09/04/2015
Robert BRASILLACH : Comme le temps passe / Les 7 couleurs
Robert BRASILLACH : « Comme le temps passe »
Présentation de l’éditeur ( version France Loisirs ) :
« Ce que j'ai voulu écrire, disait Brasillach, c'est le roman de la jeunesse qui fuit et renaît tour à tour, en même temps que celui de deux êtres qui peuvent se chercher, se perdre, se retrouver, sans jamais cesser d'être faits l'un pour l'autre ». Roman de l'enfance et de l'aventure, de la volupté et de la tentation, de la séparation et du retour, Comme le temps passe est sans doute l’œuvre la plus riche et la plus complexe de Robert Brasillach.
Dominés et reliés entre eux par la présence constante des deux héros - Florence et René - les six épisodes de ce récit mystérieux et captivant reflètent toutes les émotions de la vie. Dans le halo lumineux du souvenir resurgissent aussi les figures pittoresques d'un autre temps : c'est le monde cocasse du cinéma de 1900, la bohème ou la bourgeoisie provinciale de la Belle Époque, la découverte des Flandres ou de l'Espagne, lorsque le voyage était encore une aventure.
« Plus encore qu'à peindre mes amis, je me suis attaché à peindre ces ombres, ces personnages passagers compagnons de leur destin », Robert Brasillach.
France Loisirs – 1983 – 319 pages – 20,5 x 13,5 cms – 420 grammes.
Reliure cartonnée éditeur, entoilée de violet + jaquette couleurs.
Etat = quelques inévitables mais infimes traces de manip’ sur la jaquette, mais c’est vraiment « histoire de dire que… ».
L’ensemble est en excellent état, propre, sain et ne demande qu’à rejoindre vos rayonnages.
>>> 6,50 €uros. / disponible.
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Robert BRASILLACH : « Les 7 couleurs »
Présentation de l’éditeur :
De même qu'un peintre dispose des sept couleurs du spectre pour fixer sa vision sur la toile, de même l'écrivain a le choix entre diverses techniques. Au lieu de les mêler comme les tons sur une palette, pourquoi ne pas recourir tour à tour à celle qui mettra le mieux en valeur l'événement à décrire ? C'est le parti qu'adopte Robert Brasillach pour conter l'histoire de Patrice, de Catherine et de François. Avec Patrice, Catherine découvre les merveilles que peut offrir le Paris de 1926 à deux jeunes étudiants. Puis lui se rend en Italie, et la séparation fait son travail de sape : tandis qu'il se grise de nouveautés, Catherine épouse François. Le fantôme de Patrice est-il à jamais conjuré ? Pour en avoir douté, François s'enrôle dans la guerre d'Espagne. A propos de ces trois destinées, Robert Brasillach brosse un tableau de l'entre-deux-guerres où une certaine jeunesse inquiète s'est laissé attirer par le fascisme.
Le Livre de Poche – 1965 / 255 pages / 140 grammes.
Un exemplaire estampillé « Bon + » >>> 2,20 €uros. / Vendu !
Egalement disponible :
Un autre exemplaire (même année / même édition), mais un tout petit poil moins bien...
>>> 2 €uros. / disponible.
09:57 Publié dans Grands classiques | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert brasillach, comme le temps passe, les 7 couleurs, fascisme, jeunesse, guerre d'espagne, entre-deux-guerres
28/03/2013
Robert BRASILLACH : Comme le temps passe
Robert BRASILLACH : « Comme le temps passe »
Présentation de l’éditeur ( version France Loisirs ) :
« Ce que j'ai voulu écrire, disait Brasillach, c'est le roman de la jeunesse qui fuit et renaît tour à tour, en même temps que celui de deux êtres qui peuvent se chercher, se perdre, se retrouver, sans jamais cesser d'être faits l'un pour l'autre ». Roman de l'enfance et de l'aventure, de la volupté et de la tentation, de la séparation et du retour, Comme le temps passe est sans doute l’œuvre la plus riche et la plus complexe de Robert Brasillach.
Dominés et reliés entre eux par la présence constante des deux héros - Florence et René - les six épisodes de ce récit mystérieux et captivant reflètent toutes les émotions de la vie. Dans le halo lumineux du souvenir resurgissent aussi les figures pittoresques d'un autre temps : c'est le monde cocasse du cinéma de 1900, la bohème ou la bourgeoisie provinciale de la Belle Époque, la découverte des Flandres ou de l'Espagne, lorsque le voyage était encore une aventure.
« Plus encore qu'à peindre mes amis, je me suis attaché à peindre ces ombres, ces personnages passagers compagnons de leur destin », Robert Brasillach.
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Disponible dans la version 1963 du Livre de Poche, avec sa superbe aquarelle de couv’… ou dans la version 1983 de chez France Loisirs avec son horrible jaquette façon mauvais roman sentimental à deux francs vingt-sept hors-taxe.
France Loisirs – 1983 – 319 pages – 20,5 x 13,5 cms – 420 grammes.
Reliure cartonnée d’éditeur, entoilée rouge sang + jaquette couleurs.
Un petit choc en haut à droite du premier plat (jaquette + reliure), sans quoi il serait comme neuf !
>>> 6,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Le livre de poche (volume double) – 1963 – 438 pages – 270 grammes.
Une toute petite trace de pliure en haut à droite de la couv’, quelques infimes marques de manip’, ainsi qu’une tranche très légèrement incurvée (propre à quasiment tous les volumes doubles ou triples du livre de poche), mais ce ne sont là que défauts mineurs. L’ouvrage est en très bon état, le vernis bien brillant et l’intérieur propre et sain.
>>> 4,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
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Le roman raconte l'histoire de René et de Florence, des cousins orphelins élevés par une tante sur l'île de Majorque. Cette île représente pour eux « une sorte de Paradis où les lois n'existent pas encore ». Mais ils grandissent, et René le premier gagne Paris, puis s'engage dans une troupe d'acteurs ambulants ; hommage de Brasillach au cinéma naissant, mais épisode symptomatique du désir de René de poursuivre les rêves et illusions de l'enfance.
René et Florence se retrouvent enfin, se marient, croyant comprendre que l'amour était le Paradis d'autrefois et qu'ils n'allaient jamais en être chassés. Cependant, il suffit d'un vague flirt entre Florence et un lieutenant qui, pour être plus âgé que René, n'en garde pas moins la grâce et la fraîcheur d'un enfant, pour que René quitte brusquement Florence sans lui donner la moindre explication.
Mobilisé pendant la Première Guerre, René y fait l'épreuve de la maturité. Quatorze ans passent avant que René ne revienne vers Florence, qui durant tout ce temps l'avait attendu.
( http://www.erudit.org/culture/nb1073421/nb1118578/20816ac.pdf )
Comme le temps passe, paru en 1937, est probablement son meilleur roman c'est l'histoire d'un couple (René et Florence) avec ses zones d'ombres et de soleil, avec ses retrouvailles et ses séparations, installant le lecteur dans une aventure picaresque et sentimentale où s'éveille un érotisme discret mais magnifique (lire et relire la magnifique Nuit de Tolède).
( http://identitari-catalunya.blogspot.fr/2006/04/un-ecrivain-catalanrobert-brasillach.html )
14:59 Publié dans Grands classiques | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert brasillach, comme le temps passe, grands classiques