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13/10/2012

Wanted - Captain W.E Johns - Biggles

Si vous possédez quelques livres du célèbre Captain W.E Johns

Biggles ( bien sûr ! ), mais aussi King ou n’importe lequel de ses nombreux héros…

Et que vous désirez vous en séparer… n’hésitez pas à nous contacter !

 

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Une véritable mine d’or ( et en français, de surcroît ) sur l’auteur et ses créations…

Ici >>> http://francejohn.pagesperso-orange.fr/

 

Ou, en anglais, ici >>> http://www.wejohns.com/  

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14/06/2012

Pierre SCHOENDOERFFER

Pierre SCHOENDOERFFER : « Le crabe tambour »

 

Quatrième de couverture : Déraciné d'Asie où il a exercé vingt ans la médecine, Pierre, le narrateur, ne s'est plus senti de place en France et six mois lui ont suffi pour décider de se rengager dans la Marine. Là au moins il aura sa voie tracée, droite et sûre jusqu'à la fin, il ne courra pas le risque de se désintégrer à la façon de cet ancien camarade d'Indochine retrouvé à Paris – Dubourg ou Babourg ? – peu importe, un mort en sursis.

Tout le monde ne sait pas lutter contre les mauvais hasards, tout le monde n'a pas l'audace et la fermeté nécessaires pour garder l’âme fière et le sourire aux lèvres. Une âme prête à l'aventure comme Willsdorff, surnommé le Crabe-Tambour. Sur la passerelle de l'Éole, l'aviso affecté à l'assistance à la Grande Pêche qui l'emmène vers le Nord, le toubib ne résiste pas au désir de raconter la charge au clairon menée sur le fleuve indochinois par l'enseigne Willsdorff, son ami. Willsdorff qu'il a perdu de vue et dont le commandant lui apprend la présence là-bas en pêche sur le Damoclès.

Comment le Crabe Tambour en est-il venu à se faire patron de chalutier ? D'un souvenir à l'autre - mêlés au présent impérieux vibrant des échos de la vie en haute mer – tout ce que le narrateur ignorait de son ami prend forme : une question aussi obsédante que la parabole des talents dont la leçon court en filigrane dans ce récit fort et profond, couronné par le Grand Prix du roman de l'Académie française.

 

Le livre de poche – 1978 – 311 pages – 155 grammes.

Quelques petites marques de stockage et manipulations sur les plats, mais très bon état général, intérieur propre et sain, tranche non cassée !

>>> 2,50 €uros. / disponible. 

 

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Pierre SCHOENDOERFFER : « La 317ème section »

 

Quatrième de couverture : C'est la saison des pluies au Laos. L'eau tambourine jour et nuit sur la jungle montagneuse où s'est mise en marche la 317, section : 41 supplétifs laotiens commandés par 4 Européens qui ont reçu l'ordre d'abandonner le poste de Luong Ba, menacé d une offensive du Viet-Minh.

La colonne amorce son repli le 23 avril. Le sergent Roudier tombe avec sa patrouille dans une embuscade. Pour le jeune chef Torrens, il n'est pas question d'abandonner les blessés. La marche reprend, ralentie par les civières, vers Tao Tsaï, par la ligne de crête de la cote 924.

L'ennemi, c'est le Viet-Minh, d'une habileté démoniaque à la guérilla, mais aussi les moustiques, les sangsues, la boue et la jungle impénétrable, la fièvre ou la dysenterie. Malgré tout, la colonne progresse avec assez d'allant pour attaquer à son tour quand l'occasion s'en présente. A ce jeu, elle use sa vie et ses forces, mais les hommes de la 317e section ne le regrettent pas : ainsi le veut la guerre – la guerre d'Indochine, dont ce récit décrit de façon authentique et prenante un visage peu connu.

 

Le livre de poche – 1966 – 253 pages – 140 grammes.

Plusieurs fines cassures sur la tranche attestent du fait que le livre a été lu et re-lu… mais les plats sont comme neufs et l’intérieur nickel ! Tout à fait bon pour le service !

>>> 2 €uros. / Vendu !

 

Pierre SCHOENDOERFFER, Le crabe tambour, La 317ème section, Indochine, guerre, guerriers, histoire, histoire de France, aventures, aventuriers

13/05/2012

La guerre du feu

ROSNY Aîné J.H : « La guerre du feu »

 

« Le Feu !… Naoh apporte le Feu ! Ce fut un vaste saisissement. Plusieurs s'arrêtèrent, comme frappés d'un coup de hache. D'autres bondirent avec un rauquement frénétique – le Feu était là. »

Une aventure passionnante et terrible : le combat sans merci des tribus, la rivalité des chefs, l'amour d'une fille à la belle chevelure…

Le monde était sauvage, les mammouths gigantesques, et pour les hommes nus, il n'était pas de trésor plus précieux que le feu. Remontons ensemble le temps… Cela se passait il y a des milliers et des milliers d'années…

 

Société nouvelle des éditions G.P & Borel – Coll. super 1000.

1965 – 251 pages – 21x15 cms – 430 grammes.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu rouge, titre et nom d’auteur en doré sur tranche + dessin type « rupestre » embossé sur premier plat / Illustrations de Jacques Pecnard & papier de grande qualité / Tranches papier légèrement jaunies sans quoi, c’est un très bel ouvrage au charme légèrement désuet, pour amateurs de belles éditions.

>>> 5 €uros.  / Vendu !

 

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 ( Ailleurs = 5,37 €uros sur priceminister / 9,99 €uros sur Amazon.fr )

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Egalement disponible dans la version :

 

ROSNY Aîné J.H : « La guerre du feu »

 

Marabout – 1981 – 182 pages – 125 grammes.

Etat = assez nettes marques de stockage sur plats et haut de tranche sans quoi l’intérieur est sain et la tranche en question non cassée… pas trop mal pour du Marabout de 1981.

>>> 1,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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29/04/2012

DRIEU LA ROCHELLE

Mars & avril, mois du poche…

 

DRIEU LA ROCHELLE : L’homme à cheval

 

Dans une Bolivie réinventée et complètement mythique, Drieu La Rochelle, à travers les amours d'un lieutenant de cavalerie devenu dictateur, d'une belle aristocrate et d'une danseuse semi-indienne, décrit toutes les grandes forces qui se disputent la domination mondiale depuis environ deux siècles : l'Eglise sous les traits d'un Jésuite assez déplaisant et la Maçonnerie sous l'aspect d'un « frère » encore plus détestable, les forces populaires qui émergent et que l'Homme à cheval veut conduire et guider et les anciennes classes dirigeantes, l'aristocratie et la bourgeoisie décadentes, qui perdent pied et essaient de surnager par l'intrigue et la corruption. Drieu lui-même se met en scène avec le personnage de Felipe, le guitariste poète conseiller de l'homme d'action…

Roman politique et philosophique ( les références au péronisme et au communisme sont très claires ), ce livre est sans doute le plus achevé de l'écrivain maudit. Les accents shakespeariens sont nombreux et frappants. Les allusions à Henri Bergson surprenantes. Le style magnifique est proche de celui de Mérimée, de Cervantès ou de Stendhal. Ce livre est un véritable chef d’œuvre écrit par un esprit exalté et idéaliste mais également brillant et sceptique. On ressort de cette lecture enchanté… et plus intelligent qu'avant.

 

« Il y a beaucoup d'action dans l'homme de rêve…

  et beaucoup de rêve dans l'homme d'action ».

 

Le Livre de Poche – 1965 / 265 pages – 1401 grammes.

Trois exemplaires disponibles. Quelques petites marques de stockage, lecture et manipulation… mais tout à fait biens pour des poche de 1965.

Propres et sains, bons pour le service !

>>> 2,50 €uros. / Vendus !

 

Retour en stock : un exemplaire ( même année même édition ) un tout petit poil moins bien ( quelques légères marques sur couv’ ), mais O.K !

>>> 2 €uros. / Vendu !  

 

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L'Homme à cheval, paru en 1943 mais écrit pendant l'été 1942 est un livre important de Drieu. Il est celui dans lequel l'auteur, ayant compris que l'Allemagne ne gagnerait pas la guerre, tente de montrer ce qu'il avait rêvé, ce qu'a été son engagement. Pour cela il choisit un autre temps et un autre continent. Il a raison, on ne peut appréhender aujourd'hui le rêve de Drieu dans le contexte européen des années hitlériennes. Drieu se place au niveau de l'homme qui rêve l'histoire.

Hugo a rêvé l'Europe dans la seconde partie du dix-neuvième siècle, à une époque où il pouvait voir l'Allemagne se construire sous la Prusse, quand pour un français visionnaire l'urgence de l'Europe devenait une évidence. Quelle vision pourrait-il avoir aujourd'hui devant cette Europe de commis de finance, d'escrocs, de parvenus incultes, qui s'élabore sous nos yeux dans une médiocrité accablante et dans la soumission totale à une Amérique plus décérébrée que jamais ?

Peut-être balaierait-il d'un revers de main toute cette merde pour donner la direction d'un grand projet, pour porter un espoir mort dans l'arrière boutique. Peut-être s'épuiserait-il dans un rêve vain et deviendrait ridicule aux yeux de contemporains étrangers au rêve et à l'Europe. Les gens de gauche ont l'habitude de croire que leur rêve sous Staline a été supérieur à celui des autres (…) Avec Drieu ils ont sous les yeux l'autre rêveur. Un homme qui pensait que l'homme peut écrire l'histoire pour la faire. Un homme qui a passionnément étudié, disséqué, son temps pour le transposer dans ses rêves.

Si je préfère Drieu à son ex ami Aragon, englué dans le rêve stalinien – y avait-il un rêve stalinien ? – ce n'est pas sur ces critères, mais parce qu'il a rapidement reconnu la vanité de son action, aidé en cela par la défaite prévue. L'échec est toujours plus enrichissant que la victoire, les gens de gauche auraient peut-être pu renaître en liquidant Staline et ses horreurs au lieu de se dissoudre dans la merdouille sociale démocrate vouée plus tard au… libéralisme ! C'est aussi parce que, à l'abri du pouvoir, il n'a pas été ce charognard que fut Aragon à la libération, traquant ses confrères en littérature du haut de ce CNE de flics scribouilleurs.

L'Homme à cheval divisé en cinq parties, élude la plus importante, celle de la tentative de réalisation du rêve, la guerre du dictateur. Le conte nous montre un guitariste – l'artiste – inspirant, révélant à lui-même par ses chants, un officier à son destin et découvrant par lui sa vocation. Au-delà de la cuisine politique, les deux hommes vont aller de pair, chacun de son coté, vers l'échec d'un rêve impossible : refonder l'empire des Incas.

C'est au lac Titicaca – lieu symbolique, chargé du mystère indien – qu'ils célèbreront la fin de l'aventure et qu'ils se retireront du jeu. Le livre se termine donc sur une méditation religieuse, mystique, dernière tentation de Drieu. On pourrait certainement retrouver dans ce roman bien des similitudes avec la réalité d'une époque sinistre, mais elles ne sont rien en regard de la vision qu'il nous donne de l'auteur : l'homme qui tente d'inspirer son époque - au travers d'un chef dont le destin serait de la réaliser. Un homme qui s'accusera de faiblesse, de nonchalance, qui prendra en charge une partie de la responsabilité de l'échec, culpabilité dérisoire certes quand les hommes ne peuvent plus rêver - heureusement ? - leur destin de cette façon.

Dès les premières lignes, Drieu parle de force et d'audace, le rêve est bien là et c'est bien ce qui conduit au fascisme plutôt qu'au communisme l'autre tentation violente. (…)

« La pensée devenue action, trempée de sang, forgée comme une lame d'acier est étrangère au penseur (…) Donnez-nous de grands hommes et de grandes actions pour que nous retrouvions le sens des grandes choses »…

Au lac Drieu nous parle des religions, du mysticisme, ce vers quoi il pensa un temps se tourner, ce vers quoi il aurait été après la guerre si la mort ne lui avait pas depuis longtemps tendu les bras.

« Mais ce sont aussi les idées de la religion qui se trempent dans le sang versé par les héros. Les dieux comme les poètes ont besoin pour vivre du sang des sacrifices (…) L'homme ne naît que pour mourir et il n'est jamais si vivant que lorsqu'il meurt. mais sa vie n'a de sens que s'il donne sa vie au lie d'attendre qu'elle lui soit reprise »…

( André Bourgeois )

  

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Pierre Drieu La Rochelle  

06/03/2012

SAINT-LOUP - Face nord

SAINT-LOUP : « Face nord »

Arthaud – 1950 – 312 pages – 18,5 x 14 cms – 420 grammes.

Jaquette absente. Couverture cartonnée recouverte d’un tissu vert de gris, titre en doré sur petite étiquette en cuir noir apposée sur tranche.

Nombreuses photographies hors texte.

Excellent état pour un exemplaire de 1950, privé de jaquette…

La reliure tissu est tout à fait O.K ( hormis une très légère insolation de la tranche ) et l’intérieur est nickel, quasiment comme neuf !… 

>>> 12 €uros. / Vendu !

 

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Ce roman, qui se déroule pendant la période de l'occupation, a pour cadre principal le mouvement « Jeunesse et Montagne » qui verra d'ailleurs éclore quelques belles carrières alpines. La montagne ne reste néanmoins que le cadre de ce roman.

En effet, l'ouvrage est quasiment entièrement axé sur l'étude d'un chef de centre fanatique et exalté qui partagé, entre son amour pour une femme et la montagne, se met en tête de former de manière extrêmement dure et brutale les stagiaires de son camp. Ceci afin d'en faire non seulement des alpinistes hors-pair, mais surtout des êtres supérieurs...

Saint-Loup tente de personnifier au travers de Guido La Meslée la hauteur d'âme, la performance, le défi, l'amour de la compétition. Dans ce roman, on retrouve tous ces thèmes chers à Saint-Loup. Son héros se dresse cette fois contre les faibles ( les effectifs de son camps sont décimés par les accidents en montagne ), l'autorité hiérarchique de Vichy, et l'Eglise. Demeuré incompris par la société; il est exilé au fond de la vallée désolée et reculée des Enfetchores. Mais au petit groupe qui le suit et le vénère, il déclarera : « Je veux faire de vous les représentants d'une humanité supérieure. Celle où l'homme aura dominé la crainte de la mort. »

( Extrait d’une chronique tirée de pelic.free.fr )

 

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29/02/2012

15 aventures / Saint-Loup

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Collectif : « 15 aventures en montagne »

 

Voilà une couverture (et une collection) qui rappellera forcément de très bon souvenirs à tous ceux et toutes celles qui eurent 10/12 ans durant les années 60 ou 70 !

Ces fameuses « 15 aventures » ( ou 15 histoires, 15 récits, 15 enquêtes, etc… vous n’avez qu’à cliquer ici >>> http://francejohn.pagesperso-orange.fr/cwe_15hist.htm pour plus de détails ), ayant forcément fait partie de l’univers de tout enfant, pré-ado’ ou ado’ né entre 1960 et 1975, en cette lointaine époque ou les journées de loisirs juvéniles n’étaient pas encore toutes entières consacrées aux consoles de jeux vidéos et à Facebook… en cette lointaine époque ou les mômes que nous étions vivaient encore au rythme des rêves apportés par leurs lectures, des parties de foot du mercredi après-midi… et de la construction de cabanes dans les arbres.

( Si si si… avec de vraies planches, de vrais clous, de vrais marteaux, à plusieurs mètres d’altitude et sans pour autant porter de casques ni avoir douze boites d’anti-allergènes dans chaque poche ! )

Quasiment que des auteurs et des récits de grandes qualité ! Vous suffit d’ailleurs de jeter un coup d’œil au sommaire de ces « Aventures en montagnes » pour vous rendre compte qu’on a là que des pointures en la matière… et du pur vécu ! ( Pas de la fantasmagorie de parisiens écrivant sur la montagne dans un loft de Montmartre et connaissant pas la différence entre un bouquetin, une chèvre et un mouflon !?! )… Pour – au final – une collection qu’on prend autant plaisir à redécouvrir une fois adulte qu’on avait pris de plaisir à la découvrir il y a 30 ou 40 ans !

Sauf qu’à l’époque, on ne prenait pas forcément conscience de certaines choses…

Sauf qu’à l’époque, le nom de Saint-Loup ne nous disait pas forcément grand chose…

Car oui oui oui… ce bon vieux Saint-Loup est de la partie !!!

( Ah ben attendez… « Aventures en Montagne » que ça s’appelle ! Difficile de ne pas inviter à la fête l’auteur de « Face Nord » ou « La montagne n’a pas voulu » !?!! D’autant qu’à l’époque, la LICRA – et autres machins dans le même style – n’avait pas encore complètement mis la main sur le « paysage culturel » français ni entrepris sa politique de lobotomie infantile à grande échelle de nos chères têtes blondes ! )…

Deux récits signés Saint-Loup dans cette petite chose m’sieurs dames !

Et mordious, si vous voulez (un jour) pouvoir vous la péter un peu auprès des frimeurs qui vont se la jouer en vous disant : « ouais… Saint-Loup… tu vouâââs… j’ai l’intégrale ! Tout ! De l’édition originale de La nuit commence au Cap Horn à Dix millions de coccinelles en passant par Une moto pour Barbara, La République du Mont-Blanc, Hitler contre Juda et même les 5 numéros de Devenir »… et bien c’est l’occasion où jamais ! Car là, du coup, vous pourrez répondre : « soit ! Mais tu vouâââââs, je suis sûr que tu ne possèdes pas 15 aventures en montagne !?! Parc’que ça tu vois… ça c’est du collector !!! » ( Héhé! )

( Kurgan )

 

Anthologie d’aventures de/en montagne, avec :

« L’appel du grand troupeau » par Roger Frison-Roche

« La première fois » par Samivel

« Un record du monde à l’Aiguille Verte » par Saint-Loup

« Les oies cendrées de l’Everest » par Georges Blond

« Le prisonnier de la Ronce » par Jacques Boell

« Opération Combin » par Geiger

« Les conquérants de l’inutile » par Lionel Terray

« A l’assaut de l’Annapurna » par Maurice Herzog

« Histoire d’un certain jeune homme » par Samivel

« L’ascension des Drus » par Roger Frison-Roche

« Une mort à crédit » par Saint-Loup

« Eperon Walker » par Gaston Rebuffat

« Dix-sept contre soixante-dix » par jacques Boell

« Le lac de Lave » par Haroun Tazieff

« Le passage du Grand Saint-Bernard » par Samivel.

 

Gautier-Languereau – 1974 – 250 pages – 21,5 x 13,5 – 420 grammes.

Nombreuses (et fort belles) illustrations / gravures de Pierre Joubert et Jacques Pecnard. Reliure cartonnée recouverte d’un tissu beige avec titre en doré sur tranche + jaquette couleurs.

Quelques (inévitables) traces d’usage et de manipulations sur la jaquette ( néanmoins en bon état, ni déchirures ni manques ) ainsi qu’un haut de tranche présentant quelques petites marques de chocs, mais très bon état d’ensemble, intérieur sain et propre, tout à fait bon pour le service !…

 

4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

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09/02/2012

FRANCK & VAUTRIN - La dame de Berlin

FRANCK & VAUTRIN :

La dame de Berlin

( Les aventures de Boro, reporter-photographe ).

 

« Plus tard tu seras l'oeil qui surveille le monde », prédit un soir d'automne 1931 à Paris une gitane au jeune reporter photographe Blèmia Borowicz, dit Boro.

Une photographie compromettante d’Hitler, un amour fou pour Maryika, la jeune étoile montante du cinéma allemand… et voilà notre héros placé au centre d'un inquiétant ballet de croix gammées.

Une course endiablée à travers l'Europe des années 30 commence. Suspense, passion, humour : un des plus grands romans d'aventures du siècle est né.

 

N.d.Kurgan : je n’irai pas perso’, jusqu’à le classer dans « les plus grands romans d’aventure du siècle » ( faut quand même pas déconner ! N’ont vraiment peur de rien les mecs qu'écrivent les « résumés de quatrième » pour les maisons d’éditions !?! ), mais c’est clair que ça se lit très bien, que ça à un p’tit côté Hugo Pratt… et que si vous êtes – comme moi – passionnés par les années 30, c’est une petite friandise fort bien documentée dont vous auriez tort de vous priver !

( Même si, bien entendu, très « politiquement correcte » )… 

 

France Loisirs – 1988 – 665 pages – 21 x 13,5 cms – 660 grammes.

Couverture cartonnée recouverte d’un tissu bleu avec titre et nom d’auteur en doré sur plats et tranche + jaquette couleurs – Marques d’usage sur jaquette & un léger plat en haut de tranche, sans quoi il est très bien, sain et propre : 3 €uros.

 

Disponibilité = deux un exemplaire en stock…

 

FRANK et VAUTRIN - Boro 01.jpg http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Dame_de_Berlin

 

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En 1931, Blèmia Borowicz a 22 ans, est hongrois par sa mère et français par son père et vit à Paris criblé de dettes mais riche d'un toupet incroyable. Pour l'heure, il est grouillot pour le compte d'Alphonse Tourpe, patron de l'agence Iris : « Un oeil sur le monde». En attendant de devenir photographe pour de vrai, il se contente de développer en chambre noire les clichés des autres.

Indéfectiblement lié à sa cousine Maryika Vremler - auprès de qui il a grandit en Hongrie - il ne rêve que de la retrouver.

Maryika, émigrée à Berlin, est en passe de devenir une star du cinéma allemand, et Boro la rejoint pour la première du film qui va la consacrer. Par un pur hasard, Boro prend des clichés de Hitler - qui n'est pas encore la vedette qu'on connaît - rendant visite à sa maîtresse.

Rapidement, des forces obscures cherchent à récupérer les épreuves, et leur acharnement à poursuivre Boro et Maryika ne peut s'expliquer par la seule présence des illustres amoureux sur du 24x36.

Boro s'interroge donc sur le caractère compromettant de ces images, et se lance dans une enquête qui va le conduire dans les arcanes de l'ordre de Parsifal, à une époque où l'Europe résonne déjà de bruits de bottes inquiétants. Il est « celui qui ira regarder les hommes jusqu'au fond de leur nuit, mais qui devra se méfier de ne pas mourir d'une balle en plein front ».

Boro s'inscrit dans un contexte historique tumultueux, auquel sa verve, ses idéaux et sa passion de l'image collent parfaitement. Difficile à toucher, le reporter est un parangon d'élégance et de provocation mêlées. Il traverse le temps avec une grand classe, avec un sens de la répartie à la manière d'un Arsène Lupin.

13/12/2011

In memoriam – Henry de Monfreid

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13 décembre 1974…

Henry de Monfreid, l’un des derniers véritables aventuriers, s’éteignait à Ingrandes, dans l’Indre. Ecrivain, peintre, contrebandier, trafiquant, opiomane, pilote, espion… un homme en dehors du temps et des sentiers battus, des lois et des règles, un homme pour qui la vie ne pouvait être qu’aventures !

 

En attendant de ( très bientôt ) découvrir ( ou redécouvrir ) ses écrits via ce blog…

 

>>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_de_Monfreid

>>> http://www.henrydemonfreid.com/

>>> http://www.3moulins.net/monfreid.htm