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14/06/2012

Pierre SCHOENDOERFFER

Pierre SCHOENDOERFFER : « Le crabe tambour »

 

Quatrième de couverture : Déraciné d'Asie où il a exercé vingt ans la médecine, Pierre, le narrateur, ne s'est plus senti de place en France et six mois lui ont suffi pour décider de se rengager dans la Marine. Là au moins il aura sa voie tracée, droite et sûre jusqu'à la fin, il ne courra pas le risque de se désintégrer à la façon de cet ancien camarade d'Indochine retrouvé à Paris – Dubourg ou Babourg ? – peu importe, un mort en sursis.

Tout le monde ne sait pas lutter contre les mauvais hasards, tout le monde n'a pas l'audace et la fermeté nécessaires pour garder l’âme fière et le sourire aux lèvres. Une âme prête à l'aventure comme Willsdorff, surnommé le Crabe-Tambour. Sur la passerelle de l'Éole, l'aviso affecté à l'assistance à la Grande Pêche qui l'emmène vers le Nord, le toubib ne résiste pas au désir de raconter la charge au clairon menée sur le fleuve indochinois par l'enseigne Willsdorff, son ami. Willsdorff qu'il a perdu de vue et dont le commandant lui apprend la présence là-bas en pêche sur le Damoclès.

Comment le Crabe Tambour en est-il venu à se faire patron de chalutier ? D'un souvenir à l'autre - mêlés au présent impérieux vibrant des échos de la vie en haute mer – tout ce que le narrateur ignorait de son ami prend forme : une question aussi obsédante que la parabole des talents dont la leçon court en filigrane dans ce récit fort et profond, couronné par le Grand Prix du roman de l'Académie française.

 

Le livre de poche – 1978 – 311 pages – 155 grammes.

Quelques petites marques de stockage et manipulations sur les plats, mais très bon état général, intérieur propre et sain, tranche non cassée !

>>> 2,50 €uros. / disponible. 

 

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Pierre SCHOENDOERFFER : « La 317ème section »

 

Quatrième de couverture : C'est la saison des pluies au Laos. L'eau tambourine jour et nuit sur la jungle montagneuse où s'est mise en marche la 317, section : 41 supplétifs laotiens commandés par 4 Européens qui ont reçu l'ordre d'abandonner le poste de Luong Ba, menacé d une offensive du Viet-Minh.

La colonne amorce son repli le 23 avril. Le sergent Roudier tombe avec sa patrouille dans une embuscade. Pour le jeune chef Torrens, il n'est pas question d'abandonner les blessés. La marche reprend, ralentie par les civières, vers Tao Tsaï, par la ligne de crête de la cote 924.

L'ennemi, c'est le Viet-Minh, d'une habileté démoniaque à la guérilla, mais aussi les moustiques, les sangsues, la boue et la jungle impénétrable, la fièvre ou la dysenterie. Malgré tout, la colonne progresse avec assez d'allant pour attaquer à son tour quand l'occasion s'en présente. A ce jeu, elle use sa vie et ses forces, mais les hommes de la 317e section ne le regrettent pas : ainsi le veut la guerre – la guerre d'Indochine, dont ce récit décrit de façon authentique et prenante un visage peu connu.

 

Le livre de poche – 1966 – 253 pages – 140 grammes.

Plusieurs fines cassures sur la tranche attestent du fait que le livre a été lu et re-lu… mais les plats sont comme neufs et l’intérieur nickel ! Tout à fait bon pour le service !

>>> 2 €uros. / Vendu !

 

Pierre SCHOENDOERFFER, Le crabe tambour, La 317ème section, Indochine, guerre, guerriers, histoire, histoire de France, aventures, aventuriers

09/05/2012

Napoléon Ier / Premier Empire.

La Campagne de France – Du Rhin à Fontainebleau 1814.

Mémoires du Général Comte de Ségur ( de l’Académie Française )

Aide de Camp de l’Empereur Napoléon Ier

 

La campagne de France est la fin de la guerre liée à la Sixième Coalition, qui se déroule de janvier à avril 1814, et pendant laquelle Napoléon tente d'éviter ou d'arrêter l'invasion de la France et de conserver son trône. Après l'entrée des troupes prussiennes et russes dans Paris, il abdique et part en exil à l'île d'Elbe.

 

Editions Famot – Genève 1974.

Reliure éditeur, simili cuir rouge et demi-percaline noire. Titres dorés.

Nombreuses illustrations hors-textes ( fond de la Bibliothèque Nationale de Paris ).

255 pages / 18 x 12 cms / 295 grammes.

Etat = Comme neuf !!!

 

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Austerlitz

 

Raconté par les témoins de la Bataille des Trois Empereurs

 

Tout est dit dans le titre ! Une multitude de témoignages issus/tirés des mémoires de protagonistes de chacun des camps en présence, pour l’ouvrage le plus complet et détaillé que j’ai pu lire sur le sujet ! Excellent !

Textes réunis, compilés et présentés par Henriette Ozanne.

 

Editions Famot – Genève 1974.

Reliure éditeur, simili cuir vert et demi-percaline noire. Titres dorés.

Nombreuses illustrations hors-textes ( fond de la Bibliothèque Nationale de Paris ).

245 pages / 18 x 12 cms / 290 grammes.

Etat = Comme neuf !!!

 

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Les 2 volumes ( 585 grammes ) >>> 10 €uros.  / Vendus !

 

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07/05/2012

Maréchal PAULUS - Stalingrad

Maréchal PAULUS : « Stalingrad »

 

Vie du Feldmaréchal-Général Friedrich PAULUS

Lettres et documents inédits rassemblés par Walter GÖRLITZ.

Avant-propos d’Ernst Alexander PAULUS.

Librairie Arthème Fayard / 1961.

315 pages / 22 x 14 cms / 460 grammes.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu jaune, titre et nom d’auteur en noir sur premier plat et tranche, nombreuses cartes et photographies hors-texte, très bon état, si ce n’est un petit choc en bas de couv’ >>> 7 €uros. / Vendu !

 

« Devant l’histoire, Friedrich Paulus reste à jamais le vaincu de la bataille de Stalingrad. Contrairement à d’autres chefs de guerre comme le Maréchal Model, il préfère la captivité au suicide, et le personnage ne sort pas grandi de sa confrontation avec le destin impitoyable. D’autant que les Soviétiques allaient obtenir de lui qu’il prenne position publiquement en août 1944 contre ses compatriotes qui s obstinaient a continuer un combat, même sans espoir, pour leur patrie. Pourtant, Paulus n’est jamais apparu comme un opposant à la politique de conquête d’Adolf Hitler, n’ayant jamais cessé d’être, jusqu’à Stalingrad, un subordonné obéissant et respectueux. 

Né à Breitenau, dans la Hesse, en 1890, il songe d’abord à faire une carrière d’officier de marine, puis se lance dans des études de droit avant de se décider finalement à entrer dans l’armée de terre. En 1910, à vingt ans, il est aspirant dans un régiment d’infanterie badois à Rastatt. Sous-lieutenant l’année suivante, il épouse une comtesse roumaine et semble destiné à mener une vie de garnison sans histoires.

La guerre éclate. Le sous-lieutenant tombe malade. Guéri, il est affecté aux chasseurs de montagne. Il se bat alors à Verdun et en Roumanie, gagne ses deux croix de fer et termine la guerre comme capitaine. Il servira alors à l’Ouest dans un état major puis à l’Est après l’armistice. 

Paulus reste dans la Reichswehr et sera détaché au ministère pour y suivre différents cours, car cet officier est sans nul doute un intellectuel. Professeur de tactique et d histoire militaire, c’est un esprit brillant, mais un peu schématique, sans grand contact avec la troupe. Cela n’empêche pas un avancement assez rapide : major en 1931, lieutenant-colonel en 1933 et colonel en 1935. Il se passionne pour la motorisation, ce qui correspond bien aux vues militaires du nouveau régime.

Friedrich Paulus est promu général le 1er janvier 1939 et se distingue comme chef d’état major dans un corps d’armée, puis dans une armée que commande le général von Reichenau.  Il met au point les plans d’invasion de la Pologne, puis travaille aux projets d’attaque sur le front de l’Ouest. A la fin du mois de mai 1940, il est le premier quartier-maître-général à l’Oberkommando des Wehrmacht avec le grade de général de division. Il reste un homme d’état major, froid, efficace, méthodique. 

Paulus joue indéniablement un grand rôle lors de l’élaboration du plan Barbarossa, celui de l’attaque contre l’Union Soviétique. A cette époque, il ne songe pas à se monter antinazi. Bien au contraire, il est de ceux qui suggèrent qu’Adolf Hitler prenne le commandant des forces armées et celui de l’armée de terre. Nommé général de corps d’armée, Paulus reçoit le commandement de la 6e armée. Son sort est scellé. 

Il va se battre dans le cadre du groupe d’armées Sud et se retrouvera sur la Volga, en avant-garde des troupes allemandes et alliées. 

Le 17 juillet 1942 commence la bataille pour Stalingrad. La ville tombe presque entièrement aux mains des troupes du Reich, mais les soviétiques résistent avec acharnement. La mauvaise saison arrive. A la mi-novembre, alors que la Volga charrie des glaces, l’Armée rouge prend l’offensive. Les alliés roumains sont bousculés. Avant la fin du mois la 6e armeé est pratiquement encerclée. Le corps d’armée expéditionnaire italien est lui aussi disloqué. Les tentatives allemandes pour briser l’encerclement échouent les unes après les autres. D’impitoyables combats de rues se déroulent dans les ruines de Stalingrad. Von Manstein, qui commande le groupe d’armée du Don, ne peut plus rien faire. 

Le 26 décembre, les troupes placées sous les ordres de Paulus sont coupées en deux. C’est le commencement de la fin. Le 30 janvier, Paulus est nommé maréchal, mais ce geste honorifique n’est sans doute qu’une invitation à emporter son bâton de commandement dans sa tombe. Le lendemain, le commandement de la 6e armée décide de se rendre. 

150 000 de ses hommes ont été tués au combat, près de 100 000 ont été faits prisonniers, dont 24 généraux. Bien peu reviendront de captivité.  Paulus ne sera libéré qu’en 1954, dix ans après une proclamation au peuple allemand où il rejetait sur Hitler toute la responsabilité du désastre de Stalingrad. Il mourra en 1957, à Dresde. »

( www.39-45.org )

 

« Voici un livre très intéressant sur la vie de Frédéric Paulus, Général-feldmaréchal de la VIéme Armée, défaite à Stalingrad… personnage qui de part son indécision et son esprit d'obéissance totale au Führer, se laissa enfermer avec toute son armée dans la poche de Stalingrad, ex-Tsaritsine, surnommée le Verdun Rouge pour la violence de ses combats...

Ce livre est tiré des notes du Maréchal lui-même et réunies par son fils, Ernst-Alexander Paulus, officier dans la Waffen-SS et blessé au début de la campagne de Stalingrad. En 1957, il confia ces dernières à l'historien militaire allemand Walter Görlitz qui avec l'aide d'autres archives retrace la vie de Paulus de l'opération Barbarossa à Stalingrad, puis jusqu'à sa mort, à Dresde, en 1957. 

A lire, car la personnalité de Paulus et la bataille de Stalingrad y sont traitées bien plus en profondeur, grâce aux notes de ce dernier, que dans bien des livres sur le sujet. »

( histoquiz-contemporain.com )

 

« Il ne s’agit ni des mémoires posthumes du maréchal ni d’une simple biographie écrite par un tiers, mais bien d’un ouvrage sur lui, qui procède à la fois de l’un et de l’autre »…

( auxcentmillebouquins.fr )

 

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Ailleurs = entre 8 et 14,90 €uros sur priceminister

( http://www.priceminister.com/offer/buy/89437678/paulus-ma... )

11 €uros sur livre-rare-book.com

( http://www.livre-rare-book.com/book/5472977/AGDL110035/fr )

18/04/2012

Le poisson chinois a tué Hitler

Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…

Mois du livre de poche !  

 

Jean BOMMART : « Le Poisson chinois a tué Hitler »

 

Ouais… bon… d’accord… certains esprits chagrins vont très certainement arguer du fait que c’est un peu abusif que de consacrer une note entière à un seul petit poche… et encore, pas très épais !

Mais que voulez-vous…

Primo : j’adore ce p’tit book !

Deusio : on en a plusieurs en stock ! ( Hé! hé! )…

Et tercio, je tenais également à profiter de l’occase pour le présenter via une chronique empruntée à notre confrère et ami de « La Crypte du Chat Roux » ( les initiés en matière de « Réalisme Fantastique » auront, je l’espère, relevé l’excellent jeu de mots !?! ), un blog ô combien jouissif et sympathique, que je ne peux que chaudement vous recommander !

( N’hésitez pas à y passer le plus souvent possible… c’est un pur régal ).

Voili voiloù…

Ceci explique cela ! ( Hé! hé! )…   

 

Chronique de la Crypte du Chat Roux :

 

Le Poisson chinois a tué Hitler. C'est quoi ça, un nom de code ? Du révisionnisme qui attribuerait la mort d'Hitler à une absorption de fugu mal découpé ? Evidemment non, puisque le fugu est un poisson attribué aux Japonais.

Non non non, le Poisson chinois, c'est le capitaine Sauvin, agent secret français, cocorico ! Un agent secret à l'ancienne. C'est pas un minet de rosbeef qui cache des gadgets dans ses grolles et tire tout ce qui bouge et qui porte une jupe, voire tire dessus après. Un vrai Français, môssieur ! avec une sale gueule, mais au moins il sait se démerder sur le terrain, sans avoir à causer à son Q pour se sortir de la merde. 

A la fin du conflit 39-45, le Poisson chinois met la main sur un officier nazi, et prend sa place, par un subtil grimage, auprès de Himmler, qui n'y voit que du feu, et va aller négocier avec le comte Bernadotte et Speer la reddition de l'Allemagne avec les Alliés. Revisitation de l'Histoire, c'est par un pli personnel que le Poisson chinois, infiltré, livre des informations à Hitler sur ses soit-disants copains, qui provoqueront son suicide, eh eh. On est en plein roman de gare, de l'espionnage assez moderne, pour un roman écrit en 1951 (ceci dit, comparé à des mecs comme Cicéron, Schellenberg ou Naujocks… ouais ouais ouais je vous parlerai de ceux là dans une prochaine note. Hollywood n'a rien inventé à côté d'eux !). Espionnage moderne, mais aussi une très bonne connaissance historique, Jean Bommart, qui devait bien se faire chier à son boulot chez Havas, à Belgrade, était très bien documenté, et a su restituer les épisodes de la fin de la guerre, et parle même de la division LAH, ainsi que du Wehrwolf ! Même s'il leur attribue un pouvoir peut-être un peu trop grand par rapport à la réalité…

Mais bref, sous un titre qui semble loucher vers du San Antonio, le ton reste sérieux, sans manquer d'humour tout de même (la classe à la française), mais sans verser dans du Monocle, si truculent soit-il. 1-0 pour la France.

( http://lacrypteduchatroux.hautetfort.com/archive/2011/12/... )

 

Le Livre de Poche 1972 / 192 pages / 120 grammes.

Trois, deux, plus qu'un seul exemplaire disponible ( excellent état / nickel )…

Prix à l’unité >>> 2 €uros.

 

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Né à Douai (Nord) en 1894, Jean Bommart – après un an de médecine et un de droit à Lille – devance l'appel en septembre 1914 et se bat brillamment dans l'artillerie (blessé en 1916 au début de la bataille de Verdun), puis dans les trains blindés. Diplômé des Hautes Etudes commerciales en 1921, il devient attaché de presse et représentant de l'Agence Havas en 1921 et 1922 à Belgrade, journaliste à L'Action française (bien que non royaliste), puis rédacteur financier.

Cloué au lit pendant trois ans par une grave maladie, il écrit sur la suggestion de Benjamin Crémieux des nouvelles (1931) dont il prend le thème dans les intrigues internationales et les histoires d'espionnage qu'il a connues ou vécues.

En 1932, il obtient le Prix du Cercle littéraire avec Le Revenant et en 1934 celui du Roman d'aventures avec Le Poisson chinois, où il crée le personnage du capitaine Sauvin qui reparaît dans toute une série de volumes de La Dame de Valparaiso (1938) au Poisson chinois à Téhéran (1974). Le Poisson chinois a tué Hitler a atteint un tirage de 296.000 exemplaires.

A une quarantaine de romans d'espionnage ou policiers s'ajoutent également des romans-romans comme La Ronde de jour et Feux de la nuit (1947-1948) ou Celui-qui-va-seul (1955), des romans d'anticipation et deux pièces de théâtre, une tirée du Revenant et Blanc et Rouge (Prix des Escholiers 1936).

( Source : Le Livre de Poche, LGF ) 

28/03/2012

Collection GUERRE de chez GERFAUT

Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…

Mois du livre de poche !  

COLLECTION GUERRE de chez GERFAUT

« Editée par Gerfaut, « Guerre » est une collection uniquement composée de romans militaires traitant de batailles, de camps et de discipline. Elle s'apparente à la collection « Feu » de Fleuve Noir dans laquelle on retrouve d'ailleurs beaucoup d'auteurs communs… auteurs qui, malgré des noms à consonances allemandes ou russes, écrivaient quasiment tous sous des pseudonymes. »… Nous explique gentiment je ne sais plus quel site spécialisé dans la vente de livre de poche !?

( Livrenpoche ou Bibliopoche ou quelque chose comme ça !? )…

 

Et ouais… c’est clair que si vous recherchez des ouvrages sérieux sur la seconde guerre mondiale ou tout autre conflit du siècle écoulé, mieux vaut passer votre chemin ! Cette collection relevant (en fait) de tout sauf de « l’ouvrage sérieux », du témoignage vécu ou de quoi que ce soit d’autre dans le même style… mais plutôt du pur délire façon « Pulp » !

Méchants nazis sadiques, à faire frémir les pires scénaristes de « fumetti » et autres « giallos » transalpins des seventies… ambiances à la « Ilsa, la louve des SS » croisées « Salon Kitty »… on donne ici dans la fesse, le cul, la tripaille, le sadisme bien salace et autres joyeusetés du même genre ! (Façon « Men’s Adventures » quoi, pour ceusses qui connaissent ce célèbre pulp américain !? Les couvertures érotiques en moins ! )…

Du « Inglorious basterds » sans le côté « les juifs sauvent le monde »…

(Certains « auteurs » étant plutôt « de l’autre bord », malgré une nette propension – très certainement dictée par la ligne éditoriale de la collection, d’ailleurs… – à souvent dépeindre tout porteur de l’uniforme feldgrau comme un disciple assidu du Divin Marquis !)

La grande majorité de ces books sont en fait l’œuvre d’un certain Enrique Sanchez y Pascual, un écrivain espagnol ultra-prolifique qui n’a quasiment jamais écrit sous son vrai nom… mais comptabilisé pas moins d’une quarantaine de pseudonymes ; aussi bien anglo-saxons, lorsqu’il écrivait de la Science Fiction… que germaniques, lorsqu’il écrivait de la « littérature guerrière » ! (N’hésitant pas, au besoin, à signer Isaias Bronstein, lorsqu’il écrivait des ouvrages sur la psychanalyse !?!!! Haha)…

Et même si quelques N° sont (parfois) un peu plus « sérieux » (ceux qui ne doivent pas être du sieur Enrique, en fait !?!), l’ensemble de la collection baigne les trois-quarts du temps dans une sorte de déjante outrancière tout à fait à même de séduire les fans de « pulp littérature » bien déglinguée et/ou les accros aux films façon Grindhouse ! 

De vraies petites perles d’action débridée et de mauvais goût bien kitsch…  

 

Kurgan

 

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Toutes les couvertures de la collection ici >>> http://vereiter.free.fr/guerre.htm

Ou ici >>> http://gerfaut003.skyrock.com/ 

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Ailleurs = Les livres de cette collection sont généralement proposés à des prix oscillant entre 4 et 6 €uros (pour des états allant de moyen à bon) tant chez les bouquinistes que sur la plupart des sites… de priceminister à ebay en passant par les livrenpoche.com et autres.

> http://www.livrenpoche.com/collection/Guerre/531.html

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N° 017 : GERWITZ Kurt : « Tribunal de guerre »

Quatrième de couverture :

– Feldwebel, avez-vous donc oublié vos camarades morts ? Certains d'entre eux ont fort probablement été tués par ces deux-là ?

– S'ils pouvaient encore parler, Herr Leutnant, mes camarades seraient sans aucun doute les premiers à demander la grâce de ces enfants !

– Pas de sensiblerie déplacée, Feldwebel ! Nous sommes en guerre et les lois de la guerre doivent être respectées !

Le lieutenant Gieseler coiffa sa casquette, se redressa pour prononcer la sentence : C'est en qualité de représentant du Führer Adolf Hitler que je vous condamne à mort ! Vous serez pendus tous les deux, demain à l'aube…

Avec pour toile de fond la plus grande bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale voici un roman poignant, un roman profondément humain. Une histoire dont toutes les phases et tous les personnages sont passionnants.

Le lieutenant Paul Lorenz. Il fait courageusement son devoir de soldat. Jusqu'au jour où il découvrira, avec honte et stupeur, quel est le rôle ignoble qu'on veut lui faire jouer.

Hermann Gieseler nazi fanatique, glacial, inaccessible à la pitié. L'un de ces parfaits accusateurs des tribunaux de guerre volant, érigés à la hâte vers la fin du troisième Reich pour juger sommairement les officiers et les soldats qui se sont montrés trop tièdes envers le Führer.

Gerfaut – 1978 – 285 pages – 170 grammes.

Etat = Une toute petite pliure en haut à gauche de quatrième + quelques infimes traces d’usage, sans quoi il est nickel ! 

Volume double :  4 €uros. / disponible.

 

Egalement disponible : un autre exemplaire, même année / édition…

Etat = Quelques fines cassures sur tranches, des rousseurs sur les pages de garde et les tranches papier, ainsi que quelques petites marques de stockage, mais tout à fait O.K ! Volume double : 2,50 €uros. / disponible.

 

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N° 125 : GERWITZ Kurt : « L’infernale troïka »

Quatrième de couverture :

– ACHTUNG ! Les Russes…

Le reste se perdit dans le fracas des mitrailleuses tirant à plein régime. Une douzaine de blindés T.34 venaient d'apparaître sur les bords du ravin au creux duquel étaient alignées les charrettes transportant les blessés de la Division. Les insignes de la Croix-Rouge étaient cependant nettement visibles, mais les équipages des chars ne semblaient pas les avoir vues, et les balles continuaient à pleuvoir. Les chevaux s'abattaient en poussant des hennissements d'agonie auxquels se joignaient les hurlements des blessés qui ne pouvaient fuir. Puis les énormes blindés s'ébranlèrent, descendirent dans le ravin, et le carnage se poursuivit. L'une après l'autre ; les charrettes furent renversées, broyées sans pitié avec leur contenu sous les larges chenilles. Quelques minutes suffirent pour transformer le fond du ravin en une sorte de marécage sanglant.

– Salopards ! hurla un soldat qui avait assisté impuissant à l'atroce boucherie.

L'INFERNALE TROIKA

Se rendre ou passer sur le ventre de l'ennemi qui les encerclait de toutes parts ? Tel était le dilemme qui se posait aux cinquante six mille soldats allemands, et volontaires des Brigades scandinave et belge enfermés dans la poche de Tcherkassy au mois de février 1944. Ils choisirent la seconde solution, et écrivirent ainsi en lettres de sang et de feu l'une des pages les plus dramatiques de l'Histoire de la Deuxième guerre mondiale…

Gerfaut – 1969 – 217 pages – 145 grammes.

Etat = Une assez nette cassure sur tranche ayant entraîné un petit défaut de pelliculage, sans quoi il serait parfait / quasi neuf !

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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N° 141 : WINKELS Franz : « Souviens-toi SS »

Quatrième de couverture :

L'ambition déchaînée d'un chef – le lieutenant Gottberg – et ses manifestations les plus offensives pourvoient le récit de Franz Winkels d'une dimension supplémentaire qui est peut-être la principale. Quand ce chef affamé de réussite personnelle n'hésite pas à provoquer les engagements meurtriers ni à y jeter ses hommes, un principe de conscience s'éveille dans l'esprit d'un S.S de sa section.

Cet homme est le narrateur de cette histoire – et les jours qui conduisent le nazisme à la chute finale, le forcent malgré lui à réviser toutes les valeurs de son univers… jusqu'à celles qu'il croyait le plus durement établies.

Et, tandis que le lieutenant Gottberg, exploitant à son profit la mort de ses hommes, gravit les échelons d'une hiérarchie supérieure, le narrateur, qui a touché au bout de ses réflexions, comprend farouchement qu'il n'y a, pour lui, d'autre libération que dans un geste qu'il veut justicier.

Gerfaut – 1970 – 217 pages – 140 grammes.

Etat = petits défauts de pulliculage sur tranche, ainsi que 3 marques de pliures sur couv’, sans quoi il serait très bien, intérieur propre et sain !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 144 : ZORN Helmut : « Achtung minen »

Quatrième de couverture :

Toutes les puissances de l'enfer se déchaînèrent. Les hommes eurent soudain l'impression que la terre tremblait, qu'un nouveau volcan allait s'ouvrir sous leurs pieds. Les explosions se succédaient, s'entremêlaient, se répercutaient. On entendait des sifflements métalliques. Des morceaux d'acier volaient en tout sens.

A l'approche des chars américains, les Allemands avaient ôté les panneaux qui signalaient le péril : ACHTUNG MINEN !

Mais quelle curieuse équipe avait posé ce champ de mines. Des membres de la Volksturm, vétérans de la Première Guerre ou adolescents frais émoulus de la Hitler jugend… Des femmes fanatiques qui s'étaient jointes à eux… Des S.S. qui avaient pris le commandement du groupe… Un rescapé du commando Skorzeny… Un vieillard qui se souvenait de Sedan… Le génie militaire de l'officier S.S. infligeait de lourdes pertes aux Américains. Mais les dissensions internes n'allaient-elles pas mener la débâcle de ce groupe disparate ?

Gerfaut – 1970 – 218 pages – 140 grammes.

Etat = Une assez nette cassure sur tranche, sans quoi il serait nickel !

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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N°145 : STARKOV Dimitri : « Poignard dans le dos »

Quatrième de couverture :

La locomotive fut soulevée comme un jouet d'enfant. Elle retomba sur le côté, crachant sa vapeur par toutes les craquelures de sa carcasse démantelée. Les wagons qui suivaient, s'écrasaient les uns contre les autres, basculaient, quittaient les rails.

Blessés ou simplement contusionnés, les soldats allemands tentèrent de sortir des débris métalliques. Ils furent cloués au sol par les rafales des mitrailleuses.

Une nouvelle fois, les partisans venaient d'agir, et ces attentats sur leurs arrières étaient pour les forces allemandes un véritable POIGNARD DANS LE DOS !

C'est l'histoire de la formation des tous premiers groupes de partisans russes, qui ne fut pas spontanée, comme le veulent certaines légendes, mais commandée du Kremlin dans un but bien précis : Rendre toute collaboration impossible avec l'occupant que d'aucuns ne demandaient qu'à considérer comme un libérateur.

C'est aussi le récit d'une des ruses les plus tortueuses employées par les Nazis pour tenter de neutraliser les groupes de partisans.

Editions Gerfaut – 1970 – 218 pages – 145 grammes.

Etat= Une assez nette cassure sur tranche, 2 marques de pliures sur couv’ et quelques traces de stockage sur quatrième, mais intérieur parfait.

>>> 1,80 €uros. / disponible.

 

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N° 150 : GICQUEL Pierre : « La route du sang »

Quatrième de couverture :

Son regard venait d'accrocher un buisson solitaire qui se trouvait à environ dix mètres de la piste. Ses yeux s'agrandirent de stupéfaction :

– Nom de Dieu!

Devant le buisson était allongé le corps dénudé de l'infirmière. La jeune femme ne bougeait pas. Morte… Lepage cherchait ce qui avait motivé le juron de Dupont, mais ce dernier courait déjà vers le cadavre.

– Attention ! hurla-t-il en épaulant sa carabine.

II venait de voir le canon d'un fusil sortir d'un buisson, mais il était trop tard, et les deux coups de feu n'en firent qu'un. Dupont s'écroula à quelques pas d'Annie.

Lepage continua de tirer. En trente secondes, la rage au cœur, il vida les quinze cartouches de son chargeur. Là-bas, il voyait les fines tiges des arbustes éclater sous l'impact des balles.

A la vitesse de l'éclair, il remit un chargeur plein et avança.

Brusquement, un étrange silence plana sur cette courte-scène.

Derrière le buisson, Ong Lô, le corps à demi sorti d'un trou, gisait mort, la tête percée d'une balle. II serrait dans l'une de ses mains les deux dernières cartouches qu'il n'avait pas eu le temps de tirer. Ses yeux ouverts, avaient encore un éclat haineux.

Gerfaut – 1970 – 218 pages – 150 grammes.

Etat = 2 assez nettes cassures ( ayant entraîné des défauts de pelliculage ) sur tranche, ainsi qu’une pliure en bas de quatrième… mais couv et intérieur nickel !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 167 : PORTER J.W. : « Vous mourrez ! »

Quatrième de couverture :

Ils avaient une devise : MOURIR « UTILE ».

– Go on ! articula le capitaine Lock. On va y aller !

Le lieutenant Gunison se dressa aussitôt.

– Yes Sir!

Autour d'eux, les Marines n'avaient pas besoin qu'on leur fasse un dessin. Tous, sans exception, en avaient marre de recevoir les coups sans les rendre.

– Crever pour crever, remarqua Frackson, autant crever « utile ».

Il prit une grenade dans chaque main, s'assura que son poignard de commando glissait bien dans la gaine. Pour ce qu'ils allaient faire, c'était dix fois plus pratique que la mitraillette.

– En avant ! hurla Gunison.

Ils émergèrent de leurs trous, sanglants, boiteux, éclopés de mille façons. Ils n'étaient guère plus de cinquante ou soixante. Ils gueulèrent comme trois mille.

Une fois de plus, les tourelles des chars japonais virèrent dans leur direction, pour les faucher en pleine course.

Mais ils couraient toujours…

Gerfaut – 1971 – 217 pages – 160 grammes.

Etat = défaut de pelliculage ( dû à un réseau de fine cassures ) sur tranche ainsi que 2 petites traces de pliures sur quatrième, mais couv’ et intérieur nickel !

>>> 2 €uros. / disponible. 

 

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N° 169 : STARKOV Dimitri : « Nécessité stratégique »

Quatrième de couverture :

Le spectacle était dantesque. Les bâtiments s'écroulaient les uns après les autres. Des gerbes de flammes, de fumée et de pierres jaillissaient vers le ciel nocturne, l'illuminaient comme une aurore boréale commandée par Satan. Les soldats allemands couraient çà et là, le terrain se dérobait soudain sous leurs pieds, ils basculaient, s'effondraient ou bondissaient dans les airs au milieu des débris des précieuses machines.

Plus loin dans la forêt, les Russes, figés, presque au garde-à-vous, contemplaient avec joie et amertume cette victoire représentant en même temps la destruction d'une installation qui avait coûté des millions de roubles.

NÉCESSITÉ STRATÉGIQUE .

C'était elle qui commandait aux Russes de tout détruire avant de céder à l'envahisseur le terrain qu'ils ne parvenaient pas à défendre. C'était elle qui commandait aux Allemands d'empêcher les Russes d'anéantir leurs installations industrielles.

Au milieu de tels affrontements, que représentent encore les passions des individus et les amours d'une prisonnière politique comme Tania Orlova ?

Gerfaut – 1971 – 213 pages – 155 grammes.

Etat = Quelques fines cassures sur tranches, un tout petit manque en bas de tranche, ainsi que des rousseurs et « salissures » sur les tranches papier, mais intérieur O.K, déclaré bon pour le service ! : 2 €uros. / disponible.

 

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N° 172 : KLUBER Hans : « Ouragan sur Kiev »

Quatrième de couverture :

Il arrive souvent, malheureusement, de voir la guerre entraîner dans son sillage ensanglanté des êtres qui n'auraient pas dû y être mêlés… mais la guerre ne respecte rien ! Elle salit tout ce qu'elle touche. Cependant, ce qu'il arriva dans la région de Kiev, au moment de la grande offensive soviétique atteignit la limite de l'impensable…

Oublié des forces allemandes qui s'étaient bornées à l'entourer d'épais barbelés, un établissement redoutable allait jouer un rôle de tout premier plan, devenir le centre du plan russe, la cachette rêvée pour un groupe de tankistes soviétiques, tentant leur dernière chance.
Derrière les murs sales du sinistre bâtiment, un groupe de femmes, le visage voilé, mouraient dans une atroce et lente agonie, atteintes de la maladie la plus effroyable du monde :
LA LÈPRE !

La jeune lépreuse avança lentement, progressant dans le couloir obscur, frémissant, les tempes moites, le cœur battant la chamade.

Soudain, la voix d'un homme s'éleva : Stoï !

Kiril vit son corps magnifique, nu, sans la moindre tache, se dressant devant lui, provocant… Avec un grognement, il se précipita vers la jeune femme, la prit par les épaules, l'attirant fortement vers lui.

Gerfaut – 1971 – 214 pages – 155 grammes. 

Etat = 2 fines cassures ainsi qu’un tout petit manque en bas de tranche + une toute petite pliure en bas à droite de la couv’, mais intérieur parfait !

>>> 2 €uros.  / Vendu - temporairement indisponible.

 

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N° 174 : STARKOV Dimitri : « L’homme au bazooka »

Quatrième de couverture :

Les deux hommes bondirent, puis s'affalèrent derrière le repli de terrain. Déjà, l'homme au bazooka avait mis son arme en position. Il commanda : Charge !

Son compagnon connecta le fil de la fusée, en l'enfournant à l'arrière du tuyau de poêle. Un jet de flammes jaillit. La fusée traversa les airs et heurta la base de la tourelle, parfaitement à la perpendiculaire, ce qui permit le jeu impeccable du percuteur à inertie. La charge creuse explosa. Les ondes de choc concentrées par l'ogive se frayèrent un chemin dans le blindage, le perforant comme une vulgaire feuille de papier à cigarettes.

L'HOMME AU BAZOOKA à l'entraînement comme au combat, prend toujours un maximum de risques pour être sûr du succès. Son chargeur le suit en tremblant un peu. Mais il suit. Il sait que le tireur se conduit en héros, parce qu'il pense à sa femme qu'il veut libérer. Pour lui, la guerre, c'est ça. La victoire, ce sera retrouver Sylvaine.

Ils ignorent que Sylvaine a trouvé auprès des Allemands l'occasion de réaliser ses ambitions secrètes…

Gerfaut – 1971 – 217 pages – 155 grammes.

Etat = 2 cassures sur tranche, une trace de pliure en bord de couv’ ainsi que quelques marques marques de stockage et d’usage, mais intérieur nickel.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 211 : WOODLEY Harry : « Piège à Tobrouk »

Quatrième de couverture :

Lorsque Churchill apprit la chute de Tobrouk, il acheva son commentaire à la BBC par des mots très durs et très amers : « La défaite est une chose ; la honte en est une autre ! »

Pourtant, cette honte ne pouvait concerner les hommes du commando Truman qui se cachèrent dans les égouts de Tobrouk tandis que des milliers de leurs compatriotes marchaient vers les camps de prisonniers. Ce célèbre commando était composé de Britanniques et d'Australiens ; sa mission : retarder au maximum la remise en état du port de Tobrouk.

Cependant, au-delà des désirs des Anglais et des Allemands, les impondérables qui toujours échappent aux chefs des armées étaient en train de tisser une toile d'araignée sur la ville. Et c'est ainsi que pour le vaillant commando comme pour les troupes de Rommel, des puissances inconnues montèrent un… PIEGE A TOBROUK !

L'Oberstabsarzt Hillebrand examina les taches noires sur le visage de l'Hindou ; il tâta ensuite les plis de l'aine du cadavre. Ses doigts se serrèrent sur de durs ganglions. Hermann leva la tête, une lueur d'épouvante au fond des prunelles :

– C'est la peste ! prononça-t-il d'une voix rauque.

Editions Gerfaut – 1973 – 217 pages – 150 grammes.

Etat = nombreuses rousseurs et menues « salissures » sur bords papier, mais intérieur et plats tout à fait biens ! : 2,50 €uros. / disponible.

 

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N° 221 : SIEBEL Hermann : « Qu’il soit maudit »

Quatrième de couverture :

L'énorme armée soviétique fonce sur Berlin. Mais çà et là, des îlots de résistance brisent son avance. A Budapest, sur l'ordre express d'Hitler, 70.000 hommes se laissent volontairement encercler afin de retarder le plus possible la défaite inéluctable.

Pendant trois mois, 220.000 Soviétiques s'épuiseront à les briser. Ce n'est que quartier par quartier, maison par maison, qu'ils réussiront à s'emparer de la ville.

Non sans mal ! 50 000 morts au moins seront le prix de cette victoire…

Quant aux Allemands, tous moururent ou furent faits prisonniers.

Quelques-uns seulement réussirent à s'échapper…

QU'IL SOIT MAUDIT !

Les rafales le scièrent en deux, d'une épaule à l'autre. Le corps décapité s'effondra sur place, comme une poupée de son. Mais la tête roula jusqu'au bord du Danube, hésita contre une grosse motte d'herbe, et tomba dans l'eau.

– Achtung ! souffla Schluck, accroché au tronc d'arbre. Les Russes nous tirent dessus.

– Ce serait bête qu'ils nous tuent maintenant ! ricana Shiller. Tant qu'à faire, j'aime autant que ce soient les copains, les derniers à mourir…

Gerfaut – 1973 – 217 pages – 140 grammes.

Etat = Deux fines cassures sur tranches, des rousseurs et « salissures » sur les tranches papier et pages de garde, mais intérieur O.K : bon pour le service !

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 239 : SEDOFF Anton : « L’attaque des SS… »

Quatrième de couverture :

En août 1943, le front russe s'étend de Leningrad délivrée à la mer d'Azov, sur plus de mille cinq cents kilomètres. Mais l'offensive soviétique ralentit.

En territoire encore occupé par les Allemands, les partisans multiplient alors leurs actes de sabotage, au point que le commandement décide une opération de très grande envergure contre ceux réfugiés dans les marais du Pripet : soixante mille S.S. appuyés par les chars et l'artillerie, se mettent sur le pied de guerre. Contre cette armée formidable, les partisans ne sont que quelques centaines. Mais ils useront de toutes leurs forces, de tout leur courage, pour repousser : L'ATTAQUE DES S.S

– Jawohl ! hurla le Junker. Tous kaputt !

– Tu vas voir si nous sommes tous morts, fumier ! ricana Lozbov.

Il appuya sur la détente de sa mitraillette. La rafale éclata comme un coup de tonnerre, immédiatement multipliée par celles de ses camarades. Les Grenadierschutzes culbutèrent les uns sur les autres, sans même avoir eu le temps de se défendre. D'en haut, des jurons gutturaux firent presque autant de bruit. Les Russes n'en eurent cure.
– Allez ! Envoyez donc une autre tournée ! jubila Chtoukov. Nous sommes prêts !

Gerfaut – 1974 – 217 pages – 140 grammes.

Etat =  Bon+ / Tranche non cassée, plats en très bon état, serait quasiment comme neuf sans quelques menues rousseurs sur les tranches papier et d’infimes marques de stockage sur quatrième. Intérieur sain, très certainement jamais lu !?!

>>> 4 €uros. / disponible.

 

Egalement disponible : un autre exemplaire, même année / édition…

Etat = 2 cassures sur tranche, rousseurs et salissures sur bords papier ainsi que quelques marques d’usages sur plat… mais intérieur O.K.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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N° 304 : GUYENNE Alain : « Secret militaire »

Quatrième de couverture :

– Regardez ce que je ramène, lança jovialement le caporal.

Il poussait une vache devant lui.

Il vit la patrouille allemande prisonnière et jura :

– Bon Dieu ! On ne s'est pas déplacé pour rien !

– On rentre, décida le sergent.

– Et ma vache ? Après tout, c'est une prise de guerre !

Ils emmenèrent donc le ruminant en même temps que les soldats ennemis qu'ils avaient capturés. Ils ne savaient pas encore qu'ils venaient de mettre ainsi la main sur un… SECRET MILITAIRE.

C'était le temps où rien n'avait plus de sens logique et où la raison avait perdu ses droits. Une invention pouvait-elle avoir de la valeur quand elle avait été conçue par un cerveau juif ? Dans un camp comme dans l'autre, on avait plutôt tendance à penser le contraire.

Gerfaut – 1977 – 217 pages – 140 grammes.

Etat = Une trace d’humidité ainsi qu’un petit défaut de pelliculage sur quatrième, sans quoi O.K, tout à fait bon pour le service ! : 2 €uros. / disponible.

 

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N° 309 : SERVAÏEF Andreï : « Leutnante Isolda »

Quatrième de couverture :

Non ! Pas ça ! fit-elle d'une voix étranglée. Vous n'allez pas me violer ? Non…

– Vous dites toutes ça au début ! Après, vous hurlez de plaisir ! Tu vas voir…

Il se précipita sur Isolda. Ses mains impatientes dégrafèrent la tunique, essayant de dénuder le corps de la jeune femme. Elle se débattait vigoureusement, mais les doigts rudes de l'homme excité firent jaillir les seins. Un rugissement de bête sauvage s'échappa des lèvres de la brute à la vue de la poitrine magnifique qui s'offrait à lui.

Une silhouette grande et mince apparut soudain dans le couloir.

– Oberscharführer, arrêtez !

Mais le sous-officier SS était trop excité. Il n'était plus maître de ses gestes. Deux coups de feu retentirent. Le Standartenführer Grausemann claqua les talons et s'inclina.

– Heil Hitler ! Je suis vraiment navré de cet incident fâcheux. J'ai été obligé de corriger cet homme… LEUTNANTE ISOLDA

Pologne 1939. La guerre vient d'éclater. Un conflit sauvage, d'une extrême cruauté. Hitler voulait que ce Blitzkrieg serve d'exemple aux autres nations qui auraient été tentées de s'engager dans cette bataille titanesque…

Un homme et une femme se trouvent au centre de ce récit poignant. Leur amour était à l'image de cette Pologne déchirée et sanglante.

Editions Gerfaut – 1977 – 219 pages – 135 grammes.

Etat = Quelques petites marques de stockage en bas de couv’ ainsi qu’une trace de salissure sur le haut + des rousseurs sur pages de garde / bords papier. Mais O.K…

>>> 1,80 €uros. / Vendu - temporairement indisponible.

 

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N°322 : WOLF Baldwin : « Les requins de la nuit »

Nageurs de combat ! Le silence des profondeurs était leur royaume. Ils venaient de la nuit et ne sortaient de l'ombre que pour frapper comme le Destin. Ni par haine, ni par cruauté: uniquement parce qu'ils représentaient la DERNIERE CHANCE…

La dernière chance de la WEHRMACHT face à la ruée soviétique.

Kowalski et Hentzler savaient, depuis que le U-542 les avait lâchés en pleine mer, qu'ils ne pourraient jamais plus compter que sur eux – et eux seuls – sur les arrières soviétiques. Et ce n'était certes pas le sourire enjôleur de la trop belle Hildegarde qui leur serait d'un grand secours… eux qu'on avait abandonnés avec la mission la plus empoisonnée qui ait jamais été conçue…

Etat = Quelques p’tites marques de stockage / usage sur plats, mais carrément bien… tranche non cassée, intérieur sain et propre : 2,80 €uros. / disponible.

 

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N° 389 : SERVAÏEF Andreï : « La folie du lieutenant Tatiana »

Quatrième de couverture :

Elle tourna le dos au canapé et déposa la seringue.

– TATIANA… balbutia Igor, écoutez-moi, lieutenant…

La Mirochenka se retourna tout d'une pièce. Mojoukin délirait.

Il prononçait des mots sans suite. Elle l'écoutait comme médusée :

– Attention, lieutenant Mirochenka ! Vous m'avez empêché de remplir ma mission ! Ah ! Vous me faites mal ! Laissez-moi partir ! Vous êtes responsable ! La cote 126 est en danger ! Je dois partir !

  Demain matin, capitaine Mojoukin !

Elle voulait entourer le cou d'Igor de ses mains, dans l'impatience de l'attirer, mais l'homme se dégagea. On eut dit qu'il hésitait entre le devoir et le plaisir.

– Oh, viens !

Des cris retentirent. Des cris de joie, d'extase, de délire.

– Chéri ! S'écria-t-elle, serre-moi fort… très fort !

Cependant que l'aube se leva maussade, pluvieuse, désespérante sur la Colline 126 de Morosovskaïa, la lieutenant Tatiana Mirochenka avait perdu la raison.

– Affreux, murmura-t-elle en frissonnant. Mille fois soient maudits tous ceux qui ont organisé cet horrible holocauste !

Gerfaut – 1980 – 177 pages – 130 grammes.

Etat = une fine cassure sur tranche, bords papier quelque peu jaunis / salis, mais intérieur et plats tout à fait O.K : 2,50 €uros. / disponible.

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27/03/2012

Guerriers / Part.1

Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…

Mois du livre de poche !

 

Mikhaïl CHOLOKHOV : « Ils ont combattu pour la patrie »

Quatrième de couv’ : II semble que Cholokhov, enfant du Don, ait retrouvé pour parler de la guerre moderne à la fois le souffle épique et la bouleversante tendresse humaine qui caractérisaient le Tolstoi de GUERRE ET PAIX. Dans ce roman, il évoque avec une grande force de témoignage la terrible retraite de 1942, l'armée russe vaincue, traquée, se repliant vers le Don, mais il l'évoque aussi bien à l'échelle de l'Europe face à l'avenir qu'au niveau du simple troupier avec ses terreurs, ses pauvres expédients pour survivre, sa faim constante, son humour tragique et involontaire, ses préoccupations tantôt héroïques, tantôt sordides. C'est cette dualité qui donne à « ILS ONT COMBATTU POUR LA PATRIE » une dimension universelle, et qui valut à l'écrivain, pour son talent et sa sincérité, le Prix Nobel de littérature 1965.

Presses pocket – 1969 – 315 pages – 200 grammes

Etat = quelques petits chocs en haut de couv ( visibles sur la photo ) sans quoi il n’est même pas « cassé »… et de fait, très certainement jamais lu !?!! Comme neuf !

>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Pierre SERGENT : « 2ème R.E.P » 

( Algérie – Tchad – Djibouti – Kolwezi – Beyrouth )

Quatrième de couv : Né du 2e B.E.P. d'Indochine, le 2e R.E.P. devient, en 1956, en Algérie, le fer de lance de la zone Est algérien. Il se taille une solide réputation et accumule les plus importants bilans. En 1962, replié à Bou Sfer, en protection de la base de Mers el-Kébir, le 2e R.E.P. s'enlise dans la boue et le marasme. Alors, son colonel décide de spécialiser son régiment, de le rendre capable de remplir n'importe quelle mission, dans n'importe quel contexte, sous n'importe quelle latitude. Cadres et légionnaires deviennent chuteurs opérationnels, tireurs d'élite à toutes les armes, nageurs de combat, alpinistes.

Le 2e R.E.P. a trouvé sa voie : il sera l'unité des missions impossibles.
Il fait campagne au Tchad. Il saute sur Kolwezi. Il délivre les otages à Djibouti. Il débarque en tête à Beyrouth en 1983. Il repart au Tchad en janvier 1984.

Ce livre raconte la passionnante aventure d'un groupe d'hommes appartenant à une prestigieuse unité de choc supérieurement entraînée, au service de la Patrie que ces étrangers se sont choisie.

L’auteur : Il commençe sa carrière militaire dans le maquis à l'âge de 17 ans, puis suit une carrière d'officier dans la Légion Etrangère après un passage à Saint-Cyr-Coëtquidan. A sa sortie de l'ESM en 1949, il est affecté au 1er Regiment Etranger, à Saïda (Algérie). Lieutenant, il combat au 1er Bataillon Etranger de Parachutistes durant la guerre d'Indochine (1951-1953), où il est grièvement blessé, puis comme capitaine pendant la guerre d'Algérie au sein du 1er Régiment Etranger de Parachutistes (1958-1961), après avoir été affecté au 1er Régiment Etranger d'Infanterie en 1956.

Après l'échec du putsch d'Alger en avril 1961, il passe à l'OAS dont il devint le chef pour la métropole (OAS-métro). Pendant sept ans, il échappe aux recherches policières tandis qu'il est condamné à mort par contumace deux fois. Il est finalement amnistié après les évènements de mai 1968. Proche des milieux solidaristes, en particulier du Mouvement jeune révolution et de Jean-Pierre Stirbois, il fut élu en 1986 député des Pyrénées-Orientales sous l'étiquette du Front national, après un passage au Centre national des indépendants et paysans. 

Pierre Sergent est l'auteur de nombreux livres sur la Légion étrangère et sur la guerre d'Algérie.

Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »

Nombreuses photos hors-texte / 1986 – 377 pages – 195 grammes. 

Etat = quelques petites marques de stockage / manipulation… ainsi qu’une cassure sur tranche, mais rien de grave, tout à fait O.K !

>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Capitaine BARRIL : « Missions très spéciales »

Quatrième de couv : Paul Barril, l'État ne connaît pas. Nous sommes le 5 octobre 1983, Max Gallo, porte-parole du gouvernement à cette époque, vient de nier l'existence de l'un des officiers de gendarmerie les plus prestigieux de ces dernières années. Un an s'est écoulé depuis la création par l'Élysée d'une cellule de lutte contre le terrorisme, confiée au commandant Christian Prouteau et à son adjoint le capitaine Paul Barril. A 38 ans, après des dizaines d'actions prestigieuses au service de la France, Paul Barril connaît la disgrâce.

Lâché par sa hiérarchie, livré aux soupçons de la presse, aux coups bas de certains policiers, harcelé par les convocations des juges d'instruction, il devient en quelques semaines la cible privilégiée des critiques adressées à l'organisation des services secrets français, la première victime importante de la guerre des polices. On lui reproche indistinctement ses initiatives personnelles, son non-respect des règles de la procédure pénale dans quelques opérations secrètes exécutées à la demande de sa hiérarchie. On oublie aussitôt que « l'inconnu de la Présidence » a arrêté 113 personnes, participé à la reddition de 61 forcenés, neutralisé à mains nues 16 individus armés, libéré 500 otages, de l'Ambassade de France au Salvador, à la Somalie en passant par La Mecque dont il ne sera pas parlé ici.

Aujourd'hui Paul Barril livre ses réflexions sur une carrière interrompue contre son gré. Sans amertume, il règle quelques comptes. Il retrace son incroyable parcours au service de l'État, il décrit ses méthodes de combat, il évoque ses rencontres avec ceux qui ont fait l'actualité du terrorisme, d'Action Directe aux mouvements d'Extrême Droite, de Klaus Croissant à Charly Ching, des mouvements autonomistes corses à l'affaire de l'Ambassade d'Irak, à l'occasion de laquelle quatorze impacts de balles sont relevés sur la voiture qui lui a servi de bouclier. Il retrace ses missions contre le grand banditisme, de « Pierrot » Conti à Mesrine. Il propose aussi des solutions.

Presses de la cité – 1984 – 400 pages – 210 gr – Nombreuses photos hors-texte –

Quelques marques de lecture et de stockage sur plats + une cassure sur tranche, mais intérieur tout à fait O.K, bon pour le service : 2 €uros. / Vendu !

 

Jean MABIRE : « Les panzers de la garde noire »

Quatrième de couv : Forte d'une simple compagnie en 1933, la garde personnelle d'Adolf Hitler, la « Leibstandarte », est devenue une dizaine d'années plus tard une Panzerdivision qui fut parmi les plus redoutables de la Waffen SS. Cette troupe d'élite, formée de jeunes soldats sélectionnés pour leur stature, leur fanatisme et leur courage, a combattu sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale. 

Commandée par le légendaire lansquenet bavarois « Sepp » Dietrich, elle a participé aux offensives les plus hardies comme aux combats les plus désespérés. En Pologne en Hollande, en Macédoine, en Grèce, en Ukraine, en Normandie, dans les Ardennes ou en Hongrie, les hommes de la Garde Noire ont toujours été à la pointe de l'armée allemande. A l'approche de la défaite, ses Panzers tentèrent vainement de forcer la décision, et le sacrifice des régiments de la « Leibstandarte » acheva l'aventure militaire du IIIème Reich.

Presses Pocket / Collection « Troupes de Choc »

Nombreuses photos hors-texte / 1980 – 350 pages – 180 grammes. 

Etat = quelques infimes petites marques de stockage / manipulation… mais vraiment infimes, exemplaire en très très bon état… nickel !

>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

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14/02/2012

Jean LARTEGUY - Les mercenaires

Jean LARTEGUY : « Les mercenaires »

 

Quatrième de couverture : Ces mercenaires, dont l’auteur des « Centurions » évoque le destin héroïque et pitoyable, sont des combattants du Bataillon français de Corée. Leur aventure, qui a été la sienne, l’avait inspiré à ses débuts de romancier, et maintenant, en pleine possession de ses moyens, il a repris cette première esquisse avec une puissante sobriété.

C’est le roman de la fierté nationale déçue, des énergies qui n’ont pas trouvé leur emploi, des sacrifices sans foi et sans cause. Un général américain ambitieux et une montagne dépourvue d’intérêt stratégique, mais dont la fascination s’exerce sur les deux camps, dominent le drame des combattants. Plus encore que les « Centurions », ces « Mercenaires » sont pour la plupart des aventuriers à l’état pur. Jean Lartéguy nous les livre entiers, avec des secrets de leur passé qui pourraient à l’occasion intéresser la police, et d’autres secrets plus intimes, destinés à rester enfouis dans les cœurs. Ce sont d’inoubliables figures d’hommes, les fils irrécusables d’un siècle de violence… un grand témoignage honnête et viril sur l’homme de guerre de notre temps.

 

Presses de la cité – E.O de 1960 – 377 pages.

21,5 x 13,5 cms – 500 grammes.

Couverture cartonnée recouverte simili-cuir bordeaux,  titres et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleurs.  La jaquette ( très légèrement insolée sur l’arrière ) présente ( bien entendu ) quelques petites traces de manipulation, mais est tout de même dans un état remarquable pour une édition de 1960 ! Et hormis quelques infimes « chocs » en haut et bas de tranche, le livre est nickel… intérieur sain et propre.

>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 Lartéguy-Mercenaires.jpg 

Ailleurs = 10 €uros sur galaxidion.com

10 €uros sur marelibri.com

Entre 7 et 9,95 €uros sur priceminister ( pour du bon état avec jaquette )

 

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A ma connaissance, aucun mercenaire ne répond plus à la définition qu’en donne le Larousse : « soldat qui sert à prix d’argent un gouvernement étranger ».

Les mercenaires que j’ai rencontrés, et dont j’ai parfois partagé la vie, combattent  de vingt à trente ans pour refaire le monde. Jusqu’à quarante ans, ils se battent pour leurs rêves et cette image d’eux-mêmes qu’ils se sont inventée. Puis, s’ils ne se font pas tuer, ils se résignent à vivre comme tout le monde – mais mal, car ils ne touchent pas de retraite – et ils meurent dans leurs lits d’une congestion ou d’une cirrhose du foie.

Jamais l’argent ne les intéresse, rarement la gloire, et ils ne se soucient que fort peu de l’opinion de leurs contemporains. C’est en cela qu’ils diffèrent des autres hommes.

( Jean Lartéguy )

 

Jean Lartéguy, de son vrai nom Lucien Osty, est né à Maisons-Alfort, près de Paris, le 5 septembre 1920, mais avait grandi à Aumont-Aubrac, dans le centre de la France. Il s'engage en 1939 et rejoint en 1942 les Forces françaises libres. Après une licence de lettres, il devient correspondant de guerre en Indochine et en Corée, puis grand-reporter à Paris-Presse et Paris Match.

En 1955, il obtient le prix Albert Londres, prestigieuse récompense de la presse française, pour des articles sur la guerre d'Indochine.

A partir de 1959 paraissent une série de livres qui vont lui faire connaître le succès, en particulier Les Centurions, inspiré des exploits de Marcel Bigeard et de ses hommes en Indochine et qui fera l'objet d'une adaptation au cinéma avec Anthony Quinn et Alain Delon. Culte chez les militaires, le roman est même l'un des livres de chevet du général Petraeus, chef des troupes alliés en Afghanistan et stratège très admiré outre-Atlantique.

Il écrira ensuite Les Mercenaires ( vendu à 700.000 exempl. ), puis Les Prétoriens ou encore Mourir pour Jérusalem. Son dernier ouvrage, Traquenard parut en 1996.

Jean Lartéguy était chevalier de la Légion d'honneur et croix de guerre 39-45.