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28/03/2012

Collection GUERRE de chez GERFAUT

Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…

Mois du livre de poche !  

COLLECTION GUERRE de chez GERFAUT

« Editée par Gerfaut, « Guerre » est une collection uniquement composée de romans militaires traitant de batailles, de camps et de discipline. Elle s'apparente à la collection « Feu » de Fleuve Noir dans laquelle on retrouve d'ailleurs beaucoup d'auteurs communs… auteurs qui, malgré des noms à consonances allemandes ou russes, écrivaient quasiment tous sous des pseudonymes. »… Nous explique gentiment je ne sais plus quel site spécialisé dans la vente de livre de poche !?

( Livrenpoche ou Bibliopoche ou quelque chose comme ça !? )…

 

Et ouais… c’est clair que si vous recherchez des ouvrages sérieux sur la seconde guerre mondiale ou tout autre conflit du siècle écoulé, mieux vaut passer votre chemin ! Cette collection relevant (en fait) de tout sauf de « l’ouvrage sérieux », du témoignage vécu ou de quoi que ce soit d’autre dans le même style… mais plutôt du pur délire façon « Pulp » !

Méchants nazis sadiques, à faire frémir les pires scénaristes de « fumetti » et autres « giallos » transalpins des seventies… ambiances à la « Ilsa, la louve des SS » croisées « Salon Kitty »… on donne ici dans la fesse, le cul, la tripaille, le sadisme bien salace et autres joyeusetés du même genre ! (Façon « Men’s Adventures » quoi, pour ceusses qui connaissent ce célèbre pulp américain !? Les couvertures érotiques en moins ! )…

Du « Inglorious basterds » sans le côté « les juifs sauvent le monde »…

(Certains « auteurs » étant plutôt « de l’autre bord », malgré une nette propension – très certainement dictée par la ligne éditoriale de la collection, d’ailleurs… – à souvent dépeindre tout porteur de l’uniforme feldgrau comme un disciple assidu du Divin Marquis !)

La grande majorité de ces books sont en fait l’œuvre d’un certain Enrique Sanchez y Pascual, un écrivain espagnol ultra-prolifique qui n’a quasiment jamais écrit sous son vrai nom… mais comptabilisé pas moins d’une quarantaine de pseudonymes ; aussi bien anglo-saxons, lorsqu’il écrivait de la Science Fiction… que germaniques, lorsqu’il écrivait de la « littérature guerrière » ! (N’hésitant pas, au besoin, à signer Isaias Bronstein, lorsqu’il écrivait des ouvrages sur la psychanalyse !?!!! Haha)…

Et même si quelques N° sont (parfois) un peu plus « sérieux » (ceux qui ne doivent pas être du sieur Enrique, en fait !?!), l’ensemble de la collection baigne les trois-quarts du temps dans une sorte de déjante outrancière tout à fait à même de séduire les fans de « pulp littérature » bien déglinguée et/ou les accros aux films façon Grindhouse ! 

De vraies petites perles d’action débridée et de mauvais goût bien kitsch…  

 

Kurgan

 

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Toutes les couvertures de la collection ici >>> http://vereiter.free.fr/guerre.htm

Ou ici >>> http://gerfaut003.skyrock.com/ 

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Ailleurs = Les livres de cette collection sont généralement proposés à des prix oscillant entre 4 et 6 €uros (pour des états allant de moyen à bon) tant chez les bouquinistes que sur la plupart des sites… de priceminister à ebay en passant par les livrenpoche.com et autres.

> http://www.livrenpoche.com/collection/Guerre/531.html

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N° 017 : GERWITZ Kurt : « Tribunal de guerre »

Quatrième de couverture :

– Feldwebel, avez-vous donc oublié vos camarades morts ? Certains d'entre eux ont fort probablement été tués par ces deux-là ?

– S'ils pouvaient encore parler, Herr Leutnant, mes camarades seraient sans aucun doute les premiers à demander la grâce de ces enfants !

– Pas de sensiblerie déplacée, Feldwebel ! Nous sommes en guerre et les lois de la guerre doivent être respectées !

Le lieutenant Gieseler coiffa sa casquette, se redressa pour prononcer la sentence : C'est en qualité de représentant du Führer Adolf Hitler que je vous condamne à mort ! Vous serez pendus tous les deux, demain à l'aube…

Avec pour toile de fond la plus grande bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale voici un roman poignant, un roman profondément humain. Une histoire dont toutes les phases et tous les personnages sont passionnants.

Le lieutenant Paul Lorenz. Il fait courageusement son devoir de soldat. Jusqu'au jour où il découvrira, avec honte et stupeur, quel est le rôle ignoble qu'on veut lui faire jouer.

Hermann Gieseler nazi fanatique, glacial, inaccessible à la pitié. L'un de ces parfaits accusateurs des tribunaux de guerre volant, érigés à la hâte vers la fin du troisième Reich pour juger sommairement les officiers et les soldats qui se sont montrés trop tièdes envers le Führer.

Gerfaut – 1978 – 285 pages – 170 grammes.

Etat = Une toute petite pliure en haut à gauche de quatrième + quelques infimes traces d’usage, sans quoi il est nickel ! 

Volume double :  4 €uros. / disponible.

 

Egalement disponible : un autre exemplaire, même année / édition…

Etat = Quelques fines cassures sur tranches, des rousseurs sur les pages de garde et les tranches papier, ainsi que quelques petites marques de stockage, mais tout à fait O.K ! Volume double : 2,50 €uros. / disponible.

 

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N° 125 : GERWITZ Kurt : « L’infernale troïka »

Quatrième de couverture :

– ACHTUNG ! Les Russes…

Le reste se perdit dans le fracas des mitrailleuses tirant à plein régime. Une douzaine de blindés T.34 venaient d'apparaître sur les bords du ravin au creux duquel étaient alignées les charrettes transportant les blessés de la Division. Les insignes de la Croix-Rouge étaient cependant nettement visibles, mais les équipages des chars ne semblaient pas les avoir vues, et les balles continuaient à pleuvoir. Les chevaux s'abattaient en poussant des hennissements d'agonie auxquels se joignaient les hurlements des blessés qui ne pouvaient fuir. Puis les énormes blindés s'ébranlèrent, descendirent dans le ravin, et le carnage se poursuivit. L'une après l'autre ; les charrettes furent renversées, broyées sans pitié avec leur contenu sous les larges chenilles. Quelques minutes suffirent pour transformer le fond du ravin en une sorte de marécage sanglant.

– Salopards ! hurla un soldat qui avait assisté impuissant à l'atroce boucherie.

L'INFERNALE TROIKA

Se rendre ou passer sur le ventre de l'ennemi qui les encerclait de toutes parts ? Tel était le dilemme qui se posait aux cinquante six mille soldats allemands, et volontaires des Brigades scandinave et belge enfermés dans la poche de Tcherkassy au mois de février 1944. Ils choisirent la seconde solution, et écrivirent ainsi en lettres de sang et de feu l'une des pages les plus dramatiques de l'Histoire de la Deuxième guerre mondiale…

Gerfaut – 1969 – 217 pages – 145 grammes.

Etat = Une assez nette cassure sur tranche ayant entraîné un petit défaut de pelliculage, sans quoi il serait parfait / quasi neuf !

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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N° 141 : WINKELS Franz : « Souviens-toi SS »

Quatrième de couverture :

L'ambition déchaînée d'un chef – le lieutenant Gottberg – et ses manifestations les plus offensives pourvoient le récit de Franz Winkels d'une dimension supplémentaire qui est peut-être la principale. Quand ce chef affamé de réussite personnelle n'hésite pas à provoquer les engagements meurtriers ni à y jeter ses hommes, un principe de conscience s'éveille dans l'esprit d'un S.S de sa section.

Cet homme est le narrateur de cette histoire – et les jours qui conduisent le nazisme à la chute finale, le forcent malgré lui à réviser toutes les valeurs de son univers… jusqu'à celles qu'il croyait le plus durement établies.

Et, tandis que le lieutenant Gottberg, exploitant à son profit la mort de ses hommes, gravit les échelons d'une hiérarchie supérieure, le narrateur, qui a touché au bout de ses réflexions, comprend farouchement qu'il n'y a, pour lui, d'autre libération que dans un geste qu'il veut justicier.

Gerfaut – 1970 – 217 pages – 140 grammes.

Etat = petits défauts de pulliculage sur tranche, ainsi que 3 marques de pliures sur couv’, sans quoi il serait très bien, intérieur propre et sain !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 144 : ZORN Helmut : « Achtung minen »

Quatrième de couverture :

Toutes les puissances de l'enfer se déchaînèrent. Les hommes eurent soudain l'impression que la terre tremblait, qu'un nouveau volcan allait s'ouvrir sous leurs pieds. Les explosions se succédaient, s'entremêlaient, se répercutaient. On entendait des sifflements métalliques. Des morceaux d'acier volaient en tout sens.

A l'approche des chars américains, les Allemands avaient ôté les panneaux qui signalaient le péril : ACHTUNG MINEN !

Mais quelle curieuse équipe avait posé ce champ de mines. Des membres de la Volksturm, vétérans de la Première Guerre ou adolescents frais émoulus de la Hitler jugend… Des femmes fanatiques qui s'étaient jointes à eux… Des S.S. qui avaient pris le commandement du groupe… Un rescapé du commando Skorzeny… Un vieillard qui se souvenait de Sedan… Le génie militaire de l'officier S.S. infligeait de lourdes pertes aux Américains. Mais les dissensions internes n'allaient-elles pas mener la débâcle de ce groupe disparate ?

Gerfaut – 1970 – 218 pages – 140 grammes.

Etat = Une assez nette cassure sur tranche, sans quoi il serait nickel !

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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N°145 : STARKOV Dimitri : « Poignard dans le dos »

Quatrième de couverture :

La locomotive fut soulevée comme un jouet d'enfant. Elle retomba sur le côté, crachant sa vapeur par toutes les craquelures de sa carcasse démantelée. Les wagons qui suivaient, s'écrasaient les uns contre les autres, basculaient, quittaient les rails.

Blessés ou simplement contusionnés, les soldats allemands tentèrent de sortir des débris métalliques. Ils furent cloués au sol par les rafales des mitrailleuses.

Une nouvelle fois, les partisans venaient d'agir, et ces attentats sur leurs arrières étaient pour les forces allemandes un véritable POIGNARD DANS LE DOS !

C'est l'histoire de la formation des tous premiers groupes de partisans russes, qui ne fut pas spontanée, comme le veulent certaines légendes, mais commandée du Kremlin dans un but bien précis : Rendre toute collaboration impossible avec l'occupant que d'aucuns ne demandaient qu'à considérer comme un libérateur.

C'est aussi le récit d'une des ruses les plus tortueuses employées par les Nazis pour tenter de neutraliser les groupes de partisans.

Editions Gerfaut – 1970 – 218 pages – 145 grammes.

Etat= Une assez nette cassure sur tranche, 2 marques de pliures sur couv’ et quelques traces de stockage sur quatrième, mais intérieur parfait.

>>> 1,80 €uros. / disponible.

 

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N° 150 : GICQUEL Pierre : « La route du sang »

Quatrième de couverture :

Son regard venait d'accrocher un buisson solitaire qui se trouvait à environ dix mètres de la piste. Ses yeux s'agrandirent de stupéfaction :

– Nom de Dieu!

Devant le buisson était allongé le corps dénudé de l'infirmière. La jeune femme ne bougeait pas. Morte… Lepage cherchait ce qui avait motivé le juron de Dupont, mais ce dernier courait déjà vers le cadavre.

– Attention ! hurla-t-il en épaulant sa carabine.

II venait de voir le canon d'un fusil sortir d'un buisson, mais il était trop tard, et les deux coups de feu n'en firent qu'un. Dupont s'écroula à quelques pas d'Annie.

Lepage continua de tirer. En trente secondes, la rage au cœur, il vida les quinze cartouches de son chargeur. Là-bas, il voyait les fines tiges des arbustes éclater sous l'impact des balles.

A la vitesse de l'éclair, il remit un chargeur plein et avança.

Brusquement, un étrange silence plana sur cette courte-scène.

Derrière le buisson, Ong Lô, le corps à demi sorti d'un trou, gisait mort, la tête percée d'une balle. II serrait dans l'une de ses mains les deux dernières cartouches qu'il n'avait pas eu le temps de tirer. Ses yeux ouverts, avaient encore un éclat haineux.

Gerfaut – 1970 – 218 pages – 150 grammes.

Etat = 2 assez nettes cassures ( ayant entraîné des défauts de pelliculage ) sur tranche, ainsi qu’une pliure en bas de quatrième… mais couv et intérieur nickel !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 167 : PORTER J.W. : « Vous mourrez ! »

Quatrième de couverture :

Ils avaient une devise : MOURIR « UTILE ».

– Go on ! articula le capitaine Lock. On va y aller !

Le lieutenant Gunison se dressa aussitôt.

– Yes Sir!

Autour d'eux, les Marines n'avaient pas besoin qu'on leur fasse un dessin. Tous, sans exception, en avaient marre de recevoir les coups sans les rendre.

– Crever pour crever, remarqua Frackson, autant crever « utile ».

Il prit une grenade dans chaque main, s'assura que son poignard de commando glissait bien dans la gaine. Pour ce qu'ils allaient faire, c'était dix fois plus pratique que la mitraillette.

– En avant ! hurla Gunison.

Ils émergèrent de leurs trous, sanglants, boiteux, éclopés de mille façons. Ils n'étaient guère plus de cinquante ou soixante. Ils gueulèrent comme trois mille.

Une fois de plus, les tourelles des chars japonais virèrent dans leur direction, pour les faucher en pleine course.

Mais ils couraient toujours…

Gerfaut – 1971 – 217 pages – 160 grammes.

Etat = défaut de pelliculage ( dû à un réseau de fine cassures ) sur tranche ainsi que 2 petites traces de pliures sur quatrième, mais couv’ et intérieur nickel !

>>> 2 €uros. / disponible. 

 

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N° 169 : STARKOV Dimitri : « Nécessité stratégique »

Quatrième de couverture :

Le spectacle était dantesque. Les bâtiments s'écroulaient les uns après les autres. Des gerbes de flammes, de fumée et de pierres jaillissaient vers le ciel nocturne, l'illuminaient comme une aurore boréale commandée par Satan. Les soldats allemands couraient çà et là, le terrain se dérobait soudain sous leurs pieds, ils basculaient, s'effondraient ou bondissaient dans les airs au milieu des débris des précieuses machines.

Plus loin dans la forêt, les Russes, figés, presque au garde-à-vous, contemplaient avec joie et amertume cette victoire représentant en même temps la destruction d'une installation qui avait coûté des millions de roubles.

NÉCESSITÉ STRATÉGIQUE .

C'était elle qui commandait aux Russes de tout détruire avant de céder à l'envahisseur le terrain qu'ils ne parvenaient pas à défendre. C'était elle qui commandait aux Allemands d'empêcher les Russes d'anéantir leurs installations industrielles.

Au milieu de tels affrontements, que représentent encore les passions des individus et les amours d'une prisonnière politique comme Tania Orlova ?

Gerfaut – 1971 – 213 pages – 155 grammes.

Etat = Quelques fines cassures sur tranches, un tout petit manque en bas de tranche, ainsi que des rousseurs et « salissures » sur les tranches papier, mais intérieur O.K, déclaré bon pour le service ! : 2 €uros. / disponible.

 

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N° 172 : KLUBER Hans : « Ouragan sur Kiev »

Quatrième de couverture :

Il arrive souvent, malheureusement, de voir la guerre entraîner dans son sillage ensanglanté des êtres qui n'auraient pas dû y être mêlés… mais la guerre ne respecte rien ! Elle salit tout ce qu'elle touche. Cependant, ce qu'il arriva dans la région de Kiev, au moment de la grande offensive soviétique atteignit la limite de l'impensable…

Oublié des forces allemandes qui s'étaient bornées à l'entourer d'épais barbelés, un établissement redoutable allait jouer un rôle de tout premier plan, devenir le centre du plan russe, la cachette rêvée pour un groupe de tankistes soviétiques, tentant leur dernière chance.
Derrière les murs sales du sinistre bâtiment, un groupe de femmes, le visage voilé, mouraient dans une atroce et lente agonie, atteintes de la maladie la plus effroyable du monde :
LA LÈPRE !

La jeune lépreuse avança lentement, progressant dans le couloir obscur, frémissant, les tempes moites, le cœur battant la chamade.

Soudain, la voix d'un homme s'éleva : Stoï !

Kiril vit son corps magnifique, nu, sans la moindre tache, se dressant devant lui, provocant… Avec un grognement, il se précipita vers la jeune femme, la prit par les épaules, l'attirant fortement vers lui.

Gerfaut – 1971 – 214 pages – 155 grammes. 

Etat = 2 fines cassures ainsi qu’un tout petit manque en bas de tranche + une toute petite pliure en bas à droite de la couv’, mais intérieur parfait !

>>> 2 €uros.  / Vendu - temporairement indisponible.

 

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N° 174 : STARKOV Dimitri : « L’homme au bazooka »

Quatrième de couverture :

Les deux hommes bondirent, puis s'affalèrent derrière le repli de terrain. Déjà, l'homme au bazooka avait mis son arme en position. Il commanda : Charge !

Son compagnon connecta le fil de la fusée, en l'enfournant à l'arrière du tuyau de poêle. Un jet de flammes jaillit. La fusée traversa les airs et heurta la base de la tourelle, parfaitement à la perpendiculaire, ce qui permit le jeu impeccable du percuteur à inertie. La charge creuse explosa. Les ondes de choc concentrées par l'ogive se frayèrent un chemin dans le blindage, le perforant comme une vulgaire feuille de papier à cigarettes.

L'HOMME AU BAZOOKA à l'entraînement comme au combat, prend toujours un maximum de risques pour être sûr du succès. Son chargeur le suit en tremblant un peu. Mais il suit. Il sait que le tireur se conduit en héros, parce qu'il pense à sa femme qu'il veut libérer. Pour lui, la guerre, c'est ça. La victoire, ce sera retrouver Sylvaine.

Ils ignorent que Sylvaine a trouvé auprès des Allemands l'occasion de réaliser ses ambitions secrètes…

Gerfaut – 1971 – 217 pages – 155 grammes.

Etat = 2 cassures sur tranche, une trace de pliure en bord de couv’ ainsi que quelques marques marques de stockage et d’usage, mais intérieur nickel.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 211 : WOODLEY Harry : « Piège à Tobrouk »

Quatrième de couverture :

Lorsque Churchill apprit la chute de Tobrouk, il acheva son commentaire à la BBC par des mots très durs et très amers : « La défaite est une chose ; la honte en est une autre ! »

Pourtant, cette honte ne pouvait concerner les hommes du commando Truman qui se cachèrent dans les égouts de Tobrouk tandis que des milliers de leurs compatriotes marchaient vers les camps de prisonniers. Ce célèbre commando était composé de Britanniques et d'Australiens ; sa mission : retarder au maximum la remise en état du port de Tobrouk.

Cependant, au-delà des désirs des Anglais et des Allemands, les impondérables qui toujours échappent aux chefs des armées étaient en train de tisser une toile d'araignée sur la ville. Et c'est ainsi que pour le vaillant commando comme pour les troupes de Rommel, des puissances inconnues montèrent un… PIEGE A TOBROUK !

L'Oberstabsarzt Hillebrand examina les taches noires sur le visage de l'Hindou ; il tâta ensuite les plis de l'aine du cadavre. Ses doigts se serrèrent sur de durs ganglions. Hermann leva la tête, une lueur d'épouvante au fond des prunelles :

– C'est la peste ! prononça-t-il d'une voix rauque.

Editions Gerfaut – 1973 – 217 pages – 150 grammes.

Etat = nombreuses rousseurs et menues « salissures » sur bords papier, mais intérieur et plats tout à fait biens ! : 2,50 €uros. / disponible.

 

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N° 221 : SIEBEL Hermann : « Qu’il soit maudit »

Quatrième de couverture :

L'énorme armée soviétique fonce sur Berlin. Mais çà et là, des îlots de résistance brisent son avance. A Budapest, sur l'ordre express d'Hitler, 70.000 hommes se laissent volontairement encercler afin de retarder le plus possible la défaite inéluctable.

Pendant trois mois, 220.000 Soviétiques s'épuiseront à les briser. Ce n'est que quartier par quartier, maison par maison, qu'ils réussiront à s'emparer de la ville.

Non sans mal ! 50 000 morts au moins seront le prix de cette victoire…

Quant aux Allemands, tous moururent ou furent faits prisonniers.

Quelques-uns seulement réussirent à s'échapper…

QU'IL SOIT MAUDIT !

Les rafales le scièrent en deux, d'une épaule à l'autre. Le corps décapité s'effondra sur place, comme une poupée de son. Mais la tête roula jusqu'au bord du Danube, hésita contre une grosse motte d'herbe, et tomba dans l'eau.

– Achtung ! souffla Schluck, accroché au tronc d'arbre. Les Russes nous tirent dessus.

– Ce serait bête qu'ils nous tuent maintenant ! ricana Shiller. Tant qu'à faire, j'aime autant que ce soient les copains, les derniers à mourir…

Gerfaut – 1973 – 217 pages – 140 grammes.

Etat = Deux fines cassures sur tranches, des rousseurs et « salissures » sur les tranches papier et pages de garde, mais intérieur O.K : bon pour le service !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 239 : SEDOFF Anton : « L’attaque des SS… »

Quatrième de couverture :

En août 1943, le front russe s'étend de Leningrad délivrée à la mer d'Azov, sur plus de mille cinq cents kilomètres. Mais l'offensive soviétique ralentit.

En territoire encore occupé par les Allemands, les partisans multiplient alors leurs actes de sabotage, au point que le commandement décide une opération de très grande envergure contre ceux réfugiés dans les marais du Pripet : soixante mille S.S. appuyés par les chars et l'artillerie, se mettent sur le pied de guerre. Contre cette armée formidable, les partisans ne sont que quelques centaines. Mais ils useront de toutes leurs forces, de tout leur courage, pour repousser : L'ATTAQUE DES S.S

– Jawohl ! hurla le Junker. Tous kaputt !

– Tu vas voir si nous sommes tous morts, fumier ! ricana Lozbov.

Il appuya sur la détente de sa mitraillette. La rafale éclata comme un coup de tonnerre, immédiatement multipliée par celles de ses camarades. Les Grenadierschutzes culbutèrent les uns sur les autres, sans même avoir eu le temps de se défendre. D'en haut, des jurons gutturaux firent presque autant de bruit. Les Russes n'en eurent cure.
– Allez ! Envoyez donc une autre tournée ! jubila Chtoukov. Nous sommes prêts !

Gerfaut – 1974 – 217 pages – 140 grammes.

Etat =  Bon+ / Tranche non cassée, plats en très bon état, serait quasiment comme neuf sans quelques menues rousseurs sur les tranches papier et d’infimes marques de stockage sur quatrième. Intérieur sain, très certainement jamais lu !?!

>>> 4 €uros. / disponible.

 

Egalement disponible : un autre exemplaire, même année / édition…

Etat = 2 cassures sur tranche, rousseurs et salissures sur bords papier ainsi que quelques marques d’usages sur plat… mais intérieur O.K.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 304 : GUYENNE Alain : « Secret militaire »

Quatrième de couverture :

– Regardez ce que je ramène, lança jovialement le caporal.

Il poussait une vache devant lui.

Il vit la patrouille allemande prisonnière et jura :

– Bon Dieu ! On ne s'est pas déplacé pour rien !

– On rentre, décida le sergent.

– Et ma vache ? Après tout, c'est une prise de guerre !

Ils emmenèrent donc le ruminant en même temps que les soldats ennemis qu'ils avaient capturés. Ils ne savaient pas encore qu'ils venaient de mettre ainsi la main sur un… SECRET MILITAIRE.

C'était le temps où rien n'avait plus de sens logique et où la raison avait perdu ses droits. Une invention pouvait-elle avoir de la valeur quand elle avait été conçue par un cerveau juif ? Dans un camp comme dans l'autre, on avait plutôt tendance à penser le contraire.

Gerfaut – 1977 – 217 pages – 140 grammes.

Etat = Une trace d’humidité ainsi qu’un petit défaut de pelliculage sur quatrième, sans quoi O.K, tout à fait bon pour le service ! : 2 €uros. / disponible.

 

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N° 309 : SERVAÏEF Andreï : « Leutnante Isolda »

Quatrième de couverture :

Non ! Pas ça ! fit-elle d'une voix étranglée. Vous n'allez pas me violer ? Non…

– Vous dites toutes ça au début ! Après, vous hurlez de plaisir ! Tu vas voir…

Il se précipita sur Isolda. Ses mains impatientes dégrafèrent la tunique, essayant de dénuder le corps de la jeune femme. Elle se débattait vigoureusement, mais les doigts rudes de l'homme excité firent jaillir les seins. Un rugissement de bête sauvage s'échappa des lèvres de la brute à la vue de la poitrine magnifique qui s'offrait à lui.

Une silhouette grande et mince apparut soudain dans le couloir.

– Oberscharführer, arrêtez !

Mais le sous-officier SS était trop excité. Il n'était plus maître de ses gestes. Deux coups de feu retentirent. Le Standartenführer Grausemann claqua les talons et s'inclina.

– Heil Hitler ! Je suis vraiment navré de cet incident fâcheux. J'ai été obligé de corriger cet homme… LEUTNANTE ISOLDA

Pologne 1939. La guerre vient d'éclater. Un conflit sauvage, d'une extrême cruauté. Hitler voulait que ce Blitzkrieg serve d'exemple aux autres nations qui auraient été tentées de s'engager dans cette bataille titanesque…

Un homme et une femme se trouvent au centre de ce récit poignant. Leur amour était à l'image de cette Pologne déchirée et sanglante.

Editions Gerfaut – 1977 – 219 pages – 135 grammes.

Etat = Quelques petites marques de stockage en bas de couv’ ainsi qu’une trace de salissure sur le haut + des rousseurs sur pages de garde / bords papier. Mais O.K…

>>> 1,80 €uros. / Vendu - temporairement indisponible.

 

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N°322 : WOLF Baldwin : « Les requins de la nuit »

Nageurs de combat ! Le silence des profondeurs était leur royaume. Ils venaient de la nuit et ne sortaient de l'ombre que pour frapper comme le Destin. Ni par haine, ni par cruauté: uniquement parce qu'ils représentaient la DERNIERE CHANCE…

La dernière chance de la WEHRMACHT face à la ruée soviétique.

Kowalski et Hentzler savaient, depuis que le U-542 les avait lâchés en pleine mer, qu'ils ne pourraient jamais plus compter que sur eux – et eux seuls – sur les arrières soviétiques. Et ce n'était certes pas le sourire enjôleur de la trop belle Hildegarde qui leur serait d'un grand secours… eux qu'on avait abandonnés avec la mission la plus empoisonnée qui ait jamais été conçue…

Etat = Quelques p’tites marques de stockage / usage sur plats, mais carrément bien… tranche non cassée, intérieur sain et propre : 2,80 €uros. / disponible.

 

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N° 389 : SERVAÏEF Andreï : « La folie du lieutenant Tatiana »

Quatrième de couverture :

Elle tourna le dos au canapé et déposa la seringue.

– TATIANA… balbutia Igor, écoutez-moi, lieutenant…

La Mirochenka se retourna tout d'une pièce. Mojoukin délirait.

Il prononçait des mots sans suite. Elle l'écoutait comme médusée :

– Attention, lieutenant Mirochenka ! Vous m'avez empêché de remplir ma mission ! Ah ! Vous me faites mal ! Laissez-moi partir ! Vous êtes responsable ! La cote 126 est en danger ! Je dois partir !

  Demain matin, capitaine Mojoukin !

Elle voulait entourer le cou d'Igor de ses mains, dans l'impatience de l'attirer, mais l'homme se dégagea. On eut dit qu'il hésitait entre le devoir et le plaisir.

– Oh, viens !

Des cris retentirent. Des cris de joie, d'extase, de délire.

– Chéri ! S'écria-t-elle, serre-moi fort… très fort !

Cependant que l'aube se leva maussade, pluvieuse, désespérante sur la Colline 126 de Morosovskaïa, la lieutenant Tatiana Mirochenka avait perdu la raison.

– Affreux, murmura-t-elle en frissonnant. Mille fois soient maudits tous ceux qui ont organisé cet horrible holocauste !

Gerfaut – 1980 – 177 pages – 130 grammes.

Etat = une fine cassure sur tranche, bords papier quelque peu jaunis / salis, mais intérieur et plats tout à fait O.K : 2,50 €uros. / disponible.

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