30/09/2012
Trimestre de l’Apocalypse !
Oyez oyez, braves lecteurs…
Etant donné que demain ( premier octobre 2012 ) nous serons à 81 jours de la fin du monde…
( Fin du monde unanimement prévue et/ou confirmée par Nostradamus, les oracles, le calendrier des Mayas, le projet Web-bot, la trajectoire de planète Nibiru, l’alignement de la galaxie, le professeur Charles Xavier (qui me l’a personnellement confirmé au téléphone), le petit-fils de Paul le Poulpe, ainsi que ma grenouille météorologique personnelle ! )
Et qu’il est – je pense – inutile de vous rappeler l’importance pour le moins capitale du chiffre 81 dans l’histoire de l’humanité !?!
( Incendie du Capitole (Rome, 81 avant J.C) date anniversaire de la mort de Titus (Rome, 81 après J.C), numéro de l’article du code général des impôts définissant qui est à même d’être affranchi de l'impôt (article 81), entier naturel suivant 80 et précédant 82, carré de 9, nombre de Tribonacci, cinquième nombre octogonal centré (après 49), sixième nombre heptagonal, numéro atomique du thallium (métal ô combien pauvre, s’il en est), indicatif téléphonique international permettant d’appeler le Japon (et donc Gamera la tortue géante, ce qui peut se révéler très utile en cas de fin du monde !), identifiant ISBN pour les livres publiés en Inde (comme par hasard !), nombre pouvant tout aussi bien désigner les Hell's Angels (dont les initiales H et A sont respectivement la 8ème et la 1ère lettre de l'alphabet) qu’un certain Hitler Adolf (même constat), mais également être la somme renversée (18) des trois six composant le nombre de la bête (666)… )… ( Sans même parler du fait qu’il s’agit également du nombre de cases composant une grille de Sudoku ! Et que là, on touche carrément au mysticisme absolu ! )
Il nous a semblé évident que c’était le jour parfait pour débuter ce que nous avons convenu d’appeler le « Trimestre de l’Apocalypse » !
Un « Trimestre de l’Apocalypse » au cours duquel nous vous proposerons moult ouvrages (et autres œuvres ARTpocalyptiques diverses) susceptibles de vous préparer du mieux possible à la « sombre folie » qui s’annonce…
( Soucoupes volantes et monstre(s) du Loch Ness, bête(s) du Gévaudan et maisons hantées, possessions démoniaques ou angéliques, gremlins, lycanthropes et autres moutons-garous, cités perdues d’Irem et de R’lyeh, magie noire, Grands Anciens et P’tits Nouveaux, vaudou et sorcellerie berrichonne, dames blanches et vierges noires, Hollandais volants et Juifs errants, succubes et rubikscubes, vampires, ghoules, zombies et Hulk(s) rouges, petits gris et géants verts, Goa’ulds et Klingons, bases nazies en Antarctique et reptiliens infiltrés à la Maison Blanche… nous n’oublierons rien… et ne vous cacherons rien ! )
Un « Trimestre de l’Apocalypse » au cours duquel nous repousserons pour vous les limites de l’étrange et du mystérieux… un « Trimestre de l’Apocalypse » au cours duquel nous vous inviterons à voyager avec nous au sein des Espaces du Dehors…
Un « Trimestre de l’Apocalypse » durant lequel la folie règnera en maître(sse) absolu(e) sur ces lieux !
Kurgan & Luna
17:40 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : trimestre de l’apocalypse !
23/09/2012
La butte rouge
Sur c'te butt'là y'avait pas d'gigolettes
Pas de marlous ni de beaux muscadins.
Ah ! C'était loin du Moulin d'la Galette,
Et de Panam' qu'est le roi des pat'lins.
C'qu'elle en a bu du beau sang cette terre,
Sang d'ouvriers et sang de paysans,
Car les bandits qui sont cause des guerres
N'en meurent jamais, on n'tue qu'les innocents !
La Butt' Rouge, c'est son nom,
L'baptême s'fit un matin,
Où tous ceux qui montaient roulaient dans le ravin.
Aujourd'hui y'a des vignes, il y pousse du raisin.
Qui boira ce vin là, boira l'sang des copains.
Sur c'te butt'là on n'y f'sait pas la noce
Comme à Montmartr' où l'champagne coul' à flots;
Mais les pauvr's gars qu'avaient laissé des gosses
Y f'saient entendre de terribles sanglots !
C'qu'elle en a bu des larmes cette terre,
Larm's d'ouvriers, larmes de paysans,
Car les bandits qui sont cause des guerres
Ne pleurent jamais, car ce sont des tyrans !
La Butt' Rouge, c'est son nom,
L'baptême s'fit un matin,
Où tous ceux qui montaient roulaient dans le ravin.
Aujourd'hui y'a des vignes, il y pousse du raisin.
Qui boit de ce vin là, boit les larmes des copains
Sur c'te butt'là, on y r'fait des vendanges,
On y entend des cris et des chansons ;
Filles et gars doucement y échangent
Des mots d'amour qui donnent le frisson.
Peuvent-ils songer, dans leurs folles étreintes,
Qu'à cet endroit où s'échangent leurs baisers,
J'ai entendu la nuit monter des plaintes
Et j'y ai vu des gars au crâne brisé !
La Butt' Rouge, c'est son nom,
L'baptême s'fit un matin,
Où tous ceux qui montaient roulaient dans le ravin.
Aujourd'hui y'a des vignes, il y pousse du raisin.
Mais moi j'y vois des croix portant l'nom des copains !
« La butte rouge »
Ecrite par Gaston Mardochée Brunswick dit Montéhus, en 1923.
11:53 Publié dans Détente, Guerres et guerriers, Histoire, Musique, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la butte rouge, montéhus, docteur merlin, musique, chanson française
19/09/2012
Un bon plan…
Ruiner les intégristes…
Un bon plan…
A Paris, des clients déchirent "Charlie Hebdo"
devant les kiosques à journaux.
Des clients se sont précipités dans des kiosques à Paris mercredi matin, dans le but d'acheter et de détruire les exemplaires de Charlie Hebdo contenant les caricatures de Mahomet, selon des kiosquiers de Belleville, dans l'est de la capitale. "Quand j'ai ouvert à 6 heures ce matin, un homme attendait déjà là, une liasse de billets à la main. Il m'a demandé tous les exemplaires de Charlie Hebdo, avant de me dire qu'il comptait les détruire, ainsi que tous ceux qu'il trouverait chez les vendeurs de journaux du coin", a déclaré un kiosquier qui avait vendu tout son stock à 8 heures. Un autre kiosquier du quartier a vu ses clients chiffonner sous ses yeux les exemplaires du journal satirique qu'ils venaient de lui acheter, lui reprochant de vendre un journal qui "allait créer des problèmes en France".
(aliceadsl.lemonde.fr / Mercredi 19 nov.2012)
Quel dommage que nous ayons tous oublié jusqu’au sens même des mots COURAGE, intelligence, combat et solidarité… Sans quoi, la « solidarité de la presse » pourrait rendre un grand service à l’humanité tout entière…
Puisqu’il suffirait que l’ENSEMBLE de ladite « presse » publie quotidiennement des caricatures de Mahomet (pendant quelques semaines) pour ruiner l’ensemble des intégristes… obligés d’acheter des millions de journaux et magazines chaque matin ! ( Héhé! )…
Kurgan.
Mahomet par Gotlib (1972)
Dans God’sClub (c) Fluide Glacial/Audie.
14:34 Publié dans Détente, Politique / Géopolitique & économie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : intégristes, caricatures mahomet
15/09/2012
Robert BRASILLACH
Robert BRASILLACH : « Les sept couleurs »
Résumé : Avec son amie Catherine, Patrice découvre les rues du Paris des années 1920. Il vit dans une pension peuplée de personnages pittoresques, fréquente les restaurants bon marché, les cinémas, les parcs. Ayant terminé ses études, Patrice se rend en Italie fasciste, qu'il soutient, et exerce le métier d'enseignant tout en gardant contact avec Catherine. Il correspond plusieurs mois avec elle, mais leurs liens se distendent peu à peu. Apprenant que celle-ci a épousé François Courtet, militant communiste, Patrice rejoint la Légion étrangère et opère au Maroc français.
Son engagement terminé, il se rend dans le nouveau Troisième Reich sur la recommandation de Siegfried Kast, ancien légionnaire d'origine allemande devenu adjoint de Julius Streicher, et travaille dans une chambre de commerce française à Nuremberg. Patrice entame une liaison avec une jeune Allemande, Lisbeth.
Lors d'un voyage en France, Patrice tente de reconquérir Catherine, toujours mariée à François — qui, depuis, est passé dans le camp fasciste. Ce dernier, doutant de la sincérité de sa femme, s'enrôle dans dans les troupes de Franco afin de participer à la guerre d'Espagne…
Les Sept couleurs est un roman de Robert Brasillach paru à la veille de la Seconde Guerre mondiale, en 1939 aux éditions Plon. Il a manqué de peu le prix Goncourt.
Outre l'intérêt historique d'une description du climat d'avant-guerre d'un point de vue fasciste, l'originalité du roman tient dans la variation successive du style de narration à chacun des sept chapitres : récit, correspondance épistolaire, journal, réflexions personnelles de l'auteur, théâtre, articles de presse, flux de conscience (monologue).
Le roman met également en avant l'exaltation de Brasillach pour le congrès de Nuremberg — exaltation plus d'ordre esthétique que politique —, et son enthousiasme pour les grand-messes païennes du Parti nazi telles qu'elles ont pu être filmées par Leni Riefenstahl dans Le Triomphe de la volonté. ( Wikipedia )
Le Livre de Poche – 1966 / 255 pages / 140 grammes.
Retour en stock de deux exemplaires…
Un exemplaire en excellent état ( impossible de dire « comme neuf » vu qu’il date tout de même de 1966, mais c’est clair qu’il est vraiment très bien ! )
>>> 2,50 €uros. / Vendu !
Et un autre ( même année ) un petit poil moins bien ( une petite marque de pliure en haut à droite de quatrième ), mais en très bon état tout de même…
>>> 2 €uros. / Vendu !
17:39 Publié dans Grands classiques, Histoire, Politique / Géopolitique & économie, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : robert brasillach, les sept couleurs, fascisme, nazisme, entre-deux-guerres
13/09/2012
Les îles du Nord
« Dans tout voyage, rêverie et désir précèdent le corps. Et l’on dit des âmes qui ont perdu le siège de leur chair qu’elles se réfugient quelque part entre l’Ouest et le Nord. Que les dieux résident là-bas, à l’abri du ressassement plaintif des hommes qui regrettent leur terre d’origine. Car, effectivement, nous venons de ces îles lointaines, que nous avons quittées à l’aube de notre histoire, à bord de berceaux de pierre ; nous venons de ces terres incertaines, insaisissables dans l’espace et dans le temps. Ailleurs sublime et suprême, lieu absolu que l’on atteint au prix d’épreuves à surmonter et qui, du même coup, devient espace d’initiation. […]
Migrations des âmes, navigations aventureuses, recherche d’un lieu – et simultanément d’un temps – initial et terminal… L’imaginaire des îles du Nord porte la promesse de l’éternel retour, il offre l’espoir toujours inavoué de retrouver la voie du paradis perdu. Ces îles ne sont pas réductibles à la géophysique ou au magnétisme des boussoles : elles naissent au plus intime de la sensibilité de chacun, engendrées par une certaine présence au monde. Les explorations les plus anciennes comme les plus récentes ont été marquées par un objectif double : l’argument scientifique masquait presque toujours une implication spirituelle ou poétique. Comme si pour atteindre le Nord, il était indispensable de sacrifier aux rêves et aux mythes.
Îles Fortunées, îles des Bienheureux, Tir na nÓg, Avalon ou l’ultime Thulé, ces îles d’abondance sont la matrice des peuples légendaires, la jeunesse et la félicité y sont perpétuelles. A ces rivages fabuleux ont tenté d’aborder ceux qui ont fait voile d’encre ou de nef vers les brumes froides du monde. Voguer sur les traces des tout premiers hommes, des navigateurs irlandais, des invincibles seigneurs des mers, des reines des neiges ou des inventeurs de pôles : Rien ne saurait entamer la fascination pour le Nord et ses îles, éternelle image de l’ailleurs. »
Marc NAGELS, in Les îles du Nord (2011)
Texte découvert via : Figures de Proues
17:41 Publié dans Paganisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marc nagels, les îles du nord, thulé, tir na nÓg, avalon
10/09/2012
Allez vous coucher vous !
18:54 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : allez vous coucher vous !
07/09/2012
L’ombre de Poe
Où Poe se promena jadis.
Eternellement méditent les ombres sur ce sol,
Rêvant aux siècles qui se sont enfuis ;
De grands ormes se dressent solennellement près des dalles et des tertres,
Abritant de leur voûte le monde caché d’autrefois.
Sur ce paysage joue la lumière du souvenir,
Et les feuilles mortes chuchotent, évoquant les jours révolus,
Regrettant les images et les sons qui ont disparu.
Triste et solitaire, un spectre se glisse le long
Des allées où ses pas l’ont conduit, de son vivant ;
Un regard ordinaire ne peut l’apercevoir, bien que son chant
Résonne à travers le Temps, empreint d’un charme mystérieux.
Seules les rares personnes connaissant les secrets de la sorcellerie
Entrevoient parmi ces tombes l’ombre de Poe.
Howard Phillips Lovecraft (1890-1937)
« Fungi de Yuggoth et autres Poèmes fantastiques »
(Traduction : François Truchaud).
18:30 Publié dans Détente, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : howard phillips lovecraft, edgar allan poe
03/09/2012
SERIE NOIRE – En vrac !
SERIE NOIRE – En vrac !
Bon, les aminches…
(Ah ben ouais quoi, c’t’une note Série Noire ici, on va pas causer comme des locdus ! Faut du style, d’la classe, donner dans la défouraille verbale façon « Messieurs les Hommes » font la tournée des Grands-Ducs ! Le beau verbe et la jactance de luxe façon Jo l’Trembleur f’sant du gringue à Lulu la Nantaise !)
Les aminches (donc)…
On va faire dans l’simple, pour c’qu’en est d’cette note…
Le tant et tellement basique que même un maître étalon (arf!) diplômé ès connerie d’la Sorbonne arriverait à piger sans trop de mal le concept général du bidule.
Parc’que bon, pour c’qu’en est des books présentés z’ici, z’avez juste à mater les photos jointes au topo pour piger qu’y’a rien à r’dire ! Qu’c’est d’la qualité number ouane… du flambant neuf, du bien brillant façon carrosserie d’belle américaine lustrée à la peau d’chamois par un garagiste amoureux des œuvres d’art montées 8 cylindres !
Et qu’du coup… on va pas s’faire chier à vous les casser avec du menu détail à la con…
On va pas s’emmerder à vous estimer tel book à 2,93 €uros parce qu’il y a une infime petite pliure de 0,2 mm en bas de quatrième de couv’… et tel autre à 3,08 €uros parce qu’il compte très exactement 19 pages de plus que le précédent.
On va tous vous les faire à 3 €uros pièce / prix unique… et hop, roulez jeunesses !
Rien à fichtre que tel site propose un McBain (d’occase) à 2,80 €uros et un autre le premier J.P Manchette à 10 €uros… le prix moyen d’une Série Noire en bon état se situe entre 4 et 5 €uros… et on vous propose donc nos « comme neufs » à 3 €uros ; histoire de rester en accord avec nos autres notes consacrées à ladite Série Noire… et d’être une nouvelle fois les meilleurs !
C’est bon, z’avez tout bien tout pigé ou faut qu’on vous débloque la comprenette à grands coups de sulfateuse Thompson modèle standard, chargeur camembert 50 bastos.
Yeah !
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N° 1295 – Ed McBAIN : « La rousse »
« Monsieur Cowper, directeur des Parcs et Jardins municipaux sera abattu demain soir, si je ne reçois pas 5 000 dollars avant midi. » Ce coup de fil anonyme, l’inspecteur Meyer le reçut un beau matin à son arrivée au commissariat du 87ème.
Pas autrement ému, Meyer en fit part à ses collègues qui tous dirent : « Encore un fumiste ! » Mais cette communication fut suivie de bien d’autres ; et quand le maître chanteur passa à l’exécution, ce fut la ville, Monsieur le Maire en tête, qui eut la chair de poule.
( Traduit de l’américain par D. May )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 295 pages – 185 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1350 – Ed McBAIN : « Mort d’un tatoué »
L’homme était couché derrière la porte, replié dans la position d’un fœtus. Le visage entier et la plus grande partie du crâne étaient en bouillie. Son pouce appuyait sur la détente du fusil de chasse qu’il étreignait encore d’une main. Le canon voisinait avec ce qu’il restait de sa mâchoire. Une seule douille était sur le parquet près de sa tête ouverte, entourée par plusieurs petits objets blancs. Il fallut un moment à Steve Carella pour reconnaître des morceaux de dents.
( Traduit de l’américain par Alain Chataignier )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 224 pages – 140 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1394 – J.P MANCHETTE & J.P BASTID :
« Laissez bronzer les cadavres »
Si la jeune mariée n’avait pas eu l’idée idiote de monter au village avec le gosse qu’elle avait kidnappé, on serait restés bien tranquilles, assis sur notre or.
Mais du coup les gendarmes sont montés la chercher. Et tout un jour et toute une nuit, on s’est battus, à l’aveuglette, dans la pierraille et la garrigue. Pendant qu’une vieille peau complètement saoule riait à chaque fois qu’on faisait mouche.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 249 pages – 160 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1611 – Jean VAUTRIN : « A bulletins rouges »
A bord de nos gros cubes, nous autres, les Beuark, on sème la panique dans les cités-dortoirs où les gens n’ont plus guère le temps de roupiller. Boulot, bistrot, moto… On est très occupés vu qu’on joue aux agents électoraux pour les prochaines législatives.
Ca y va sec, la châtaigne, lors des séances d’affichage contre les adversaires.
Mais c’est surtout pour le sport, parce que les convictions politiques, on s’en tape joyeusement. Et même sans nous prendre au sérieux, on est efficaces, puisqu’il y a un mort en ballottage.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 179 pages – 120 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 1674 – Jean VAUTRIN : « Billy-ze-Kick »
Il y a Chapeau, le flic qui se prend pour un super-flic.
Il y a sa fille, Julie-Berthe, étrangement sage et folle pour ses dix-sept ans.
Il y a Hippo, l’adolescent schizophrène. Il y a Alcide, le vieil homme, qui pleure la mort de la campagne et déteste les banlieues bétonnées. D’autres encore qui souffrent, rigolent, forniquent. Et il y a le tueur de jeunes mariés : Billy-ze-Kick. Le mystérieux. Qui serait un mythe enfantin si le sang qu’il verse n’était pas réel. Qui mourra peut-être par égard pour la morale. Mais qui ressuscitera peut-être.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 217 pages – 140 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2007 – Jean AMILA : « Au balcon d’Hiroshima »
Que faire quand le complice d’un hold-up fiche le camp avec le magot pour aller s’établir à Tokyo, dans les machines à sous ? On traverse le globe pour aller lui causer du pays. Même si le commun des mortels est occupé par une guerre mondiale. Question d’honneur ! Mais les militaires ont aussi des comptes à régler. Dissuasion rédemptrice, les innocents paieront ! Comme toujours !…
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 178 pages – grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2434 – M.A PELLERIN : « La bourde »
Y avait don’ point d’loi pou’ c’t avorton !
Des lois, il en avait jamais connu que deux. Celle du plus fort, qu’il avait dû subir jusqu’à en perdre l’envie de vivre. Celle du plus fin, qu’il avait trouvé dans la forêt.
Ce soir, portant le plus beau trophée jamais braconné, Bec-de-Lièvre coupait au plus fin à travers le sous-bois délayé de lune. Derrière lui, s’ordonnait la chasse à l’homme.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 221 pages – 135 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2436 – Andreu MARTIN : « Jésus aux Enfers »
Jésus Alque dort chez lui dans un village perdu de Catalogne lorsque son beau-frère l’appelle de Barcelone pour lui annoncer au milieu des éclats de rires et des tintements de verres que sa sœur a claqué le mois dernier. Jésus descend donc en ville à la recherche de la vérité. Il la trouvera au milieu du vice, de la violence, du mensonge et de la séduction de la ville des merveilles.
( Traduit de l’espagnol par Georges Tyras & Jean-François Carcelen )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 351 pages – 210 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2438 – Serge PREUSS : « Le programme E.D.D.I »
Interdire aux SDF, aux clodos, aux malchanceux de la vie de se rassembler sur nos belles places publiques, ça ne suffisait pas. Il fallait à nos dirigeants quelque chose de plus fort, de plus définitif… Quelque chose qui chasse enfin de nos yeux de nantis l’insupportable spectacle de la misère…
Ils ont trouvé : c’est le programme E.D.D.I.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 139 pages – 95 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2439 – Hervé LE CORRE : « Les effarés »
Prenez trois types bêtes et méchants. Très méchants. Présentez-leur une belle fille qui n’a pas inventé la minijupe. Très belle. Faites zoner mollement deux jeunots amoureux d’elle. Très amoureux. Arrangez-vous pour que les flics fixent les rendez-vous avec le tact qu’on leur connaît. A l’heure dite, il y aura trop de monde, fatalement. Et ça va mal se passer. Très mal.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 233 pages – 145 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2440 – Ray RING : « Rêves pèlerins »
Un bird-napping c’est un peu comme un kidnapping sauf que les oiseaux enlevés sont ici beaucoup plus rares que des gosses. Un couple de faucons pèlerins a disparu et Henry Dyer, flic des eaux et forêts, va remuer le désert et le grand ciel d’Arizona pour les retrouver.
Du temps de Dashiell Hammett, on volait des statues de faucons, à la veille du XXIème siècle, ce sont les oiseaux eux-mêmes qui valent de l’or.
( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 296 pages – 190 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2442 – COLLECTIF : « Les treize morts d’Albert Ayler »
Quatorze improvisations sur la mort de celui qui fut l’un des plus grands saxophonistes de jazz : Gilles Anquetil, Patrick Bard, Yves Buin, Jean-Claude Charles, Jérôme Charyn, Max Genève, Michael Guinzburg, Jean-Claude Izzo, Jon A. Jackson, Thierry Jonquet, Bernard Meyet, Michel Le Bris, Jean-Bernard Pouy et Hervé Prudon.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 285 pages – 180 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2444 – Alain GAGNOL : « Les lumières de frigo »
Comment faire pour persuader sa femme qu’on est vraiment un tueur à gages alors qu’elle croit qu’on est représentant en chaussures ? La battre jusqu’au coma ?
Commence alors un vertige nauséeux qui, de tueur, vous change en victime et qui vous entraîne de plus en plus bas… jusqu’à l’espoir, et pourquoi pas, jusqu’à la rédemption.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 164 pages – 115 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2446 – William HJORTSBERG : « Nevermore »
Situé dans le New York des années 20, Nevermore commence avec la découverte macabre d’un double meurtre particulièrement horrible dans le quartier de Hell’s Kitchen. La police patauge jusqu’à ce que, de crime en crime, une évidence s’impose : le meurtrier met chaque fois en scène une nouvelle d’Edgar Allan Poe. Il ne faudra rien moins que les efforts conjugués d’Houdini et de Sir Arthur Conan Doyle pour venir à bout du mystère.
( Traduit de l’américain par Philippe Rouard )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 381 pages – 235 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2447 – Sylvie GRANOTIER : « Sueurs chaudes »
Ca devait être une promenade de santé. La libido en coma dépassé, je voulais juste trouver un homme qui remette le moteur en marche. Un homme qui couche. Quelques cadavres plus tard, j’étais en cavale, la police à mes trousses, des tueurs de chaque coin de New York, capitale de la parano, ne reculant devant rien pour justifier de sa réputation. Croyez-moi, quand tout le monde s’en mêle, les voies du désir sont drôlement impénétrables.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 228 pages – 150 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2448 – John STRALEY : « Les curieux s’en mordent les doigts »
Revoilà Cecil W. Younger et sa gueule de bois chronique et existentielle. Cette fois-ci c’est sur le viol, puis le meurtre d’une employée d’une compagnie minière en Alaska qu’il enquête.
Mais, comme toujours avec Younger, les apparences sont trompeuses et l’horreur va bien au-delà du simple crime. ( Traduit de l’américain par Jean Esch )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 326 pages – 200 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2449 – Jamie HARRISON : « La crête des fous »
Il ne se passe pas grand-chose à Blue Deer, Montana, et Jules Clément, ex-archéologue devenu shérif, se la coule plutôt douce. Jusqu’au jour où on tire sur un vieux scénariste un peu alcoolo, qu’on flingue sa femme et sa petite amie. Il faudra alors que Jules le shérif fasse appel au talent de Jules l’archéologue, parce que sur une terre aussi vieille que le Montana, la vérité se trouve souvent très loin dans le passé.
( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 390 pages – 245 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2450 – Ronald LEVITSKY : « Cet amour qui tue »
Dans une petite ville de Virginie, à la suite du meurtre d’une femme vietnamienne, c’est un avocat juif et membre d’une organisation de gauche qui est chargé de défendre le suspect, un raciste impénitent, membre d’une organisation d’extrême droite. Paradoxe ? Pas si sûr. Un avocat n’est-il pas chargé de défendre les victimes… Toutes les victimes ?
( Traduit de l’américain par Vera Osterman )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 366 pages – 225 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
18:00 Publié dans Polars, Série Noire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : série noire, ed mcbain, j.p manchette, jean vautrin, andreu martin, jamie harrison, polars, policiers, meurtres, enquêtes
01/09/2012
03 septembre...
Bien bien bien…
Réouverture « à plein temps » des multiples blogs D.U.K.E : lundi 03 septembre.
( Entre 6 heures du mat’ et minuit le soir… au gré de l’humeur du jour ! Héhé ! )
Mais bon…
D’ici là…
Et pour patienter : un peu de musique !!!
16:06 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)