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31/01/2013

Lily Marlène, par Suzy Solidor / 1942.

30/01/2013

Jacques SADOUL présente...

Le meilleur des PULPS

 

Jacques SADOUL présente : Les meilleurs récits de …

(Inscrivez le nom de votre Pulp préféré à la place des 3 petits points ! Ha ha…)

Une collection devenue carrément mythique et (donc) de plus en plus difficile à dénicher… d’autant que certains « confrères pour le moins gourmants » n’hésitent pas à proposer ces poches à 8 voire 10 €uros !?!!??…

Mais bon, comme chez D.U.K.E (vous le savez) on est des bouquinistes honnêtes, on va rester dans les marges de ce qu’on pourrait appeler la « cote » (plus ou moins officielle) pratiquée par les bouquinistes honnêtes…

Et de fait, vous proposer ces petites perles aux justes prix !

A savoir : 4 €uros pour du très bon, 3 €uros pour du bon et 2 €uros pour du moyen+

Sur quoi… bonne lecture et bonne chasse ! 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de ASTOUNDING STORIES #1

( Période 1934 / 1937 )

 

Quatrième de couv : Il existe des périodes privilégiées dans la vie des revues.

Celle qui va du début 1934 à la fin 1937 en est une pour Astounding qui, depuis trente-cinq ans, reste le premier magazine du genre aux Etats-Unis. Cette anthologie présente des récits d'auteurs aujourd'hui encore célèbres, tels C.L Moore, Jack Williamson, John W. Campbell… ou d’autres qui ont été injustement oubliés : Stanley Wienbaum, Donald Wandrei, etc…

C'est à partir de leurs récits, présentés ici pour la première fois, que s'édifia la période classique de la S-F américaine, celle de Van Vogt, Asimov, Sturgeon, etc. Ne les manquez pas, leurs qualités et leur actualité vous surprendront.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Le Vieux Fidèle », par Raymond Z. Gallun

3. « Rendez-Vous au Fil du Temps », par Catherine L. Moore

4. « Les Mangeurs de Lotus », par Stanley G. Weinbaum

5. « Le Rôdeur des Terres Incultes », par Harl Vincent

6. « Au-Delà de l'Infini », par Chan Corbett

7. « La Nuit », par Don A. Stuart ( pseudo de John W. Campbell )

8. « Le Dictateur Fantôme », par Wallace West

9. « Le Cercle Galactique », par Jack Williamson

 

J'ai Lu SF n°532 (J'AI LU) / 1974 / 306 pages / 160 grammes.

Etat = tranche très légèrement insolée, mais bien : 3 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les meilleurs récits de ASTOUNDING S.F #2

( Période 1938 / 1945 )

 

Le premier volume consacré à Astounding Stories couvrait la période 1934-1937.

A cette date, John W. Campbell prend en main les destinées du magazine et modifie légèrement son titre. Voici donc la période 1938-1945 de Astounding Science-Fiction.

Campbell lui-même figure au sommaire sous le pseudonyme de Don A. Stuart, avec un récit étonnant, « Le manteau d'Aesir », considéré comme un classique outre-Atlantique et qui n'avait jamais été traduit dans notre langue.

Ce volume présente également des textes de Theodore Sturgeon, Clifford D. Simak, Lester del Rey et Murray Leinster, au mieux de leur forme. L'anthologie: se termine par un autre grand classique, « Tout smouales étaient les Borogoves », de Lewis Padgett (pseudobyme utilisé par H. Kuttner et C.L Moore lorsqu'ils écrivaient à 4 mains !) que Boris Vian traduisit pour le Mercure de France en 1953.

 

Sommaire :

1. « Le Manteau d'Aesir », par Don A. Stuart

2. « Le Dieu Microcosmique », par Theodore Sturgeon

3. « La Fosse aux Pirates », par Clifford D. Simak

4. « Helen A'Lliage », par Lester Del Rey

5. « Premier Contact », par Murray Leinster

6. « Tout Smouales étaient les Borogoves », par Lewis Padgett

 

J'ai Lu SF n°988 (J'AI LU) / E.O de 1979 / 224 pages / 125 grammes…

Marques de lectures et petites pliures sur le bas de couv et quatrième… mais O.K. 

>>> 2,50 €uros. / Vendu !

Ou : même année même édition mais un poil moins bien (une pliure sur couv’)…

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de PLANET STORIES

 

Quatrième de couv : Planet Stories a été publié entre 1939 et 1955.

Ce magazine se consacra presque exclusivement à la science-fiction d'aventure et aux space-operas flamboyants. C'est dans ses pages que Leigh Brackett publia les meilleurs de ses récits situés sur la planète Mars. C'est également dans Planet que parurent nombre de chroniques martiennes de Ray Bradbury.

A côté de ces deux écrivains, cette anthologie vous présente des récits des meilleurs auteurs de l'époque : Henry Kuttner, A.E. Van Vogt, Poul Anderson, etc… ainsi qu'un des premiers textes d'un débutant aujourd'hui célèbre : Philip K. Dick.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Un saint dans la galaxie », de Alfred Elton VAN VOGT

3. « Bestiaire martien », de Leigh BRACKETT

4. « Tepondicon », de Carl JACOBI

5. « Lazare, approchez », de Ray BRADBURY

6. « Le Seigneur des mille soleils », de Poul ANDERSON

7. « Mille ailes en cage », de Algis BUDRYS

8. « Les Infinis », de Philip K. DICK

9. « Par qui suis-je possédé ? », de Henry KUTTNER

 

J'ai Lu SF n°617 (J'AI LU) / E.O de 1975 / 253 pages / 140 grammes…

Un exemplaire tranche nickel état général = bon/bon+ : 3 €uros. / disponible.

Ou (deux exemplaires) un poil moins biens (petites marques de stockage / pliure + fines cassures sur tranche) : 2 €uros. / disponible. 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les meilleurs récits de STARTLING STORIES

 

Quatrième de couv : Startling Stories n'eut qu'une assez brève existence, entre 1939 et 1955. Il publia certes du space-opera comme ses confrères de l'époque, mais aussi des récits d'humour et des textes plus élaborés qui annoncent la science-fiction de la décade suivante.

Ces trois tendances sont représentées dans cette anthologie : l'humour avec les nouvelles de Arthur C. Clarke, Henry Kuttner et Jack Lewis… la S.F classique avec Edmond Hamilton (Captain Future), Leigh Brackett et A. Bertram Chandler… et la science-fiction plus ambitieuse avec Philip José Farmer, Ray Bradbury et Margaret St Clair.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Qui a copié ? », de Jack LEWIS

3. « Faire voile », de Philip José FARMER

4. « Un art perdu », de Arthur B. CHANDLER

5. « Leçon d’histoire », de Arthur C. Clarke

6. « Les trois mages », de llyod Arthur ESHBACH

7. « Automates, société anonyme », de Ray BRADBURY

8. « La guerre des sorcières », de Richard MATHESON

9. « Une arme humanitaire », de Margaret SAINT-CLAIR

10. « Ne vous retournez pas tout de suite », de Henry KUTTNER

11. « Les Harpistes de Titan », de Edmond HAMILTON

12. « Les derniers jours de Shandakor », de Leigh BRACKETT

 

J’ai lu – 1977 – 254 pages – 145 grammes.

Etat = une petite trace de stockage sur couv’ ainsi qu’une toute petite marque de pliure en bas de 4ème, sans quoi parfait, tanche non cassée, non insolée, pas lu plus d’une ou deux fois.

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WEIRD TALES #2 ( période 1933/1937 )

 

Quatrième de couv : La période 1933-1937 est assurément la meilleure qu'ait connue le magazine Weird Tales. Lovecraft, Robert Howard, Clark Ashton Smith s'y montrent au sommet de leur talent. Les amateurs de H. P. Lovecraft auront l'heureuse surprise de découvrir un excellent texte du maître sous une signature féminine : Hazel Heald. Cette dame existait mais faisait réviser ses textes par Lovecraft…

Clark Ashton Smith est représenté par un de ses récits les plus célèbres, La mort d'Ilalotha, dans lequel sadisme, horreur et nécrophilie se mélangent. C'est un des meilleurs récits de Conan le Cimmérien qui illustre ici le talent de Robert Howard et le futur auteur de Psychose, Robert Bloch, nous raconte la mort d'un écrivain de S.-F. de Providence dévoré par des entités d'outre-espace… un écrivain dont l'adresse n'est autre que celle de H.P Lovecraft !!!…

 

Sommaire :

1. Jacques Sadoul / Introduction générale

2. Jacques Sadoul / À propos du tome 2

3. Clark Ashton Smith / La Mort d'Ilalotha

4. Hazel Head / Hors du temps [Texte révisé — écrit — par Lovecraft.]

5. J. Paul Suter / Le Juge suprême

6. Edmond Hamilton / Les Graines d'ailleurs

7. Nictzin Dyalhis / La Déesse de Saphir

8. Seabury Quinn / La Face de Warburg Tatavul

9. Robert Bloch / Le Rôdeur des étoiles

10. David H. Keller / Le Chat-tigre

11. H.P Lovecraft / Psychopompos

12. Robert E. Howard / La Citadelle écarlate

 

J'ai Lu [ #580 ] / Edition originale de 1975 ( Mars ) / 283 pages / 142 grammes…

Etat = Quelques petites marques d'usage/stockage, ainsi qu'une tranche très légèrement insolée, mais très bon état général ! : 3 €uros. / disponible.

Ou, un autre avec quelques marques de stockage et manipulations sur plats ainsi qu’une petite déchirure au bas de la tranche, mais tout à fait ok, intérieur propre et sain !

>>> 2 €uros. / Vendu !

Ou : un autre exemplaire, moins « marqué », mais avec une fine cassure sur tranche.

>>> 2 €uros. / Vendu !

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WEIRD TALES #3 ( période 1938/42 ) 

 

Les années 1938-1942 marquent la fin de la période classique de Weird Tales. L'orientation du magazine reste tournée à la fois vers le récit de fantasy, l'horreur, le fantastique traditionnel et la science-fiction, et tous ces ingrédients sont présents dans cette troisième anthologie.

On trouvera ainsi l'horreur représentée avec L'ombre sur l'écran de Henry Kuttner et Tout au fond de R.B Johnson ; la fantasy avec Esclave des flammes de Robert Bloch et Le jardin d'Adompha de Clark Ashton Smith ; la science-fiction avec La nymphe des ténèbres de C.L Moore et F.J Ackerman et le fantastique avec Routes de Seabury Quinn et Le tueur fantôme de Fritz Leiber.

 

Sommaire :

1. Jacques Sadoul / Introduction générale

2. Jacques Sadoul / À propos du tome 3

3. Henry Kuttner / L'Ombre sur l'écran

4. Robert Bloch / Esclave des flammes

5. Ralph Milne Farley / La Maison de l'extase

6. Robert Barbour Johnson / Tout au fond

7. Clark Ashton Smith / Le Jardin d'Adompha

8. C.L. Moore & Forrest J. Ackerman / La Nymphe des ténèbres

9. David H. Keller / La Déesse de Zion

10. Seabury Quinn / Routes

11. Henry Kuttner / L'Hydre

12. Fritz Leiber, jr. / Le Tueur fantôme

Tous les auteurs sont introduits par une notice.

 

J'ai Lu [ #923 ] / Edition originale de 1979 ( Février ) /  218 pages / 125 grammes.

Un exemplaire en très bon état : 3,50 €uros. / Vendu ! 

Et un autre un petit poil moins bien mais bon, à : 3 €uros. / Vendu ! 

 

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Jacques SADOUL présente :

Les Meilleurs récits de WONDER STORIES

 

Quatrième de couv : Wonder Stories est paru aux États-Unis entre 1929 et 1936.

Il fut dirigé par Hugo Gernsback, le fondateur de la science fiction moderne.

Ce volume présente deux récits exceptionnels du meilleur auteur révélé par ce magazine, Stanley Weinbaum, dont L'odyssée martienne est le texte le plus souvent reproduit dans les anthologies outre-Atlantique.

On découvrira aussi un récit poétique de Clark Ashton Smith, La cité de la flamme chantante, qui passe justement pour la meilleure oeuvre de cet écrivain. Il faut encore citer les récits de Francis Flagg, Edmond Hamilton, Leslie F. Stone, Philip Barshofsky et Gernsback lui-même.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. Clark Ashton SMITH : « La Cité de la flamme chantante » (The city of the singing flame)

3. Stanley WEINBAUM : « L'Odyssée martienne » (A Martian Odyssey)

4. Philip BARSHOFSKY : « Une nuit préhistorique » (One prehistoric night)

5. Hugo GERNSBACK : « L'Eclair mortel » (The killing flash)

6. Francis FLAGG : « Le Surhomme du Dr Jukes » (The superman of Dr Jukes)

7. Leslie F. STONE : « La Conquête de Gola » (The conquest of Gola)

8. Edmond HAMILTON : « L'Ile de déraison » (The island of unreason)

9. Stanley WEINBAUM : « Les Lunettes de Pygmalion » (Pygmalion's Spectacles)

 

J'ai Lu SF n°663 (J'AI LU) / 1976 / 252 pages / 145 grammes.

Un exemplaire « comme neuf » : 4 €uros. / disponible.  

+ Un autre, un poil moins bien mais néanmoins très bon, à : 3,50 € / disponible.

 

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Jacques Sadoul présente :

Les Meilleurs récits de AMAZING STORIES ( période 1926/32 )

 

Amazing Stories est la plus ancienne revue de science-fiction au monde. Elle a été publiée sans discontinuer depuis le mois d'avril 1926.

C'est grâce à elle que la S.F a pu se constituer en genre littéraire séparé dans les années 30. Cette anthologie vous propose des récits d'auteurs aujourd'hui encore célèbres, tel Abraham Merritt, ou injustement oubliés tels Francis Flagg, Wallace West ou le Dr Keller.

Elle présente aussi le long récit de Philip Francis Nowlan à partir duquel fut créée la célèbre bande dessinée de science-fiction : « Buck Rogers au XXVe siècle ». Inconnue en France, cette première période de la S.F américaine sera une révélation pour beaucoup.

 

Sommaire :

1. Introduction de Jacques SADOUL

2. « Les Etres de l'abîme », de Abraham MERRITT

3. « L'Arrivée des glaces », de G. PEYTON WERTENBAKER

4. « La Guerre du lierre », de David H. KELLER

5. « Le Dernier homme », de Wallace WEST

6. « Les Cités d'Adarthia », de Francis FLAGG

7. « Le Sous-univers », de Roman Fredrick STARZL

8. « La Planète au double soleil », de Neil Ronald JONES

9. « Armageddon 2419 après J.-C », de Philip Francis NOWLAN

 

J'ai Lu SF n°551 (Poche) / Edition originale de 1974 / 310 pages / 168 grammes.

Une ou deux infimes traces de manipulation ayant occasionné deux petits défauts de pelliculage, mais c’est vraiment insignifiant ! Vernis bien brillant, intérieur sain et propre, l’exemplaire n’est pas vraiment « quasi-neuf » mais tout au moins très bien !

>>> 3,50 €uros. / disponible. 


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Jacques Sadoul présente :

Les Meilleurs récits de UNKNOWN

 

De tous les magazines américains de science-fiction, Unknown est assurément le plus inconnu et peut-être le meilleur. Au cours de sa brève existence (trente-neuf numéros), il publia des récits de tout premier ordre dans un style relevant du fantastique et de la science-fiction.

Vous découvrirez dans ses pages que la vie n'est pas simple pour les pauvres humains qui sont aux prises avec les créatures de cauchemars imaginées par Theodore Sturgeon, Fredric Brown, Robert Bloch, Robert Heinlein, etc.

Que peut faire un homme des cavernes à notre époque ? Pourquoi mercredi succède-t-il à lundi ? Que penser d'une coltine qui paraît être également une dépression ? Voici quelques-uns des problèmes qui attendent les personnages, et les lecteurs, de cette anthologie de Unknown.

 

Sommaire :

01. « Hier c'etait Lundi », de Theodore STURGEON

02. « Armageddon », de Fredric BROWN

03. « Régime sec », de H.L GOLD 

04. « Ces gens-là », de Robert HEINLEIN

05. « Pleine lune », de Manly Wade WELLMAN

06. « Un mec préhisto », de L. SPRAGUE DE CAMP 

07. « Le psychormorphe », de E.A. GROSSER

08. « La cape », de Robert BLOCH

09. « La colline et le trou », de Fritz LIEBER

10. « Profession : demi-dieu », de Nelson S. BOND

11. « La troisième porte », de Henry KUTTNER

 

J'ai Lu SF n°713 (Poche) / Edition originale de 1976 / 288 pages / 148 grammes.

Une petite (et légère) trace de pliure en bas de premier plat et une quatrième de couv’ un peu plus marquée (même si rien de bien conséquent), l’extérieur (à la tranche non cassée) est juste « bon ». Mais l’intérieur est lui parfait, neuf, sain et propre… et l’ensemble de l’ouvrage est – de fait – tout à fait digne de votre bibliothèque !  

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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http://www.cafardcosmique.com/La-Grande-Histoire-des-Pulps

http://www.collectorshowcase.fr/pulps__magazines_americains.htm

http://www.vintagelibrary.com/pulpfiction/PulpFictionCentral.php

http://www.pulpmags.org/

http://www.thepulp.net/

 

Etc… etc… etc… 

29/01/2013

Jacques Sadoul / Carol Evans

Les enquêtes de Carol EVANS

 

Jacques SADOUL : « La chute de la maison Spencer »

« Un enfant erre seul sur une petite route déserte de Californie. Carol Evans le découvre dans la lumière de ses phares et s'arrête pour le prendre en stop. Au même instant, on tente de les abattre. Sur les pas du petit garçon, Carol va pénétrer dans l'immense ranch où règne d'une poigne de fer le vieux Mat Spencer, à la fois craint et respecté. Pourquoi donc veut-on tuer Billy, son unique petit-fils ? »

Dans ce roman à l'atmosphère lourde, troublante et sensuelle, nous retrouvons en action Carol Evans, l'héroïne de L'héritage Greenwood. Tour à tour elle sera la meurtrière, le détective, le juge et le bourreau. Mais comment le coupable peut-il ne pas être l'assassin ?

Editions J’ai Lu poche – 1984 – 222 pages – 145 grammes.

Etat = quelques petites marques de stockage (petits chocs) sur quatrième, sans quoi il est très bien, intérieur propre et sain, vernis bien brillant, tranche non cassée, etc…

Tout à fait bon pour le service ! >>> 2 €uros. / Vendu !

 

Egalement disponible, un autre exemplaire ( même année / même édition )…

 

Editions J’ai Lu poche – 1984 – 222 pages – 145 grammes.

Etat = Quelques (inévitables) petites traces de stockage et/ou manipulation sur plats, ainsi que deux fines cassures sur tranche et une petite pliure en bas de quatrième… il est moins bien que le précédent, mais l’intérieur est nickel et si vous n’êtes pas un collectionneur maniaque désirant des tranches impeccables pour sa bibliothèque, il est fait pour vous ! >>> 1,70 €uros. / disponible.

 

Sadoul_Maison-Spencer.jpg 

Kurgan : La série des « Carol Evans » met en scène une agente de la CIA bien brutale et un tantinet déjantée (elle est en congé forcé pour « folie homicide ») qui se trouve mêlée à des enquêtes crapuleuses par hasard ou via son attirance pour les belles jeunes femmes que le destin met sur sa route… puisqu’elle est – en sus – lesbienne ; et ce jusqu’au bout des ongles !

Carol est tout sauf une spécialiste de la réflexion façon héroïnes d’Agatha Christie and friends… mais plutôt une adepte de l'action pure et dure, elle flingue, poignarde et casse des membres… tabasse et torture allègrement ! 

1m 75, 95 cm de tour de poitrine et 67 kilos d’ultra-violence !!!!

Une série façon « pur OVNI de chez pur OVNI »… à la sauce Maître Jacques.  

28/01/2013

Jacques Sadoul / Cycle du Domaine de R.

Le Domaine de R. par Jacques Sadoul

 

Jacques SADOUL : « La passion selon Satan »

Depuis près de sept siècles, Joachim Lodaüs vit seul dans le manoir du domaine de R., en compagnie d'un chat noir aux yeux de soufre qui a nom Aï-d'Moloch. Le domaine de R… où seuls quelques buissons poussent sur un sol craquelé, lunaire, où l'air semble chargé d'effluves électriques. Vers cette terre maudite, une jeune fille en vacances, Josette Rueil, se sent pourtant attirée. Par une force inconnue. Etrangement, après chaque visite, tout souvenir s'efface…

En revanche, des rêves souvent érotiques viennent obséder ses nuits, des cauchemars bientôt où lui apparaît la terrible vérité des heures vécues au manoir. Jusqu'à l'insoutenable révélation qui va la conduire au suicide. Aux yeux de Joachim Lodaüs cependant, cette mort terrestre n'est rien, le vrai destin de Josette commence…

J’ai-Lu Poche 1979 / 188 pages / 130 grammes.

Etat : tout à fait bien, quelques petites marques de manipulation(s) et/ou stockage, mais trois fois rien ! La tranche n’est pas cassée, l’intérieur est propre et sain, c’est du tout bon ! 

 

Jacques SADOUL : « Le jardin de la licorne »

Depuis sept siècles, Joachim Lodaüs vit au manoir de R. Sept siècles de pratiques et d'expériences maléfiques qui lui ont livré tous les secrets des sciences occultes. Son unique compagnon: Aï-d'Moloch, le Maître-Chat du Monde des Rêves…

Rompant cette solitude, pourquoi Lodaüs engage-t-il Sandra, une jeune infirmière chassée de son hôpital ? Et, soudain surgi du néant, quel est cet être à peine humain, sans mémoire ni volonté, sur qui Sandra est chargée de veiller ? Chaque nuit elle va trouver refuge dans le Monde des Rêves auquel les pouvoirs de Lodaüs lui permettent d'accéder… Physiquement. Totalement…

Refuge, cet univers où tout n'est que voluptés sanglantes et supplices ?

Mais, pour Sandra, y a-t-il plus terrifiant que la réalité même du domaine de R.?

J’ai-Lu Poche 1980 / 181 pages / 125 grammes.

Etat : tout à fait bien, quelques petites marques de manipulation(s) et/ou stockage, mais trois fois rien ! La tranche n’est pas cassée, l’intérieur est propre et sain, c’est du tout bon ! 

 

Jacques SADOUL : « Les Hautes Terres du Rêve »

Depuis sept siècles, vit retranché dans son manoir de R. le magicien Joachim Lodaüs. Un être monstrueux, invulnérable, semble-t-il. C'est en ce domaine maudit que Sandra, dans un moment de désarroi, s'est laissée attirer… et c'est sur elle, partagée entre la terreur et la curiosité, que Lodaüs tente une diabolique expérience. Sandra sera contrainte d'errer sans fin sur les Hautes Terres du Rêve où s'incarnent les songes les plus pervers et les plus cruels de l'humanité. Sandra séduite par le tyran Tsian-Cheng, suppliciée, livrée à la luxure de la Princesse Pourpre…

Mais ses amis s'inquiètent de sa disparition, font appel à un occultiste…

Bientôt six Princes-démons, à la tête de leurs milices infernales, cernent le manoir de R.

J’ai-Lu Poche 1980 / 190 pages / 130 grammes.

Etat : quelques petites marques de manipulation(s) et/ou stockage, ainsi que 2 fines cassures sur tranche, il est un tout petit poil moins bien que les 2 premiers volumes, mais reste néanmoins tout à fait « bon pour le service » !

 

Prix D.U.K.E :

Les 3 volumes pour 9 €uros. / Vendus ! Temporairement indisponibles.

( Poids total = 385 grammes ). 

 

Sadoul_Domaine-de-R_01.jpg

 

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La Passion selon Satan : LUMIERE NOIRE

Bien illustré par Csernus, ce livre, première étape d'un cycle romanesque comprenant Le Jardin de la Licorne et Les hautes Terres du Rêve peut être lu indépendamment de ces suites. Ce roman, déjà paru en 1960, tombait alors dans une terre stérile. C'était l'époque flamboyante de l'idéologie scientifique : on y célébrait avec une joie malsaine l'agonie des Fantastiques.

Aujourd'hui, comme on sait, les démons reviennent hanter les plages délabrées de notre univers mental, réoccupant d'anciennes places fortes. Le cinéma, par exemple, où les Carrie, Malédiction, Exorcistes battent des records d'influence (oui !). Une réédition qui vient à point, appelée par la parution des éléments ultérieurs triptyque.

L'ouvrage est conçu en quatre parties, chacune employant des matériaux symboliques et littéraires différents, mais s'articulant en une fresque cosmique baignée d'une lumière noire. Dans la première partie, le pion engagé est Josette Rueil, suicidée. Nous avons à la fois des informations sur sa conduite quotidienne et, par les bribes de son journal, les minutes de sa possession… le monde hors du temps qu'elle rencontre, ainsi que sa mission de Vierge, mère d'une sorte d'Anthéchrist. Par la même occasion, on nous éclaire sur l'histoire secrète du Domaine de R. : cette partie relève manifestement du Fantastique classique… et s'en échappe… introduisant la figure d'un Joueur, déjà présent dans le Prologue : Joachim Lodaüs — le second joueur ne sera démasqué que plus tard. La seconde partie concerne la quête d'un second pion, Didier, à la recherche de la suicidée, dans le domaine des rêves et des cauchemars, par une entrée dans une faille temporelle. Monde où l'on trouve à la fois la fantaisie d'Alice et de son Lapin, la luxure des démons inférieurs, les scènes de violence, de supplice, de manipulations magiques des joyaux, les féodalités de tous les temps avec leurs jeux de brute : à l'horizon, quelques villes et des lieux à la couleur lovecratienne. Dans la troisième partie, on assiste à la rencontre avec des humains et au suicide d'un ancien Dieu dont l'énergie dispersée éclaire comme un phare les profondeurs du royaume de la mort, permettant un coup de sonde à l'un des joueurs : le monde de Catherine L. Moore sort un instant de son assoupissement. Ces diverses péripéties prennent leur unité dans la perspective, qui est celle de la dernière partie : nous avons alors le point de vue de l'un des joueurs, Joachim. Chacune des aventures précédentes était un coup sur l'échiquier cosmique, dans une partie aux règles mal connues.

L'intérêt de l'ouvrage, présenté par défi comme roman réaliste et dédié à Lovecraft, est multiple. A 23 ans, c'est un premier roman. Ce qui signifie qu'il est un peu autobiographique : la construction de soi passe à la fois par les paysages de l'enfance et de l'adolescence, et lectures, les rêves, les amours de toute sorte. Cela transparaît dans la multiplicité des références, dont chacune réveille un écho assourdi : y entrait alors une part de jeu, évidente. Donner à lire des citations du Necronomicon (en vers français !) est un plaisir qui doit combler ! Imbriquer les mondes si divers des fantastiques, du Gothique à l'Heroic fantasy, avec des allusions à Tolkien — alors peu connu — mêler à Lewis Caroll le folklore de l'Agenais, les univers des Terres Hautes et ceux des mondes Cyclopéens : tout ceci ne constitue pas seulement un bel exercice de style, c'est presque une profession de foi. Coiffant le tout, atteindre à une articulation savante de ces divers imaginaires, dans le cadre et par la thématique — alors surtout de SF — des Joueurs, tout en l'enrichissant de la variante du Jeu à l'Aveugle voilà qui est une ouverture inédite à la vie littéraire. Jeu à l'aveugle ? Joachim ignore contre qui il joue, et il est en position de faiblesse par son statut de Mortel, alors qu'il affronte, pour le pouvoir suprême, l'un des Dieux les plus récents du Panthéon : d'où l'aspect — scandaleusement — humain. En plus de ses références littéraires, l'ouvrage est nourri d'une vaste culture astrologique, alchimique, et ésotérique : loin d'encombrer la marche du récit — l'axe du désir — ces diverses strates enrichissent d'irisations fantasmatiques cette traversée géologique de l'imaginaire. ( Roger BOZZETTO )

 

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Le jardin de la licorne 

Deuxième volet de la trilogie du Domaine de R., Le jardin de la licorne peut se lire séparément, bien que je conseille fortement aux amateurs de bon fantastique de lire auparavant La passion selon Satan (J'ai Lu n° 1000). Appartenant par certains cotés au mythe de Cthulhu, cette trilogie vaut surtout par son univers onirique qui rejoint le nôtre par certaines portes, comme celle gardée par Joachim Lodaüs dans son Domaine de R. Et dans cet univers des rêves se déroulent d'innombrables aventures qui ont la particularité de pouvoir se lire à plusieurs niveaux. Jacques Sadoul s'y révèle être un auteur au ton très personnel, et Dieu sait s'ils sont rares dans le grand désert qu'est le fantastique de langue française. Cette lutte titanesque entre les puissances de l'autre monde (écrite par un auteur qui possède de sérieuses références en matière d'occultisme) possède un aspect fascinant, qui n'est pas la moindre de ses qualités.

( Richard D. NOLANE )

 

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Les Hautes Terres du Rêve 

Voici le 3e et dernier volume de cette fresque romanesque, entamée voici vingt ans, et dont il a déjà été publié La passion selon Satan (1960, rééd. 1978) et Le jardin de la Licorne (1976) avant d'en arriver à cette fin (?).

L'ouvrage est composé de 12 clés (chapitres) et l'histoire se clôt après l'affrontement des légions infernales rapide et inconcevable.

Le récit alterne deux points de vue. Celui de Sandra (l'héroïne du Jardin) qui explore les Hautes Terres — un univers mixte de légendes, de songes, de traditions, de mythes dégradés — et voit les passions de déchaîner avec ce qu'il est nécessaire de prendre pour le JEU du désir, incapable de se fixer dans un objet. Aspect merveilleux et ironique de cette exhibition et de ces feintes. Ce territoire, nous en avons la carte… aussi fiable mais plus mystérieuse que celles offertes par Tolkien (plus angoissantes aussi, bordées et traversées par le Néant). L'errance de Sandra la conduit à retrouver Didier et Josette (la passion) et à les rapatrier au Domaine de R.

L'autre point de vue porte sur Joachim Lodaüs (on saisit l'anagramme , objet d'enquête et sujet du grand affrontement. Joachim ou le Maître secret, à qui il ne manque plus que l'immortalité. Le récit se structure sur la promesse d'un avènement : celui de l'Antéchrist, nouvel avatar du Maître, qui achève sa gestation dans le sein de Josette, la suicidée. Ces deux points de vue se confondent, sous l'œil ironique du Chat, maître des rêves.

Comme dans les ouvrages précédents, le charme agit par référence aux univers évoqués (voir la carte), qui englobent tous les territoires engendrés par l'histoire de l'imaginaire. Quant au malaise, il provient du personnage de Lodaüs, et de la tradition noire qu'il assume. La rencontre des deux territoires, des deux traditions, au lieu — comme chez Tolkien — de se sublimer en un nouveau merveilleux, laisse au contraire apparaître des ruptures, des fractures, des gouffres. L'auteur fait semblant de colmater ces brèches avec ses références à l'alchimie, aux prophéties. Mais il évite habilement le discours allégorique — piège tendu à ces ouvrages, à la limite de l'initiation.

Troublante autobiographie onirique.

( Roger BOZZETTO )

 

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La Passion selon Satan 

Pour le millième numéro, Sadoul s'édite lui-même : c'est ainsi qu'on est le mieux servi. C'est le premier tome d'une trilogie, parue en 78, chez Pauvert, le Cycle du Domaine de R.

Curieusement, ce premier tome célèbre très bien ce millième numéro de J'ai Lu, en ce sens que c'est une sorte de condensé littéraire, mélange parfaitement dosé de genres et de styles.

A la fois conte fantastique avec tout son attirail traditionnel (domaine maudit, énorme chat noir, vieilles légendes chuchotées, envoûtements, démons, incantations, boule de cristal…), récit d'heroic-fantasy (pouvoirs magiques, quête quasi mystique de Didier Chaptal pour retrouver Josette, alchimie, références à d'antiques civilisations…), conte merveilleux et enfantin (le Monde du rêve, Rois et princes, Samarcande…) visant parfois à l'horreur, fable mystique (le Nécronomicon, le Réveil du Dieu Vivant, le caractère illusoire de la réalité…), et même roman de science-fiction, de par son agencement (jeu d'échecs cosmique, présence extraterrestre, mondes parallèles…), La Passion selon Satan EST cet incroyable amalgame que l'on retrouve dans le(s) style(s) ; tout y est : le journal intime, le rapport type journalistique, les événements par correspondance, le récit direct, la distanciation — même l'humour et la dérision !…

Le plus fort est que ça se tient, la structure oscillante ne se dérobe pas sous nos yeux, l'histoire éclate mais se recompose toujours, et les personnages, manipulés comme manipulateurs, évoluent parmi cette fantasmagorie comme des acteurs amateurs sur une scène étrange et encombrée qu'ils comprennent mal. Et l'on a peine, parfois, à croire en leur existence.

Quant au Domaine de R, c'est la Réalité bien sûr, mais laquelle ?

( Jean-Marc LIGNY )

 

Ou encore…

>>> http://lacrypteduchatroux.hautetfort.com/archive/2012/05/...

 

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Jacques Sadoul nous a quitté le 18 janvier 2013 dernier.

22/01/2013

Henri VINCENOT

Henri VINCENOT :

« Le pape des escargots ( miracle en pays bourguignon ) »

 

Dans les Hauts forestiers de Bourgogne vit un chemineau truculent surnommé La Gazette. Paré d'attributs bizarres, il joue les prophètes et se dit « pape des escargots » et immortel.

Il mendie mais apporte en échange sa bonne parole.

La Gazette va être mêlé incidemment au destin de Gilbert, un jeune paysan qui se révèle exceptionnellement doué pour la sculpture. Ensemble et à l'écart du monde moderne ils vont vivre les aventures singulières réservées aux inspirés et aux poètes.

La Gazette considère Gilbert comme son fils spirituel. Aussi essaie-t-il d'intervenir dans sa vie professionnelle et dans sa vie privée.

Dans cette histoire truculente, contée admirablement par Henri Vincenot, la Bourgogne et ses monument spirituels reçoivent un éclairage nouveau qui nous les montre à la fois dans leur grandeur mystique et dans leur beauté populaire et quotidienne.

 

Succès du livre – 1991 – 285 pages – 23 x 14,5 cms – 390 grammes.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu bordeaux avec titre ( et nom d’auteur ) en doré sur tranche et premier plat + jaquette couleur.

Quelques (inévitables) petites marques d’usage et stockage sur la jaquette, ainsi qu’un petit plat (choc) en haut de tranche… sans quoi il est très bien ! Sain, propre, et tout à fait O.K ! >>> 3,50 €uros. / disponible.

 

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Henri VINCENOT :

« Les yeux en face des trous... 

( Amours et aventures d’un anarchiste contemporain ) »

 

Une famille paysanne, installée dans un vallon bourguignon, est expropriée par une compagnie pétrolière. Jefkins, le gendre, aventurier dans l'âme, part alors à la ville où il va connaître deux expériences successives. Il est d'abord ouvrier dans une usine ordinaire où il découvre la dure condition des travailleurs. Puis il est engagé dans une usine modèle, à laquelle pourtant il ne s'adapte pas plus, tant la déshumanisation, sous prétexte de rationalité, y est poussée à l'extrême.

Las de cette vie asservie, il reprend sa liberté et publie des pamphlets qui connaissent un beau succès. Grâce à cela, il va pouvoir réinstaller sa famille dans une ferme et goûter ainsi aux joies de la vie d'autrefois.

 

France Loisirs – 2001 – 214 pages – 20,5 x 13,5 cms – 290 grammes.

Couverture cartonnée recouverte d’un papier marron+ jaquette couleur.

Quelques infimes traces de manipulations sur la jaquette, sans quoi il est nickel de chez nickel ! Pas comme neuf… mais presque !

>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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10/01/2013

Jean-Pax Méfret : Djebel Amour

07/01/2013

Mademoiselle de Maupin

Théophile GAUTIER : « Mademoiselle de Maupin » 

 

Résumé / présentation :

Mademoiselle de Maupin est un roman de Théophile Gautier, publié en 1835.

Ce roman est précédé d’une préface célèbre qui a parfois occulté le récit lui-même, et dans laquelle Théophile Gautier s’en prend à l’esprit bourgeois de la Monarchie de Juillet, récusant son prosaïsme utilitaire et sa morale bien-pensante pour mieux défendre l’autonomie de l’art.

Hymne à la beauté, Mademoiselle de Maupin est pour une large part l’illustration des principes de l’« art pour l’art » que Gautier, en précurseur des Parnassiens, expose dans sa préface. Roman d’analyse dans la tradition romantique, le récit se concentre sur les conflits intérieurs d’un jeune homme, d’Albert, mélancolique et narcissique, qui ressent douloureusement l’incomplétude de son moi et son incapacité à créer.

En quête de son double féminin idéal, il rencontre Madeleine de Maupin qui se présente à lui travestie en homme. Désemparé par cet être séduisant en qui il reconnaît son idéal, d’Albert se sent au bord du gouffre jusqu’à ce que Madeleine révèle sa véritable identité et se donne à lui pour une seule nuit d’amour avant de s’enfuir. Au-delà de cet enchaînement de péripéties, le récit a essentiellement valeur de symbole, en référence directe à Phèdre de Platon : le roman est aussi celui de l’incarnation d’une idée.

Longtemps perçu comme une fantaisie libertine, ce qu’il est aussi, Mademoiselle de Maupin, roman de la jeunesse et de la vitalité, n’en est pas moins d’une veine saturnienne, et des aspects authentiquement romantiques hantent ces jeux de masques et de miroirs. La musicalité de sa prose, ses descriptions picturales, l’architecture baroque du récit — des genres aussi divers que le roman, le poème en prose, le dialogue théâtral ou l’essai esthétique s’y côtoient — font de cette rêverie hédoniste un véritable lexique de l’art.

 

Editions S.E.C.A, maquette J. LATOUR / 1966.

Nombreuses reproductions de gravures anciennes hors-texte. Reliure éditeur façon cuir + dorures, premier plat richement orné en losanges, tranche supérieure dorée…

16,5 x 11,5 cms – 335 pages – 390 grammes…

Etat = parfait… nickel… comme neuf !!! : 8 €uros. / disponible.

 

Ailleurs = entre 5,80 et 20 €uros (!?!) sur priceminister.

10 €uros sur abebooks.fr / 7 €uros sur galaxidion.com

18,11 €uros sur chapitre.com

 

théophile gautier,mademoiselle de maupin,libertins,libertinage

 

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« Au lieu de faire un prix Montyon pour la récompense de la vertu, j’aimerais mieux donner, comme Sardanapale, ce grand philosophe que l’on a si mal compris, une forte prime à celui qui inventerait un nouveau plaisir ; car la jouissance me paraît le but de la vie, et la seule chose utile au monde. Dieu l’a voulu ainsi, lui qui a fait les femmes, les parfums, la lumière, les belles fleurs, les bons vins, les chevaux fringants, les levrettes et les chats angoras ; lui qui n’a pas dit à ses anges : Ayez de la vertu, mais : Ayez de l’amour, et qui nous a donné une bouche plus sensible que le reste de la peau pour embrasser les femmes, des yeux levés en haut pour voir la lumière, un odorat subtil pour respirer l’âme des fleurs, des cuisses nerveuses pour serrer les flancs des étalons, et voler aussi vite que la pensée sans chemin de fer ni chaudière à vapeur, des mains délicates pour les passer sur la tête longue des levrettes, sur le dos velouté des chats, et sur l’épaule polie des créatures peu vertueuses, et qui, enfin, n’a accordé qu’à nous seuls ce triple et glorieux privilège de boire sans avoir soif, de battre le briquet, et de faire l’amour en toutes saisons, ce qui nous distingue de la brute beaucoup plus que l’usage de lire des journaux et de fabriquer des chartes. »

 

Théophile Gautier, « Préface à Mademoiselle de Maupin » (1834).

 

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Mademoiselle de Maupin

par Jean-Jules-Antoine Lecomte du Noüy

04/01/2013

Régine Deforges : quelques ajouts...

Régine DEFORGES, érotisme

Mise à jour de la note consacrée à Régine DEFORGES…

En date du 27 novembre dernier.

 

Ici >>> http://bouquinorium.hautetfort.com/archive/2012/11/27/reg...

03/01/2013

Un peu en vrac ...

Bon d’accord…

C’est clair qu’à cette heure…

Là tout de suite maintenant…

On a un peu des sales tron… euh…  

On a un peu la gueule en vrac !

Mais bon…

Pas de panique…

Nos blogs auront repris leurs « rythme(s) de croisière » pour le week end !

Si si…

 

gueules de bois

Gueules de bois

18:58 Publié dans Blog, Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gueules de bois