14/03/2012
En attendant...
Quelques petits soucis d’appareil photo numérique nous ont un peu « perturbé », que ce soit hier ou aujourd’hui, en nous empêchant de continuer sur notre « belle lancée » du mois de mars…
Mais pas de soucis, nous en avons récupéré un en parfait état de marche !
Et nous serons donc de retour dès demain… avec plein de belles choses !
Mais en attendant… un peu de musique !
19:45 Publié dans Blog, Détente | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : en attendant...
12/03/2012
Les grands maîtres du polar...
Chester HIMES : « Le casse de l’oncle Tom »
Dans un parking de Harlem, le révérend O'Malley a réuni une centaine de familles pour leur prêcher le retour en Afrique contre un modeste pécule de 1000 dollars. Soudain, sorti de nulle part, un camion conduit par un Blanc fonce dans la foule et embarque le magot de 87000 dollars.
Ed Cercueil et Fossoyeur Jones vont bien sûr courir après l'argent volé, mais dans Harlem, tout peut arriver : des escrocs déguisés en pasteurs, des prostituées en bonnes soeurs et, bien sûr, assez de cadavres pour saturer les services de la voirie.
A propos de l'auteur :
Né en 1909 à Jefferson City, dans le Missouri, Chester Himes fait ses études à l'Université d'Ohio State. En 1953, il quitte définitivement les Etats-Unis pour s'installer en Espagne. Il est décédé à Alicante le 12 novembre 1984.
Note de Kurgan :
Ce roman est également paru sous le titre : « Retour en Afrique ».
Coll. « Les grands maîtres du roman policier » – François Beauval.
Nombreuses illustrations ( jean Kerleroux ) hors texte.
1977 – 269 pages – 18 x 11,5 cms – 300 grammes
Couverture imitation cuir et dorures / Etat = excellent ! : 5 €uros. / disponible.
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Auguste LE BRETON : « Le clan des Siciliens »
Roger Sartet, dit Mouche de Mai, dit le Petit Gros du Vendredi, apparut menotté, encadré par deux gardes républicains. Tout juste si les treize mois de ratière l'avaient marqué. Un peu plus de bedaine peut-être ! Mais en prison, avec l'air confiné, le manque d'action… Plus que jamais il méritait son surnom de Petit Gros du Vendredi. Un agaçant sourire était accroché à ses lèvres que la détention avait rougies, et derrière les runelles faussement indifférentes stagnait la vigilance.
A propos de l'auteur :
Son père Eugène Monfort est un acrobate et un clown, un auguste ( d'où le prénom de son fils ) qui meurt lors de la Première Guerre mondiale en septembre 1914. Sa mère « l'oublie » sur son parcours. Il sera adopté par les Pupilles de la Nation, et de la ferme bretonne où il garde les vaches, on le conduit, à huit ans, dans un orphelinat de guerre. Épris de liberté et d'aventures, il s'en évade à onze ans, puis à douze pour aller en Amérique combattre les Indiens. Rêve d'enfant…
À quatorze ans, ces évasions lui valent d'être transféré dans un Centre d'Éducation surveillée, à l'époque endroits implacables. Cette enfance et cette adolescence particulières, il les racontera dans Les Hauts Murs et La loi des rues.
Ensuite, les choses ne s'arrangent pas : il est couvreur, terrassier, il fréquente la pègre. Là, il noue de solides amitiés avec les voyous de Saint-Ouen qui, logiquement le baptisent « Le Breton ». C'est le témoin d'une époque aujourd'hui révolue, il racontera plus tard : « Maurice la Gouine, il avait même fait mettre un diam' dans la canine de son chien. Du folklore, oh la la, c'est pas aujourd'hui qu'on trouverait ça à Paris ! ».
Lorsque la guerre survient, puis l'occupation, il fait le bookmaker, possède des parts dans des tripots, affronte parfois les gangsters de la Gestapo française. À la libération, on lui attribue la Croix de Guerre, mais non ce qu'il recherche : pouvoir pénétrer dans les orphelinats et maisons de correction pour s'informer et voir. Il reprend ses activités de bookmaker clandestin.
( Il raconte cette biographie sous l'Occupation dans 2 sous d'amour ).
Puis, en 1947, il a 34 ans, naît sa fille Maryvonne. Il décide alors de tenir le serment qu'il s'était fait lorsqu'il dormait contre les grilles de métro pour bénéficier de sa chaleur fétide : « Si un jour j'ai un enfant, j'écrirai la mienne d'enfance, pour qu'il comprenne, pour qu'il reste humble et propre toute sa vie et devienne un homme ». Ce sera une fille, mais qu'importe, Auguste a toujours été un homme de parole : il prend la plume…
Editions Famot – Collection « Les grands maîtres du roman policier ».
Nombreuses illustrations ( Jean Cheval ) hors texte.
1974 – 265 pages – 18 x 12 cms – 335 grammes.
Belle reliure imitation cuir et dorures / Etat = excellent ! : 5 €uros. / disponible.
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Les Grands Maîtres du Roman Policier est une collection éditoriale créée en 1972 par les Éditions de Crémille, à Genève. Elle fut poursuivie par d'autres maisons d'éditions, telles les Éditions Famot à Genève et les Éditions de Saint-Clair à Neuilly-sur-Seine… La collection se réédita elle-même par l’intermédiaire de ces trois maisons. Les livres étaient vendus en France par souscription, par les Éditions François Beauval à La Seyne-sur-Mer.
Ce sont des ouvrages de bonne facture, bien reliés, bien imprimés. Dans ces années-là, ils se vendaient environ 40 francs pièce, ce qui représentait une belle somme. À la fin de chaque ouvrage, l’éditeur délivre une notice bibliographique sur l’auteur. De plus, il y a quelques illustrations originales pour chaque ouvrage.
Tous ces ouvrages sont par définition, des classiques du roman policier et présentent une qualité d’écriture et d’intrigue au-dessus de la moyenne. Il y a une certaine parenté entre le roman policier et le fantastique et parmi les auteurs des livres de cette collection, Aveline, Collins, Conan Doyle, Leblanc, Levin, Simenon, Véry sont aussi connus pour leur production en littérature fantastique. Asimov, autre auteur de cette collection, est l’un des plus grands auteurs de science-fiction en plus que d’être un maître du roman policier. Il mélange parfois les deux genres, comme dans son livre « Les robots » pur ouvrage de science-fiction mais aussi roman policier.
16:12 Publié dans Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les grands maîtres du roman policier, auguste le breton, le clan des siciliens, chester himes, le casse de l’oncle tom, polars
10/03/2012
La papesse Jeanne
Dona CROSS : « La papesse Jeanne »
Quatrième de couverture : Comment, au IXe siècle, une femme a-t-elle pu se faire élire pape sans que personne ne soupçonne son véritable sexe ? La papesse Jeanne a vraiment existé, et son nom figure dans les registres du Vatican.
C'est son surprenant destin, plein d'aventures extraordinaires, d'intrigues et d'amours, que retrace cet étonnant roman, fondé sur des données historiques indiscutables. Née en France en 814, d'un père sévère et rigide, Jeanne est révoltée contre les préjugés et les interdits qui pèsent sur son sexe. Elle apprend à lire et à écrire en cachette, et parvient à se faire admettre à l'école de Dorstadt grâce à ses connaissances en latin et en grec. Ne pouvant loger à l'école avec les garçons,
elle habite chez son tuteur, Gerold, et l'épouse de celui-ci, dame Richild.
Mais Gerold et Jeanne tombent amoureux l'un de l'autre… Ainsi, commence l'étonnant et authentique destin de celle qui parviendra à s'introduire au Vatican pour soigner le pape malade, et finira par se faire élire sur le trône de Saint Pierre sans que personne découvre son véritable sexe. Jusqu'à ce qu'un événement inattendu vienne tout bouleverser…
France Loisirs – 1997.
20,5 x 13,5 cms – 584 pages - 620 grammes.
Couverture cartonnée façon cuir bleu + dorures + jaquette couleurs.
Quelques marques de stockage sur la jaquette + un petit choc / léger « plat » en haut de tranche,
sans quoi il est très bien, propre et sain : 4 €uros. / Vendu !
17:55 Publié dans Histoire, Moyen Âge | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dona cross, la papesse jeanne, histoire
09/03/2012
Georges SIMENON - Maigret
Georges SIMENON : « La première enquête de Maigret »
Paris, 1913. Jules Maigret, jeune secrétaire du commissaire du quartier Saint Georges, reçoit en pleine nuit la déposition d’un flûtiste. Celui-ci affirme avoir vu une femme crier « au secours ! » par la fenêtre d’un hôtel particulier, puis entendu un coup de feu à l’intérieur, tandis qu’une voiture en stationnement devant la porte démarrait brutalement. Malheureusement, cette maison est celle d’une famile riche, influente, dont certains membres sont des amis proche du commissaire lui-même… C’est pourquoi Maigret se voit confier une enquête informelle où il est prié d’être très discret. Sa toute première enquête, où il va se frotter aux grand de ce monde…
Edito-Service S.A Genève / 1974 / 18,5 x 12 cms / 165 pages.
( Avec la reproduction d’un portrait de Maigret par Bernard Buffet en frontispice ).
Etat = comme neuf.
Georges SIMENON : « Maigret chez le ministre »
Le commissaire Maigret est ici confronté à une sombre affaire politique - un monde qu'il n'a jamais aimé. Un sanatorium pour enfants s'est écroulé par suite d'un glissement de terrain, causant des dizaines de morts. Peu de temps après le drame, la rumeur court qu'un rapport technique avait nettement mis en garde les pouvoirs publics contre le danger. Ce rapport a été remis à Auguste Point, nouveau ministre des Travaux publics, mais le document lui a été volé la nuit suivante. Ses adversaires politiques l'accusent déjà de l'avoir fait disparaître afin de protéger les responsables du désastre. Il fait officieusement appel à Maigret pour retrouver le rapport. Parlementaires corrompus, presse de chantage, cynisme des puissants…
Le commissaire explore de sinistres coulisses.
Ce tableau de mœurs n'a pas vieilli, et le drame d'Auguste Point - un homme intègre, dévoué à son pays, légèrement naïf et piégé - rappellera aux lecteurs des affaires plus récentes.
Edito-Service S.A Genève / 1974 / 18,5 x 12 cms / 168 pages.
Etat = comme neuf.
Georges SIMENON : « Maigret à New York »
Paisiblement retiré à Meung-sur-Loire, le commissaire Maigret se laisse convaincre par un tout jeune homme, Jean Maura, de l'accompagner à New York. maura s'inquiète pour son père, un homme d'affaires d'origine française, qui semble en proie à de graves soucis. Maigret va se trouver aux prises avec une ténébreuse affaire. Le jeune Maura disparaît inexplicablement.
Bien des années plus tôt, maura père a débarqué à New York avec un ami, Daumale, violoniste de son état. Qu'est-ce qui les a séparés ? Qu'est devenu l'enfant mis au monde par Jessie, à l'époque la maîtresse de Maura ? Un lourd secret expliquerait-il que l'homme d'affaires soit victime d'un chantage ? L'affaire sera élucidée, mais le commissaire, sur le bateau qui le ramène en France, se demandera ce qu'il est allé faire, au juste, dans la métropole américaine qui ne l'a guère emballé…Edito-Service S.A Genève / 1974 / 18,5 x 12 cms / 165 pages.
Etat = comme neuf.
Les 3 volumes ( poids total = 665 grammes ) >>> 12 €uros. / Vendus !
12:06 Publié dans Georges Simenon, Polars | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : georges simenon, maigret, commissaire maigret
07/03/2012
MARKALE - Chartres et l’énigme des druides
Jean MARKALE : « Chartres et l’énigme des druides »
Quatrième de couverture :
La cathédrale de Chartres est incontestablement l'un des plus beaux sanctuaires de toute la chrétienté, tant par son architecture et la richesse artistique de son ornementation, que par la valeur symbolique de son ensemble. Mais c'est surtout un sanctuaire dédié à la Vierge, et cela, semble-t-il, bien avant l'introduction du christianisme en Gaule. Quelle est donc cette mystérieuse Virgo paritura que les Druides auraient vénérée à l'emplacement même de la crypte de la cathédrale actuelle, dans une grotte ou dans un temple en plein air ?
Ne serait-elle pas, cette « Notre Dame de Sous-Terre », l'image de la Mère universelle, la Déesse des Commencements, celle « sur le point d'enfanter » le monde, vers laquelle se dresse l'humanité entière, celle enfin que les chrétiens ont fini par identifier à l'Immaculée conception ?
A travers la cathédrale de Chartres, haut-lieu de la dévotion mariale, mais également à travers le labyrinthe de la vieille ville, si chargée d'histoire, d'étranges voix se font entendre. Chartres n'est-elle pas située au centre de la Beauce, recouverte autrefois par une forêt immense, la forêt des Carnutes, qui, selon Jules César, abritait le plus grand sanctuaire de toute la Gaule, sanctuaire où les Druides venaient célébrer, une fois l'an, de très secrètes liturgies ?
Ce qui est sûr, en tout cas, c'est qu'il existe une filiation évidente entre le culte druidique de la Déesse-Mère et le culte de la Vierge Marie, culte lié lui-même aux représentations dites de la Vierge Noire. Or, si Notre Dame de Chartres, comme celle du Puy-en-Velay, comme celle de Rocamadour, est une Vierge Noire, que recouvre donc son image mythique, surtout dans un pays marqué par la présence indélébile des Druides ? C'est à tous ces problèmes nimbés d'ombre que cet ouvrage, captivant et hautement documenté, tente de répondre, aussi bien par l'archéologie que par l'histoire, la mythologie et l'histoire des religions.
France Loisirs – 2007 – 317 pages.
22,5 x 14 cms / 420 grammes.
Reliure cartonnée recouverte d’un tissu noir.
Titres en doré sur tranche et jaquette couleurs.
Quelques petites traces de manip' sur la jaquette sans quoi comme neuf !
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Avril 2013 / Retour en stock d'un exemplaire : ( celui de la photo )
France loisirs – 2007 – 317 pages – 22,5 x 14 cm – 420 grammes.
Etat = reliure éditeur cartonnée noire avec titre en doré sur tranche et jaquette couleur. Traces de stockage et manip’ sur jaquette, ainsi qu’un haut de tranche reliure légèrement frotté, mais rien de bien notable. Sain, propre et tout à fait bon pour le service.
>>> 4,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
( Ailleurs = de 5,50 à 10 €uros sur amazon / 6,75 sur priceminister )
23:49 Publié dans Esotérisme / Occultisme, Jean Markale, Moyen Âge, Mystères, Paganisme | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : jean markale, chartres et l’énigme des druides, ésotérisme, paganisme, vierges noires, déesse-mère, druidisme, druides
06/03/2012
SAINT-LOUP - Face nord
SAINT-LOUP : « Face nord »
Arthaud – 1950 – 312 pages – 18,5 x 14 cms – 420 grammes.
Jaquette absente. Couverture cartonnée recouverte d’un tissu vert de gris, titre en doré sur petite étiquette en cuir noir apposée sur tranche.
Nombreuses photographies hors texte.
Excellent état pour un exemplaire de 1950, privé de jaquette…
La reliure tissu est tout à fait O.K ( hormis une très légère insolation de la tranche ) et l’intérieur est nickel, quasiment comme neuf !…
>>> 12 €uros. / Vendu !
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Ce roman, qui se déroule pendant la période de l'occupation, a pour cadre principal le mouvement « Jeunesse et Montagne » qui verra d'ailleurs éclore quelques belles carrières alpines. La montagne ne reste néanmoins que le cadre de ce roman.
En effet, l'ouvrage est quasiment entièrement axé sur l'étude d'un chef de centre fanatique et exalté qui partagé, entre son amour pour une femme et la montagne, se met en tête de former de manière extrêmement dure et brutale les stagiaires de son camp. Ceci afin d'en faire non seulement des alpinistes hors-pair, mais surtout des êtres supérieurs...
Saint-Loup tente de personnifier au travers de Guido La Meslée la hauteur d'âme, la performance, le défi, l'amour de la compétition. Dans ce roman, on retrouve tous ces thèmes chers à Saint-Loup. Son héros se dresse cette fois contre les faibles ( les effectifs de son camps sont décimés par les accidents en montagne ), l'autorité hiérarchique de Vichy, et l'Eglise. Demeuré incompris par la société; il est exilé au fond de la vallée désolée et reculée des Enfetchores. Mais au petit groupe qui le suit et le vénère, il déclarera : « Je veux faire de vous les représentants d'une humanité supérieure. Celle où l'homme aura dominé la crainte de la mort. »
( Extrait d’une chronique tirée de pelic.free.fr )
23:49 Publié dans Aventures | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : saint loup, face nord, alpinisme, montagne, aventure, aventures
04/03/2012
L'enfer des bibliothèques / Part.1
Guillaume APOLLINAIRE : « Les exploits d’un jeune Don Juan »
« Les Onze mille Verges » sont infiniment plus célèbres que « Les exploits d'un jeune Don Juan », dont les éditions sont aussi beaucoup plus rares. C'est peut-être parce que les thèmes et la manière dont ils sont traités sont tellement différents dans les deux livres, que l'on a longtemps hésité à les croire du même auteur. La truculence, l'énormité et parfois la violence du premier, font place ici à la fraîcheur et à la naïveté de l'érotisme adolescent.
Le Livre de Paris - Hachette / 1976 / 112 pages.
21,5 x 12,5 cms / 275 grammes.
Illustrations hors texte.
Superbe reliure façon cuir & dorures.
GEORGES & ALFRED : « Gamiani ou 2 nuits d’excès »
« Gamiani ou deux nuits d’excès » est un petit chef-d’œuvre de la prose érotique. Les dérèglements des sens d’Alfred de Musset, sa vie de débauches, son personnage donjuanesque, son esprit aristocratique, le saphisme de Georges Sand, la mort dramatique de Malibran ont pu lui inspirer l’histoire pornographique et mortifère de la comtesse Gamiani qui, selon le jugement éxagéré du Grand Dictionnaire Universel du XIXe siècle : « dépasse les monstruosité du marquis de Sade en paroxysme érotique ».
Le roman raconte deux nuits de la vie de la comtesse Gamiani marquées par ses ébats avec Fanny et Alcide. Pendant ces deux nuits, les trois personnages vont successivement raconter leur initiation sexuelle ainsi que leurs plus grands exploits dans ce domaine.
« Gamiani ou deux nuits d'excès » a été édité pour la première fois en 1833. Ce roman est l’ouvrage le plus réimprimé au cours du XIXe siècle avec plus de 40 éditions.
L'attribution du roman à Alfred de Musset a longtemps été contestée.
Le Livre de Paris - Hachette / 1976 / 112 pages.
21,5 x 12,5 cms / 275 grammes.
Illustrations hors texte.
Superbe reliure façon cuir & dorures.
Les 2 livres >>> 10 €uros. / Vendus !
12:23 Publié dans Erotisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : guillaume apollinaire, les exploits d’un jeune don juan, d’alfred de musset, georges sand, gamiani ou 2 nuits d’excès, érotisme, pornographie, l'enfer des bibliothèques
03/03/2012
Les liaisons dangereuses
CHODERLOS DE LACLOS : « Les liaisons dangereuses »
Présentation / résumé : Au petit jeu du libertinage, l'adorable Valmont et la délicieuse Madame de Merteuil se livrent à une compétition amicale et néanmoins acharnée : c'est à celui qui aura le plus de succès galants, et le moins de scrupules. Peu importent les sentiments, seule la jouissance compte.
Les conquêtes se succèdent de part et d'autre, jusqu'à ce que Valmont rencontre la vertu incarnée : la présidente de Tourvel. Elle est belle, douce, mariée et chaste : en un mot, intouchable. Voilà une proie de choix pour Valmont : saura-t-il relever ce défi sans tomber dans les pièges de l'amour ? De lettre en lettre, les héros dévoilent leurs aventures, échangent leurs impressions et nous entraînent dans un tourbillon de plaisirs qui semble n'avoir pas de fin.
Ce sulfureux roman a longtemps été censuré, ce qui ne l'a pas empêché de fasciner des générations de lecteurs et, plus près de nous, de captiver bon nombre de cinéastes : Les Liaisons Dangereuses de Stephen Frears mais aussi les adaptations de Roger Vadim, et de Milos Forman.
Editions S.E.C.A, maquette de J. LATOUR.
Nombreuses reproductions de gravures érotiques sur planches bleu clair hors-texte…
Reliure type « cuir + dorures », plat de couverture richement orné en losanges, tranche supérieure dorée… Très belle édition !!! Un grand classique !!!…
16,5 x 11,5 cms / 1965 / 377 pages / 460 grammes…
( Etat parfait / nickel / comme neuf ! ) : 8 €uros. / disponible.
Ou, autre version / édition :
Editions Le Cercle du Bibliophile / Les chef-d’œuvres du roman maudit.
Nombreuses illustrations ( repros de gravures anciennes ) sur planches hors-texte.
Reliure type « cuir + dorures »…
1968/ 18,2 x 12 cms / 558 pages / 520 grammes…
( Etat parfait / nickel / comme neuf ! ) : 8 €uros. / disponible.
Editions S.E.C.A
Editions Le Cercle du Bibliophile
Editions S.E.C.A ( en haut ) / Editions Le Cercle du Bibliophile ( en bas )
Editions S.E.C.A
20:18 Publié dans Grands classiques | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : choderlos de laclos, les liaisons dangereuses, valmont