25/06/2015
Érotisme - Emmanuelle & Histoire d’O
Emmanuelle ARSAN : « Emmanuelle »
« Faire l’amour à toute heure du jour ou de la nuit, en toute circonstance, avec n’importe qui, avec celui ou celle, ou ceux et celles, qui le lui demandent ou dont elle a envie. L’amour lui révèle son corps, source inépuisable de plaisirs infinis. Cet hymne païen à la gloire de la vie physique, à la gloire des plaisirs sexuels, débouche sur une philosophie «naturelle» et optimiste que Dionysos, dans la Grèce antique, avait si hardiment préconisée. Emmanuelle est heureuse. Allons-nous le lui reprocher ? »
France Loisirs – 1975.
284 pages – 14 x 21 cms – 440 grammes.
Reliure cartonnée recouverte d’un tissu rose (titre en bleu sur tranche) + jaquette de protection noire et rose.
Etat = un léger choc en bas de tranche reliure, deux petits défauts de pelliculage sur l’arrière de la jaquette… mais ce ne sont vraiment que de petits riens ; le livre est en excellent état et ne demande qu’à rejoindre «l’enfer» de votre bibliothèque, puisque c’est ainsi que l’on nomme les fameux «rayons du haut»!
>>> 3,30 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
-----------------------------------------
Pauline RÉAGE : « Histoire d’O »
Edition revue et corrigée, texte précédé de :
« Le bonheur dans l’esclavage », par Jean Paulhan.
Les mains liées dans le dos, nue et les yeux bandés, O pénètre dans le château de Roissy, guidée par deux jeunes filles très belles aux robes d'un autre temps retroussées sur leur ventre et leurs reins nus. O passera quinze jours dans ce château où l'a amenée René, son amant adoré. Les sévices subis sont chaque jour renouvelés. O est offerte et prise, fouettée et murée dans le silence, O commence l'apprentissage de l'esclavage.Par amour pour René, O ira très loin dans la négation de soi.Elle abdiquera toute volonté et perdra définitivement sa liberté.
Et si O change de maître, c'est pour mieux éprouver les plaisirs extrêmes qui résident dans le fait d'être totalement livrée, corps et âme au sens strict, à un homme qu'on aime et qui aime en retour. C'est un voyage sans retour qu'O entreprend dans des contrées méconnues où le plaisir naît d'une souffrance intolérable.
Jean-Jacques Pauvert éditeur – 1975.
253 pages – 13 x 21 cms – 290 grammes.
Etat = deux infimes marques/cassures sur tranche sans quoi, il est vraiment très bien, quasiment neuf et en très bon état !
>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
17:14 Publié dans Erotisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : emmanuelle arsan, emmanuelle, histoire d'o, pauline réage, le bonheur dans l’esclavage, jean paulhan, masochisme, domination, érotisme
29/03/2012
Un peu d'érotisme...
Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…
Mois du livre de poche !
---------------------------------
COLLECTION LECTURES AMOUREUSES de J-Jacques PAUVERT
N° 15 : SPADDY : « Colette, ou les amusements de bon ton »
Un mot de l'éditeur :
Légère et frivole, nymphomane et exhibitionniste, Colette, la jeune femme du monde de ce roman ne vit que pour ces amusements de bon ton dont le titre du roman fait mention. Tel un Don Juan féminin, elle accumule les aventures et assouvit ses désirs les plus fous dans une complète liberté, et sous l’œil impassible de son mari. « À vingt ans, dit-il, elle a toutes les expériences d’une longue vie de lupanar. Et pourtant, il n’y a pas de visage plus séduisant et plus frais que le sien, corps plus exquis, plus jeune, plus virginal. » Dans le parfum des années 30, un roman jubilatoire d’une obscénité allègre, qui envisage sans pudeur et sans perversité les expériences amoureuses les plus extrêmes…
Le pseudonyme de Spaddy cache-t-il Renée Dunan, journaliste et critique littéraire célèbre des années 30, par ailleurs auteur sous son vrai nom d’une oeuvre dense et éclectique ? Responsable d’au moins deux autres titres érotiques sous le manteau signés Louise Dormienne, la question reste controversée pour ce pseudonyme de Spaddy. Mais quoi qu’il en soit, la force de la langue, la diversité du vocabulaire et la recherche littéraire dévoilent dans Colette le véritable écrivain.
Quatrième de couverture :
« Décidément, il n'y a femme du monde plus putain que Colette. Exhibitionniste, nymphomane, gousse, fellatrice, sodomite, buveuse de sperme, raccrocheuse, garçonne et don Juane, elle a tous les vices, et pratique toutes les débauches, jusqu'à forniquer avec les bêtes, les enfants et les soutanes. À vingt ans, elle a toutes les expériences d'une longue vie de lupanar. Et pourtant, il n'y a pas dé visage plus séduisant et plus frais que le sien, corps plus exquis, plus jeune et plus virginal, ni distinction plus parfaite »…
Tout est dit. Il ne reste plus au lecteur sans préjugés qu'à suivre les amusements de bon ton auxquels se livre sans retenue l'irrésistible Colette, seule ou sous les yeux d'un mari complaisant et d'un amant parfois un peu jaloux, mais qui ne dédaigne pas d'y apporter son active participation. Signé « Spaddy », imprimé clandestinement en 1936, ce roman – attribué à l'époque à une femme de lettre alors bien connue – d'une audace et d'une verdeur stupéfiantes, n'avait jamais fait l'objet jusqu'ici d'une édition au format de poche.
La Musardine – E.O 1999 / 159 pages – 17,7 x 11 – 95 grammes.
Etat = L’ouvrage présente quelques marques de « pliures » assez nettes sur couv’ et quatrième, ainsi que des bords de tranche légèrement frottés… mais le texte / l’intérieur est comme neuf, la tranche non cassée, et il est donc déclaré « tout à fait bon pour le service » !
>>> 2 €uros. / Vendu ! temporairement indisponible.
N° 19 : BOYER D’ARGENS : « Thérèse philosophe »
Quatrième de couverture :
On peut s'étonner de la rareté des éditions de Thérèse philosophe, quand on prend connaissance de ce qu'en dit Sade dans l'histoire de Juliette : « Ouvrage charmant du marquis d'Argens, le seul qui ait montré le but, sans néanmoins l'atteindre tout à fait; l'unique qui ait agréablement lié la luxure et l'impiété ».
Mais Thérèse philosophe est aussi autre chose. Commencé comme le roman d'un des plus grands scandales du XVIIIe siècle, l'affaire Girard-La Cadière, le récit finit comme un manuel de liberté sexuelle des plus modernes, ainsi que l'a remarqué l'Américain Robert Darnton : « Quoiqu'il en soit, place d'honneur doit être faite dans l'histoire de l'autodétermination de la femme à Thérèse philosophe : rédigé par un homme, l'ouvrage donne à lire une sensualité féminine qui n'est pas censée se subordonner aux plaisirs et aux désirs de l'homme. En refusant le rôle d'épouse respectable et de mère de famille, Thérèse ouvre une brèche dans le conformisme social et le rôle qu'il assigne à la femme ».
Mais l'auteur ? Boyer d'Argens ? Et si Diderot… ?
La Musardine – E.O 1998 / 156 pages – 17,7 x 11 – 120 grammes.
Etat = Quelques marques de stockage et manipulations sur couv’ et quatrième, ainsi que des bords de tranche légèrement frottés… mais le texte / l’intérieur est comme neuf, et l’ensemble de bonne tenue, tout à fait O.K : 2 €uros. / Vendu !
------------------------------------------------------
N° 28 : Emmanuelle ARSAN : « Livre I : la leçon d’homme »
Quatrième de couverture :
Emmanuelle est en fait un livre en deux parties, sous le même titre mais avec deux sous-titres correspondant aux deux parties successives : La Leçon d'homme et L'Antivierge. Séparés au début par un éditeur clandestin un peu pressé, les deux morceaux ne se retrouveront en librairie sous le titre commun d'Emmanuelle que huit ans plus tard, encore qu'en deux volumes. Par la suite, les aléas de la librairie, et des histoires de droits compliquées plongeront L'Antivierge, encore une fois, dans une étrange absence.
Disparue des rayonnages depuis près de vingt ans, la voici réunie à La Leçon d'homme par la volonté de l'auteur et d'un éditeur pour une fois d'accord, ainsi qu'il convient. Enfin une Emmanuelle intégrale, et par-dessus le marché dans une collection accessible à tous. « L'érotique du siècle » va enfin pouvoir être lu comme il se doit.
La Musardine – E.O 1999 / 315 pages – 17,7 x 11 – 190 grammes.
N° 29 : Emmanuelle ARSAN : « Livre II : l’anti-vierge »
Quatrième de couverture :
Emmanuelle mérite bien son titre « d'érotique du siècle » .
Histoire d'O, ce chef-d'œuvre, est plutôt comme une conclusion à cinq siècles d'érotisme littéraire plutôt « noir ». Emmanuelle ouvre une ère éclatante d'érotisme heureux, libre et triomphant, et comme tel l'ouvrage, bien que clandestin, a été salué d'entrée par toute notre époque. D'innombrables traductions, six films, des cassettes, ont accompagné l'avènement de cette forme radieuse de sensualité.
Curieusement, Emmanuelle (problèmes de droits), n'était plus disponible en librairie. La Musardine est fière de remettre en circulation dans son édition intégrale ce texte qui traduit de manière lumineuse « l'harmonie d'une existence où la sensualité, reconnue dans son importance, n'est finalement qu'un élément de la vie heureuse » (Jean-Jacques Brochier, Le Magazine littéraire). L'Antivierge, partie intégrante d'Emmanuelle, séparée du volume au début par un éditeur un peu pressé, manquait totalement depuis une vingtaine d'années. On la trouvera maintenant rééditée dans notre collection.
La Musardine – E.O 1999 / 316 pages – 17,7 x 11 – 185 grammes.
Etats = Quelques marques de stockage, lecture et manipulation sur plats et tranches… mais des intérieurs parfaits, pour 2 livres en « excellente condition physique » !
Les 2 volumes >>> 6 €uros. / Vendus !
---------------------------------------------------------
Erotiques en vrac…
Guillaume APOLLINAIRE : « Les onze mille verges »
Quatrième de couverture :
« Si je vous tenais dans un lit, vingt fois de suite je vous prouverais ma passion. Que les onze mille vierges ou même les onze mille verges me châtient si je mens ! » Tel est le serment que le prince Mony Vibescu, hospodar héréditaire de Roumanie, a fait à Culculine d'Ancône. De Paris à Port Arthur, en passant par Bucarest, en sleeping-car, sur les champs de bataille ou dans les bordels, à la poursuite de la belle Culculine, le fougueux prince Mony va tenter de tenir parole. Mais le chemin de la passion est pavé d'étonnantes perversités, et le prince, sans cesse détourné de son but par diverses tentations, devra subir le châtiment.
Il fallait bien l'humour raffiné d'un Apollinaire pour raconter cette histoire démesurément obscène tout au long de laquelle se succèdent les scènes les plus énormes de pédérastie, de saphisme, de vampirisme ou de scatomanie…
J’ai lu – Collection « Pour lecteurs avertis » / 1985 – 127 pages – 90 grammes.
Etat = Quelques petites marques de lecture / stockage sur couv’ sans quoi très bien, tranche non cassée, bon état : 1,50 €uros. / Vendu !
Jean DE BERG : « L’image »
Quatrième de couverture :
Tout commence par un jeu de regards, lors d'une soirée parisienne. Jean admire la beauté de Claire qui semble à peine le voir. Ses yeux de photographe (c'est là son métier) ne quittent pas Anne, une toute jeune fille, son modèle. Son esclave aussi, comme il apparaît bientôt à Jean dans les jardins de Bagatelle où d'autres jeux s'esquissent. Tenté, provoqué, Jean cesse d'être simple spectateur… Il deviendra bourreau dans ce studio de la Rive gauche où tout semble conçu pour les entraîner tous trois au paroxysme d'un rituel cruel et pervers.
Bourreau mais non point maître, Jean le découvre… Même enchaînée, à genoux, suppliante, n'est-ce pas la femme, en fin de compte, qui commande ?
J’ai lu – Collection « Pour lecteurs avertis » / 1986 – 124 pages – 90 grammes.
Etat = Tranche légèrement insolée sans quoi il est bien tirant sur le très bien !
>>> 1,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Gustave GUERINEAU : « Séduction »
Quatrième de couverture :
Les apparences sont trompeuses, c’est vrai… et tout particulièrement vrai au Château de Messange. Qui croirait qu’il se passe des choses passionnées, brûlantes, perverses, dans cette auguste demeure de la paisible Touraine ? Le marquis est tout à ses collections d’histoire naturelle et son épouse veille sur l’éducation de leurs filles : Claire et marguerite. Du moins le croit-elle…
C’est compter sans l’ardeur de Claude, fils adoptif des Messange et follement épris de Claire qui d’abord se refuse… Refus qui jette le fougueux garçon dans les bras de Mlle Germaine, délurée soubrette venue de Paris. Sans parler de la précoce petite Marguerite !
Dans cette fiévreuse atmosphère, Claire se lasse d’être sage…
J’ai lu – Collection « Pour lecteurs avertis » / 1984 – 125 pages – 90 grammes.
Etat = Tranche insolée sans quoi bien tirant sur le très bien !
>>> 1,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Xaviera HOLLANDER : « Lettres à Madam’ »
Quatrième de couverture :
Avec ses livres : Xaviera, Madam, Paris-Saint-Tropez, La meilleure part de l’homme, Xaviera Hollander a révolutionné le monde du sexe. Partout, en Europe, au Japon, aux Etats-Unis, conquis par sa franchise et son insolence, des milliers d’hommes et de femmes ont pris la plume pour lui raconter leurs anecdotes les plus piquantes, leurs fantasmes les plus débridés, leurs expériences les plus érotiques. Aujourd’hui, Xaviera livre cette incroyable correspondance. Et elle révèle aussi, avec sa sincérité coutumière, ce qui est advenu lorsqu’elle a décidé de répondre aux plus insolites de ces lettres-confesssions…
Le livre de poche – 1983 – 255 pages – 130 grammes.
Etat = Une assez nette cassure sur tranche ainsi que quelques marques d’usage / stockage sur plat mais propre et sain, tout à fait partant pour une nouvelle vie.
>>> 1,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
----------------------------------------------------------
Esparbec / Media 1000…
ESPARBEC : « La nièce du pharmacien »
Média 1000, collection « Darling poupée du vice » n° 26
Quatrième de couverture :
Pendant que Mme Grimaldi fait subir d’étranges tests de « sensualité » à une nouvelle pensionnaire particulièrement délurée, la vie va son train dans l’ancien couvent de Ste Estèphe. La nièce du pharmacien, devenue la poupée sexuelle d’un garde, est obligée de se plier à toutes ses fantaisies. Pendant qu’elle reçoit son fiancé au parloir… elle subit les plus incroyables avanies, à l’insu de ce dernier. Mais voilà que ledit fiancé lui-même, tombant entre les mains de deux jeunes personnes en manque d’affection, va connaître des épreuves particulièrement éprouvantes pour… sa virilité. Pendant ce temps, Hermeline fait la charité à sa façon, en montrant « ses secrets » aux pêcheurs à la ligne. Un Esparbec particulièrement épicé !
1994 – 190 pages format poche – 115 grammes.
Etat = Quelques légères traces de manip’ / stockage, mais tout à fait bien, tranche non cassée, propre et sain : 7 €uros. / Vendu ! - Temporairement indisponible.
( Ailleurs = Les exemplaires / livres de cette collection, devenus introuvables, se négocient entre 12 et 25 €uros ( voire parfois 40 et plus !?! ) sur priceminister ! )
09:56 Publié dans Erotisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lectures amoureuses, j-jacques pauvert, spaddy, thérèse philosophe, emmanuelle, emmanuelle arsan, les onze mille verges, xaviera hollander, esparbec, darling poupée du vice, média 1000, érotisme, pornographie, érotiques