29/10/2012
Erwan BERGOT - Bataillon de Corée
Erwan BERGOT :
« Bataillon de Corée : les volontaires Français 1950-1953 »
Destin unique que celui de ce bataillon, crée au mois d’août 1950 par le gouvernement français pour aider les Nations Unies à rétablir la paix et la sécurité en Corée du Sud, envahie depuis juin par les forces communistes du Nord et qui, en trois ans, va devenir l’une des unités les plus décorées de cette campagne. Destin injuste pourtant. Célébré partout Outre-Atlantique, le bataillon français est resté méconnu dans son propre pays où son histoire complète n’avait encore jamais été écrite !
Et pourtant, quelle épopée ! En trois années de présence en Corée, de 1950 à 1953, ses combats se comptent par dizaine – Twin Tunnels, Chipyong-ni, la cote 1037, Crèvecœur, le « T »Bone, Arrow-Head, Kumhwa, etc. – des morts, des blessés, des disparus par centaines. Un long martyrologe que le lecteur suivra, le cœur serré. Bataillon de Corée est une histoire tragique et grandiose, une geste héroïque que les Français devaient connaître et dont ils peuvent être fiers.
France Loisirs – 1983.
296 pages – 24,5 x 16 cms – 580 grammes.
Reliure cartonnée entoilée de noir, titre et nom d’auteur en blanc sur tranche + jaquette couleurs.
16 pages de photographies hors-texte + plans, cartes et schémas in-texte.
La jaquette présente de nombreuses petites marques/traces de manipulation(s) et/ou stockage (tels des bords inférieurs et supérieurs légèrement « frottés », souffrant de quelques « micro » accros), mais la reliure et l’intérieur sont très bien… et l’ouvrage peut – sans aucun problème – être classifié « bon+ » !
>>> 4,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
15:19 Publié dans Erwan Bergot, Guerres et guerriers, Histoire, Indochine & Algérie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : erwan bergot, bataillon de corée volontaires français 1950-1953, guerre de corée, guerre, guerriers, histoire, armée française, histoire de france, livres historiques, récits de guerre
14/06/2012
Pierre SCHOENDOERFFER
Pierre SCHOENDOERFFER : « Le crabe tambour »
Quatrième de couverture : Déraciné d'Asie où il a exercé vingt ans la médecine, Pierre, le narrateur, ne s'est plus senti de place en France et six mois lui ont suffi pour décider de se rengager dans la Marine. Là au moins il aura sa voie tracée, droite et sûre jusqu'à la fin, il ne courra pas le risque de se désintégrer à la façon de cet ancien camarade d'Indochine retrouvé à Paris – Dubourg ou Babourg ? – peu importe, un mort en sursis.
Tout le monde ne sait pas lutter contre les mauvais hasards, tout le monde n'a pas l'audace et la fermeté nécessaires pour garder l’âme fière et le sourire aux lèvres. Une âme prête à l'aventure comme Willsdorff, surnommé le Crabe-Tambour. Sur la passerelle de l'Éole, l'aviso affecté à l'assistance à la Grande Pêche qui l'emmène vers le Nord, le toubib ne résiste pas au désir de raconter la charge au clairon menée sur le fleuve indochinois par l'enseigne Willsdorff, son ami. Willsdorff qu'il a perdu de vue et dont le commandant lui apprend la présence là-bas en pêche sur le Damoclès.
Comment le Crabe Tambour en est-il venu à se faire patron de chalutier ? D'un souvenir à l'autre - mêlés au présent impérieux vibrant des échos de la vie en haute mer – tout ce que le narrateur ignorait de son ami prend forme : une question aussi obsédante que la parabole des talents dont la leçon court en filigrane dans ce récit fort et profond, couronné par le Grand Prix du roman de l'Académie française.
Le livre de poche – 1978 – 311 pages – 155 grammes.
Quelques petites marques de stockage et manipulations sur les plats, mais très bon état général, intérieur propre et sain, tranche non cassée !
>>> 2,50 €uros. / disponible.
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Pierre SCHOENDOERFFER : « La 317ème section »
Quatrième de couverture : C'est la saison des pluies au Laos. L'eau tambourine jour et nuit sur la jungle montagneuse où s'est mise en marche la 317, section : 41 supplétifs laotiens commandés par 4 Européens qui ont reçu l'ordre d'abandonner le poste de Luong Ba, menacé d une offensive du Viet-Minh.
La colonne amorce son repli le 23 avril. Le sergent Roudier tombe avec sa patrouille dans une embuscade. Pour le jeune chef Torrens, il n'est pas question d'abandonner les blessés. La marche reprend, ralentie par les civières, vers Tao Tsaï, par la ligne de crête de la cote 924.
L'ennemi, c'est le Viet-Minh, d'une habileté démoniaque à la guérilla, mais aussi les moustiques, les sangsues, la boue et la jungle impénétrable, la fièvre ou la dysenterie. Malgré tout, la colonne progresse avec assez d'allant pour attaquer à son tour quand l'occasion s'en présente. A ce jeu, elle use sa vie et ses forces, mais les hommes de la 317e section ne le regrettent pas : ainsi le veut la guerre – la guerre d'Indochine, dont ce récit décrit de façon authentique et prenante un visage peu connu.
Le livre de poche – 1966 – 253 pages – 140 grammes.
Plusieurs fines cassures sur la tranche attestent du fait que le livre a été lu et re-lu… mais les plats sont comme neufs et l’intérieur nickel ! Tout à fait bon pour le service !
>>> 2 €uros. / Vendu !
18:35 Publié dans Aventures, Guerres et guerriers, Histoire, Indochine & Algérie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre schoendoerffer, le crabe tambour, la 317ème section, indochine, guerre, guerriers, histoire, histoire de france, aventures, aventuriers
12/06/2012
Vingt ans de grogne et de gloire...
COIGNET Jean-Roch :
« Vingt ans de grogne et de gloire avec l’empereur »
« Aux vieux de la vieille ! Souvenirs de J.-R Coignet, soldat de la 96ème demi-brigade - Soldat et sous-officier au 1er régiment des grenadiers à pied de la garde - Vaguemestre du petit et du grand quartier impérial - Capitaine d’état-major en retraite - Premier chevalier de la Légion d’Honneur - Officier du même ordre – 1851 »
« J'avais soixante-douze ans. Une perte récente et cruelle me laissait dans l'isolement le plus complet. La tristesse et l'ennui m'accablaient. Je rappelai, pour me distraire, le souvenir de temps déjà bien éloignés, et j'en composai le récit qu'on va lire. Si quelques erreurs ont pu s'y glisser, elles sont involontaires. Que mes lecteurs me les pardonnent, en faveur de ma bonne foi et de ma sincérité. Je n'ai pas reçu, dans mon enfance, la moindre éducation. À trente-trois ans, je ne savais ni lire ni écrire. Deux vélites de la garde (nommés Gobin et Gallot… je me rappellerai toujours leurs noms !) furent mes maîtres d'école. C'était en 1808, entre Friedland et Wagram. »
( Jean-Roch Coignet )
Walter Beckers éditeur – Collection du XXème siècle / 1969.
( Edition de luxe, « Collection Club », sur papier spécial, typo Helvetica ).
Reliure éditeur façon cuir (gris-beige marbré) + tête et titre dorés sur dos à 6 nerfs, plat illustré en dorure. Illustrations hors-texte.
Un tout petit choc (à peine visible) sur un premier plat présentant une légère patine suite à quelques frottements, et une ou deux petites traces de stockage sur quatrième, sans quoi il est très bien, sain, propre et pour le moins fort beau !
276 pages / 21,5 x 14,5 cms / 550 grammes.
>>> 6 €uros. / disponible.
Jean-Roch Coignet
17:26 Publié dans Guerres et guerriers, Histoire, Mémoires / Autobiographies, Premier Empire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-roch coignet, vingt ans de grogne et de gloire avec l’empereur, histoire, napoléon 1er, premier empire, histoire de france, guerres, guerriers, guerres napoléoniennes
27/03/2012
Guerriers / Part.1
Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…
Mois du livre de poche !
Mikhaïl CHOLOKHOV : « Ils ont combattu pour la patrie »
Quatrième de couv’ : II semble que Cholokhov, enfant du Don, ait retrouvé pour parler de la guerre moderne à la fois le souffle épique et la bouleversante tendresse humaine qui caractérisaient le Tolstoi de GUERRE ET PAIX. Dans ce roman, il évoque avec une grande force de témoignage la terrible retraite de 1942, l'armée russe vaincue, traquée, se repliant vers le Don, mais il l'évoque aussi bien à l'échelle de l'Europe face à l'avenir qu'au niveau du simple troupier avec ses terreurs, ses pauvres expédients pour survivre, sa faim constante, son humour tragique et involontaire, ses préoccupations tantôt héroïques, tantôt sordides. C'est cette dualité qui donne à « ILS ONT COMBATTU POUR LA PATRIE » une dimension universelle, et qui valut à l'écrivain, pour son talent et sa sincérité, le Prix Nobel de littérature 1965.
Presses pocket – 1969 – 315 pages – 200 grammes
Etat = quelques petits chocs en haut de couv ( visibles sur la photo ) sans quoi il n’est même pas « cassé »… et de fait, très certainement jamais lu !?!! Comme neuf !
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Pierre SERGENT : « 2ème R.E.P »
( Algérie – Tchad – Djibouti – Kolwezi – Beyrouth )
Quatrième de couv : Né du 2e B.E.P. d'Indochine, le 2e R.E.P. devient, en 1956, en Algérie, le fer de lance de la zone Est algérien. Il se taille une solide réputation et accumule les plus importants bilans. En 1962, replié à Bou Sfer, en protection de la base de Mers el-Kébir, le 2e R.E.P. s'enlise dans la boue et le marasme. Alors, son colonel décide de spécialiser son régiment, de le rendre capable de remplir n'importe quelle mission, dans n'importe quel contexte, sous n'importe quelle latitude. Cadres et légionnaires deviennent chuteurs opérationnels, tireurs d'élite à toutes les armes, nageurs de combat, alpinistes.
Le 2e R.E.P. a trouvé sa voie : il sera l'unité des missions impossibles.
Il fait campagne au Tchad. Il saute sur Kolwezi. Il délivre les otages à Djibouti. Il débarque en tête à Beyrouth en 1983. Il repart au Tchad en janvier 1984.
Ce livre raconte la passionnante aventure d'un groupe d'hommes appartenant à une prestigieuse unité de choc supérieurement entraînée, au service de la Patrie que ces étrangers se sont choisie.
L’auteur : Il commençe sa carrière militaire dans le maquis à l'âge de 17 ans, puis suit une carrière d'officier dans la Légion Etrangère après un passage à Saint-Cyr-Coëtquidan. A sa sortie de l'ESM en 1949, il est affecté au 1er Regiment Etranger, à Saïda (Algérie). Lieutenant, il combat au 1er Bataillon Etranger de Parachutistes durant la guerre d'Indochine (1951-1953), où il est grièvement blessé, puis comme capitaine pendant la guerre d'Algérie au sein du 1er Régiment Etranger de Parachutistes (1958-1961), après avoir été affecté au 1er Régiment Etranger d'Infanterie en 1956.
Après l'échec du putsch d'Alger en avril 1961, il passe à l'OAS dont il devint le chef pour la métropole (OAS-métro). Pendant sept ans, il échappe aux recherches policières tandis qu'il est condamné à mort par contumace deux fois. Il est finalement amnistié après les évènements de mai 1968. Proche des milieux solidaristes, en particulier du Mouvement jeune révolution et de Jean-Pierre Stirbois, il fut élu en 1986 député des Pyrénées-Orientales sous l'étiquette du Front national, après un passage au Centre national des indépendants et paysans.
Pierre Sergent est l'auteur de nombreux livres sur la Légion étrangère et sur la guerre d'Algérie.
Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »
Nombreuses photos hors-texte / 1986 – 377 pages – 195 grammes.
Etat = quelques petites marques de stockage / manipulation… ainsi qu’une cassure sur tranche, mais rien de grave, tout à fait O.K !
>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Capitaine BARRIL : « Missions très spéciales »
Quatrième de couv : Paul Barril, l'État ne connaît pas. Nous sommes le 5 octobre 1983, Max Gallo, porte-parole du gouvernement à cette époque, vient de nier l'existence de l'un des officiers de gendarmerie les plus prestigieux de ces dernières années. Un an s'est écoulé depuis la création par l'Élysée d'une cellule de lutte contre le terrorisme, confiée au commandant Christian Prouteau et à son adjoint le capitaine Paul Barril. A 38 ans, après des dizaines d'actions prestigieuses au service de la France, Paul Barril connaît la disgrâce.
Lâché par sa hiérarchie, livré aux soupçons de la presse, aux coups bas de certains policiers, harcelé par les convocations des juges d'instruction, il devient en quelques semaines la cible privilégiée des critiques adressées à l'organisation des services secrets français, la première victime importante de la guerre des polices. On lui reproche indistinctement ses initiatives personnelles, son non-respect des règles de la procédure pénale dans quelques opérations secrètes exécutées à la demande de sa hiérarchie. On oublie aussitôt que « l'inconnu de la Présidence » a arrêté 113 personnes, participé à la reddition de 61 forcenés, neutralisé à mains nues 16 individus armés, libéré 500 otages, de l'Ambassade de France au Salvador, à la Somalie en passant par La Mecque dont il ne sera pas parlé ici.
Aujourd'hui Paul Barril livre ses réflexions sur une carrière interrompue contre son gré. Sans amertume, il règle quelques comptes. Il retrace son incroyable parcours au service de l'État, il décrit ses méthodes de combat, il évoque ses rencontres avec ceux qui ont fait l'actualité du terrorisme, d'Action Directe aux mouvements d'Extrême Droite, de Klaus Croissant à Charly Ching, des mouvements autonomistes corses à l'affaire de l'Ambassade d'Irak, à l'occasion de laquelle quatorze impacts de balles sont relevés sur la voiture qui lui a servi de bouclier. Il retrace ses missions contre le grand banditisme, de « Pierrot » Conti à Mesrine. Il propose aussi des solutions.
Presses de la cité – 1984 – 400 pages – 210 gr – Nombreuses photos hors-texte –
Quelques marques de lecture et de stockage sur plats + une cassure sur tranche, mais intérieur tout à fait O.K, bon pour le service : 2 €uros. / Vendu !
Jean MABIRE : « Les panzers de la garde noire »
Quatrième de couv : Forte d'une simple compagnie en 1933, la garde personnelle d'Adolf Hitler, la « Leibstandarte », est devenue une dizaine d'années plus tard une Panzerdivision qui fut parmi les plus redoutables de la Waffen SS. Cette troupe d'élite, formée de jeunes soldats sélectionnés pour leur stature, leur fanatisme et leur courage, a combattu sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale.
Commandée par le légendaire lansquenet bavarois « Sepp » Dietrich, elle a participé aux offensives les plus hardies comme aux combats les plus désespérés. En Pologne en Hollande, en Macédoine, en Grèce, en Ukraine, en Normandie, dans les Ardennes ou en Hongrie, les hommes de la Garde Noire ont toujours été à la pointe de l'armée allemande. A l'approche de la défaite, ses Panzers tentèrent vainement de forcer la décision, et le sacrifice des régiments de la « Leibstandarte » acheva l'aventure militaire du IIIème Reich.
Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »
Nombreuses photos hors-texte / 1980 – 350 pages – 180 grammes.
Etat = quelques infimes petites marques de stockage / manipulation… mais vraiment infimes, exemplaire en très très bon état… nickel !
>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
23:50 Publié dans Guerres et guerriers, Histoire, Indochine & Algérie, Jean Mabire, Pierre Sergent, Politique / Géopolitique & économie, Russie / Monde slave, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mikhaïl cholokhov, pierre sergent, 2ème r.e.p, capitaine barril, jean mabire, waffen ss, légion étrangère, guerre, guerres, guerriers, wwii, seconde guerre mondiale, sepp dietrich, kolwezi