 34 ans, naît sa fille Maryvonne. Il décide alors de tenir le serment qu'il s'était fait lorsqu'il dormait contre les grilles de métro pour bénéficier de sa chaleur fétide : « Si un jour j'ai un enfant, j'écrirai la mienne d'enfance, pour qu'il comprenne, pour qu'il reste humble et propre toute sa vie et devienne un homme ». Ce sera une fille, mais qu'importe, Auguste a toujours été un homme de parole : il prend la plume…
Editions Famot – Collection « Les grands maîtres du roman policier ».
1974 – 265 pages – 11,5 x 18 cms – 340 grammes.
Luxueuse reliure imitation cuir et dorures.
Nombreuses illustrations ( Jean Cheval ) hors texte.
Etat = excellent ! >>> 5 €uros. / disponible.
Maurice LEBLANC : « L’aiguille creuse » (Arsène Lupin)
Drame au château du comte de Gesvres : un inconnu, surpris la nuit dans la propriété, est atteint d'un coup de fusil par la nièce du comte. Peu après, la jeune fille est enlevée. Arsène Lupin a-t-il encore frappé ? Isidore Bautrelet, lycéen surdoué, détective amateur, prétend en savoir plus long que la police. Il serait sur la piste de « l'Aiguille creuse », un secret considérable dont seuls les rois de France possédaient la clef !
François de Beauval / Collection « Les grands maîtres du roman policier ».
1973 – 255 pages – 11,5 x 18 cms – 310 grammes.
Luxueuse reliure éditeur façon cuir bleu + dorures.
Nombreuses illustrations hors-texte de Jean Kerleroux.
Etat = excellent ! Comme neuf ! >>> 5 €uros. / disponible.
Léo MALET : « Brouillard au pont de Tolbiac »
Années 1950. Dans les brumes parisiennes du XIIIe arrondissement, Nestor Burma est rattrapé par son passé : une jeune gitane des rues le guide vers l'hôpital dela Salpetrière où il découvre le cadavre d'un ancien camarade de lutte.
Il est loin le temps où « Dynamite Burma » fréquentait la cellule anarchiste du quartier… Reconverti dans la fausse monnaie et la ferraille, le mort continuait, lui, à vivre dangereusement, menacé par la bande de l'attentat du pont de Tolbiac, une affaire sanglante jamais élucidée. Le privé a beau se vanter de « mettre le mystère K.-O. », comme l'indique sa plaque de détective, il ne peut rien contre le jeu de massacre qui s'annonce. D'autant qu'il est prompt à s'émouvoir face à Bélita, la femme-enfant égarée sur son chemin…
Autant à la recherche de lui-même que de l'assassin d'un chiffonnier bizarre, Nestor Burma parcourt dans l'espace et dans le temps un XIIIe arrondissement devenu pour nous une ville fantôme. Dans la lumière laiteuse du Foyer végétalien, Léo Malet se dessine derrière l'adolescent Nestor Burma. Et l'ombre des bandits tragiques hante cette reconstitution libertaire et nostalgique, éclairée par des confidences de l'auteur et des documents inédits.
Editions de Crémille – 1973 – 244 pages – 11,5 x 18 cms – 300 gr.
Luxueuse reliure façon cuir bleu et dorures.
Nombreuses illustrations hors texte.
Etat = excellent ! >>> 5 €uros. / disponible.
Georges SIMENON : « Le charretier de La Providence »
( Une enquête de Maigret )
Sur un yacht, à l'écluse 14 de Dizy, près d'Epernay, une femme a été assassinée : Mary Lampson, l'épouse d'un Anglais, colonel en retraite. Quelques jours plus tard, alors que Maigret a commencé son enquête, c'est au tour de Willy, l'homme de confiance du colonel et l'amant de Mary d'être tué.
Non loin de là vit jean, le charretier de la péniche La Providence, en compagnie de ses chevaux de halage et d'une femme, Hortense Canelle. Divers indices ont orienté Maigret vers lui.
Mais quel rapport peut-il exister entre cet homme taciturne et le couple Lampson ? Maigret finira par le découvrir loin dans le passé. Et le destin obscur et pathétique du charretier de La Providence émergera peu à peu des brumes.
Editions de Saint-Clair – 1975 – 235 pages – 11,5 x 18 cms – 300 gr.
Luxueuse reliure façon cuir rouge et dorures.
Nombreuses illustrations hors texte.
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15:23 Publié dans Georges Simenon, Isaac Asimov, Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : isaac asimov, georges bernanos, chester himes, sébastien japrisot, auguste le breton, maurice leblanc, arsène lupin, léo mallet, nestor burma, georges simenon, maigret, commissaire maigret, polars, polar, policier, policiers, grands maîtres du roman policier
06/07/2014
Boîte Bouquinorium 003
Boîte Bouquinorium 003 - Polars en vrac…
8 polars pour : 13 €uros… port compris !!! / Boîte vendue !
( Soit 1,60 €uro le livre, port compris ! )
Attention : Une seule boîte disponible ! / Boîte vendue !
Tous les livres qui sont proposés dans nos "boîtes" sont en bon état !
Certains présentent peut-être quelques menus "défauts" (quelques traces de manip' ou stockage, une ou deux fines cassures sur la tranche, une p’tite pliure en bas de plat…), mais aucun d’eux ne souffre de quoi que ce soit de plus sérieux que les vétilles énoncées ci-dessus.
Ils sont tous en bon état, sains, propres et tout à fait bons pour le service !
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Attention / achtung / warning : French customers only !!!
Nos « boîtes D.U.K.E » sont réservées à la France. Mais que nos amis belges, suisses, allemands, etc. se rassurent, les mois à venir seront également riches en autres promotions, dont ils pourront aussi profiter !
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Mary Higgins CLARK : « Nous n’irons plus au bois »
« Laurie Kenyon, vingt et un ans. est arrêtée pour le meurtre de son professeur. Tout l'accuse sans équivoque possible. Cependant Laurie ne se souvient de rien. Sarah, elle, refuse de croire que sa sueur est coupable. Avec l'aide d'un psychiatre, elle va peu à peu faire revivre le terrible passé de Laurie : son enlèvement à quatre ans, les violences qu'elle a subies, les graves troubles de la personnalité qu'elle a développés depuis à son insu. Mais au même moment, le danger rôde à nouveau: le couple kidnappeur, qui a retrouvé sa trace, redoute ses révélations… ». La romancière de La Nuit du Renard, grand Prix de littérature policière 1980, nous entraîne dans un suspense où se mêlent à chaque page l'angoisse, les cauchemars de l'enfance, la folie.
Robin COOK : « Choc »
« Les manipulations génétiques peuvent faire progresser la science. Ou mener au chaos. 45000 dollars en échange de quelques ovules: l'annonce passée par une prestigieuse clinique bostonienne a de quoi séduire. Déborah et Joanna, deux étudiantes fauchées, acceptent de se prêter à cette expérience censée remédier à la stérilité de certaines femmes. Avant de découvrir qu'elle cache le plus effroyable et le plus inimaginable des scénarios. »…
Un thriller au croisement de la technologie médicale et de la bioéthique.
Mary Higgins CLARK : « La maison au clair de lune »
« Une vieille dame riche, Nuala Moore, heureuse de retrouver après vingt ans de séparation la fille de son ex-mari, qu'elle adorait. Des morts suspectes dans une luxueuse maison de retraite pour milliardaires, Latham Manor, à Rhode Island. Une ancienne coutume victorienne : attacher à la main des morts un fil permettant d'actionner une clochette à l'extérieur de la tombe, au cas où ils auraient été enterrés vivants. Et Maggie, jeune et séduisante photographe new-yorkaise, qui a vu ce qu'elle ne devait pas voir. »…
Tels sont les ingrédients du nouveau roman de Mary Higgins Clark… une angoisse implacablement distillée qui ne nous laisse pas une seconde de répit.
Robin COOK : « Vector »
« Un vecteur est le support de transmission d'un agent infectieux d'un humain à un autre. Maîtriser celui qui permettrait une diffusion massive et rapide : tel est l'objectif de quelques laboratoires militaires ultra-secrets dans le monde... et aussi de réseaux terroristes. Chauffeur de taxi à New York, Youri, un Russe exilé, est une recrue de choix pour les fanatiques du pouvoir blanc, qui considèrent que la démocratie américaine a trahi son idéal et son peuple. A Sverdlvosk, en effet, il a travaillé sur le terrible bacillus anthracis : l'agent de la maladie du charbon. Au cours d'une catastrophe sanitaire jamais avouée par Moscou, il a pu en connaître les effets terrifiants. »…
C'est ainsi que deux médecins légistes de New York, Jack Stapleton et Laurie Montgomery, bien connus des lecteurs de Chromosome 6, vont être mis sur la piste d'un complot redoutable.
Patricia CORNWELL : « Cadavre X »
« Un cadavre décomposé est retrouvé à bord d'un cargo belge faisant escale à Richmond. Malgré une autopsie minutieuse, Kay Scarpetta ne parvient à déterminer ni l'identité du mort, ni les causes du décès. En butte aux intrigues de collègues rivaux, Kay, flanquée de son fidèle Marino et toujours proche de Lucy, sa nièce, se lance dans une enquête qui l'amènera en France, des bureaux lyonnais d'Interpol à la morgue de Paris, avant de la ramener en Virginie où l'attend un monstrueux tueur, le Loup-garou... ».
Patricia Mac DONALD : « Dernier Refuge »
« Dena aimait Brian. Lorsqu'elle a été enceinte, elle a cru qu'ils pourraient être heureux. Mais Brian a changé. Il s'est mis à boire, se montre brutal et jaloux. Lorsqu'un soir il la frappe violemment, elle comprend qu'il lui faut partir. Ron et Jennifer, un couple ami, sont tout disposés à l'accueillir. Elle sait qu'elle peut compter aussi sur Peter, un collègue de travail. Mais Brian semble résolu à tout pour ne pas être quitté. Et puis Jennifer est assassinée. Cependant que remonte à la surface un souvenir : les circonstances, jamais vraiment élucidées, dans lesquelles la précédente compagne de Brian a trouvé la mort... ». Au fil des pages, lentement mais sûrement, l'angoisse s'appesantit sur des êtres de chair, avec leurs faiblesses et leurs secrets, jusqu'à un dénouement d'une exceptionnelle intensité tragique.
Mary Higgins CLARK : « Toi que j'aimais tant »
« Après avoir passé vingt-deux ans derrière les barreaux pour le meurtre de la jeune Andrea, Rob Westerfield sort de prison avec un seul but : obtenir la révision de son procès pour retrouver son honneur et mériter l'héritage que sa richissime grand-mère hésite à lui transmettre. Mais c'est compter sans la détermination d'Ellie, la sœur de la victime, une journaliste pugnace que les menaces n'intimident pas - et qui fera bientôt des découvertes terrifiantes… ».
Lynda LA PLANTE : « Conte Cruel »
« La vengeance : William Benedict ne songe plus qu'à elle, désormais. Disparues, ses ambitions politiques, avec la mort d'Andrew Maynard, le jeune député dont il soutenait la campagne. Enterrée, sa soif de reconnaissance par le Tout-Londres : les journaux à scandale, en accusant le richissime homme d'affaires de liaison homosexuelle avec Maynard, se sont chargés de l'exclure de la bonne société conservatrice. Ne lui restent que sa fortune et sa solitude, qui font de lui une proie facile pour les escrocs...
Mais les parasites assoiffés d'argent qui gravitent autour de Benedict n'imaginent pas une seule seconde qu'il pourrait les considérer comme des outils, et qu'il leur prépare un paradis de nature à leur faire regretter l'enfer… ».
8 polars au format poche (uniquement des grands maîtres du genre ! )
>>> 13 €uros, port compris !!!!! / Vendus !
( Soit 1,60 €uro le livre, tous frais payés ! )
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Les prix de nos « boîtes » sont « port compris »…
Rien à ajouter au montant indiqué !
Le règlement se fait :
- Par chèque à l’ordre de D.U.K.E
- En liquide ( bien dissimulé et envoyé en recommandé ! )
(Nous n’accepterons aucune réclamation en cas de cash expédié dans un courrier non recommandé et perdu en route !)
Ou par virement bancaire, auquel cas il vous suffit de cliquer sur "me contacter" et de nous le faire savoir, afin d'obtenir tous les détails.
Adresse : D.U.K.E / Cidex 1010 / 39800 Le Fied.
Si le règlement ne nous est pas parvenu passé 12 jours (à compter de la date de réservation), la/les boîtes réservée(s) sera/seront remise(s) en vente.
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17:47 Publié dans Boîtes D.U.K.E, Mary Higgins Clark, Patricia Cornwell, Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : boîtes bouquinorium, boîtes duke, boîtes, mary higgins clark, patricia cornwell, patricia mac donald, robin cook, policiers, polars, enquêtes, crimes, poches, kay scarpetta
01/06/2014
Boîte Bouquinorium 001
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« Laurie Kenyon, vingt et un ans. est arrêtée pour le meurtre de son professeur. Tout l'accuse sans équivoque possible. Cependant Laurie ne se souvient de rien. Sarah, elle, refuse de croire que sa sueur est coupable. Avec l'aide d'un psychiatre, elle va peu à peu faire revivre le terrible passé de Laurie : son enlèvement à quatre ans, les violences qu'elle a subies, les graves troubles de la personnalité qu'elle a développés depuis à son insu. Mais au même moment, le danger rôde à nouveau: le couple kidnappeur, qui a retrouvé sa trace, redoute ses révélations… ».
La romancière de La Nuit du Renard, grand Prix de littérature policière 1980, nous entraîne dans un suspense où se mêlent à chaque page l'angoisse, les cauchemars de l'enfance, la folie.
Mary Higgins CLARK : « La maison au clair de lune »
« Une vieille dame riche, Nuala Moore, heureuse de retrouver après vingt ans de séparation la fille de son ex-mari, qu'elle adorait. Des morts suspectes dans une luxueuse maison de retraite pour milliardaires, Latham Manor, à Rhode Island. Une ancienne coutume victorienne : attacher à la main des morts un fil permettant d'actionner une clochette à l'extérieur de la tombe, au cas où ils auraient été enterrés vivants. Et Maggie, jeune et séduisante photographe new-yorkaise, qui a vu ce qu'elle ne devait pas voir. »…
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Jodi COMPTON : « La 37ème heure »
« Sarah Pribek, inspecteur à la brigade des personnes disparues, regagne la maison de Minneapolis qu’elle partage avec son mari et collègue, Shiloh. Celui-ci vient de partir pour le centre de formation du FBI en Virginie. En découvrant qu’il n’y est jamais arrivé, Sarah a un terrible pressentiment. Elle est bien placée pour savoir qu’après trente-six heures d’absence il est quasiment impossible de retrouver la trace de quelqu’un. À mesure que le passé de son mari se dévoile, c’est un étranger qu’elle découvre et sa pire crainte - la mort de Shiloh - est peut-être moins douloureuse que les révélations auxquelles elle devra faire face !?! »…
Robin COOK : « Choc »
« Les manipulations génétiques peuvent faire progresser la science. Ou mener au chaos. 45000 dollars en échange de quelques ovules: l'annonce passée par une prestigieuse clinique bostonienne a de quoi séduire. Déborah et Joanna, deux étudiantes fauchées, acceptent de se prêter à cette expérience censée remédier à la stérilité de certaines femmes. Avant de découvrir qu'elle cache le plus effroyable et le plus inimaginable des scénarios. »…
Un thriller au croisement de la technologie médicale et de la bioéthique.
Robin COOK : « Phase terminale »
« Pour Helen, vingt ans, et ses parents, le verdict est tombé, brutal comme une condamnation à mort : la jeune fille est atteinte d'un cancer du cerveau en phase terminale. Un seul espoir : l'Institut Forbes, à Miami, spécialisé en cancérologie, où des rémissions spectaculaires ont été obtenues. Au même moment, Sean Murphy, un jeune chercheur en biologie moléculaire, décide d'y effectuer un stage. Là, il découvre avec inquiétude que, loin de lui faire partager leurs découvertes, les responsables de l'Institut les entourent d'un secret impénétrable. »…
Robin Cook nous entraîne une fois de plus, au rythme d'un extraordinaire suspense, dans ces zones troubles où se croisent la performance médicale et les appétits financiers, où les prodigieuses avancées de la recherche moderne sont cyniquement compromises par les marchands d'espoir au prix fort.
Patricia CORNWELL : « Postmortem »
« Ça y est. Le tueur a de nouveau frappé… Une jeune femme d'une trentaine d'années, cette fois. La quatrième en deux mois. Une noire et trois blanches. Etranglées. Violées. La ville de Richmond a l'habitude du meurtre. Elle se classe deuxième aux Etats Unis pour son taux de criminalité. Mais il s'agit généralement de règlements de comptes, pas de crimes sexuels de ce genre…
Un "serial killer" ? Un échappé d'asile ou de prison qui frappe au hasard ? Le Dr. Kay Scarpetta n'en croit rien. Elle a sa petite idée. Et le temps presse. Hélas, quand on est femme et médecin légiste, la vie n'est pas facile. On cherche plus souvent à vous mettre des bâtons dans les roues et des espions dans l'ordinateur qu'à vous faciliter la tâche… ».
Un thriller haletant, coup d'essai et coup de maître pour ce jeune auteur américain qui occupe, depuis, le premier rang mondial. Prix du roman d'aventures 1992.
Patricia CORNWELL : « Combustion »
« Un tueur machiavélique, qui se sert du feu pour couvrir la trace de ses crimes : aux yeux de Kay Scarpetta, cela pourrait n'être qu'une enquête de plus. Mais elle acquiert la conviction que son ennemie mortelle, Carrie Grethen, évadée de sa prison new-yorkaise, est mêlée à ces meurtres. Lorsque Carrie prend pour cible sa nièce, Lucy, l'enquête revêt une dimension personnelle, et la tragédie la rattrape… ».
Avec ce dixième roman, Patricia Cornwell offre à ses innombrables fans un nouveau chef-d’œuvre, aussi fort que "Postmortem" ou "Une mort sans nom". Un suspense où Kay Scarpetta, tour à tour forte et fragile, désemparée et implacable, se révèle plus attachante que jamais.
Patricia Mac DONALD : « Un étranger dans la maison »
« Paul, un enfant de quatre ans, est enlevé dans le jardin de ses parents près de New York. Onze années plus tard, alors que seule la mère de Paul demeure persuadée que son fils est vivant, celui-ci est soudain retrouvé et rendu à ses parents. Mais quelle terrible vérité se cache derrière ces malaises qui assaillent Paul et le laissent chaque fois épuisé ? Que s'est-il passé exactement onze ans plus tôt, et pourquoi l'angoisse ressurgit-elle avec encore plus de violence ? D’autant que le ravisseur, personnage à l'esprit dérangé, court toujours. »…
Construit de façon très originale puisque l'énigme de l'enlèvement ne se pose vraiment qu'après le retour de l'enfant kidnappé et que la psychologie des personnages et leur humanité – même chez les plus inquiétants – sont montrées avec finesse et talent, "Un étranger dans la maison" est un grand thriller, dans la lignée des classiques de Mary Higgins Clark.
Andrea H. JAPP : « La femelle de l’espèce »
« Toni et Sarah Magnani forment avec leur fille de 12 ans, Sophia, une famille unie et sans histoires. Toni possède son propre garage, il est aisé sinon riche, et ils vivent dans un quartier parmi les plus calmes de Boston, car entourés d'Italiens qui ont à cœur de régler leurs problèmes sans l'aide de la police. Mais un soir Sophia ne rentre pas de l'école. L'univers des Magnani éclate. La police dit qu'il faut patienter, qu'on cherche… Sarah, elle, n'a aucune intention de patienter. On a touché à son petit : c'est elle qui va chercher. Et elle ne doute pas qu'elle va trouver ! »…
Andrea H. JAPP : « La raison des femmes »
« Les victimes sont deux hommes, autour de la cinquantaine, associés dans une entreprise. Ils ont été sauvagement abattus, le salon où ils se trouvaient saccagé dans une véritable explosion de fureur. Tandis que les policiers du Boston P D. se perdent en conjectures, le FBI découvre que l'arme du crime a déjà servi, dix ans auparavant, à tuer un couple de médecins, très loin de là… James Cagney, le profiler du FBI, va devoir mettre à contribution une fois encore celle qu'il aime : Gloria Parker-Simmons, la mathématicienne, capable de cerner les mobiles et la personnalité d'un tueur grâce au logiciel unique en son genre dont elle est la créatrice. »…
Avec ce nouveau volet des enquêtes de Gloria Parker-Simmons, après "La Femelle de l'espèce" et "La Parabole du tueur", Andrea H. Japp confirme les qualités – suspense, épaisseur psychologique, etc. – qui en ont fait l'égale des meilleurs auteurs de polars d'outre-Atlantique.
10 polars au format poche (uniquement des grands maîtres du genre ! )
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10:24 Publié dans Boîtes D.U.K.E, Mary Higgins Clark, Patricia Cornwell, Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : boîtes bouquinorium, boîtes duke, boîtes, polars, policiers, poches, mary higgins clark, jodi compton, robin cook, patricia cornwell, patricia mac donald, andrea h. japp, enquêtes, crimes, kay scarpetta
03/05/2014
Patricia CORNWELL
--------------- Patricia CORNWELL : Kay Scarpetta ---------------
Patricia CORNWELL : « Mémoires mortes »
Pourquoi Beryl Madison a-t-elle laissé entrer son meurtrier ? La jeune femme, auteur à succès, s’est plainte pendant des mois de mystérieuses menaces téléphoniques, d’un inconnu qui la surveillait…
Terrifiée, elle est même partie se réfugier en Floride pour écrire…
Alors pourquoi, à peine descendue de l’avion qui la ramène chez elle, a-t-elle ouvert la porte à celui qui l’a lardée de coups de couteau ? Pourquoi a-t-elle débranché l’alarme ? Pourquoi ne s’est-elle pas servie de l’automatique qu’elle transportait toujours sur elle et qui est demeuré sur la table de la cuisine ? Autant de questions sans réponse pour le lieutenant Marino et le Dr Kay Scarpetta, médecin expert de l’Etat de Virginie…
Editions du masque (les célèbres couvertures rouge et or) – 1995.
330 pages – 22 x 13,5 cms – 365 grammes.
Etat = Quelques infimes marques de stockage / manip’, mais rien de très notable… l’exemplaire est en excellent état ! >>> 3 €uros. / disponible.
Patricia CORNWELL : « Combustion »
Un tueur machiavélique qui se sert du feu pour couvrir les traces de ses crimes : aux yeux de Kay Scarpetta, cela pourrait n’être qu’une enquête de plus. Mais elle acquiert la conviction que son ennemie mortelle, Carrie Grethen, évadée de sa prison new-yorkaise, est mêlée à ces meurtres. Lorsque Carrie prend pour cible sa nièce, Lucy, l’enquête revêt une dimension personnelle, et la tragédie la rattrape…
Calmann-Lévy – 1999 – 349 pages – 24 x 15,5cms – 570 grammes.
Broché (reliure souple)… quelques marques de stockage et manipulation sur des plats aux coins légèrement « talés », ainsi que 3 fines cassures sur tranche, mais rien de bien dramatique !
L’ensemble est plus que bien, l’intérieur sain, blanc et propre et l’exemplaire est, de fait, déclaré « tout à fait bon pour le service » ! >>> 3 €uros. / Vendu !
Patricia CORNWELL : « Cadavre X »
Un cadavre décomposé est retrouvé à bord d’un cargo belge faisant étape à Richmond. Malgré une autopsie rigoureuse, Kay Scarpetta ne parvient à déterminer ni l’identité du mort ni les causes du décès. Seuls indices : un tatouage et des poils blonds.
Encore hantée par la mort de Benton (voir Combustion), en butte aux intrigues de collègues rivaux, Kay, flanquée de son fidèle Marino, et toujours proche de Lucy, sa nièce, se lance dans une enquête qui la mènera en France, des bureaux lyonnais d’Interpol à la morgue de Paris, avant de la ramener en Virginie où l’attend un tueur monstrueux, le Loup-Garou.
Le livre de poche – 2001 – 475 pages – 230 grammes.
Etat = Quelques (toutes) petites marques d’usage / stockage, ainsi que deux fines cassures sur tranche, sans quoi il est très bien ! Intérieur sain et propre, excellent état ! >>> 2 €uros. / Vendu !
( Prix neuf / en librairie = 6,40 €uros )
Patricia CORNWELL : « Baton rouge »
Baton Rouge, Louisiane. 230 000 habitants, ancien comptoir français sur le Mississippi…
Plaque tournante de tous les trafics, c’est la ville des Etats-Unis qui compte le plus grand nombre de crimes par habitant. C’est aussi là que Kay Scarpetta a rendez-vous avec son destin, car les frères Chandonne ne l’ont pas oubliée…
La mort est tapie au fin fond du bayou et frappe en série. Les amis de Scarpetta arriveront-ils à temps pour déjouer le piège qui se referme sur elle ?
France Loisirs – 2004 – 555 pages – 20,5 x 13 cms – 560 grammes.
Reliure cartonnée noire avec titre et nom d’auteur en blanc sur tranche + jaquette couleurs.
Quelques infimes (et inévitables) petites marques sur la jaquette (mais rien de plus que si vous achetiez le livre neuf en librairie !)… sans quoi il est tout simplement comme neuf / nickel !!! >>> 4 €uros. / Vendu !
Ailleurs = entre 6 et 10 €uros sur livre-rare-book.com )
Patricia CORNWELL : « Sans raison »
Kay Scarpetta, maintenant consultante à l’Académie Nationale des Sciences légales de Floride, est plongée dans une affaire où les indices matériels divergent : tous évoquent un tueur qui agit sans raison. Entourée de son équipe : Marino, Wesley, Lucy, sa nièce, Kay tente d’établir un lien entre les suspects probables et ces crimes. Elle enquête parallèlement sur une disparition dans une demeure tranquille, où quatre personnes se sont volatilisées. Dans la maison voisine, une autre surprise attend Marino : le corps martyrisé d’une femme gisant sur son lit. Kay Scarpetta dispose d’informations distillées par un psychopathe, dont elle ignore si celles-ci visent à lui apporter une aide précieuse ou à brouiller les pistes sans raison.
France Loisirs – 2006 – 554 pages – 20 x 12,5 cms – 500 grammes.
Broché ( reliure souple ), une tranche très très légèrement « incurvée » indique que l’ouvrage a été lu, mais pas plus d’une fois et par quelqu’un de très soigneux, excellent état ! >>> 3,50 €uros. / Vendu !
( Ailleurs = entre 5 et 6 euros sur priceminister / 5 €uros sur votrebouquinerie.fr )
--------------- Patricia Cornwell : Judy Hammer ---------------
Patricia CORNWELL : « La griffe du Sud »
Judy Hammer, l’héroïne de la ville des frelons, est nommée à Richmond (Virginie). Sa mission : réorganiser la police, lutter coûte que coûte contre une criminalité qui a fait de l’ancienne capitale sudiste une jungle urbaine. Auprès d’elle, ses adjoints, Virginia West et Andy Brazil. Il leur faudra se battre sur tous les fronts : réformer une police corrompue ou récalcitrante, braver des mentalités racistes et bornées, et venir à bout d’une délinquance formée souvent de très jeunes criminels, soumis à la loi de fer des gangs. Comme celle que fait régner Smoke, véritable psychopathe qui sème la terreur et tue de sang-froid.
Noirceur et humour forment un mélange détonant, où l’efficacité n’empêche pas la lucidité. Dans cette nouvelle série, Patricia Cornwell brosse le tableau sans concession d’une société à la dérive.
Le livre de poche – 2000 – 415 pages – 200 grammes.
Etat = plats impeccables, tranche non cassée, intérieur sain et propre…
Comme neuf ! >>> 2,50 €uros. / Vendu !
13:56 Publié dans Patricia Cornwell, Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : patricia cornwell, polars, policiers, enquêtes, kay scarpetta, judy hammer
31/10/2013
NéO - Le miroir obscur
Nouvelles Éditions Oswald
Suspense Insolite Mystère – Collection « Le miroir obscur »
La célèbre collection aux couvertures signées Jean-Claude CLAEYS.
( N°1 ) - Howard FAST : « L’ange déchu »
Au cours d'une panne d'électricité qui plonge un immeuble entier de New York dans l'obscurité la plus totale et laisse ses occupants « aussi désemparés, aussi isolés que le fut jamais l'homme au commencement du monde », Charles Calvin, une haute personnalité américaine, est précipité dans le vide d'une fenêtre du 22° étage, cependant qu'un autre homme, David Stillman, entreprend à pied la descente de ces 22 étages. A mi-chemin commencera le calvaire de David, soudain traqué par les créatures de Vincent, personnage diabolique qui, de l'ombre, tire les fils d'une entreprise criminelle. Mais qui est Vincent, quel rôle Calvin a-t-il joué dans le puzzle, pourquoi Stillman est-il l'objet d'une telle chasse à l'homme ? David lui-même est incapable de répondre à ces questions : frappé d'amnésie, c'est un homme sans mémoire qui se débat au milieu de pièges mortels surgis d'un passé qu'il ne peut préciser. « L'ange déchu » est un suspense mené de main de maître par l'un des plus grands écrivains américains du XXème siècle.
NéO, Collection Le Miroir Obscur.
206 pages / 14 x 21 cms / 305 grammes
Edition originale de 1979 – N°1 !!!
Infimes accros sur haut de couv’ et bas de tranche…
Mais quoiqu’il en soit : état bon tirant sur le très bon ( pour un NéO de 1979 ).
>>> 7 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
( N°8 ) - Kenneth FEARING : « Le grand horloger »
Traduction de Boris VIAN.
Le Grand Horloger se compose de 7 récits entrecroisés faits par :
- George Stroud, rédacteur en chef des "Voies du Crime"
- Son patron le magnat de la Presse : Earl Janoth
- Steve Hagen, bras droit et confident de Janoth
- Edward Orlin, journaliste
- Georgette Stroud, femme du héros
- Emory Mafferson, journaliste
- Louise Paterson, artiste peintre dont l’un des tableaux est au coeur du drame.
Chaque récit reflète la personnalité de son auteur, chaque acteur se définit lui-même tout en contribuant à l’action. Un univers étouffant, un drame feutré en lieu clos, une seule issue la mort ! Ce livre est un modèle de psycho-thriller, satyre sardonique des milieux de la presse à sensation. Poème désespéré sur le destin écrit en forme de roman policier.
La révélation ( et la traduction ! ) de ce roman est / sont due(s) à Boris VIAN.
( La première édition française date de 1947 ! )
NéO, Collection Le Miroir Obscur n°8 / 1980.
189 pages / 14 x 21 cms / 280 grammes.
Très bon état / Quasi-parfait !!! >>> 7 €uros. / Vendu !
( N°9 ) - G.J ARNAUD : « Tel un fantôme »
« Olga Pradier mène une vie misérable dans un pavillon de banlieue. Un jour, elle décide d’en finir, mais n’a pas le courage de se suicider. Elle peut pourtant « tuer Olga » pour renaître en une autre femme, ailleurs. Sans oublier de se venger de son mari en montant une bien terrible machination…
Mais on ne balaie pas facilement son passé et Olga hante cette Edith Runel qu’elle est devenue. Ce fantôme la pousse à revenir sur les lieux de son ancienne vie, comme une coupable… qu’elle est peut-être !? »
G.J Arnaud, l’un des maître du roman policier français, construit ici une intrigue savante sur les troubles et les ambiguïtés de la personnalité. Un « polar » sans crime. Un personnage double. La vie quotidienne envahie par le fantastique : « Tel un fantôme » oscille ainsi entre le roman policier, le thriller et le livre d’épouvante. Pour le grand plaisir du lecteur…
Le livre est précédé d’une « préface-interview » où G.J Arnaud, interrogé par Bernard Blanc, y parle du livre, mais aussi de sa conception du roman policier… et suivi d’une postface inédite de l’auteur. Une réédition indispensable et attendue d’un des meilleurs romans policiers du créateur de « La compagnie des glaces » !
NéO, Collection Le Miroir Obscur n°9 / 1980.
184 pages / 14 x 21 cms / 310 grammes.
Etat = très bon… tirant sur le parfait >>> 7 €uros. / Vendu !
( N°22 ) - Nancy RUTLEDGE : « La Mante Religieuse »
De la chambre d’hôtel de New York où il est sauvagement « interrogé », Douglas Trevor trouve, au cours de quelques instant de répit, la force de téléphoner à son ami Curt Hilton à Chicago, mais son message est incompréhensible. Le lendemain, Curt recevra un télégramme lui annonçant à la fois la mort de Douglas et son mariage récent. Curt, tout autant que Barbara Sandline, la fiancée de Douglas, ignoraient tout de ce mariage. Et pourtant, c’est bien une nouvelle épousée qui accompagne le corps…
A leur chagrin va bientôt s’ajouter l’angoisse, puis le soupçon. Car si Ricki est belle, fragile, et même aveugle, elle n’en est pas moins inquiétante. Et plus encore le soit-disant oncle qui l’accompagne, un vieillard doucereux, lui-même escorté d’un secrétaire si particulier qu’il a plutôt l’aspect d’un garde du corps.
Peu à peu l’horrible machination se dévoile à nos yeux : « l’oncle » est en fait le chef d’une organisation secrète d’inspiration néo-nazie que Douglas était sur le point de démasquer… et dont il a subtilisé l’emblème, une mante religieuse en or ; sans laquelle leur chef perd son pouvoir absolu. Toute l’action tourne dès lors autour de la récupération de cet objet magique, que Douglas a sans doute fait parvenir à Curt ou à Barbara.
Enlèvements, bagarres et séquestrations sous la garde de chiens féroces se succèdent tout au long d’un récit haletant. Curt se pose deux angoissantes questions : pourquoi a-t-on tué Douglas ? et Ricki, la belle aveugle dont il est tombé amoureux, est-elle complice ou victime des tueurs ?
NéO, Collection Le Miroir Obscur n°22 / 1981.
200 pages / 14 x 21 cms / 325 grammes.
Etat bon… tirant sur le très bon >>> 7 €uros. / Vendu !
( N°28 ) - David GRAHAM : « Opération balai »
« Douze camionnettes blindées, munies de gadgets de sécurité ultra modernes, conduites par des chauffeurs entraînés à parer à toute attaque, disparaissent en plein jour ! Ces camionnettes, dispersées aux quatre coins de Londres, sont toutes portées manquantes au même moment, sans que la moindre alerte n’ait été donnée. Elles transportaient trois millions de livres sterling. Quel est le cerveau génial qui a pu réaliser un coup aussi magistral !? L’effervescence règne à Scotland Yard… car un tel homme serait capable de mettre en péril les fondements même de la société britannique. »
Un « instantané » de l’Angleterre mal remise de l’affaire du train postal Glasgow-Londres ( N.d.R : le récit a été écrit en 1965 ! ). Une Angleterre un peu réactionnaire, certes, mais où les fantômes frappent discrètement à la porte de l’imaginaire. Ainsi peut-on deviner, dans ce halo culturel dont bénéficie indirectement le livre, la musique pop à ses débuts, les films réalistes du type « Sporting life » ou le « roman social » illustré par Sillitoe avec « La solitude du coureur de fond ». Ce qui est clairement indiquer le sens absolument moderne du récit et montrer combien il avait naturellement sa place dans cette collection « Le miroir obscur »
NéO, Collection Le Miroir Obscur n°28 / 1981.
188 pages / 14 x 21 cms / 300 grammes.
Quelques petites marques d’usage >>> 5 €uros. / Vendu !
( N°91 ) - H. Mc CLOY : « Une poignée de main avec la mort »
« Un recueil de six nouvelles ( dont la plus longue, qui donne son titre à l’ouvrage, est en fait un court roman ) qui raviront les fanatiques des anthologies de Hitchcock… celui-ci ayant d’ailleurs très souvent « emprunté » des histoires d’Helen Mc CLOY, célèbre auteur américain de romans policiers noirs et de thrillers. Une nouvelliste exceptionnelle, dont les récits originaux ont toujours des chutes stupéfiantes et inattendues ! »… Helen McCloy est né en 1904. Elle est une des meilleurs auteurs féminins américains. Vingt-cinq romans depuis 1938, dont pas un n'est indifférent et dont une dizaine ont pour détective un psychiatre, Basil Willing, qui rencontre de par sa profession, des cas plutôt insolites relevant parfois de la parapsychologie. Bonnes intrigues, solides arguments au point de vue de la détection criminelle et style qui témoigne d'une haute culture.
Sommaire :
Une poignée de main avec la mort ( Shake Hands With Death, 1960 )
Derrière le rideau ( The Other Side Of The Curtain, 1950 )
Chinoiseries ( Chinoiserie, 1948 )
Ta sœur la mort ( Thy Brother Death, 1958 )
Les Losanges chantants ( The Singing Diamonds, 1951 )
L’Informateur muet ( The Silent Informer, 1959 )
NéO, Collection Le Miroir Obscur n°91.
Edition originale de 1984 – Limitée à 4000 ex.
190 pages / 14 x 21 cms / 240 grammes.
Marques d’écritures « par contact » sur couv’…
Et pliures de lecture sur tranche – Etat moyen >>> 3 €uros. / Vendu !
( N°113 ) - Howard FAST : « Alice »
C’est à New York, par une froide soirée de mars, sur le quai du métro, que la vie d’un jeune dessinateur en architecture bascule dans l’horreur… quand un vieillard terrorisé s’accroche à lui avant de tomber sous la rame et d’y être affreusement déchiqueté.
Il devra tout remettre en question pour assurer sa simple survie, mais aussi celle de sa fille et de sa femme ( Alice, la véritable héroïne du roman ). Il devra échapper aux tueurs impitoyables qu’une puissance étrangère ( à toute humanité ! ) a lancé à leurs trousses… pour leur arracher un secret qu’ils ignorent. Mais également – et surtout – comprendre qu’il ne pourra plus jamais regarder sa femme de la même façon… tant cette aventure va la révéler à lui sous un jour vertigineusement inattendu !!!…
NéO, Collection Le Miroir Obscur n°113.
189 pages / 14 x 21 cms / 250 grammes.
Edition originale de 1985 – Limitée à 4000 ex.
Marques d’usage sur couv’ et 4ème + Pliure sur tranche et étiquette prix sur couv’
Etat moyen+ >>> 3 €uros. / Vendu !
( N°128 ) - Charlotte ARMSTRONG : « Appel de nuit »
« La mort d’un chien », « Au loup ? », « Qu’auriez-vous fait ? », « Au bord du danger », « Appel de Nuit » : cinq nouvelles de celle, qui, avec d’autres grands auteurs féminins - comme Helen Mc Cloy ou Patricia Highsmith - a porté à ses plus hauts sommets l’art du suspens psychologique. De celle qui joint, à la froide intelligence d’un « chirurgien des âmes », une sensibilité exacerbée… et de remarquables dons d’écrivain ! Pour elle, le roman policier n’est pas un simple jeu intellectuel : « il doit être fondé sur une succession de notations fines et pénétrantes ».
Dans pratiquement tous ses romans et nouvelles, dès les premières lignes, on connaît la situation, la position des divers personnages et jusqu’au nom du meurtrier… mais, malgré cela, on dévore ses pages lourdes d’angoisse et de menace tragique…
La nouvelle « la mort d’un chien » a remporté le prix du concours annuel de « Ellery Queen Mystery Magazine »… et Charlotte Armstrong ( 1905 / 1969 ) s’est également vu décerner le prix le plus important qui soit donné par les « Mystery Writers of America » : le « Edgar Allan Poe Award » ! Son génie de l’intrigue et son art consommé du suspense lui ont valu d’être l’une des scénaristes de télévision les plus prisées par Alfred Hitchcock. ( Anthologie présentée et établie par Stéphane BOURGOIN. Bibliographie des nouvelles à la fin du volume ).
NéO, Collection Le Miroir Obscur n°128 / 1986.
172 pages / 14 x 21 cms / 230 grammes.
Quelques petites et légères marques d’usage, bon état.
>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
09:29 Publié dans NéO / Nouvelles éditions Oswald, Polars | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : nouvelles Éditions oswald, néo, le miroir obscur, jean-claude claeys, howard fast, boris vian, kenneth fearing, g.j arnaud, nancy rutledge, david graham, helen mc cloy, charlotte armstrong, meurtres, enquêtes, policiers, polars, suspense, thrillers
03/09/2012
SERIE NOIRE – En vrac !
SERIE NOIRE – En vrac !
Bon, les aminches…
(Ah ben ouais quoi, c’t’une note Série Noire ici, on va pas causer comme des locdus ! Faut du style, d’la classe, donner dans la défouraille verbale façon « Messieurs les Hommes » font la tournée des Grands-Ducs ! Le beau verbe et la jactance de luxe façon Jo l’Trembleur f’sant du gringue à Lulu la Nantaise !)
Les aminches (donc)…
On va faire dans l’simple, pour c’qu’en est d’cette note…
Le tant et tellement basique que même un maître étalon (arf!) diplômé ès connerie d’la Sorbonne arriverait à piger sans trop de mal le concept général du bidule.
Parc’que bon, pour c’qu’en est des books présentés z’ici, z’avez juste à mater les photos jointes au topo pour piger qu’y’a rien à r’dire ! Qu’c’est d’la qualité number ouane… du flambant neuf, du bien brillant façon carrosserie d’belle américaine lustrée à la peau d’chamois par un garagiste amoureux des œuvres d’art montées 8 cylindres !
Et qu’du coup… on va pas s’faire chier à vous les casser avec du menu détail à la con…
On va pas s’emmerder à vous estimer tel book à 2,93 €uros parce qu’il y a une infime petite pliure de 0,2 mm en bas de quatrième de couv’… et tel autre à 3,08 €uros parce qu’il compte très exactement 19 pages de plus que le précédent.
On va tous vous les faire à 3 €uros pièce / prix unique… et hop, roulez jeunesses !
Rien à fichtre que tel site propose un McBain (d’occase) à 2,80 €uros et un autre le premier J.P Manchette à 10 €uros… le prix moyen d’une Série Noire en bon état se situe entre 4 et 5 €uros… et on vous propose donc nos « comme neufs » à 3 €uros ; histoire de rester en accord avec nos autres notes consacrées à ladite Série Noire… et d’être une nouvelle fois les meilleurs !
C’est bon, z’avez tout bien tout pigé ou faut qu’on vous débloque la comprenette à grands coups de sulfateuse Thompson modèle standard, chargeur camembert 50 bastos.
Yeah !
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N° 1295 – Ed McBAIN : « La rousse »
« Monsieur Cowper, directeur des Parcs et Jardins municipaux sera abattu demain soir, si je ne reçois pas 5 000 dollars avant midi. » Ce coup de fil anonyme, l’inspecteur Meyer le reçut un beau matin à son arrivée au commissariat du 87ème.
Pas autrement ému, Meyer en fit part à ses collègues qui tous dirent : « Encore un fumiste ! » Mais cette communication fut suivie de bien d’autres ; et quand le maître chanteur passa à l’exécution, ce fut la ville, Monsieur le Maire en tête, qui eut la chair de poule.
( Traduit de l’américain par D. May )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 295 pages – 185 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1350 – Ed McBAIN : « Mort d’un tatoué »
L’homme était couché derrière la porte, replié dans la position d’un fœtus. Le visage entier et la plus grande partie du crâne étaient en bouillie. Son pouce appuyait sur la détente du fusil de chasse qu’il étreignait encore d’une main. Le canon voisinait avec ce qu’il restait de sa mâchoire. Une seule douille était sur le parquet près de sa tête ouverte, entourée par plusieurs petits objets blancs. Il fallut un moment à Steve Carella pour reconnaître des morceaux de dents.
( Traduit de l’américain par Alain Chataignier )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 224 pages – 140 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1394 – J.P MANCHETTE & J.P BASTID :
« Laissez bronzer les cadavres »
Si la jeune mariée n’avait pas eu l’idée idiote de monter au village avec le gosse qu’elle avait kidnappé, on serait restés bien tranquilles, assis sur notre or.
Mais du coup les gendarmes sont montés la chercher. Et tout un jour et toute une nuit, on s’est battus, à l’aveuglette, dans la pierraille et la garrigue. Pendant qu’une vieille peau complètement saoule riait à chaque fois qu’on faisait mouche.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 249 pages – 160 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1611 – Jean VAUTRIN : « A bulletins rouges »
A bord de nos gros cubes, nous autres, les Beuark, on sème la panique dans les cités-dortoirs où les gens n’ont plus guère le temps de roupiller. Boulot, bistrot, moto… On est très occupés vu qu’on joue aux agents électoraux pour les prochaines législatives.
Ca y va sec, la châtaigne, lors des séances d’affichage contre les adversaires.
Mais c’est surtout pour le sport, parce que les convictions politiques, on s’en tape joyeusement. Et même sans nous prendre au sérieux, on est efficaces, puisqu’il y a un mort en ballottage.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 179 pages – 120 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 1674 – Jean VAUTRIN : « Billy-ze-Kick »
Il y a Chapeau, le flic qui se prend pour un super-flic.
Il y a sa fille, Julie-Berthe, étrangement sage et folle pour ses dix-sept ans.
Il y a Hippo, l’adolescent schizophrène. Il y a Alcide, le vieil homme, qui pleure la mort de la campagne et déteste les banlieues bétonnées. D’autres encore qui souffrent, rigolent, forniquent. Et il y a le tueur de jeunes mariés : Billy-ze-Kick. Le mystérieux. Qui serait un mythe enfantin si le sang qu’il verse n’était pas réel. Qui mourra peut-être par égard pour la morale. Mais qui ressuscitera peut-être.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 217 pages – 140 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2007 – Jean AMILA : « Au balcon d’Hiroshima »
Que faire quand le complice d’un hold-up fiche le camp avec le magot pour aller s’établir à Tokyo, dans les machines à sous ? On traverse le globe pour aller lui causer du pays. Même si le commun des mortels est occupé par une guerre mondiale. Question d’honneur ! Mais les militaires ont aussi des comptes à régler. Dissuasion rédemptrice, les innocents paieront ! Comme toujours !…
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 178 pages – grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2434 – M.A PELLERIN : « La bourde »
Y avait don’ point d’loi pou’ c’t avorton !
Des lois, il en avait jamais connu que deux. Celle du plus fort, qu’il avait dû subir jusqu’à en perdre l’envie de vivre. Celle du plus fin, qu’il avait trouvé dans la forêt.
Ce soir, portant le plus beau trophée jamais braconné, Bec-de-Lièvre coupait au plus fin à travers le sous-bois délayé de lune. Derrière lui, s’ordonnait la chasse à l’homme.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 221 pages – 135 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2436 – Andreu MARTIN : « Jésus aux Enfers »
Jésus Alque dort chez lui dans un village perdu de Catalogne lorsque son beau-frère l’appelle de Barcelone pour lui annoncer au milieu des éclats de rires et des tintements de verres que sa sœur a claqué le mois dernier. Jésus descend donc en ville à la recherche de la vérité. Il la trouvera au milieu du vice, de la violence, du mensonge et de la séduction de la ville des merveilles.
( Traduit de l’espagnol par Georges Tyras & Jean-François Carcelen )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 351 pages – 210 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2438 – Serge PREUSS : « Le programme E.D.D.I »
Interdire aux SDF, aux clodos, aux malchanceux de la vie de se rassembler sur nos belles places publiques, ça ne suffisait pas. Il fallait à nos dirigeants quelque chose de plus fort, de plus définitif… Quelque chose qui chasse enfin de nos yeux de nantis l’insupportable spectacle de la misère…
Ils ont trouvé : c’est le programme E.D.D.I.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 139 pages – 95 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2439 – Hervé LE CORRE : « Les effarés »
Prenez trois types bêtes et méchants. Très méchants. Présentez-leur une belle fille qui n’a pas inventé la minijupe. Très belle. Faites zoner mollement deux jeunots amoureux d’elle. Très amoureux. Arrangez-vous pour que les flics fixent les rendez-vous avec le tact qu’on leur connaît. A l’heure dite, il y aura trop de monde, fatalement. Et ça va mal se passer. Très mal.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 233 pages – 145 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2440 – Ray RING : « Rêves pèlerins »
Un bird-napping c’est un peu comme un kidnapping sauf que les oiseaux enlevés sont ici beaucoup plus rares que des gosses. Un couple de faucons pèlerins a disparu et Henry Dyer, flic des eaux et forêts, va remuer le désert et le grand ciel d’Arizona pour les retrouver.
Du temps de Dashiell Hammett, on volait des statues de faucons, à la veille du XXIème siècle, ce sont les oiseaux eux-mêmes qui valent de l’or.
( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 296 pages – 190 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2442 – COLLECTIF : « Les treize morts d’Albert Ayler »
Quatorze improvisations sur la mort de celui qui fut l’un des plus grands saxophonistes de jazz : Gilles Anquetil, Patrick Bard, Yves Buin, Jean-Claude Charles, Jérôme Charyn, Max Genève, Michael Guinzburg, Jean-Claude Izzo, Jon A. Jackson, Thierry Jonquet, Bernard Meyet, Michel Le Bris, Jean-Bernard Pouy et Hervé Prudon.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 285 pages – 180 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2444 – Alain GAGNOL : « Les lumières de frigo »
Comment faire pour persuader sa femme qu’on est vraiment un tueur à gages alors qu’elle croit qu’on est représentant en chaussures ? La battre jusqu’au coma ?
Commence alors un vertige nauséeux qui, de tueur, vous change en victime et qui vous entraîne de plus en plus bas… jusqu’à l’espoir, et pourquoi pas, jusqu’à la rédemption.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 164 pages – 115 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2446 – William HJORTSBERG : « Nevermore »
Situé dans le New York des années 20, Nevermore commence avec la découverte macabre d’un double meurtre particulièrement horrible dans le quartier de Hell’s Kitchen. La police patauge jusqu’à ce que, de crime en crime, une évidence s’impose : le meurtrier met chaque fois en scène une nouvelle d’Edgar Allan Poe. Il ne faudra rien moins que les efforts conjugués d’Houdini et de Sir Arthur Conan Doyle pour venir à bout du mystère.
( Traduit de l’américain par Philippe Rouard )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 381 pages – 235 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2447 – Sylvie GRANOTIER : « Sueurs chaudes »
Ca devait être une promenade de santé. La libido en coma dépassé, je voulais juste trouver un homme qui remette le moteur en marche. Un homme qui couche. Quelques cadavres plus tard, j’étais en cavale, la police à mes trousses, des tueurs de chaque coin de New York, capitale de la parano, ne reculant devant rien pour justifier de sa réputation. Croyez-moi, quand tout le monde s’en mêle, les voies du désir sont drôlement impénétrables.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 228 pages – 150 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2448 – John STRALEY : « Les curieux s’en mordent les doigts »
Revoilà Cecil W. Younger et sa gueule de bois chronique et existentielle. Cette fois-ci c’est sur le viol, puis le meurtre d’une employée d’une compagnie minière en Alaska qu’il enquête.
Mais, comme toujours avec Younger, les apparences sont trompeuses et l’horreur va bien au-delà du simple crime. ( Traduit de l’américain par Jean Esch )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 326 pages – 200 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2449 – Jamie HARRISON : « La crête des fous »
Il ne se passe pas grand-chose à Blue Deer, Montana, et Jules Clément, ex-archéologue devenu shérif, se la coule plutôt douce. Jusqu’au jour où on tire sur un vieux scénariste un peu alcoolo, qu’on flingue sa femme et sa petite amie. Il faudra alors que Jules le shérif fasse appel au talent de Jules l’archéologue, parce que sur une terre aussi vieille que le Montana, la vérité se trouve souvent très loin dans le passé.
( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 390 pages – 245 grammes.
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N° 2450 – Ronald LEVITSKY : « Cet amour qui tue »
Dans une petite ville de Virginie, à la suite du meurtre d’une femme vietnamienne, c’est un avocat juif et membre d’une organisation de gauche qui est chargé de défendre le suspect, un raciste impénitent, membre d’une organisation d’extrême droite. Paradoxe ? Pas si sûr. Un avocat n’est-il pas chargé de défendre les victimes… Toutes les victimes ?
( Traduit de l’américain par Vera Osterman )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 366 pages – 225 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
18:00 Publié dans Polars, Série Noire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : série noire, ed mcbain, j.p manchette, jean vautrin, andreu martin, jamie harrison, polars, policiers, meurtres, enquêtes