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10/09/2012

Allez vous coucher vous !

07/09/2012

L’ombre de Poe

Où Poe se promena jadis.

 

Eternellement méditent les ombres sur ce sol,
Rêvant aux siècles qui se sont enfuis ;
De grands ormes se dressent solennellement près des dalles et des tertres,
Abritant de leur voûte le monde caché d’autrefois.
Sur ce paysage joue la lumière du souvenir,
Et les feuilles mortes chuchotent, évoquant les jours révolus,
Regrettant les images et les sons qui ont disparu.

Triste et solitaire, un spectre se glisse le long
Des allées où ses pas l’ont conduit, de son vivant ;
Un regard ordinaire ne peut l’apercevoir, bien que son chant
Résonne à travers le Temps, empreint d’un charme mystérieux.
Seules les rares personnes connaissant les secrets de la sorcellerie
Entrevoient parmi ces tombes l’ombre de Poe.

Howard Phillips Lovecraft (1890-1937)

« Fungi de Yuggoth et autres Poèmes fantastiques »

(Traduction : François Truchaud).

 

howard phillips lovecraft,edgar allan poe

03/09/2012

SERIE NOIRE – En vrac !

SERIE NOIRE – En vrac !

 

Bon, les aminches…

(Ah ben ouais quoi, c’t’une note Série Noire ici, on va pas causer comme des locdus ! Faut du style, d’la classe, donner dans la défouraille verbale façon « Messieurs les Hommes » font la tournée des Grands-Ducs ! Le beau verbe et la jactance de luxe façon Jo l’Trembleur f’sant du gringue à Lulu la Nantaise !)

Les aminches (donc)…

On va faire dans l’simple, pour c’qu’en est d’cette note…

Le tant et tellement basique que même un maître étalon (arf!) diplômé ès connerie d’la Sorbonne arriverait à piger sans trop de mal le concept général du bidule.

Parc’que bon, pour c’qu’en est des books présentés z’ici, z’avez juste à mater les photos jointes au topo pour piger qu’y’a rien à r’dire ! Qu’c’est d’la qualité number ouane… du flambant neuf, du bien brillant façon carrosserie d’belle américaine lustrée à la peau d’chamois par un garagiste amoureux des œuvres d’art montées 8 cylindres !

Et qu’du coup… on va pas s’faire chier à vous les casser avec du menu détail à la con…

On va pas s’emmerder à vous estimer tel book à 2,93 €uros parce qu’il y a une infime petite pliure de 0,2 mm en bas de quatrième de couv’… et tel autre à 3,08 €uros parce qu’il compte très exactement 19 pages de plus que le précédent. 

On va tous vous les faire à 3 €uros pièce / prix unique… et hop, roulez jeunesses !

Rien à fichtre que tel site propose un McBain (d’occase) à 2,80 €uros et un autre le premier J.P Manchette à 10 €uros… le prix moyen d’une Série Noire en bon état se situe entre 4 et 5 €uros… et on vous propose donc nos « comme neufs » à 3 €uros ; histoire de rester en accord avec nos autres notes consacrées à ladite Série Noire… et d’être une nouvelle fois les meilleurs !

C’est bon, z’avez tout bien tout pigé ou faut qu’on vous débloque la comprenette à grands coups de sulfateuse Thompson modèle standard, chargeur camembert 50 bastos.

Yeah !

Série-Noire_Vrac-02.jpg 

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N° 1295 – Ed McBAIN : « La rousse »

« Monsieur Cowper, directeur des Parcs et Jardins municipaux sera abattu demain soir, si je ne reçois pas 5 000 dollars avant midi. » Ce coup de fil anonyme, l’inspecteur Meyer le reçut un beau matin à son arrivée au commissariat du 87ème.

Pas autrement ému, Meyer en fit part à ses collègues qui tous dirent : « Encore un fumiste ! » Mais cette communication fut suivie de bien d’autres ; et quand le maître chanteur passa à l’exécution, ce fut la ville, Monsieur le Maire en tête, qui eut la chair de poule.

( Traduit de l’américain par D. May )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 295 pages – 185 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 1350 – Ed McBAIN : « Mort d’un tatoué »

L’homme était couché derrière la porte, replié dans la position d’un fœtus. Le visage entier et la plus grande partie du crâne étaient en bouillie. Son pouce appuyait sur la détente du fusil de chasse qu’il étreignait encore d’une main. Le canon voisinait avec ce qu’il restait de sa mâchoire. Une seule douille était sur le parquet près de sa tête ouverte, entourée par plusieurs petits objets blancs. Il fallut un moment à Steve Carella pour reconnaître des morceaux de dents.

( Traduit de l’américain par Alain Chataignier )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 224 pages – 140 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.    

 

N° 1394 – J.P MANCHETTE & J.P BASTID :

« Laissez bronzer les cadavres »

Si la jeune mariée n’avait pas eu l’idée idiote de monter au village avec le gosse qu’elle avait kidnappé, on serait restés bien tranquilles, assis sur notre or. 

Mais du coup les gendarmes sont montés la chercher. Et tout un jour et toute une nuit, on s’est battus, à l’aveuglette, dans la pierraille et la garrigue. Pendant qu’une vieille peau complètement saoule riait à chaque fois qu’on faisait mouche.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 249 pages – 160 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 1611 – Jean VAUTRIN : « A bulletins rouges »

A bord de nos gros cubes, nous autres, les Beuark, on sème la panique dans les cités-dortoirs où les gens n’ont plus guère le temps de roupiller. Boulot, bistrot, moto… On est très occupés vu qu’on joue aux agents électoraux pour les prochaines législatives.

Ca y va sec, la châtaigne, lors des séances d’affichage contre les adversaires.

Mais c’est surtout pour le sport, parce que les convictions politiques, on s’en tape joyeusement. Et même sans nous prendre au sérieux, on est efficaces, puisqu’il y a un mort en ballottage.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 179 pages – 120 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 1674 – Jean VAUTRIN : « Billy-ze-Kick »

Il y a Chapeau, le flic qui se prend pour un super-flic.

Il y a sa fille, Julie-Berthe, étrangement sage et folle pour ses dix-sept ans.

Il y a Hippo, l’adolescent schizophrène. Il y a Alcide, le vieil homme, qui pleure la mort de la campagne et déteste les banlieues bétonnées. D’autres encore qui souffrent, rigolent, forniquent. Et il y a le tueur de jeunes mariés : Billy-ze-Kick. Le mystérieux. Qui serait un mythe enfantin si le sang qu’il verse n’était pas réel. Qui mourra peut-être par égard pour la morale. Mais qui ressuscitera peut-être.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 217 pages – 140 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 2007 – Jean AMILA : « Au balcon d’Hiroshima »

Que faire quand le complice d’un hold-up fiche le camp avec le magot pour aller s’établir à Tokyo, dans les machines à sous ? On traverse le globe pour aller lui causer du pays. Même si le commun des mortels est occupé par une guerre mondiale. Question d’honneur ! Mais les militaires ont aussi des comptes à régler. Dissuasion rédemptrice, les innocents paieront ! Comme toujours !…

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 178 pages – grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 2434 – M.A PELLERIN : « La bourde »

Y avait don’ point d’loi pou’ c’t avorton !

Des lois, il en avait jamais connu que deux. Celle du plus fort, qu’il avait dû subir jusqu’à en perdre l’envie de vivre. Celle du plus fin, qu’il avait trouvé dans la forêt.

Ce soir, portant le plus beau trophée jamais braconné, Bec-de-Lièvre coupait au plus fin à travers le sous-bois délayé de lune. Derrière lui, s’ordonnait la chasse à l’homme.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 221 pages – 135 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2436 – Andreu MARTIN : « Jésus aux Enfers »

Jésus Alque dort chez lui dans un village perdu de Catalogne lorsque son beau-frère l’appelle de Barcelone pour lui annoncer au milieu des éclats de rires et des tintements de verres que sa sœur a claqué le mois dernier. Jésus descend donc en ville à la recherche de la vérité. Il la trouvera au milieu du vice, de la violence, du mensonge et de la séduction de la ville des merveilles.

( Traduit de l’espagnol par Georges Tyras & Jean-François Carcelen )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 351 pages – 210 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

N° 2438 – Serge PREUSS : « Le programme E.D.D.I »

Interdire aux SDF, aux clodos, aux malchanceux de la vie de se rassembler sur nos belles places publiques, ça ne suffisait pas. Il fallait à nos dirigeants quelque chose de plus fort, de plus définitif… Quelque chose qui chasse enfin de nos yeux de nantis l’insupportable spectacle de la misère…

Ils ont trouvé : c’est le programme E.D.D.I.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 139 pages – 95 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2439 – Hervé LE CORRE : « Les effarés »

Prenez trois types bêtes et méchants. Très méchants. Présentez-leur une belle fille qui n’a pas inventé la minijupe. Très belle. Faites zoner mollement deux jeunots amoureux d’elle. Très amoureux. Arrangez-vous pour que les flics fixent les rendez-vous avec le tact qu’on leur connaît. A l’heure dite, il y aura trop de monde, fatalement. Et ça va mal se passer. Très mal.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 233 pages – 145 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

N° 2440 – Ray RING : « Rêves pèlerins »

Un  bird-napping c’est un peu comme un kidnapping sauf que les oiseaux enlevés sont ici beaucoup plus rares que des gosses. Un couple de faucons pèlerins a disparu et Henry Dyer, flic des eaux et forêts, va remuer le désert et le grand ciel d’Arizona pour les retrouver.

Du temps de Dashiell Hammett, on volait des statues de faucons, à la veille du XXIème siècle, ce sont les oiseaux eux-mêmes qui valent de l’or.

( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 296 pages – 190 grammes. 

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 2442 – COLLECTIF : « Les treize morts d’Albert Ayler »

Quatorze improvisations sur la mort de celui qui fut l’un des plus grands saxophonistes de jazz : Gilles Anquetil, Patrick Bard, Yves Buin, Jean-Claude Charles, Jérôme Charyn, Max Genève, Michael Guinzburg, Jean-Claude Izzo, Jon A. Jackson, Thierry Jonquet, Bernard Meyet, Michel Le Bris, Jean-Bernard Pouy et Hervé Prudon.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 285 pages – 180 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2444 – Alain GAGNOL : « Les lumières de frigo »

Comment faire pour persuader sa femme qu’on est vraiment un tueur à gages alors qu’elle croit qu’on est représentant en chaussures ? La battre jusqu’au coma ?

Commence alors un vertige nauséeux qui, de tueur,  vous change en victime et qui vous entraîne de plus en plus bas… jusqu’à l’espoir, et pourquoi pas, jusqu’à la rédemption.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 164 pages – 115 grammes. 

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2446 – William HJORTSBERG : « Nevermore »

Situé dans le New York des années 20, Nevermore commence avec la découverte macabre d’un double meurtre particulièrement horrible dans le quartier de Hell’s Kitchen. La police patauge jusqu’à ce que, de crime en crime, une évidence s’impose : le meurtrier met chaque fois en scène une nouvelle d’Edgar Allan Poe. Il ne faudra rien moins que les efforts conjugués d’Houdini et de Sir Arthur Conan Doyle pour venir à bout du mystère.

( Traduit de l’américain par Philippe Rouard )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 381 pages – 235 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

N° 2447 – Sylvie GRANOTIER : « Sueurs chaudes »

Ca devait être une promenade de santé. La libido en coma dépassé, je voulais juste trouver un homme qui remette le moteur en marche. Un homme qui couche. Quelques cadavres plus tard, j’étais en cavale, la police à mes trousses, des tueurs de chaque coin de New York, capitale de la parano, ne reculant devant rien pour justifier de sa réputation. Croyez-moi, quand tout le monde s’en mêle, les voies du désir sont drôlement impénétrables.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 228 pages – 150 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2448 – John STRALEY : « Les curieux s’en mordent les doigts »

Revoilà Cecil W. Younger et sa gueule de bois chronique et existentielle. Cette fois-ci c’est sur le viol, puis le meurtre d’une employée d’une compagnie minière en Alaska qu’il enquête.

Mais, comme toujours avec Younger, les apparences sont trompeuses et l’horreur va bien au-delà du simple crime. ( Traduit de l’américain par Jean Esch )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 326 pages – 200 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.   

 

N° 2449 – Jamie HARRISON : « La crête des fous »

Il ne se passe pas grand-chose à Blue Deer, Montana, et Jules Clément, ex-archéologue devenu shérif, se la coule plutôt douce. Jusqu’au jour où on tire sur un vieux scénariste un peu alcoolo, qu’on flingue sa femme et sa petite amie. Il faudra alors que Jules le shérif fasse appel au talent de Jules l’archéologue, parce que sur une terre aussi vieille que le Montana, la vérité se trouve souvent très loin dans le passé.

( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 390 pages – 245 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

N° 2450 – Ronald LEVITSKY : « Cet amour qui tue »

Dans une petite ville de Virginie, à la suite du meurtre d’une femme vietnamienne, c’est un avocat juif et membre d’une organisation de gauche qui est chargé de défendre le suspect, un raciste impénitent, membre d’une organisation d’extrême droite. Paradoxe ? Pas si sûr. Un avocat n’est-il pas chargé de défendre les victimes… Toutes les victimes ?

( Traduit de l’américain par Vera Osterman )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 366 pages – 225 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible.

 

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01/09/2012

03 septembre...

Bien bien bien…

Réouverture « à plein temps » des multiples blogs D.U.K.E : lundi 03 septembre.  

( Entre 6 heures du mat’ et minuit le soir… au gré de l’humeur du jour ! Héhé ! )

Mais bon…

D’ici là…

Et pour patienter : un peu de musique !!!

 

16:06 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

02/08/2012

Vacances forcées...

Comme vous avez pu le constater, le blog est muet depuis plusieurs jours...

La raison en est simple...

Kurgan a été hospitalisé en urgence...

Du coup, ce blog restera en stand by jusqu'à nouvel ordre...

Luna

09:27 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

27/07/2012

Edgar Allan POE

Edgar Allan POE : « Histoires extraordinaires »

 

Baudelaire avait raison : ces nouvelles sont extraordinaires ! Un homme atteint la lune en ballon, un autre transforme en or les vils métaux, les morts apparaissent pour entraîner les vivants au tombeau, les malédictions s'accomplissent.

Edgar Poe était fasciné par le rêve, le spiritisme, la métempsycose mais aussi les sciences. Il a créé un monde irréel d'autant plus envoûtant que le fantastique est peint avec logique et minutie. Cet écrivain américain ressentit toute sa vie la perversité qui existe en tout être. L'homme est sans cesse et à la fois homicide et suicide, assassin et bourreau.

« Edgar Poe a emprunté la voie royale du grand art. Il a découvert l'étrange dans le banal, le neuf dans le vieux, le pur dans l'impur. Voilà un être complet », disait Valéry.

Traduction ( et présentation ) de Charles Baudelaire / Préface de Julio Cortazar.

Folio classique – 1994 – 371 pages – 210 grammes.

Quelques petites traces de stockage, sans quoi tranche non cassée, intérieur propre et sain, pas lu plus d’une fois : 2,70 €uros. / disponible. 

 

Egalement disponible dans les éditions suivantes :

 

Edgar Allan POE : « Histoires extraordinaires »

Le livre de poche – 1983 – 407 pages – 220 grammes.

Etat = Marques de manip’ et stockage sur plats, mais tranche non cassée et intérieur O.K.

>>> 1,50 €uros. / disponible. 

 

Edgar Allan POE : « Histoires extraordinaires »

Garnier-Flammarion – 1965 – 306 pages -  210 grammes.

Nombreuses « annexes » (Chronologie, introduction, « vie et oeuvres de Poe » par Baudelaire, etc…). Une trace de pliure sur couv’ + deux cassures sur tranche, mais intérieur nickel, papier toujours blanc… parfait : 2 €uros. / Vendu !  

 

Edgar Allan POE : « Histoires extraordinaires »

Garnier-Flammarion – 1966 – 306 pages – 235 grammes.

Nombreuses « annexes » (Chronologie, introduction, « vie et oeuvres de Poe » par Baudelaire, etc…). Quelques fines cassures sur tranche, mais plats et intérieur comme neufs !

>>> 2 €uros. / Vendu !   

 

Edgar Allan POE  : « Histoires extraordinaires »

Hachette / Le livre de Paris – 1973 – 316 pages - 21,5 x 14 cms – 540 grammes.

Reliure cartonnée façon cuir brun et dorures – Texte imprimé sur vélin.

Quelques rousseurs sur tranche supérieure papier et pages de garde ainsi que de petites marques d’usage sur les mors, mais état général excellent…

Antre bon+ et très bon >>> 5 €uros. / Vendu !

 

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Edgar Allan POE : « Nouvelles histoires extraordinaires »

« Et ici, par une bravade frénétique, je frappai fortement avec une canne que j'avais à la main juste sur la partie du briquetage derrière laquelle se tenait le cadavre de l'épouse de mon cœur…

Pendant un moment, les officiers placés sur les marches restèrent immobiles, stupéfiés par la terreur. Un instant après, une douzaine de bras robustes s'acharnaient sur le mur. Il tomba tout d'une pièce. Le corps déjà grandement délabré et souillé de sang grumelé, se tenait droit devant les yeux des spectateurs. Sur sa tête, avec la gueule rouge dilatée et l’œil unique flamboyant, était perchée la hideuse bête dont l'astuce m'avait induit à l'assassinat, et dont la voix révélatrice m'avait livré au bourreau »… (Le Chat Noir).

Livre de poche – 1969 – 287 pages – 160 grammes.

Etat = Une ou deux petites marques de stockage, mais très bien / assez exceptionnel pour un Livre de Poche « vintage » de 69 !…

>>> 2,50 €uros. / Vendu ! 

 

Edgar Allan POE : « Histoires grotesques et sérieuses »

La réalité d'Edgar Poe se dédouble en se déformant. Le fantastique apparaît alors. Le grotesque, c'est la difformité ridicule.

Poe a séduit Baudelaire par ce pouvoir de multiplier les mondes. Les Histoires extraordinaires projetaient le lecteur dans un univers scientifique, les Nouvelles Histoires extraordinaires le plongeaient dans l'inconscient. Dans ce troisième volume, Poe poursuit la logique jusqu'à l'absurde. Le joueur d'échecs de Maelzel est-il un automate aussi perfectionné que nos jeux électroniques ou une supercherie ? Dans quelles conditions Marie Roget, la belle parfumeuse, est-elle morte ? La première femme aimée réapparaît-elle à l'époux qui se remarie ?

L'imagination délirante de Poe nous démontre l'absurde avec la plus rigoureuse logique et un style lumineux.

Garnier-Flammarion – 1966 – 189 pages – 135 grammes.

Etat = Un infime défaut en haut à droite de la couv’, sans quoi il serait quasiment comme neuf ! Très bien… : 2,50 €uros. / Vendu !

 

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Edgar Allan POE : « Le scarabée d’or et autres récits d’aventure »

Découvrir un fabuleux trésor grâce à un scarabée d'or ; partager l'extraordinaire aventure de ce marin prisonnier d'un maelström ; s'envoler pour la lune à bord d'un dirigeable avec le singulier M. Pfaall ; jouer les habiles détectives en compagnie du Chevalier Dupin auquel ni le double meurtre de la rue Morgue ni le mystère de Marie Roget ne résistent ; suivre les brillantes déductions du même Dupin qui retrouve, sans la chercher, une lettre volée…

Telles sont les aventures auxquelles nous invite Edgar Allan Poe.

Autant d'histoires qui montrent bien, si besoin était, que le « maître » fut non seulement le créateur du roman policier, mais également l'un des fondateurs de la science-fiction. Textes originaux, édition précédée d’un cahier inédit ( et illustré ) sur la vie et l’œuvre d’Edgar Poe.

J’ai lu – 1987 – 261 pages – 150 grammes.

Etat = marque d’usage/stockage et tranche très très légèrement insolée… mais O.K, bon pour le service : 1,50 €uros. / Vendu !

 

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25/07/2012

Léo Ferré - Le Chien (live)

20/07/2012

Joe HALDEMAN

Joe HALDEMAN : « La guerre éternelle »

 

Quatrième de couverture : En 1997, un de ses astronefs ayant été détruit dans la constellation du Taureau, la Terre décide de se venger. On enverra contre l'ennemi un contingent d'élite. Avec d'autres, William Mandella, étudiant surdoué, est enrôlé et soumis à un entraînement si inhumain que beaucoup en meurent. Il survit, lui, combat dans l'espace et sauve encore sa peau. Il va rentrer…

Paradoxalement, le plus dur l'attend…

Aux confins de l'univers, il a franchi sans le savoir des portes de distorsion spatio-temporelle. Sur Terre, des siècles ont, en fait, passé ! William Mandella est seul, paumé, sans plus rien de commun avec ce monde autre, cet univers inconnu… ».

 

La guerre éternelle a reçu les prix Hugo et Nebula en 1976.

J’ai Lu Poche – 1996 – 282 pages – 140 grammes.

Marques d’usage sur couv’ et 4ème mais OK, tranche non cassée.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

Ou : J’ai lu science fiction – 1985 – 282 pages – 145 grammes.

Mais un poil moins bien que le précédent : 1,50 €uros. / Vendu !

 

HADELMAN-La-Guerre-Eternelle.jpg 

La Guerre éternelle est un roman divisé en quatre parties, trente-quatre chapitres et un épilogue. Les quatre parties du roman présentent quatre phases successives de la vie du héros, William Mandella, tout en suivant sa progression dans la hiérarchie militaire (Soldat, Sergent-chef, Lieutenant, Commandant).

Le temps du récit est double, divisé en un temps réel (tel qu'il s'écoule sur la planète Terre au méridien de Greenwich) et un temps subjectif (temps biologique raccourci par les sauts collapsars et ralenti par les voyages interstellaires effectués à une vitesse proche de celle de la lumière). Cette double échelle temporelle permet d'une part à l'auteur d'étaler le récit de la guerre sur 1143 ans terrestres (entre 1997 et 3143), tout en ménageant l'âge de son héros qui termine le roman à l'âge subjectif de 32 ans. Le titre fait écho à la durée de la guerre, interminablement prolongée par les distorsions temporelles.

(…)

Les humains maîtrisent le Saut collapsar qui utilise le phénomène des trous de ver pour accélérer les voyages interstellaires. Aux abords de chaque collapsar est aménagée une planète-portail qui en garde l'accès stratégique. Les vaisseaux spatiaux voyagent à des vitesses proches de la lumière et subissent des accélérations énormes, ce qui oblige les humains à s'installer dans des cocons de protection, en état de biostase. Pendant ce temps, un ordinateur logistique prend en charge la navigation du vaisseau.

En 2024, la Terre est peuplé d'un tiers d'homosexuels et de 50% de chômeurs. Après les émeutes de 2004, les villes sont d'immenses bâtiments monoblocs articulés autour de nombreux ascenseurs et trottoirs roulants. Grâce aux progrès technologiques, la faim n'existe plus et la criminalité a été éradiquée. La psychométrie détecte les criminels potentiels à l'âge de six ans et les soumet à un traitement correctif efficace. Les grands criminels se voient imprimer une nouvelle personnalité et sont réabsorbés par la société. Beaucoup de sans emploi, entretenus par l'État, se consacrent à des activités artistiques ou littéraires. La mode masculine a changé. Les hommes portent une blouse à col droit ajustée, une courte cape, une large ceinture brillante et une dague-bijou au côté, un pantalon large à grands plis serrés dans les bottes. La surpopulation a obligé les autorités à faire vivre plusieurs familles dans un même logement et à interdire en partie l'accès à la propriété privée. Le Conseil Eugénique commence à parler de l'homosexualité universelle comme solution aux problèmes de surpopulation. À soixante-dix ans, chaque citoyen reçoit sa qualification pour le Système universel de Sécurité médicale en fonction de son importance pour la société.

En 2458, la population de la Terre est maintenue en dessous du milliard d'êtres humains par une politique d'éducation strictement homosexuelle et le remplacement de chaque individu décédé par un enfant artificiellement vivifié. Les nouveau-nés sont élevés dans des crèches jusqu'à l'âge de douze ou treize ans et ne reçoivent la visite que d'enseignants ou de psychiatres. À la sortie de la crèche, ils se choisissent un prénom et deviennent adultes stagiaires. À vingt ans, ils sont appelés à l'AENU pour travailler cinq ans dans un bureau. L'élite est ensuite entraînée au combat. Les Terriens sont très uniformes du point de vue morphologique et correspondent globalement au type polynésien.

En 3138, les humains sont tous des clones d'un homme dénommé Larry Kahn, ancien caporal de l'armée terrienne. La Terre compte 10 milliards de clones et chaque clone qui meurt est remplacé. Les clones masculins s'appellent tous Homme et les clones féminins Homme-la Femme. Il n'y a plus de système économique, ni de monnaie. Seule la planète Majeur abrite encore quelques humains qui procréent par voies naturelles et constituent une sorte de réserve humaine à l'échelle galactique.

(…)

Dans la préface à l'adaptation en bande dessinée de son roman, Joe Haldeman répond à la question « Pourquoi j'ai écrit La Guerre éternelle ».

L'auteur y raconte sa conscription pour la Guerre du Vietnam, son arrivée sur le terrain en 1968 et son évacuation sanitaire par hélicoptère en septembre de la même année. Quelque deux cents blessures lui valent cinq mois d'hôpital, tandis que ses quatre compagnons sont morts au combat.

La Guerre éternelle est un roman qui s'inspire directement de l'expérience vécue de l'auteur pendant son année au Vietnam et la scène d'ouverture du roman donne immédiatement le ton. La séance d'instruction sur les « huit manières de tuer un homme silencieusement » est en effet directement tirée de la biographie de l'auteur qui assista à un cours similaire lors d'un stage d'entraînement dans le Missouri, juste avant de s'embarquer pour l'Asie.

La guerre du Vietnam en tant qu'événement historique est d'ailleurs directement évoquée dans le roman, car la plupart des officiers-instructeurs du récit sont présentés comme des vétérans.

Il semble donc juste d'affirmer avec Jacques Sadoul que le roman de Joe Haldeman est une « allégorie de la guerre du Vietnam et de son horreur absurde ». Autre élément autobiographique marquant, Joe Haldeman a donné à l'un des personnages principaux de son roman le nom de jeune fille de son épouse, Marygay Potter.

 

( http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Guerre_%C3%A9ternelle )

 

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17/07/2012

Oscar WILDE

De retour en stock :

 

Oscar WILDE : «  Le portrait de Dorian Gray »

 

Le Portrait de Dorian Gray est l'unique roman d'Oscar Wilde. Il le publie dans sa version définitive en 1891. Cette œuvre hédoniste lui vaut une très grande notoriété, mais une partie du public anglais, sera choqué par l'immoralité du héros. Les nombreuses polémiques qui s'en suivront ne feront que renforcer le succès de Wilde.

Dans sa préface, Oscar Wilde y développe sa théorie artistique : « Dire d'un livre qu'il est moral ou immoral n'a pas de sens. Un livre est bien ou mal écrit - c'est tout. »

Ce roman a pour héros, Dorian Gray, un dandy émerveillé par sa jeunesse et sa beauté, et qui mène une vie dissolue.

 

« Comme c'est triste ! Je vais devenir vieux, horrible, effrayant. Mais ce tableau n'aura jamais un jour de plus qu'en cette journée de juin… Si seulement ce pouvait être le contraire! Si c'était moi qui restais jeune, et que le portrait lui vieillit ! Pour obtenir cela, pour l'obtenir, je donnerais tout ce que j'ai ! Oui, il n'y a rien au monde que je refuserais de donner ! Je donnerais mon âme pour l'obtenir ! »…

 

Tels sont les mots que prononce le héros en admirant son propre portrait, que vient d'exécuter Basil Hallward, son ami peintre. Il tremble en pensant à sa jeunesse que le temps va emporter. Erreur funeste, car son vœu sera exaucé : l'aristocrate anglais va, certes, pouvoir rester éternellement jeune, mais ce vœu a un coût : c'est son portrait qui vieillira à sa place et qui sera progressivement marqué par les ans, les vices et les crimes.

Mesurant mal les conséquences de ce pacte, Dorian Gray célèbre les joies du temps présent. Libéré de tout obstacle, il goûte les plaisirs faciles. Très rapidement, il est gagné par la débauche et la dépravation et ne prône que jouissance, cynisme, et perversion. Incapable d'éprouver le moindre remords, il ne craint pas de devenir un assassin. Si les années passent, le visage éblouissant de Dorian Gray, lui, ne subit aucune altération. C'est son portrait, protégé de tout regard, qui accumule les stigmates de sa dépravation.

 

Collection Biblio-Luxe – Presses de la Renaissance / 1978.

377 pages / 21,2 x 14 cms / 460 grammes.

Reliure éditeur façon cuir bleu + dorures / comme neuf !!!

>>> 7 €uros. / Vendu !

 

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14/07/2012

Philip K. DICK

Philip K. DICK : « Loterie solaire »

 

Sur cette Terre de l'avenir, le jeu décide du sort des hommes.

Tel qui oeuvrait servilement dans une colonie industrielle peut devenir du jour au lendemain maître du monde, Meneur de Jeu, si les hasards des combinaisons atomiques du minimax en décident ainsi. C'est ce qui arrive à Leon Cartwright, simple réparateur électronicien.

Mais dans ce monde du XXllle siècle, l'assassinat légal du Meneur de Jeu est autorisé. Dès son arrivée au pouvoir, Cartwright se sent menacé de toutes parts malgré le corps de policiers télépathes qui est chargé de sa protection. Encore ne sait-il pas que l'assassin qui le traque n'est pas humain et que rien ne peut l'arrêter.

 

J’ai Lu Poche / 1994 / 183 pages / 100 grammes.

Etat = Micro-perforations « Spécimen » sur 4ème sans quoi comme neuf !

>>> 2 €uros. / Vendu !

 

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Philip K. DICK : « Ubik »

 

La publicité des organismes de protection anti-psi proclame : « Défendez votre intimité. Est-ce qu'un étranger n'est pas à l'affût de vos pensées ? Êtes-vous vraiment seul ? Cela concerne les télépathes mais aussi les précognitifs. Vos actes sont-ils prédits par quelqu'un que vous n'avez jamais rencontré ? Mettez fin à votre anxiété ; contactez le plus proche organisme de protection… »…

C'est dans cet univers que Glen Runciter vit et meurt. Mais meurt-il vraiment ? Le temps s'en va en lambeaux. Une bouffée de 1939 dérive en 1992. Et par les trous du décor se glissent les messages d'Ubik. Ubik qui est partout, Ubik qui est tout. Mais qui est Ubik ?

 

J’ai lu – 1985 – 250 pages – 140 grammes.

Etat = quelques petites marques de stockage sans quoi très bien, tranche non cassée, intérieur propre et sain : 2,50 €uros. / Vendu !  

 

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Philip K. DICK : « L’œil dans le ciel »

 

Ils sont huit à avoir été précipités dans un faisceau de protons. Huit miraculés qui s'étonnent de revenir à la vie normale. Normale ? L'est-elle vraiment ? Jack et Marsha, sa femme, ressentent une sorte de gêne indéfinissable, comme si tout, autour d'eux, était bizarre, irréel. La réalité semble se fissurer, le quotidien se craqueler.

Comment un essaim de sauterelles peut-il surgir de nulle part ? Pourquoi attaque-t-il Jack ? Mais surtout, pourquoi le visage et le corps de Marsha se déforment-ils monstrueusement ? Les rescapés sont-ils encore des hommes ou des simulacres ?

La réalité n'a-t-elle pas fait place à un délirant monde de cauchemars, où les règles de notre univers n'ont plus cours, où tout est possible, même, dans le ciel, la présence de l'oeil de Dieu qui surveille ses créatures désarticulées ?

 

J’ai lu – 1981 – 256 pages – 140 grammes.

Etat = excellent état, quasiment comme neuf : 3 €uros. / Vendu !

 

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Philip K. DICK & Ray NELSON : « Les machines à illusions »

 

En ces sombres années 2050… Venus d'une lointaine planète, les Ganymédiens – monstres doués d'une intelligence aiguë et maîtres d'une implacable technologie – ont conquis la Terre, soumis les Terriens. Soumis ? Pas tout à fait.

Dans les monts du Tennessee, des partisans résistent encore.

Noirs pour la plupart, avec à leur tête l'intraitable Percy X. Sur la défensive, ils ont combattu avec des moyens de fortune… jusqu'au jour où ils découvrent, dans une cache, des armes conçues par un psychiatre et jamais encore utilisées : les machines à illusions…

Avec elles, Percy X et les siens passent à l'attaque, « créant » face à l'ennemi des hordes de créatures qui avancent, déferlent… Terrifiantes. Et invulnérables puisque irréelles, illusoires.

Mais irréelles, illusoires, vont-elles le rester ?

 

J’ai lu – 1980 – 222 pages – 130 grammes.

Etat = quasiment comme neuf : 2,50 €uros. / disponible.

 

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Philip K. DICK : « Blade Runner »

 

Un blade runner, c'est un tueur chargé d'exterminer les androïdes qui s'infiltrent sur Terre.

Et Rick est le meilleur blade runner de la Côte Ouest. Ce qui ne l'empêche pas d'être un tendre: il rêve de remplacer un jour son simulacre (électrique) de mouton par un vrai ! Hors de prix sur une planète où s'éteint la vie animale ! Aussi quand on lui propose une somme fabuleuse pour éliminer de dangereux Nexus 6 signalés en Californie, il fonce…

Mais, face à lui, surgit la très belle Rachel. Femme ou androïde ? L'aime-t-il ? Peut-il l'aimer ?

 

Editions J’ai Lu poche – 1998 – 251 pages – 125 grammes.

Etat = Quelques infimes marques de stockage mais très bien / quasi neuf.

>>> 2 €uros. / disponible.

 

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Philip K. DICK 

 

Site officiel ( en anglais ) >>> http://www.philipkdick.com/

En français >>> http://www.dickien.fr/

Mais aussi ( et bien sûr ! ) >>> http://www.cafardcosmique.com/Dick-Philip-K,60

 

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