11/12/2015
Jean RASPAIL : Sept cavaliers quittèrent la ville au crépuscule...
Jean RASPAIL : « Sept cavaliers quittèrent la ville au crépuscule par la porte de l’Ouest qui n’était plus gardée ».
Prospère et lumineuse autrefois, la Ville est presque abandonnée. Le télégraphe a été coupé. Plus aucun train n'arrive à la gare, ni plus aucun navire au port. La population s'est enfuie. Des bandes incontrôlées errent à travers le pays. Du monde extérieur aucune nouvelle ne parvient depuis déjà de nombreux mois. C'est la vie qui s'en est allée. Le souverain héréditaire ne règne plus que sur son château et sur une poignée de fidèles que l'ombre est sur le point d'effacer…
Pour rompre ce mortel encerclement, pour savoir où est passée la vie, à quoi ressemble ce qui les entoure et quelle est la signification de tout cela, sept cavaliers quittent la Ville au crépuscule sans espoir d'y retourner jamais.
Commence alors le plus étrange des voyages. La Montagne, la Grande Forêt, recèlent des peuples insoupçonnés. On entend de lointains bruits de bataille, mais la vérité, encore, se dérobe. Surviennent des aventures à propos de choses essentielles comme l'amour, la fraternité, l'espérance ou la charité. Au fur et à mesure du récit, les signes se multiplient.
De l'autre côté du fleuve, au terme du long voyage, s'étendent d'immenses contrées surpeuplées dont nul ne connaissait l'existence. Et si c'était déjà cela, le monde perdu et retrouvé ? Des sept cavaliers qui avaient quitté la Ville, deux, seulement, connaîtront la réponse.
France Loisirs – 1993.
225 pages – 14,5 x 23 cms – 410 grammes.
Reliure cartonnée rouge sang, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette de protection en couleurs.
Etat = quelques infimes traces/marques de stockage et manipulations de-ci de-là… mais rien de vraiment notable pour autant ! La jaquette ne présente aucun accroc, la reliure est en excellent état et l’intérieur parfait… bel exemplaire, propre et sain.
>>> 5 €uros. / disponible.
14:56 Publié dans Contes et légendes, Grands classiques, Jean Raspail | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean raspail, sept cavaliers
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