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29/04/2015

Sven HASSEL

Sven HASSEL

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche

( les Panzers en première ligne ) »

 

Quatrième de couv’ :

Ce roman raconte l'odyssée d'une poignée de Tankers – les soldats des chars d'assaut allemands –  qui, en uniforme russe et sur des chars T.34 russes, furent un jour désignés pour tenter un raid suicide derrière les lignes russes.

Mieux que personne, Sven Hassel a su peindre l'ambiance de douleur, de violence et de désespoir qui caractérisait l'armée allemande lors des derniers mois de la guerre avec la chaleur et la force d'un style extrêmement percutant et viril.

Presses de la Cité – 1969 / 284 pages – 20,5 x 13,5 cms – 435 grammes.

Reliure éditeur imitation cuir rouge, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Etat = un petit accro ( restauré ) sur le haut de la jaquette côté couv’, sans quoi il est très bien… sain et propre.

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

( Ailleurs = entre 6 et 14 €uros ( selon les états ) sur marelibri.com ) 

 

Egalement disponible dans sa version poche :

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche »

 

Presses Pocket – 1973 – 307 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, mais néanmoins en excellent état pour un Sven Hassel de chez Presses Pocket ( et de 1973 ), on sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu !!!…

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Sven HASSEL : « Général S.S. »

 

On connaît les nombreux récits de guerre de Sven Hassel, combattant du front russo-allemand dans un régiment particulièrement exposé, parce que « politiquement douteux » aux yeux des nazis. On retrouve dans cet ouvrage les héros traditionnels de l’auteur : Porta, Petit-Frère, le légionnaire, Heide le fanatique, mais dans un cadre s’il est possible encore plus tragique, puisque c’est de la bataille de Stalingrad qu’il s’agit ici… et que nos soldats ; après de furieux combats contre les Sibériens ; se retrouvent vaincus, mourant de faim et de froid, transformés en cannibales. Ce récit tragique se termine sur une note qui ne l’est pas moins : la percée, effectuée par un groupe de soldats sous les ordres d’un général S.S. plus humain que les autres, coûte finalement la vie à trois officiers qui ont tenté, contre les ordres de Hitler, d’arracher leurs hommes à la torture et à la mort inévitable.

Un aspect de la bataille de Stalingrad, peu connu du grand public, trouve ici un écrivain digne de lui.

Presses Pocket – 1973 – 317 pages – 190 grammes.

Etat = une fine cassure/nervure sur tranche, est à peu près le seul « défaut » à signaler ! Ensemble bien compact, plats en excellent état et intérieur parfait, l’exemplaire peut sans problème être estampillé comme bon+ tirant sur le très bon !

>>> 4,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs (et pour CETTE édition) :

Entre 3 et 8,90 €uros sur Amazon.fr (moyenne/majorité aux alentours de 4 à 5 €uros ).

De 3,90 à 6,99 €uros (idem, pour cette édition) sur Priceminister.

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

 

Quatrième de couv’ : « 90 % de cette histoire reposent sur des faits réels », déclare l'auteur en parlant de son livre. Pourtant il faut bien préciser qu'il s'agit d'un roman, un roman dur écrit par un combattant de la dernière guerre, un roman révolté, désespéré mais baigné de tendresse. D'ascendance danoise et autrichienne, Sven Hassel s'est vu contraint de servir dans l'armée allemande et, après une tentative d'évasion, a été muté dans un régiment disciplinaire.

Ceux qu'il évoque forment donc un groupe de camarades jetés dans la bagarre, haïssant le destin fatal qui les a précipités dans cette démence. Nous les voyons tomber l'un après l'autre, même les femmes, jusqu'à ce que le narrateur demeure seul – seul et amer. 

Pourtant ces pages ne sont pas entièrement noires. On y trouve de l’humour, on y trouve l’honnêteté de « A l’ouest rien de nouveau », la grandeur humaine du « bal des Maudits », on y trouve aussi le cynisme de l’inoubliable Porta.

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bordeaux, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente elle aussi quelques petits frottis en haut et bas de tranche, mais aucune déchirure (ce qui est plutôt rare) et un bel aspect bien brillant ! L’intérieur est en excellent état, propre et sain. 

>>> 7 €uros. / disponible.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bleu nuit, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente, elle, quelques petits accros ( haut de tranche et de quatrième / bas de premier plat ), mais ceux-ci ont été délicatement restaurés… et en dehors de ça, elle est de bel aspect, propre et brillante. L’intérieur est sain et en excellent état !

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = pour un exemplaire bon état avec jaquette, tel que celui-ci, comptez entre 6,50 et 12,60 € (selon les états) sur Priceminister / ou entre 6 et 15 € (idem, selon les états) sur livre-rare-book.com 

 

Egalement disponible au format poche : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses Pocket – 1976 – 312 pages – 170 grammes.

Etat = quelques légères marques/traces de stockage, ainsi que des bords de tranche très légèrement frottés… mais bon, rien de vraiment notable pour autant !

Compact, brillant, non cassé, intérieur parfait… tout à fait bon pour le service !

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Liquidez Paris »

 

Quatrième de couv’ :

Poursuivant sa marche hagarde à travers l'Europe, en guerre, le « quintette de la mort » de Sven Hassel a évidemment vécu et le débarquement de Normandie, et la libération de Paris.

Non, Von Choltitz ne fut pas le bienfaiteur annoncé par les communiqués officiels. Il avait reçu de Himmler même – et le chapitre qui relate leur rencontre est une page d'anthologie – l'ordre de miner Paris et de le détruire.

Il ne le fit pas, soit : mais ce ne fut pas par générosité. Au dernier moment, la débâcle empêcha la mise en place du dispositif meurtrier, et Von Choltitz trembla jusqu'à l'écrasement de Von Rundstedt à la pensée de rendre des comptes sur l'échec de sa mission.

Voilà qui jette une lumière nouvelle sur les grandes journées de juin 44… et nous permet de retrouver nos amis des précédents romans dans leur plus tragique aventure.

Presses Pocket – 1978 – 313 pages – 170 grammes.

Bel exemplaire, entre « bon+ » et très bon !

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Monte Cassino »

  

Quatrième de couv’ : Comme tous les ouvrages de Sven Hassel, MONTE CASSINO est basé sur les expériences personnelles de l'auteur qui décrit la bataille de titans dont l'enjeu était le célèbre monastère. Affrontement, gigantesque qui fut appelé le « Verdun de la Seconde Guerre mondiale ». Dans cet univers d'apocalypse, un groupe de jeunes gens qui ont subi dès leur enfance un entraînement intensif dans le seul but de faire d'eux des robots prêts à obéir aux ordres les plus insensés.

Ce ne sont plus des hommes, mais des machines à tuer qui agissent par réflexes conditionnés sans que leur intelligence intervienne. Tout au long de la longue bataille, ils lutteront pour un idéal incrusté au fond d'eux-mêmes, sans même s'apercevoir que les souffrances qu'ils endurent, leur héroïsme aveugle ne mènent à rien car leurs mobiles sont condamnés.

Livre dur, âpre, sans concessions, qui se dresse comme une accusation implacable contre la guerre et la dictature, et l'on pourrait reprendre les mots du général nordiste Sherman qui déclarait après le succès de ses armées dans la guerre de Sécession : « La guerre me fatigue et me rend malade. La mort glorieuse des combattants est une monumentale stupidité. Il n'y a que ceux qui n'ont jamais tiré un coup de feu ou entendu les gémissements des agonisants le soir d'une bataille pour réclamer de la vengeance et du sang. La guerre, c'est l'enfer ! ».

Presses Pocket – 1975 – 314 pages ( volume double ) – 180 grammes.

Etat : trois « micro-pliures » (ou « très fines nervures », plutôt, le terme est plus juste !) sur la tranche, témoignent que le livre a été lu ! Mais son précédent propriétaire devait être quelqu’un de très soigneux, car hormis ce tout petit détail, le livre est quasi-parfait ! Plats bien brillants, ensemble rigide et compact, intérieur comme neuf… un exemplaire qu’on peut sans problème estampiller entre « bon+ », avec un gros «+» !!! 

>>> 3,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1973 – 314 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, petites pliures en haut et bas de couv’ et bas de tranche légèrement « frottée », mais néanmoins en très bon état pour un Hassel de chez Presses Pocket ! On sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu ! 

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1975 – 314 pages – 180 grammes.

Etat = Ensemble bien compact ne souffrant d’aucune déformation, plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait !

Comme neuf de chez comme neuf !!! Très certainement jamais lu !!!

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 5 à 12,99 €uros sur Priceminister.

2 exemplaires à 5 et 6 euros (états « correct / moyen ») sur auxcentmillebouquins

Un seul ex, à 16, 49 €uros sur abebooks.fr / Un seul exemplaire, à 19,90 €uros sur Amazon.fr

 

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Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

 

Aux actions d’éclat succèdent les retraites des combattants traqués, faméliques, dans les steppes où la température descend fréquemment au-dessous de 50°C.

Les actes de bravoure, les décisions prises dans des situations désespérées, quand la seule chance de salut consiste à abandonner les blessés, sont récompensés par les jugements expéditifs des tribunaux militaires d’une armée à l’agonie. Horreur, souffrance, peur, vilenie, telles sont les couleurs de ce monde où nous suivons Porta, Petit-Frère, Barcelona, le Légionnaire et les autres, dans cette lutte sans merci qu’ils mènent sur le front finlandais contre un ennemi impitoyable. Un ennemi humain et qui n’a pas meilleurs sosies que ceux qui le combattent.

Tantôt témoin objectif, tantôt participant, jouet dérisoire pris dans l’implacable étau du conflit, Sven Hassel nous plonge au cœur du paradoxe de la guerre : tuer pour vivre, exécuter les ordres puisqu’il n’y a pas d’alternative, les exécuter malgré sa conscience, froidement, méticuleusement, puis, pour oublier au plus vite, se griser de cette vie d’autant plus précieuse qu’elle est précaire…

Presses de la Cité – 1980.

Broché, (reliure souple en couleurs) – 270 pages – 24 x 15,5 cms – 460 grammes.

Etat = Coins de plats légèrement talés-cornées + quelques salissures sur les tranches papier… et c’est dommage, car hormis ces petits défauts « de stockage et manipulations », le reste est franchement pas mal ! Plats toujours bien brillant, tranche non cassée, intérieur propre et sain (sans même parler d’une SUPERBE illustration de couv’ ), il est carrément sympa !!!…

>>> 8,80 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = entre 11,15 et 19,99 sur Priceminister pour des exemplaires juste "moyens" (pliure(s) sur couv’, taches, etc.), 30 € pour un « très bon » / 8 € sur livre-rare-book.com / 8 à 16 € sur abebooks.fr.

 

Egalement disponible en version poche :

 

Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

Presses Pocket – 1986 – 319 pages – 170 grammes.

Etat = Excellent état, je n’irai pas jusqu’à dire « comme neuf » vu qu’il a tout de même bientôt 30 ans, mais c’est tout comme ! Tranche intacte, vernis bien brillant, plats en excellent état, intérieur nickel… très bel exemplaire !!!

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Kommando Reichsführer Himmler »

 

Ce nouveau roman de Sven Hassel aborde les derniers mois de la guerre russo-allemande.

Le thème principal en est la bataille de Varsovie. On retrouvera les personnages devenus familiers aux lecteurs : Porta, le légionnaire, Petit-Frère, Heide, le nazi et Hassel lui-même, lancés dans une retraite où, comme toujours, le burlesque côtoie la terreur.

On assiste à l’écrasement d’une nation héroïque, la Pologne, alors que les Russes de Rokossovski restent l’arme au pied, et cette chute de Varsovie soulevée contre Hitler annonce la fin d’une guerre meurtrière et cruelle, car la sauvagerie de Staline n’a d’égale que celle de Himmler.

Presses Pocket – 1975 – 241 pages – 160 grammes.

Etat = compact, tranche non cassée, intérieur parfait : pas sûr que ce livre ait été lu en fait !?! Ou alors juste une fois… Mais bon, quelques petites marques/traces de stockage (donc… à défaut d’être « d’usage ») font que je ne pourrai pas l’estampiller comme « très bon » pour autant ! Il sera juste « bon »… 

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = Priceminister, comptez entre 4,09 et 6,80 pour des ex « acceptables »…

Et jusqu’à 14,50 pour du très bon !

 

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Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

 

Chroniqueur et témoin de la campagne de Russie, Sven Hassel retrace magistralement dans ce livre les souffrances et les exploits inouïs de ces soldats livrés à un climat inhumain par la folie d’Hitler.

Au cours de leur odyssée se placent des faits d’armes, tel le coup de main en uniformes russes sur une usine de Moscou. Puis vient la retraite. Mourant de faim et de froid, le commando cher à l’auteur fuit la torture et la captivité des camps russes. On retrouvera donc ici des héros familiers : Porta, Heide le fanatique, le légionnaire qui garde la nostalgie de la France, l’inénarrable Petit-Frère, et leur chef sagace, ce sergent aimé de tous et que tous appellent le Vieux. Perdus dans l’immense Russie, à la recherche d’un front allemand toujours évanescent, ils parviennent enfin à retrouver leurs lignes après un épisode dramatique dont le récit est l’un des plus poignants de Sven Hassel.

Presses Pocket – 1979 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = quelques p’tites marques/traces de manipulations, lectures et/ou stockage… mais rien de franchement notable pour autant ! Plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait… tout à fait BON pour le service !

>>> 2,70 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 2 à 6 €uros sur Amazon.fr / 3,90 à 6,90 €uros sur Priceminister.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

Presses Pocket – 1976 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = Moins bien que le précédent ! Couv’ quelque peu « matifiée », petits frottis sur les bords de tranche… l’intérieur est excellent et la tranche non cassée, mais les plats sont assez moyens !

On vous le fait à >>> 1,50 €uros. Vendu ! 

 

( L’occasion ou jamais de découvrir ! )

 

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24/04/2015

La Marine française dans la Seconde Guerre mondiale

Amiral AUPHAN & Jacques MORDAL :

 

« La Marine française dans la Seconde Guerre mondiale »

 

Sanctuaire traditionnel de la discipline, la Marine française a subi de 1939 à 1945 une très rude épreuve. Partie pour se battre en mer, elle a vu successivement tous ses ports pris par l’intérieur, ne pouvant qu’évacuer, comme à Dunkerque, ce qui pouvait  l’être sans laisser à l’ennemi un seul de ses bâtiments.

L’Armistice de juin 1940 lui a imposé d’autres devoirs : défendre le patrimoine et faire vivre la métropole en liaison avec l’empire dans l’espérance de temps meilleurs, tandis qu’une poignée des siens poursuivait la guerre du côté de la France Libre.

Les Anglais ont-ils demandé que la flotte passât de leur côté préalablement à tout armistice ? Comment s’explique le drame de Mers El-Kébir, le sabordage de l’escadre de Toulon, la riposte au débarquement anglo-américain en Afrique du Nord et cent autres péripéties tragiques de la guerre.

Ce livre vous le dira.

 

Les deux auteurs qui l’ont écrit ont vécu intensément cette époque, l’Amiral Auphan aux postes les plus élevés de l’Amirauté française puis comme secrétaire d’Etat à la Marine, Jacques Mordal à la mer, à Dunkerque notamment, où il fut deux fois coulé et grièvement blessé. Tous les deux, depuis la guerre, se sont consacrés à l’étude de l’histoire et leurs travaux font autorité.

Cet ouvrage s’appuie sur une documentation rigoureuse enrichie de multiples témoignages français et étrangers. Il a fait l’objet, il y a dix ans, d’une première édition en France, aux Etats-Unis et en Allemagne. L’édition française, aujourd’hui épuisée a obtenu en 1959 l’un des Grands Prix d’histoire de l’Académie française. Depuis lors le texte a été soigneusement revu et complété sur certains points au vu des publications étrangères les plus récentes ou des innombrables lettres reçues par les auteurs.

Comme un manuel écrit sans passion mais sans cacher non plus l’aspect politique des problèmes, ce livre constitue une mise au point définitive de l’histoire trop souvent méconnue de la Marine française dans la Seconde Guerre mondiale.

 

Editions France-Empire – 1967 – 650 pages – 19,5 x 14 cms – 670 grammes.

Reliure éditeur, cartonnée et entoilée de bleu avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleurs.

Etat = La reliure présente une tranche légèrement insolée (qui laisse à penser que la jaquette provient d’un autre ex.!?!), au bas très  légèrement frotté ; et la jaquette trois petits accros (soigneusement restaurés) en haut de tranche. Mais bon, rien de bien notable !

L’intérieur (au papier toujours bien blanc) est parfait / comme neuf ! L’ensemble est toujours « carré » et bien compact, et la jaquette est vraiment très bien (hormis la petite restauration de haut de tranche), brillante et quasiment pas marquée !

>>> 14 €uros. / disponible.

 

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09/04/2015

Robert BRASILLACH : Comme le temps passe / Les 7 couleurs

Robert BRASILLACH : « Comme le temps passe »

 

Présentation de l’éditeur ( version France Loisirs ) :

« Ce que j'ai voulu écrire, disait Brasillach, c'est le roman de la jeunesse qui fuit et renaît tour à tour, en même temps que celui de deux êtres qui peuvent se chercher, se perdre, se retrouver, sans jamais cesser d'être faits l'un pour l'autre ». Roman de l'enfance et de l'aventure, de la volupté et de la tentation, de la séparation et du retour, Comme le temps passe est sans doute l’œuvre la plus riche et la plus complexe de Robert Brasillach.

Dominés et reliés entre eux par la présence constante des deux héros - Florence et René - les six épisodes de ce récit mystérieux et captivant reflètent toutes les émotions de la vie. Dans le halo lumineux du souvenir resurgissent aussi les figures pittoresques d'un autre temps : c'est le monde cocasse du cinéma de 1900, la bohème ou la bourgeoisie provinciale de la Belle Époque, la découverte des Flandres ou de l'Espagne, lorsque le voyage était encore une aventure.

« Plus encore qu'à peindre mes amis, je me suis attaché à peindre ces ombres, ces personnages passagers compagnons de leur destin », Robert Brasillach.

 

France Loisirs – 1983 – 319 pages – 20,5 x 13,5 cms – 420 grammes.

Reliure cartonnée éditeur, entoilée de violet + jaquette couleurs.

Etat = quelques inévitables mais infimes traces de manip’ sur la jaquette,  mais c’est vraiment « histoire de dire que… ».

L’ensemble est en excellent état, propre, sain et ne demande qu’à rejoindre vos rayonnages.

 

>>> 6,50 €uros. / disponible. 

 

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Robert BRASILLACH : « Les 7 couleurs »

 

Présentation de l’éditeur :

De même qu'un peintre dispose des sept couleurs du spectre pour fixer sa vision sur la toile, de même l'écrivain a le choix entre diverses techniques. Au lieu de les mêler comme les tons sur une palette, pourquoi ne pas recourir tour à tour à celle qui mettra le mieux en valeur l'événement à décrire ? C'est le parti qu'adopte Robert Brasillach pour conter l'histoire de Patrice, de Catherine et de François. Avec Patrice, Catherine découvre les merveilles que peut offrir le Paris de 1926 à deux jeunes étudiants. Puis lui se rend en Italie, et la séparation fait son travail de sape : tandis qu'il se grise de nouveautés, Catherine épouse François. Le fantôme de Patrice est-il à jamais conjuré ? Pour en avoir douté, François s'enrôle dans la guerre d'Espagne. A propos de ces trois destinées, Robert Brasillach brosse un tableau de l'entre-deux-guerres où une certaine jeunesse inquiète s'est laissé attirer par le fascisme.

 

Le Livre de Poche – 1965 / 255 pages / 140 grammes.

 

Un exemplaire estampillé « Bon + » >>> 2,20 €uros. / Vendu !  

 

Egalement disponible :

Un autre exemplaire (même année / même édition), mais un tout petit poil moins bien... 

>>> 2 €uros. / disponible. 

 

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06/04/2015

Georges DUBY : Guillaume le Maréchal

Georges DUBY : « Guillaume le Maréchal,

ou le meilleur chevalier du monde »

 

Comment imaginer un plus beau destin de chevalier ? Guillaume est un homme nouveau issu d’un modeste lignage. Il est né au milieu du XIIe siècle sous le règne d’Etienne de Blois, petit-fils de Guillaume le Conquérant. Champion de tournois jusqu’à quarante ans, il a servi fidèlement les Plantagenêt : Henri II, son fils aîné Henri le Jeune, et les cadets Richard Cœur de Lion, Jean Sans Terre. En récompense, on lui a donné pour femme l’un des plus beaux partis d’Angleterre. A la guerre, il a combattu Philippe-Auguste et c’est à soixante-treize ans, comme Régent d’Angleterre du jeune Henri III, qu’il a remporté contre le futur Louis VIII la bataille de Lincoln, en 1217, qui obligea les Français à conclure la paix et à évacuer l’Angleterre. Apprenant la mort de Guillaume dans la tradition des Croisés, Philippe-Auguste et ses Barons le proclamèrent : « le meilleur des chevaliers ».

 

A travers l’irrésistible ascension de Guillaume Le Maréchal, Georges Duby reconstitue, dans l’un de ses plus beaux récits, le théâtre de la chevalerie. Il nous fait les spectateurs privilégiés de l’art du tournoi, des rites de la guerre, et les compagnons de cette société d’hommes rudes et généreux qui rivalisent de prouesse, de largesse et de loyauté.

Georges Duby était professeur au Collège de France.

Il a été, en France, le meilleur analyste des trois ordres de la société médiévale. Auteur du Temps des Cathédrales et de L’Europe au Moyen Âge, il a su faire découvrir à un large public les réalités et les rêves du monde féodal.

 

Fayard / Collection « Les inconnus de l’histoire » –  1984.

190 pages – 21,5 x 13,5 cms – 250 grammes.

 

Etat : quelques menues rousseurs sur les tranches papier et petites (toutes petites) traces/marques de manip’ sur les plats, il est clair que l’ouvrage est de seconde main… mais bon, rien de vraiment notable à signaler pour autant, l’intérieur est propre et sain, la tranche non cassée, et l’on peut sans problème l’estampiller comme « bon »…

 

>>> 4,40 €uros. / Vendu ! Indisponible. 

 

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Ailleurs = entre 5,99 et 10 €uros sur livre-rare-book.com / 7 ou 8 €uros sur antiqbook.com

De 3,98 à 9,99 €uros sur Priceminister (selon les vendeurs et les états).

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05/04/2015

Pierre MIQUEL : Les poilus - La France sacrifiée

Pierre MIQUEL :

 

« Les poilus - La France sacrifiée »

 

Présentation éditeur :

« 1914 : face à la surpuissance allemande, la France, dépourvue d’artillerie lourde, ne peut opposer que le sacrifice de ses fantassins pour tenter de stopper l’ennemi. Ils seront 250.000 poilus à périr durant les premiers mois d’une guerre qui mobilisera, au total, 65 millions d’hommes… dont 9 millions mourront au combat. L’historien Pierre Miquel nous fait revivre dans ce livre, destiné à devenir un ouvrage de référence, quatre années de souffrances, d’offensives meurtrières et d’horreurs vécues.

Ces quatre années changent radicalement l’image du combattant. Le poilu de 1914 et celui de 1918 ne mènent plus le même combat. En 1914, il monte au front avec l’illusion d’une victoire rapide. En 1917, il sait qu’il va à la mort ; en 1918, équipé de grenades, appuyé par des chars et des avions, il s’agit déjà du combattant de 1940. Dans les 2 cas la France est presque seule et, en 1914 comme en 1940, ces hommes seront à l’avant-garde de ces terribles affrontements. »

 

Talentueux conteur, Pierre Miquel s’empare du lecteur et plonge avec lui aux côtés des poilus dans la boue et le sang… Son récit, à la manière des tableaux impressionnistes, est ponctué d’anecdotes puisées dans l’abondante et patiente moisson de témoignages de combattants… Tous les passionnés d’aventure humaine seront bouleversés par cet ouvrage». (L’Histoire)

 

France Loisirs – 2001 – 508 pages – 20,5 x 13,5 cms – 600 grammes.

32 pages de reproductions photographiques en N&B et 12 pages de cartes.

Reliure éditeur cartonnée, rouge avec titre en foré sur tranche + jaquette couleurs.

 

Etat = Reliure et jaquette en excellent état, intérieur propre et sain…

Rien à signaler, tout à fait bon pour le service !

 

>>> 4 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

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04/04/2015

BENOIST-MÉCHIN : Lawrence d’Arabie ou le rêve fracassé

BENOIST-MÉCHIN :

 

« Lawrence d’Arabie ou le rêve fracassé »

 

Mythomane, imposteur, charlatan ou héros ? Tous ces termes ont été appliqués à Lawrence d’Arabie. Pour Churchill, il aura été « un des plus grands princes de la nature ». Pour Lord Allenby, le commandant en chef des forces britanniques en Egypte durant la première guerre mondiale, « sa vie vaut tous les contes de fées ». Mais pour d’autres, il n’a été qu’un baladin assoiffé de publicité personnelle, « un névrosé possédé par une attirance morbide de la boue ».

Qui était-il donc au juste cet homme énigmatique et déconcertant, porté aux nues par Bernard Shaw, vilipendé par Richard Aldington, et dont la légende a fait le « roi non couronné d’Arabie » ?

C’est l’aventure de ce personnage fabuleux que Benoist-Méchin nous décrit aujourd’hui dans cet ouvrage destiné à prendre place entre les biographies qu’il a déjà consacrées à Mustapha Kemal et Ibn Séoud. Fouillant les mémoires et les correspondances de ses contemporains, il situe l’auteur des Sept Piliers de la Sagesse dans le contexte épique de la révolte dans le désert. Mais il analyse aussi le destin d’une âme torturée par un des désespoirs les plus atroces qui aient jamais dévoré une conscience humaine.

 

Ainsi se déroule sous nos yeux une double trajectoire : d’une part, celle d’un homme d’action d’une surprenante vitalité qui souleva des Bédouins du Hedjaz contre la domination turque, conquit Akaba à la pointe de son épée, et, payant royalement de sa personne, mena victorieusement à Damas les cavaliers de l’émir Fayçal. De l’autre, celle, toute spirituelle, d’un poète et d’un écrivain prestigieux que ses tourments apparentent à Retz, à Nietzsche et à Dostoïevski.

Nous voyons Lawrence, conquérant de vingt-neuf ans, s’élancer sur les traces d’Alexandre le Grand dans un tourbillon de voiles blancs et un scintillement d’épées. Mais nous le voyons aussi descendre pas à pas au fond d’un gouffre désespéré où, dans la servitude volontaire et l’avilissement de lui-même, il cherchera des « équivalents infernaux » à son rêve fracassé.

Un drame humain d’une terrifiante intensité, né d’un drame politique aux répercussions imprévisibles, tels sont les deux pôles autour desquels gravite la carrière de Lawrence. C’est pourquoi il ne suffit pas, pour le connaître, de suivre les péripéties de sa campagne d’Arabie : il faut plonger dans les replis les plus secrets de sa douleur. On s’aperçoit alors que vaincu une première fois par les circonstances et une deuxième fois par lui-même, il a su transformer cette double défaite en une victoire unique que nul, désormais, n’a le pouvoir de lui arracher.

 

Editions Clairefontaine /  Lausanne, 1961.

277 pages – 21,3 x 14,8 cms –  450 grammes.

In-8 broché, couverture à rabat, 8 photos en hors texte ainsi qu’une carte dépliante…

Mais également une chronologie détaillée des principaux évènements de la vie de T.E. Lawrence et de l’histoire du Proche-Orient entre 1881 et 1935, une généalogie de la dynastie des Hachémites… et une importante et très complète bibliographie. 

 

Etat = 2 fines cassures sur tranche, ainsi qu’une petite déchirure (1 cm) restaurée en bas de premier plat à la jonction avec la tranche… mais rien de franchement notable, l’ensemble est sain, propre et tout à fait bon pour le service…

 

>>> 5 €uros. / disponible. 

 

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Ailleurs : de 5 à 13 € sur Amazon.fr ( pour du « Acceptable » à « très bon »)

De 8 à 17 € sur Priceminister.

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