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30/01/2013

Jacques SADOUL présente...

Le meilleur des PULPS

 

Jacques SADOUL présente : Les meilleurs récits de …

(Inscrivez le nom de votre Pulp préféré à la place des 3 petits points ! Ha ha…)

Une collection devenue carrément mythique et (donc) de plus en plus difficile à dénicher… d’autant que certains « confrères pour le moins gourmants » n’hésitent pas à proposer ces poches à 8 voire 10 €uros !?!!??…

Mais bon, comme chez D.U.K.E (vous le savez) on est des bouquinistes honnêtes, on va rester dans les marges de ce qu’on pourrait appeler la « cote » (plus ou moins officielle) pratiquée par les bouquinistes honnêtes…

Et de fait, vous proposer ces petites perles aux justes prix !

A savoir : 4 €uros pour du très bon, 3 €uros pour du bon et 2 €uros pour du moyen+

Sur quoi… bonne lecture et bonne chasse ! 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de ASTOUNDING STORIES #1

( Période 1934 / 1937 )

 

Quatrième de couv : Il existe des périodes privilégiées dans la vie des revues.

Celle qui va du début 1934 à la fin 1937 en est une pour Astounding qui, depuis trente-cinq ans, reste le premier magazine du genre aux Etats-Unis. Cette anthologie présente des récits d'auteurs aujourd'hui encore célèbres, tels C.L Moore, Jack Williamson, John W. Campbell… ou d’autres qui ont été injustement oubliés : Stanley Wienbaum, Donald Wandrei, etc…

C'est à partir de leurs récits, présentés ici pour la première fois, que s'édifia la période classique de la S-F américaine, celle de Van Vogt, Asimov, Sturgeon, etc. Ne les manquez pas, leurs qualités et leur actualité vous surprendront.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Le Vieux Fidèle », par Raymond Z. Gallun

3. « Rendez-Vous au Fil du Temps », par Catherine L. Moore

4. « Les Mangeurs de Lotus », par Stanley G. Weinbaum

5. « Le Rôdeur des Terres Incultes », par Harl Vincent

6. « Au-Delà de l'Infini », par Chan Corbett

7. « La Nuit », par Don A. Stuart ( pseudo de John W. Campbell )

8. « Le Dictateur Fantôme », par Wallace West

9. « Le Cercle Galactique », par Jack Williamson

 

J'ai Lu SF n°532 (J'AI LU) / 1974 / 306 pages / 160 grammes.

Etat = tranche très légèrement insolée, mais bien : 3 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les meilleurs récits de ASTOUNDING S.F #2

( Période 1938 / 1945 )

 

Le premier volume consacré à Astounding Stories couvrait la période 1934-1937.

A cette date, John W. Campbell prend en main les destinées du magazine et modifie légèrement son titre. Voici donc la période 1938-1945 de Astounding Science-Fiction.

Campbell lui-même figure au sommaire sous le pseudonyme de Don A. Stuart, avec un récit étonnant, « Le manteau d'Aesir », considéré comme un classique outre-Atlantique et qui n'avait jamais été traduit dans notre langue.

Ce volume présente également des textes de Theodore Sturgeon, Clifford D. Simak, Lester del Rey et Murray Leinster, au mieux de leur forme. L'anthologie: se termine par un autre grand classique, « Tout smouales étaient les Borogoves », de Lewis Padgett (pseudobyme utilisé par H. Kuttner et C.L Moore lorsqu'ils écrivaient à 4 mains !) que Boris Vian traduisit pour le Mercure de France en 1953.

 

Sommaire :

1. « Le Manteau d'Aesir », par Don A. Stuart

2. « Le Dieu Microcosmique », par Theodore Sturgeon

3. « La Fosse aux Pirates », par Clifford D. Simak

4. « Helen A'Lliage », par Lester Del Rey

5. « Premier Contact », par Murray Leinster

6. « Tout Smouales étaient les Borogoves », par Lewis Padgett

 

J'ai Lu SF n°988 (J'AI LU) / E.O de 1979 / 224 pages / 125 grammes…

Marques de lectures et petites pliures sur le bas de couv et quatrième… mais O.K. 

>>> 2,50 €uros. / Vendu !

Ou : même année même édition mais un poil moins bien (une pliure sur couv’)…

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de PLANET STORIES

 

Quatrième de couv : Planet Stories a été publié entre 1939 et 1955.

Ce magazine se consacra presque exclusivement à la science-fiction d'aventure et aux space-operas flamboyants. C'est dans ses pages que Leigh Brackett publia les meilleurs de ses récits situés sur la planète Mars. C'est également dans Planet que parurent nombre de chroniques martiennes de Ray Bradbury.

A côté de ces deux écrivains, cette anthologie vous présente des récits des meilleurs auteurs de l'époque : Henry Kuttner, A.E. Van Vogt, Poul Anderson, etc… ainsi qu'un des premiers textes d'un débutant aujourd'hui célèbre : Philip K. Dick.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Un saint dans la galaxie », de Alfred Elton VAN VOGT

3. « Bestiaire martien », de Leigh BRACKETT

4. « Tepondicon », de Carl JACOBI

5. « Lazare, approchez », de Ray BRADBURY

6. « Le Seigneur des mille soleils », de Poul ANDERSON

7. « Mille ailes en cage », de Algis BUDRYS

8. « Les Infinis », de Philip K. DICK

9. « Par qui suis-je possédé ? », de Henry KUTTNER

 

J'ai Lu SF n°617 (J'AI LU) / E.O de 1975 / 253 pages / 140 grammes…

Un exemplaire tranche nickel état général = bon/bon+ : 3 €uros. / disponible.

Ou (deux exemplaires) un poil moins biens (petites marques de stockage / pliure + fines cassures sur tranche) : 2 €uros. / disponible. 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les meilleurs récits de STARTLING STORIES

 

Quatrième de couv : Startling Stories n'eut qu'une assez brève existence, entre 1939 et 1955. Il publia certes du space-opera comme ses confrères de l'époque, mais aussi des récits d'humour et des textes plus élaborés qui annoncent la science-fiction de la décade suivante.

Ces trois tendances sont représentées dans cette anthologie : l'humour avec les nouvelles de Arthur C. Clarke, Henry Kuttner et Jack Lewis… la S.F classique avec Edmond Hamilton (Captain Future), Leigh Brackett et A. Bertram Chandler… et la science-fiction plus ambitieuse avec Philip José Farmer, Ray Bradbury et Margaret St Clair.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Qui a copié ? », de Jack LEWIS

3. « Faire voile », de Philip José FARMER

4. « Un art perdu », de Arthur B. CHANDLER

5. « Leçon d’histoire », de Arthur C. Clarke

6. « Les trois mages », de llyod Arthur ESHBACH

7. « Automates, société anonyme », de Ray BRADBURY

8. « La guerre des sorcières », de Richard MATHESON

9. « Une arme humanitaire », de Margaret SAINT-CLAIR

10. « Ne vous retournez pas tout de suite », de Henry KUTTNER

11. « Les Harpistes de Titan », de Edmond HAMILTON

12. « Les derniers jours de Shandakor », de Leigh BRACKETT

 

J’ai lu – 1977 – 254 pages – 145 grammes.

Etat = une petite trace de stockage sur couv’ ainsi qu’une toute petite marque de pliure en bas de 4ème, sans quoi parfait, tanche non cassée, non insolée, pas lu plus d’une ou deux fois.

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WEIRD TALES #2 ( période 1933/1937 )

 

Quatrième de couv : La période 1933-1937 est assurément la meilleure qu'ait connue le magazine Weird Tales. Lovecraft, Robert Howard, Clark Ashton Smith s'y montrent au sommet de leur talent. Les amateurs de H. P. Lovecraft auront l'heureuse surprise de découvrir un excellent texte du maître sous une signature féminine : Hazel Heald. Cette dame existait mais faisait réviser ses textes par Lovecraft…

Clark Ashton Smith est représenté par un de ses récits les plus célèbres, La mort d'Ilalotha, dans lequel sadisme, horreur et nécrophilie se mélangent. C'est un des meilleurs récits de Conan le Cimmérien qui illustre ici le talent de Robert Howard et le futur auteur de Psychose, Robert Bloch, nous raconte la mort d'un écrivain de S.-F. de Providence dévoré par des entités d'outre-espace… un écrivain dont l'adresse n'est autre que celle de H.P Lovecraft !!!…

 

Sommaire :

1. Jacques Sadoul / Introduction générale

2. Jacques Sadoul / À propos du tome 2

3. Clark Ashton Smith / La Mort d'Ilalotha

4. Hazel Head / Hors du temps [Texte révisé — écrit — par Lovecraft.]

5. J. Paul Suter / Le Juge suprême

6. Edmond Hamilton / Les Graines d'ailleurs

7. Nictzin Dyalhis / La Déesse de Saphir

8. Seabury Quinn / La Face de Warburg Tatavul

9. Robert Bloch / Le Rôdeur des étoiles

10. David H. Keller / Le Chat-tigre

11. H.P Lovecraft / Psychopompos

12. Robert E. Howard / La Citadelle écarlate

 

J'ai Lu [ #580 ] / Edition originale de 1975 ( Mars ) / 283 pages / 142 grammes…

Etat = Quelques petites marques d'usage/stockage, ainsi qu'une tranche très légèrement insolée, mais très bon état général ! : 3 €uros. / disponible.

Ou, un autre avec quelques marques de stockage et manipulations sur plats ainsi qu’une petite déchirure au bas de la tranche, mais tout à fait ok, intérieur propre et sain !

>>> 2 €uros. / Vendu !

Ou : un autre exemplaire, moins « marqué », mais avec une fine cassure sur tranche.

>>> 2 €uros. / Vendu !

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WEIRD TALES #3 ( période 1938/42 ) 

 

Les années 1938-1942 marquent la fin de la période classique de Weird Tales. L'orientation du magazine reste tournée à la fois vers le récit de fantasy, l'horreur, le fantastique traditionnel et la science-fiction, et tous ces ingrédients sont présents dans cette troisième anthologie.

On trouvera ainsi l'horreur représentée avec L'ombre sur l'écran de Henry Kuttner et Tout au fond de R.B Johnson ; la fantasy avec Esclave des flammes de Robert Bloch et Le jardin d'Adompha de Clark Ashton Smith ; la science-fiction avec La nymphe des ténèbres de C.L Moore et F.J Ackerman et le fantastique avec Routes de Seabury Quinn et Le tueur fantôme de Fritz Leiber.

 

Sommaire :

1. Jacques Sadoul / Introduction générale

2. Jacques Sadoul / À propos du tome 3

3. Henry Kuttner / L'Ombre sur l'écran

4. Robert Bloch / Esclave des flammes

5. Ralph Milne Farley / La Maison de l'extase

6. Robert Barbour Johnson / Tout au fond

7. Clark Ashton Smith / Le Jardin d'Adompha

8. C.L. Moore & Forrest J. Ackerman / La Nymphe des ténèbres

9. David H. Keller / La Déesse de Zion

10. Seabury Quinn / Routes

11. Henry Kuttner / L'Hydre

12. Fritz Leiber, jr. / Le Tueur fantôme

Tous les auteurs sont introduits par une notice.

 

J'ai Lu [ #923 ] / Edition originale de 1979 ( Février ) /  218 pages / 125 grammes.

Un exemplaire en très bon état : 3,50 €uros. / Vendu ! 

Et un autre un petit poil moins bien mais bon, à : 3 €uros. / Vendu ! 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WONDER STORIES

 

Quatrième de couv : Wonder Stories est paru aux États-Unis entre 1929 et 1936.

Il fut dirigé par Hugo Gernsback, le fondateur de la science fiction moderne.

Ce volume présente deux récits exceptionnels du meilleur auteur révélé par ce magazine, Stanley Weinbaum, dont L'odyssée martienne est le texte le plus souvent reproduit dans les anthologies outre-Atlantique.

On découvrira aussi un récit poétique de Clark Ashton Smith, La cité de la flamme chantante, qui passe justement pour la meilleure oeuvre de cet écrivain. Il faut encore citer les récits de Francis Flagg, Edmond Hamilton, Leslie F. Stone, Philip Barshofsky et Gernsback lui-même.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. Clark Ashton SMITH : « La Cité de la flamme chantante » (The city of the singing flame)

3. Stanley WEINBAUM : « L'Odyssée martienne » (A Martian Odyssey)

4. Philip BARSHOFSKY : « Une nuit préhistorique » (One prehistoric night)

5. Hugo GERNSBACK : « L'Eclair mortel » (The killing flash)

6. Francis FLAGG : « Le Surhomme du Dr Jukes » (The superman of Dr Jukes)

7. Leslie F. STONE : « La Conquête de Gola » (The conquest of Gola)

8. Edmond HAMILTON : « L'Ile de déraison » (The island of unreason)

9. Stanley WEINBAUM : « Les Lunettes de Pygmalion » (Pygmalion's Spectacles)

 

J'ai Lu SF n°663 (J'AI LU) / 1976 / 252 pages / 145 grammes.

Un exemplaire « comme neuf » : 4 €uros. / disponible.  

+ Un autre, un poil moins bien mais néanmoins très bon, à : 3,50 € / disponible.

 

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Jacques Sadoul présente :

Les Meilleurs récits de AMAZING STORIES ( période 1926/32 )

 

Amazing Stories est la plus ancienne revue de science-fiction au monde. Elle a été publiée sans discontinuer depuis le mois d'avril 1926.

C'est grâce à elle que la S.F a pu se constituer en genre littéraire séparé dans les années 30. Cette anthologie vous propose des récits d'auteurs aujourd'hui encore célèbres, tel Abraham Merritt, ou injustement oubliés tels Francis Flagg, Wallace West ou le Dr Keller.

Elle présente aussi le long récit de Philip Francis Nowlan à partir duquel fut créée la célèbre bande dessinée de science-fiction : « Buck Rogers au XXVe siècle ». Inconnue en France, cette première période de la S.F américaine sera une révélation pour beaucoup.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Les Etres de l'abîme », de Abraham MERRITT

3. « L'Arrivée des glaces », de G. PEYTON WERTENBAKER

4. « La Guerre du lierre », de David H. KELLER

5. « Le Dernier homme », de Wallace WEST

6. « Les Cités d'Adarthia », de Francis FLAGG

7. « Le Sous-univers », de Roman Fredrick STARZL

8. « La Planète au double soleil », de Neil Ronald JONES

9. « Armageddon 2419 après J.-C », de Philip Francis NOWLAN

 

J'ai Lu SF n°551 (Poche) / Edition originale de 1974 / 310 pages / 168 grammes.

Une ou deux infimes traces de manipulation ayant occasionné deux petits défauts de pelliculage, mais c’est vraiment insignifiant ! Vernis bien brillant, intérieur sain et propre, l’exemplaire n’est pas vraiment « quasi-neuf » mais tout au moins très bien !

>>> 3,50 €uros. / disponible. 


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Jacques Sadoul présente :

Les Meilleurs récits de UNKNOWN

 

De tous les magazines américains de science-fiction, Unknown est assurément le plus inconnu et peut-être le meilleur. Au cours de sa brève existence (trente-neuf numéros), il publia des récits de tout premier ordre dans un style relevant du fantastique et de la science-fiction.

Vous découvrirez dans ses pages que la vie n'est pas simple pour les pauvres humains qui sont aux prises avec les créatures de cauchemars imaginées par Theodore Sturgeon, Fredric Brown, Robert Bloch, Robert Heinlein, etc.

Que peut faire un homme des cavernes à notre époque ? Pourquoi mercredi succède-t-il à lundi ? Que penser d'une coltine qui paraît être également une dépression ? Voici quelques-uns des problèmes qui attendent les personnages, et les lecteurs, de cette anthologie de Unknown.

 

Sommaire :

01. « Hier c'etait Lundi », de Theodore STURGEON

02. « Armageddon », de Fredric BROWN

03. « Régime sec », de H.L GOLD 

04. « Ces gens-là », de Robert HEINLEIN

05. « Pleine lune », de Manly Wade WELLMAN

06. « Un mec préhisto », de L. SPRAGUE DE CAMP 

07. « Le psychormorphe », de E.A. GROSSER

08. « La cape », de Robert BLOCH

09. « La colline et le trou », de Fritz LIEBER

10. « Profession : demi-dieu », de Nelson S. BOND

11. « La troisième porte », de Henry KUTTNER

 

J'ai Lu SF n°713 (Poche) / Edition originale de 1976 / 288 pages / 148 grammes.

Une petite (et légère) trace de pliure en bas de premier plat et une quatrième de couv’ un peu plus marquée (même si rien de bien conséquent), l’extérieur (à la tranche non cassée) est juste « bon ». Mais l’intérieur est lui parfait, neuf, sain et propre… et l’ensemble de l’ouvrage est – de fait – tout à fait digne de votre bibliothèque !  

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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http://www.cafardcosmique.com/La-Grande-Histoire-des-Pulps

http://www.collectorshowcase.fr/pulps__magazines_americains.htm

http://www.vintagelibrary.com/pulpfiction/PulpFictionCentral.php

http://www.pulpmags.org/

http://www.thepulp.net/

 

Etc… etc… etc… 

04/12/2012

Philip K. DICK

Philip K. DICK : « Substance rêve »

 

Contient :

 

– Le Maître du Haut Château ( Prix Hugo 1963 ) 

– Glissement de temps sur Mars

– Docteur Bloodmoney

– Les Joueurs de Titan

– Simulacres

– En attendant l’année dernière.

 

Quatrième de couverture : Hitler a gagné la guerre. L’Allemagne et le Japon se sont partagé les Etats-Unis. Au fond de l’Afrique, la solution finale au problème noir est lancée. Entre les vainqueurs, l’entente ne dure pas : le Japon est menacé, l’Empire nazi s’apprête à recouvrir le monde. A nous le totalitarisme tranquille !

Cette histoire ne tient pas debout. On peut entrevoir un autre univers. Les Alliés ont gagné la guerre. L’Amérique et la Russie se sont partagé l’Allemagne. Un peu partout, la solution finale au problème des nationalités est lancée. Entre les vainqueurs l’entente ne dure pas : la course aux armements va bon train, la Russie ne peut pas suivre et l’Empire américain s’apprête à recouvrir le monde. Le mal se banalise.

Cette histoire ne tient pas plus que la précédente. Le Maître du Haut Château, dans sa retraite des Rocheuses, parle d’un troisième univers où la guerre s’est terminée autrement. Et cet univers-là est le seul réel. Le seul où il y ait de la compassion et de l’espoir.

Nous sommes cernés par les faux-semblants. Le monde où règnent les Simulacres peut bien s’effondrer ; les solitaires survivront. Tel Manfred. Manfred ne parle pas, il ne nous voit même pas, mais il voit l’abîme qui nous attend et il saura, le moment venu, par le seul pouvoir de l’esprit, déclencher un Glissement de temps vers Mars. Dans une éternité truquée, il est vivant et humain.

 

Philip K. Dick (1928-1982) tient une place à part dans le monde de la SF.

Sur la substance dont sont faits les rêves, il projette une lumière crue et surnaturelle qui dénude les recoins les plus obscurs du cœur humain et fait chanceler le monde sur ses bases.

 

Presses de la cité – Collection Omnibus – 1993.

1246 pages – 19,8 x 12,8 cms – 960 grammes.

Etat = Excellent ! Nous n'irons peut-être pas jusqu'à dire « comme neuf », mais presque !

>>> 17 €uros. / Vendu !

 

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Ailleurs = entre 22,47 et 34 €uros sur Priceminister.

(+ Un exemplaire à 50 €uros !?! Proposé par un gourmand !)

Deux exemplaires, un à 13,31 et un autre à 14 €uros sur Amazon.fr, mais tous les deux dans des états que les photographies révèlent comme plus que « moyen » ! (Haut de tranche papier assez nettement abîmée ou gondolée après avoir pris l’humidité, etc…).

Et euh… 61,48 euros chez un voleur sévissant sur ebay !?!!

C’est un peu tout et n’importe quoi !?! Haha ! Mais bon, comptez en gros (et en moyenne) entre 22 et 30 €uros pour du bon état + vendeur sérieux !

 

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Philip K. Dick

Pour lui, la vie a commencé en 1928, un 16 décembre. L'histoire ne dit pas s'il neigeait, mais ce qui est certain c'est qu'il n'est pas né seul, puisqu'une soeur jumelle dizygote Jane Charlotte l'accompagnait dans son premier souffle… pour un temps seulement. Jane Charlotte mourut à peine 6 semaines après. Une entrée dans la vie plutôt difficile pour le jeune Philip. Quatre ans plus tard, un divorce le laissa seul avec sa mère, perpétuant ainsi, d'après l'introduction de Substance rêve par Jacques Goimard, une longue lignée de familles matriarcales : Edna, grand-mère maternelle de Philip K. Dick, passa ainsi une partie de sa vie à élever seule ses enfants, son mari, Earl Grant Kindred, préférant l'aventure (et les aventures). Après le départ définitif de Earl Grant Kindred et la fuite de l'aîné du couple, c'est Dorothy, fille d'Edna, qui tint les rênes de la famille. Dorothy rencontra Edgar Dick et se maria avec lui après la fin de la guerre. De cette union naîtra donc Philip Kindred Dick. Après cette naissance, Dorothy quitta Chicaco (et Edgar) pendant un certain temps pour aller vivre à San Francisco. Edgar la suivit, ainsi qu'Edna et Marion, une soeur de Dorothy (vous suivez toujours ?). Le petit Philip et son père se voient donc entourés de 3 femmes ! Suite à divers événements (la mutation du père de Philip, le retour de son grand-père), la mère et le fils restèrent ensemble, seuls, comme un étrange couple. Plus tard, nouveau coup de théâtre en 1944 : la soeur Marion mit au monde… deux jumeaux, un garçon et une fille, avant d'être hospitalisée pour schizophrénie. Tout ce petit monde se remit à vivre ensemble : Edna, Dorothy, Philip le jumeau « manqué » et le nouveau couple de jumeaux. Est-ce le poids des femmes dans son enfance qui a rendu plutôt instable sa vie d'adulte ? Ou est-ce juste de la psychologie de comptoir ? Toujours est-il que Philip K. Dick se maria 5 fois (avec dans l'ordre Jeannette Marlin, Kleo Apostolides, Anne Williams, Nancy Hackett, Leslie « Tessa » Busby) pour des durées n'excédant pas les 6 ans, avec même un record de 5 mois pour son premier mariage ! Trois enfants naîtront de ces unions, deux filles (!) et un garçon (enfin ?).

 

Folie et drogue

Doit-on voir dans ces situations sentimentales et familiales compliquées l'origine de son talent ? Ou faut-il chercher ailleurs ? Dès son enfance, il s'inventa une amie imaginaire, nommée Becky ou Teddy, qu'il est facile d'identifier comme sa soeur décédée en bas âge. Mais surtout Philip fut confié à une crèche coopérative où les enfants étaient laissés à eux-même, observés cependant par des enseignants, des étudiants et les parents. Plus tard, Philip sera reconnu comme doué pour les études, mais mauvais dans les exercices physiques : asthme, hystérie ou agoraphobie lui empoisonnaient l'existence. A douze ans, il commença à écrire et découvrit peu de temps après la science-fiction dans les pulps de l'époque, comme Unknown. En réaction sans doute au passé militaire de son père (engagé pour la Première Guerre Mondiale), le jeune Philip se passionna pour l'Allemagne de Wagner à Goethe, et jusqu'à Goebbels. Les horreurs de la Seconde Guerre Mondiale lui firent abandonner cette admiration naissante pour le nazisme. Son agoraphobie ne se calma pas au fil du temps et, de psychothérapies en psychothérapies, il laissa tomber ses études en philosophie. Seule l'écriture, et la musique qui le faisait vivre en tant que programmateur et vendeur, lui évitaient de sombrer continuellement dans la dépression et la folie. Le début des années 50 le virent publier une première nouvelle dans le Magazine of Fantasy and Science Fiction. Vint alors la « Peur Rouge » et le maccarthysme, alimentant largement l'oeuvre de Dick. C'est aussi à ce moment-là qu'il commença de tourner aux amphétamines et devint, petit à petit, dépendant de cette drogue. En 1963, il écrivit (sous amphétamines) six romans dans l'année ! Son état physique et mental en furent gravement atteints : hallucinations et paranoïa devinrent courants. Il accusera ainsi Nixon d'avoir tué un de ses amis, James Pike, tandis que sa maison devient un repère de toxicomanes. Une première hospitalisation en 1969 pour pancréatite et insuffisance rénale aiguë, une deuxième en 1970 avant de tenter de s'empoisonner en mars 1972. Continua-t-il la drogue ou arrêta-t-il comme il le déclara ? Toujours est-il que les hallucinations et la paranoïa ne s'arrêtèrent pas. Il ira même jusqu'à entendre des voix l'injurier à la radio avant de se lancer dans la rédaction d'un essai regroupant toutes les révélations qui surviennent pendant son sommeil. Philip K. Dick finalement mourut le 2 mars 1982 en laissant derrière lui près de 250 romans ou nouvelles.

 

Un futur ancré dans le présent

Le recueil dont nous allons parler ici, Substance rêve, est sorti chez Omnibus et contient 6 longues nouvelles (Note de Kurgan : Romans plûtôt que nouvelles, en fait. Plus de 200 pages à chaque fois !!!), écrites entre 1962 et 1966.

Côté pile, Substance rêve regroupe tout simplement tout ce qu'on peut imaginer quand on utilise le terme de science-fiction : les voyages dans l'espace, les extra-terrestres, les robots ou les voyages temporels sont le ciment de ces nouvelles prenantes du début à la fin. La plus marquante est la première du recueil, Le maître du Haut Château, qui se base sur un postulat simple : et si les Alliés n'avaient pas gagné la Seconde Guerre Mondiale et qu'au contraire, les Japonais et les Allemands l'avaient emporté ? Dans cette uchronie (c'est comme ça que l'on appelle ces réécritures de l'Histoire à partir de la modification d'un élément important), les USA sont coupés en deux, la côte ouest occupée par les Japonais et la côte est par les Allemands. La Méditerranée a été asséchée pour en faire des terres arables, l'Afrique est vidée de ses habitants. Et, accessoirement, la planète des Juifs. Le Maître du Haut Château se révèle rapidement comme une critique de notre propre monde, ou plutôt contre le Monde de Philip K. Dick, celui de la guerre froide du début des années 60. L'antagonisme entre le bloc de l'Est et le bloc occidental est remplacé par l'affrontement larvé entre le Japon et l'Allemagne. En fait, comme la plupart des livres de science-fiction, Substance rêve est une mise en garde pour le monde contemporain. Ainsi les gouvernements y sont volontiers tous puissants (Simulacres) éreintant le peuple, les désastres d'une guerre nucléaire sont omniprésents (Docteur Bloodmoney) ou l'arrivée d'une nouvelle drogue aux effets dévastateurs (En attendant l'année dernière).

 

Hallucinations

Côté face, Substance rêve est plus, beaucoup plus qu'une simple oeuvre de science-fiction, aussi réussie soit-elle. Car c'est du côté de la maladie mentale que s'enfonce allègrement Philip K. Dick. La plupart des héros de ces 6 nouvelles sont schizophrènes, quand ce n'est pas la planète entière (Glissement de temps sur Mars). Il en résulte une atmosphère incomparable où les hallucinations des protagonistes se mélangent à la réalité, quand ce n'est pas la réalité elle-même qui est altérée. Les joueurs de Titan est peut-être le meilleur exemple de cette perte de repères. Au bout d'un certain temps, on ne sait pas si les visions du héros ne sont que des hallucinations ou s'il possède le don de voir par delà la réalité… jusqu'au climax de la nouvelle, où la réalité modifiée déroute le lecteur. Et dans cet environnement malsain de désordres psychiques, ce sont les autistes, les handicapés, qui se révèlent les plus puissants. Ainsi le phocomèle (homme-tronc dont les mains et les pieds sont directement reliés au tronc) de Dr Bloodmoney jouit d'un pouvoir incomparable. Philip K. Dick semble finalement décrire ses propres peurs et ses propres angoisses dans des épisodes presque aussi effrayants que ceux de Lovecraft. C'est particulièrement vrai dans Dr Bloodmoney où la relation entre la petite fille et son jumeau « qui a poussé à l'intérieur d'elle-même » ramène immanquablement à la propre histoire de l'écrivain.

L'étude des romans de Philip K. Dick demande un temps que nous n'avons pas ici, mais ses récits puisent dans son histoire comme dans l'Histoire avec un grand H.

Ils s'alimentent des peurs personnelles de Philip K. Dick, comme des peurs de cette génération vivant sous la double épée de Damoclès de la conquête spatiale et de la guerre nucléaire. Et en réalisant la synthèse de ces deux aspects, Substance rêve est tout simplement un livre brillant qui se dévore plus qu'il ne se lit.

 

nazonfly [9.5/10]

( http://livres.krinein.com/substance-reve-13700/critique-8... )

14/07/2012

Philip K. DICK

Philip K. DICK : « Loterie solaire »

 

Sur cette Terre de l'avenir, le jeu décide du sort des hommes.

Tel qui oeuvrait servilement dans une colonie industrielle peut devenir du jour au lendemain maître du monde, Meneur de Jeu, si les hasards des combinaisons atomiques du minimax en décident ainsi. C'est ce qui arrive à Leon Cartwright, simple réparateur électronicien.

Mais dans ce monde du XXllle siècle, l'assassinat légal du Meneur de Jeu est autorisé. Dès son arrivée au pouvoir, Cartwright se sent menacé de toutes parts malgré le corps de policiers télépathes qui est chargé de sa protection. Encore ne sait-il pas que l'assassin qui le traque n'est pas humain et que rien ne peut l'arrêter.

 

J’ai Lu Poche / 1994 / 183 pages / 100 grammes.

Etat = Micro-perforations « Spécimen » sur 4ème sans quoi comme neuf !

>>> 2 €uros. / Vendu !

 

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Philip K. DICK : « Ubik »

 

La publicité des organismes de protection anti-psi proclame : « Défendez votre intimité. Est-ce qu'un étranger n'est pas à l'affût de vos pensées ? Êtes-vous vraiment seul ? Cela concerne les télépathes mais aussi les précognitifs. Vos actes sont-ils prédits par quelqu'un que vous n'avez jamais rencontré ? Mettez fin à votre anxiété ; contactez le plus proche organisme de protection… »…

C'est dans cet univers que Glen Runciter vit et meurt. Mais meurt-il vraiment ? Le temps s'en va en lambeaux. Une bouffée de 1939 dérive en 1992. Et par les trous du décor se glissent les messages d'Ubik. Ubik qui est partout, Ubik qui est tout. Mais qui est Ubik ?

 

J’ai lu – 1985 – 250 pages – 140 grammes.

Etat = quelques petites marques de stockage sans quoi très bien, tranche non cassée, intérieur propre et sain : 2,50 €uros. / Vendu !  

 

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Philip K. DICK : « L’œil dans le ciel »

 

Ils sont huit à avoir été précipités dans un faisceau de protons. Huit miraculés qui s'étonnent de revenir à la vie normale. Normale ? L'est-elle vraiment ? Jack et Marsha, sa femme, ressentent une sorte de gêne indéfinissable, comme si tout, autour d'eux, était bizarre, irréel. La réalité semble se fissurer, le quotidien se craqueler.

Comment un essaim de sauterelles peut-il surgir de nulle part ? Pourquoi attaque-t-il Jack ? Mais surtout, pourquoi le visage et le corps de Marsha se déforment-ils monstrueusement ? Les rescapés sont-ils encore des hommes ou des simulacres ?

La réalité n'a-t-elle pas fait place à un délirant monde de cauchemars, où les règles de notre univers n'ont plus cours, où tout est possible, même, dans le ciel, la présence de l'oeil de Dieu qui surveille ses créatures désarticulées ?

 

J’ai lu – 1981 – 256 pages – 140 grammes.

Etat = excellent état, quasiment comme neuf : 3 €uros. / Vendu !

 

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Philip K. DICK & Ray NELSON : « Les machines à illusions »

 

En ces sombres années 2050… Venus d'une lointaine planète, les Ganymédiens – monstres doués d'une intelligence aiguë et maîtres d'une implacable technologie – ont conquis la Terre, soumis les Terriens. Soumis ? Pas tout à fait.

Dans les monts du Tennessee, des partisans résistent encore.

Noirs pour la plupart, avec à leur tête l'intraitable Percy X. Sur la défensive, ils ont combattu avec des moyens de fortune… jusqu'au jour où ils découvrent, dans une cache, des armes conçues par un psychiatre et jamais encore utilisées : les machines à illusions…

Avec elles, Percy X et les siens passent à l'attaque, « créant » face à l'ennemi des hordes de créatures qui avancent, déferlent… Terrifiantes. Et invulnérables puisque irréelles, illusoires.

Mais irréelles, illusoires, vont-elles le rester ?

 

J’ai lu – 1980 – 222 pages – 130 grammes.

Etat = quasiment comme neuf : 2,50 €uros. / disponible.

 

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Philip K. DICK : « Blade Runner »

 

Un blade runner, c'est un tueur chargé d'exterminer les androïdes qui s'infiltrent sur Terre.

Et Rick est le meilleur blade runner de la Côte Ouest. Ce qui ne l'empêche pas d'être un tendre: il rêve de remplacer un jour son simulacre (électrique) de mouton par un vrai ! Hors de prix sur une planète où s'éteint la vie animale ! Aussi quand on lui propose une somme fabuleuse pour éliminer de dangereux Nexus 6 signalés en Californie, il fonce…

Mais, face à lui, surgit la très belle Rachel. Femme ou androïde ? L'aime-t-il ? Peut-il l'aimer ?

 

Editions J’ai Lu poche – 1998 – 251 pages – 125 grammes.

Etat = Quelques infimes marques de stockage mais très bien / quasi neuf.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Philip K. DICK 

 

Site officiel ( en anglais ) >>> http://www.philipkdick.com/

En français >>> http://www.dickien.fr/

Mais aussi ( et bien sûr ! ) >>> http://www.cafardcosmique.com/Dick-Philip-K,60

 

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