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25/02/2012

Bibliothèque des grandes énigmes

Bibliothèque des grandes énigmes

 

Tous les livres de cette collection sont en excellent / parfait état…

Légère ( que dis-je… infime ) et très agréable / belle patine des reliures, ils sont tels que vous les auriez récupérés s’ils venaient de chez votre oncle René… vous savez le maniaque des livres avec toutes ses belles bibliothèques pleines d’ouvrages aux belles reliures !

Seuls les médaillons métalliques incrustés en couvertures ont ( parfois ) quelques petites marques ou défauts… mais ce sont le plus souvent des petites imperfections de fabrication plutôt que des traces d’usage. Alors morbleu… laissez-vous tenter, et plongez avec nous au cœur de cette « Bibliothèque des grandes énigmes » !

  

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Ivar LISSNER : « Civilisations mystérieuses »

« Toute civilisation du passé, même si elle demeure ensevelie sous des tonnes et des tonnes de sable et de pierres, vit en nous », dit Ivar Lissner. Nos plus secrètes racines plongent dans le terreau de ces civilisations mal connues et notre esprit se nourrit de leur substance. Les découvrir, c'est découvrir l'homme, partout semblable, partout habité par la même exigence, partout tourné vers le même ciel, aujourd'hui comme hier. Cette quête, Ivar Lissner ne cesse de la poursuivre à travers tous les continents et à travers tous ses livres. Pour rendre sensible à tous l'apport des civilisations disparues, il se comporte en grand reporter. Il nous emmène avec lui à travers les ruines immenses et fait se lever devant nous, vivantes, les villes mortes, avec leurs hommes, leurs travaux et leurs dieux. De Jéricho, la plus ancienne ville du monde, à Zimbabwe, la cité mystérieuse du Zambèze, des steppes russes aux forêts de l'Amérique Centrale, les pierres s'animent et livrent leurs secrets. Son livre abondamment illustré, est ainsi une manière de grand film. Nous en sortons les mains et l'esprit pleins de trésors. »

Table des matières :

Jéricho, Ugarit, Canaan, Tyr et Sydon, les pierres silencieuses de Malte, Stonehenge, les signes gravés sur les mégalithes du Morbihan, la ville-miracle de Mari, les 8000 tours des Sardes, une déesse mère et son enfant… 800 ans avant J.C, la Crète, Mycènes, l’oracle de Delphes, l’Atlantide, Dodone, Tartessos, le secret des îles Canaries, les bronzes de la vieille Chine, un certain Siddhartha, Gandhara et les statues du Bouddha, le temple souterrain de Touen-Houang, la route de la soie, le trésor de l’Oxus, les Scythes, les fonderies du roi Salomon, à la recherche d’Ophir, les bronzes du Bénin, la rivière aux mille yeux, l'île de Paques, les Mayas, l’homme de maïs, l’énigme de Tikal, etc…

Ouvrage dans un excellent état… agrémenté de nombreuses illustrations in et hors-texte, dessins, photos en héliogravures, figures explicatives / Très belle reliure éditeur en skyvertex noir ( façon cuir ), titre et décors dorés au dos et 1er plat avec médaillon métallique à décor estampé ; contre garde rouge.

Bibliothèque des grandes énigmes / 1971 / 415 pages.

21 x 14 cms / 650 grammes : 8 €uros. / Vendu !

 

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Francis Mazière : « Fantastique îles de Pâques »

« Là, où la grande houle du Pacifique déchire son bonheur sur les éperons de lave…

Là où les vents de l'Antarctique s'affolent à la rencontre des géants immobiles…

Là, où les huit cents survivants d'un monde oublié se meurent en silence…

Là-bas où les oiseaux ne viennent plus reposer leur vol, surgit l'île la plus isolée du monde que les hommes appellent Matakiterani – « des yeux regardent le ciel » - et que les premiers navigateurs du monde de l'orgueil baptisèrent Île de Pâques dans le bruit sourd des mousqueteries. Cet éclat de roche surgi dans l'immensité ne peut avoir de nom, tant sa présence demeure insolite et grave sur les cartes du monde. L'île des Géants s'est élevée dans le silence et est morte dans l'abandon. Qui ne saura jamais si la houle n'a pas recouvert, de son linceul trouble, un tout autre monde qui n'a voulu laisser que ce témoignage fragile ?

Attaquée, cancérisée par les vagues, l'île se meurt, laissant en garde ces géants de pierre qui dominent encore l'immuable respiration de ces continents d'eau que dirige la lune, et les hommes de l'île parlent cette langue. »

Table des matières :

Le nombril du monde,  la tragique histoire de l'île du silence, l'aventure de la terre morte, la légende des sept explorateurs, l'arrivée du roi Hotu Matua, pèlerinage dans le temps, le fabuleux voyage du roi Hatua Matua, le roi initié, le rite magique de l'homme oiseau, ethnologie historique de l'île de Matakiterani, les sculpteurs de dieu, comment se déplacèrent ces géants de pierre, la mort de la race inconnue, monde souterrain… monde secret, le camp des hommes, Orongo, observatoire de dieu, voyage dans l'étrange, testament du silence, l'art des autres hommes, le grand mystère des tablettes de bois gravé, ce qui demeure inquiétant, l'adieu au silence, etc…

Ouvrage dans un excellent état… agrémenté de nombreuses illustrations in et hors-texte, dessins, photos en héliogravures, figures explicatives / Très belle reliure éditeur en skyvertex noir ( façon cuir ), titre et décors dorés au dos et 1er plat avec médaillon métallique à décor estampé ; contre garde rouge.

Bibliothèque des grandes énigmes / 1971.

268 pages  / 21 x 14 cm / 465 grammes.

 

Francis Mazière : « Mystérieux archipel du Tiki »

« Fatu-Hiva ! Elle était là, l'île érigée dans le vent, immuable au soleil admirable, là où le dieu des volcans fit un jour éclater l'océan, naître la vie. Fatu-Hiva, refuge des hommes du naufrage, premier havre pour ceux qui, mourant de soif mais avides de soleil, poursuivaient la conquête du couchant ».

C'est ainsi que Francis Mazière salue Fatu-Hiva – la plus méridionale des îles Marquises – où le peuple du Tiki, venu d'Amérique sur ses radeaux de balsa, construisit il y a mille ans une étonnante civilisation, à plus de sept mille kilomètres des côtes américaines, dans le silence de l'océan Pacifique. Cette île où des hommes ont sauvegardé jusqu'au début du XIXe siècle le secret de ce peuple millénaire… qui posséda une éthique où se devine encore le secret de l'Originel.

L’une de ces civilisations mystérieuses que Francis Mazière a choisi d'arracher au silence.

Table des matières :

A la poursuite du soleil / Te Vanana O Tanaoa / La légende de Koomahu / La légende de Anua Motua.

Ouvrage dans un excellent état… agrémenté de nombreuses illustrations in et hors-texte, dessins, photos en héliogravures, figures explicatives / Très belle reliure éditeur en skyvertex noir ( façon cuir ), titre et décors dorés au dos et 1er plat avec médaillon métallique à décor estampé ; contre garde rouge.

Bibliothèque des grandes énigmes / 1971.

301 pages / 21 x 14 cm / 510 grammes.

 

Les 2 volumes ( poids total = 975 grammes ) signés Francis Mazière pour :

16 €uros >>> 14 €uros. / Vendus ! 

 

Francis Mazière (1924-1994) est un ethnologue et archéologue spécialiste de l'Amazonie. Il se sépara des anthropologues des bureaux du Musée de l'Homme et poursuivit sa carrière d'explorateur qui lui fit écrire livres et scénarii à succès. A 23 ans il faisait sa première expédition dans le cadre de la Mission Ogôoué-Congo en 1946-1947. C'est en 1963 que Francis Mazière partit à bord d'une goélette de 19 mètres avec sa femme Tila pour rejoindre, en cinquante jours, l'île de Pâques, cette île mystérieuse perdue au milieu du Pacifique. Il y a vécu durant deux ans pour tenter de percer son énigme en étudiant scientifiquement les géants sous toutes les coutures, notamment par des tests au carbone 14 permettant de les dater. L'aventurier a relaté cette expérience dans « Fantastique île de Pâques », un best-seller tiré à près d'un million d'exemplaires et dans un film projeté un peu partout dans le monde. En plus de l'île de Pâques, Francis Mazière a étudié le Sinaï, les déserts de la mer Morte sur les traces de Moïse et du monothéisme ainsi que la Guyane, l'Argentine et le Pacifique Sud. Il a longtemps été le directeur de la collection « Énigmes de l'univers » chez l'éditeur Robert Laffont, puis des « Portes de l'étrange ».

 

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Andrew TOMAS : « Les secrets de l’Atlantide » 

De la légende à la découverte... Alors que les Aztèques attendaient la visite d'un dieu venu d'une île située à l'Est, les Egyptiens étaient persuadés que le dieu Thot leur avait apporté les arts et les sciences d'un pays situé à l'Ouest. N'est-il pas curieux de constater que cette même terre, les Précolombiens l'appelaient Aztlan et les Méditerranéens Atlantis ? Des coïncidences de ce genre, mais aussi les objets préhistoriques, les textes sacrés, les mythes, les conceptions scientifiques de l'Antiquité, Andrew Tomas, écrivain et chercheur australien, les a tous étudiés au cours d'une longue en quête menée en Australie, en Angleterre, en Russie, en Inde et en France.

Et ce n'est pas sans preuves qu'il conclut à l'existence d'une civilisation hautement développée, qui aurait légué une tradition scientifique dont l'Egypte, la Méditerranée orientale, l'Amérique du Sud recèleraient encore des traces. C'est pourquoi le sondage des Pyramides et du Sphinx aux rayons X, projeté par les U.S.A. Et la R.A.U., serait capital aux yeux de l'auteur et permettrait peut-être de déceler dans le sous-sol de Gizeh une de ces bibliothèques ou un de ces musées légués par la grande civilisation disparue. Seul un effort continu, mené avec des moyens scientifiques, permettra en effet aux chercheurs de quitter, pour résoudre l'énigme de l'Atlantide, les chemins de la légende et du mythe, pour parvenir à des certitudes. Sur cette route, l'ouvrage d'Andrew Tomas aidera le lecteur à franchir une importante étape.

Table des matières :

Le destin de l'Atlantide / La mer et le volcan se déchaîne contre la terre / Neith de Saïs nous parle / L'Atlantide et la Science / Qui sont les Basques ? / Le jour du Jugement dernier / Pyramides et conquistadores / Les calendriers de l'Atlantide / Par la voie des mers et des airs / Bombes atomiques et navires de l'espace dans la préhistoire / Shambhala septentrionale / Montagnes sacrées et cités perdues / Lorsque les dieux vivaient parmi les hommes / Les portes-flambeaux de la civilisation / Au pays du Soleil Levant / Les vestiges d'une race mystérieuse / Cubes, sphères et lignes / Le legs de la science primitive / De la philosophie à la physique nucléaire / Les sages de l'Inde, les étoiles et l'évolution / Electre, fille d'Atlas / Cavernes de trésors d'avant le déluge / Musées archaïques / Les secrets de la Bibliothèque d'Alexandrie / Contes arabes / L'énigme du Sphinx est résolue / Tout s'est déjà passé autrefois / Notre dette à l'Atlantide / L'homme ne date pas d'hier / De la légende à la découverte / Bizarreries historiques / Les mythes deviennent vrais, etc… etc…

Ouvrage dans un excellent état… agrémenté de nombreuses illustrations in et hors-texte, dessins, photos en héliogravures, figures explicatives / Très belle reliure éditeur en skyvertex noir ( façon cuir ), titre et décors dorés au dos et 1er plat avec médaillon métallique à décor estampé ; contre garde rouge.

Bibliothèque des grandes énigmes / 1971 / 218 pages.

21 x 14 cm / 405 grammes : 8 €uros. / Vendu !

 

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Richard HENNIG  : « Les grandes énigmes de l’univers »

L'homme ne cessera jamais de se pencher sur les légendes et les mythes pour leur arracher leurs secrets, y découvrir au-delà de la part des dieux la part de l'homme. Où se trouvait le paradis terrestre ? En quel temps et comment le déluge noya-t-il la terre ? Comment les flots de la mer Rouge s'ouvrirent-ils devant les juifs ? Quels sont les secrets de la grande pyramide ? Les Amazones ont-elles existé ? Et le serpent de mer ?… C'est à toutes ces interrogations, et à bien d'autres, que Richard Hennig entreprend de répondre ici. Ses explications, toujours satisfaisantes, sont fondées sur d'innombrables faits tirés de la géologie, de l'astronomie, de l'archéologie, de l'histoire. Sous cette lumière, le passé s'éclaire, les légendes retrouvent leur poids d'humanité et le ciel et la terre nous deviennent plus lisibles.

Table des matières :

Le Paradis / Le Déluge / Ur / Le secret de la grande pyramide / Stonehenge et le pays des Hyperboréens / Sodome et Gomorrhe / Les ténèbres d’Egypte / Le Veau d’or et l’Agneau pascal / Le Passage de la mer Rouge / La Tour de Babel / Les Amazones / Phaéton / L’étoile des Rois Mages / Les Ténèbres du Golgotha / Les symboles des quatre évangélistes / Le Poisson, symbole des premiers chrétiens / St-Georges et le Dragon / La constellation de la Vierge et le culte de Marie / « In hoc signo vinces » / La bataille des Champs Catalauniques et son épilogue « céleste » /  Vinland ou le pays de la vigne / Le Royaume du prêtre Jean / Monsalvat, refuge du Saint Graal / Îles fantômes, îles enchantées /  Le Hollandais Volant ou le Vaisseau Fantôme / Le Serpent de mer / Le monstre du Loch Ness. 

Ouvrage dans un excellent état… agrémenté de nombreuses illustrations in et hors-texte, dessins, photos en héliogravures, figures explicatives / Très belle reliure éditeur en skyvertex noir ( façon cuir ), titre et décors dorés au dos et 1er plat avec médaillon métallique à décor estampé ; contre garde rouge.

Bibliothèque des grandes énigmes / 1970.

261 pages / 21 x 14 cm / 450 grammes : 8 €uros. / Vendu !

 

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Eric Von DÄNIKEN : « Présence des extra-terrestres »

« Les dieux du passé ont laissé derrière eux des marques indélébiles. C'est aujourd'hui seulement -alors que nous redécouvrons des techniques astronautiques oubliées depuis des millénaires- que nous sommes en mesure de les déchiffrer. Nous sommes convaincus en effet que nos ancêtres ont reçu la visite de cosmonautes venus d'autres planètes. Et si nous ignorons encore à l'heure actuelle l'identité et l'origine de ces intelligences cosmiques, nous affirmons néanmoins que ces étrangers anéantirent une partie de l'humanité et créèrent un homme nouveau – peut-être le premier homo sapiens. On entrevoit aisément les conséquences d'une telle affirmation: elle ébranle jusque dans ses fondements tout un édifice conceptuel. Et c'est l'objet du présent ouvrage de fournir les preuves qui la motivent »…

Table des matières :

Le cosmos est-il habité par des êtres d’apparence humaine ? / La vie peut-elle naître dans un milieu inanimé ? / Les « dieux » nous rendent visite / Des cartes géographiques vieilles de 11000 ans / Des aérodromes préhistoriques / La mythologie de Sumer / Des os qui ne proviennent pas de singes / L’arche d’alliance de Moïse était chargée de courant / Le déluge était au programme / Pourquoi les « dieux » étaient à la recherche de certains métaux / Les « dieux » et les hommes s’accouplent volontiers / Le récit d’un Sumérien, cosmonaute malgré lui / Un survivant du déluge parle / Des explosions nucléaires autrefois ? / Comment on découvrit des planètes sans télescopes / Le bizarre calendrier de Sirius / Un message aux hommes de l’an 6965 / Une piste de danse pour les géants / Des cadavres vivants / Mode et préhistoire / La méthode du C14 est-elle absolument sûre ? / Migration d’un peuple ou excursion familiale ? / Un dieu manque son rendez-vous / Pourquoi des observatoires ronds ? / Un planétarium à l’époque du Christ / La lune de Mars est-elle un satellite artificiel ? / Message radio à destination de l’univers / Le singulier cas Cayce / L’équation de Green Bank / De quoi s’occupe-t-on à la NASA / Un entretien avec Wernher Von Braun / Des usines à planifier l’avenir / etc… etc…

N.d.Kurgan : Bref : « du pur bonheur façon Von Däniken ! »… ou le grand n’importe nawak élevé au rang d’art !?!! ( Ha ha ) Hautement recommandé à tous les ufologues en herbe, aux fans de Jean Sendy et Robert Charroux, aux « trekkies » et autres mordus de « Cosmos 1999 »… ainsi qu’aux accro’ à ce bon vieux « réalisme fantastique » cher à Pauwels et Bergier… bref… à tous ceux et toutes celles qui aiment encore à rêver en regardant la Lune et les étoiles !?!

Jouissivement « kitsch » et « vintage » à souhaits !!!…

Ouvrage dans un excellent état… agrémenté de nombreuses illustrations in et hors-texte, dessins, photos en héliogravures, figures explicatives / Très belle reliure éditeur en skyvertex noir ( façon cuir ), titre et décors dorés au dos et 1er plat avec médaillon métallique à décor estampé ; contre garde rouge.

Bibliothèque des grandes énigmes / 1971.

210 pages / 21 x 14 cm / 390 grammes : 8 €uros. / Vendu !

 

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Otto NEUBERT  : « La vallée des Rois »

Témoignage de l'auteur sur la découverte du tombeau de TOUTANKHAMON. Excellent résumé d'une grande histoire, ce livre sait être à la fois, et avec un égal bonheur, étude ethnologique, roman d'aventures, récit de voyage et ouvrage politique. Toute l'Egypte revit dans cette évocation de la vie fastueuse des grands pharaons telle qu'a permis de la reconstituer la découverte des tombeaux de la Vallée des Rois.

Table des matières :

‎L’Egypte ou le Nil / Il y a 7000 ans, les écrivains égyptiens / Pyramides, momies, nécropole de Sakkarah / Sanctuaires et nuits de harem / Esclave, travaille ou meurs ! / Dieux, idoles, domination des prêtres / La dynastie des Pharaons / Des savants retrouvent la tombe de Toutankhamon / Cercueils d’or, la malédiction de Toutankhamon / Des voiliers emportent le dieu au royaume de la mort / Une décadence que les erreurs des prêtres précipitèrent / L’Egypte disparut comme babylone.  

Ouvrage dans un excellent état… agrémenté de nombreuses illustrations in et hors-texte, dessins, photos en héliogravures, figures explicatives / Très belle reliure éditeur en skyvertex noir ( façon cuir ), titre et décors dorés au dos et 1er plat avec médaillon métallique à décor estampé ; contre garde rouge.

Bibliothèque des grandes énigmes / 1971.

299 pages / 21 x 14 cm / 500 grammes : 8 €uros. / Vendu ! 

 

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22/02/2012

Le destin fabuleux du maréchal Rommel

MORDAL Jacques : « Le destin fabuleux du maréchal Rommel » 


Tome 1 : Un respect unanime / De la Souabe à l'Aquitaine un soldat à l'état pur / Rommel dans l'entre-deux guerres / L'invasion de la France, de la Meuse à la Sambre / Cherbourg, un cadeau pour Hitler / La gloire de l'Afrika Korps / Jusqu'à la frontière d'Egypte / Tobrouk / Coup d'arrêt à El Alamein.

 

Tome 2 : Les causes perdues / La seconde bataille d'El Alamein / L'imbroglio tunisien / Kassérine, victoire sans lendemain / Adieu l'Afrique / Le dernier front / Le jour le plus long / Défaite à Cherbourg / Dernière rencontre avec Hitler / le dernier duel Rommel-Montgomery / La vengeance de Hitler / Epitaphe pour un général ennemi.

 

Editions Historama – 1973 –  Préface du vice-amiral Friedrich Ruge.

510 pages ( les 2 volumes )  – 18 x 12 cms - 570 gr ( les 2 volumes ).

Reliure simili-cuir + dorures – Nombreuses photographies hors texte.

Comme neufs : 6 €uros. / Vendus ! Temporairement indisponible.

 

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17/02/2012

Les vrais mystères de la mer

GADDIS Vincent : « Les vrais mystères de la mer »

 

Quatrième de couverture : On a beaucoup écrit sur les mystères de la mer, sans pouvoir toujours trouver la démarcation entre la réalité et la fiction. Le livre de Vincent Gaddis n’expose que de vrais mystères, entièrement basés sur des faits. Le plupart d’entre eux défient la logique et nos canons scientifiques actuels. Certains sont tellement incroyables qu’ils bouleversent nos habitudes de pensée. Gaddis, après les avoir décrits posément, sans exagération, fournit des indications sur ce que pourrait être cette nouvelle manière de penser.

Comment faut-il considérer une photographie de « fantôme » prise par un officier ? Qu’imaginer d’un navire reparu au bout de vingt-trois ans avec ponts pourris, des voiles couvertes de vase et un équipage momifié ? Pourquoi la cercueil d’un homme mort au Texas et arraché à sa tombe par un ouragan parcourut-il plus de six mille kilomètres pour aboutir près de l’endroit où était né cet homme ? Pourquoi un vieux cargo s’arracha-t-il à son mouillage, dans un cimetière de navires, pour repartir vers la mer, la nuit où son ancien capitaine mourut ? Comment un voilier franchit-il le fabuleux passage du Nord-Ouest, avec tous ces occupants morts de froid et conservés par lui ? Que penser de la région située au sud des Bermudes où d’innombrables navires et avions ont disparu sans laisser de traces ? Pour quelles raisons la Mary Céleste fût-elle abandonnée au milieu de l’Atlantique ?

Tels sont certains des problèmes qu’expose et étudie Vincent Gaddis, nous ouvrant ainsi un regard au-delà des « horizons invisibles ». 

 

Editions France-Empire – 1977 – 299 pages.

18 x 14 cms – 330 grammes.

Quelques photographies hors-textes.

Couverture souple présentant quelques inévitables petits frottements et marques d’usage sur les bords extérieurs + 2 fines cassures sur tranche… mais ensemble tout à fait O.K, intérieur sain et propre, bel exemplaire !

>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Ailleurs = entre 8,95 et 14,94 €uros sur priceminister

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16,10 €uros sur place-aux-prix.com

16/02/2012

Noir corbeau, mon ami voyageur...

Чёрный ворон ( Протяжная песня донских казаков ).

Noir corbeau ( Chant des Cosaques du Don ).


 

Noir corbeau, mon ami voyageur,
Où donc, si loin, as-tu volé ?
Noir corbeau, mon ami voyageur,
Où donc, si loin, as-tu volé ?

Où donc, si loin, as-tu volé ?
Toi, noir corbeau, tu m’as apporté,
Une blanche main baguée.

Une blanche main baguée...
Je suis sortie sur le perron,
Légèrement, j’ai chancelé.

Légèrement, j’ai chancelé...
Par la bague, j’ai reconnu de mon ami,
Sa main que tient le corbeau.

Cette main, la main de mon bien-aimé,
Sans doute, qu’à la guerre, il a été tué.

Sans doute, qu’à la guerre, il a été tué…
Mort, sur la terre, il est couché,
Dans un lointain pays étranger.

Dans un lointain pays étranger…
Est venu avec une pelle,
Un homme bienveillant.

Un homme bienveillant...
Dans une seule tombe, a enterré,
Deux cents quarante âmes.

Deux cents quarante âmes.
Une croix de chêne,
 il a planté
Et a Inscrit dessus :

« Ici reposent, des héros du Don,
Gloire aux cosaques du Don ! »
« Ici reposent, des héros du Don,
Gloire aux cosaques du Don ! »

 

Traduction : Sarah P. Struve.

15/02/2012

10 ans !

Et ouais… 10 ans !

Voilà pile 10 ans, aujourd’hui, que sortait le tout premier catalogue D.U.K.E !

Alors bon… on va dignement fêter ça dans les jours, semaines et mois à venir.

( Voire même tout au long de cette année 2012 en fait !?? )…

( D’autant que c’est la dernière avant la fin du monde non !?? Ha ha )…

Et concrètement, ça veut dire qu’il va falloir suivre de très près l’actu’ journalière de nos divers blogs, vu qu’à dater de demain ( et jusqu’à l’anéantissement de la planète le 21 décembre prochain ), ceux-ci vont regorger de promos diverses et variées ( aber achtung, certaines dureront 15 jours… et d’autres 3 ! ), de collectors et raretés à faire baver un mec perdu au sein du Sahara,  et j’en passe et des meilleures ! 

Sur quoi… vous nous excuserez… mais nous avons quelques bonnes bouteilles à déboucher !

 

Kurgan & Luna.

 

10 ans,anniversaire,d.u.k.e

17:26 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : 10 ans, anniversaire, d.u.k.e

14/02/2012

Jean LARTEGUY - Les mercenaires

Jean LARTEGUY : « Les mercenaires »

 

Quatrième de couverture : Ces mercenaires, dont l’auteur des « Centurions » évoque le destin héroïque et pitoyable, sont des combattants du Bataillon français de Corée. Leur aventure, qui a été la sienne, l’avait inspiré à ses débuts de romancier, et maintenant, en pleine possession de ses moyens, il a repris cette première esquisse avec une puissante sobriété.

C’est le roman de la fierté nationale déçue, des énergies qui n’ont pas trouvé leur emploi, des sacrifices sans foi et sans cause. Un général américain ambitieux et une montagne dépourvue d’intérêt stratégique, mais dont la fascination s’exerce sur les deux camps, dominent le drame des combattants. Plus encore que les « Centurions », ces « Mercenaires » sont pour la plupart des aventuriers à l’état pur. Jean Lartéguy nous les livre entiers, avec des secrets de leur passé qui pourraient à l’occasion intéresser la police, et d’autres secrets plus intimes, destinés à rester enfouis dans les cœurs. Ce sont d’inoubliables figures d’hommes, les fils irrécusables d’un siècle de violence… un grand témoignage honnête et viril sur l’homme de guerre de notre temps.

 

Presses de la cité – E.O de 1960 – 377 pages.

21,5 x 13,5 cms – 500 grammes.

Couverture cartonnée recouverte simili-cuir bordeaux,  titres et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleurs.  La jaquette ( très légèrement insolée sur l’arrière ) présente ( bien entendu ) quelques petites traces de manipulation, mais est tout de même dans un état remarquable pour une édition de 1960 ! Et hormis quelques infimes « chocs » en haut et bas de tranche, le livre est nickel… intérieur sain et propre.

>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 Lartéguy-Mercenaires.jpg 

Ailleurs = 10 €uros sur galaxidion.com

10 €uros sur marelibri.com

Entre 7 et 9,95 €uros sur priceminister ( pour du bon état avec jaquette )

 

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A ma connaissance, aucun mercenaire ne répond plus à la définition qu’en donne le Larousse : « soldat qui sert à prix d’argent un gouvernement étranger ».

Les mercenaires que j’ai rencontrés, et dont j’ai parfois partagé la vie, combattent  de vingt à trente ans pour refaire le monde. Jusqu’à quarante ans, ils se battent pour leurs rêves et cette image d’eux-mêmes qu’ils se sont inventée. Puis, s’ils ne se font pas tuer, ils se résignent à vivre comme tout le monde – mais mal, car ils ne touchent pas de retraite – et ils meurent dans leurs lits d’une congestion ou d’une cirrhose du foie.

Jamais l’argent ne les intéresse, rarement la gloire, et ils ne se soucient que fort peu de l’opinion de leurs contemporains. C’est en cela qu’ils diffèrent des autres hommes.

( Jean Lartéguy )

 

Jean Lartéguy, de son vrai nom Lucien Osty, est né à Maisons-Alfort, près de Paris, le 5 septembre 1920, mais avait grandi à Aumont-Aubrac, dans le centre de la France. Il s'engage en 1939 et rejoint en 1942 les Forces françaises libres. Après une licence de lettres, il devient correspondant de guerre en Indochine et en Corée, puis grand-reporter à Paris-Presse et Paris Match.

En 1955, il obtient le prix Albert Londres, prestigieuse récompense de la presse française, pour des articles sur la guerre d'Indochine.

A partir de 1959 paraissent une série de livres qui vont lui faire connaître le succès, en particulier Les Centurions, inspiré des exploits de Marcel Bigeard et de ses hommes en Indochine et qui fera l'objet d'une adaptation au cinéma avec Anthony Quinn et Alain Delon. Culte chez les militaires, le roman est même l'un des livres de chevet du général Petraeus, chef des troupes alliés en Afghanistan et stratège très admiré outre-Atlantique.

Il écrira ensuite Les Mercenaires ( vendu à 700.000 exempl. ), puis Les Prétoriens ou encore Mourir pour Jérusalem. Son dernier ouvrage, Traquenard parut en 1996.

Jean Lartéguy était chevalier de la Légion d'honneur et croix de guerre 39-45.

12/02/2012

Jean-Paul Bourre : Vivre comme avant

09/02/2012

FRANCK & VAUTRIN - La dame de Berlin

FRANCK & VAUTRIN :

La dame de Berlin

( Les aventures de Boro, reporter-photographe ).

 

« Plus tard tu seras l'oeil qui surveille le monde », prédit un soir d'automne 1931 à Paris une gitane au jeune reporter photographe Blèmia Borowicz, dit Boro.

Une photographie compromettante d’Hitler, un amour fou pour Maryika, la jeune étoile montante du cinéma allemand… et voilà notre héros placé au centre d'un inquiétant ballet de croix gammées.

Une course endiablée à travers l'Europe des années 30 commence. Suspense, passion, humour : un des plus grands romans d'aventures du siècle est né.

 

N.d.Kurgan : je n’irai pas perso’, jusqu’à le classer dans « les plus grands romans d’aventure du siècle » ( faut quand même pas déconner ! N’ont vraiment peur de rien les mecs qu'écrivent les « résumés de quatrième » pour les maisons d’éditions !?! ), mais c’est clair que ça se lit très bien, que ça à un p’tit côté Hugo Pratt… et que si vous êtes – comme moi – passionnés par les années 30, c’est une petite friandise fort bien documentée dont vous auriez tort de vous priver !

( Même si, bien entendu, très « politiquement correcte » )… 

 

France Loisirs – 1988 – 665 pages – 21 x 13,5 cms – 660 grammes.

Couverture cartonnée recouverte d’un tissu bleu avec titre et nom d’auteur en doré sur plats et tranche + jaquette couleurs – Marques d’usage sur jaquette & un léger plat en haut de tranche, sans quoi il est très bien, sain et propre : 3 €uros.

 

Disponibilité = deux un exemplaire en stock…

 

FRANK et VAUTRIN - Boro 01.jpg http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Dame_de_Berlin

 

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En 1931, Blèmia Borowicz a 22 ans, est hongrois par sa mère et français par son père et vit à Paris criblé de dettes mais riche d'un toupet incroyable. Pour l'heure, il est grouillot pour le compte d'Alphonse Tourpe, patron de l'agence Iris : « Un oeil sur le monde». En attendant de devenir photographe pour de vrai, il se contente de développer en chambre noire les clichés des autres.

Indéfectiblement lié à sa cousine Maryika Vremler - auprès de qui il a grandit en Hongrie - il ne rêve que de la retrouver.

Maryika, émigrée à Berlin, est en passe de devenir une star du cinéma allemand, et Boro la rejoint pour la première du film qui va la consacrer. Par un pur hasard, Boro prend des clichés de Hitler - qui n'est pas encore la vedette qu'on connaît - rendant visite à sa maîtresse.

Rapidement, des forces obscures cherchent à récupérer les épreuves, et leur acharnement à poursuivre Boro et Maryika ne peut s'expliquer par la seule présence des illustres amoureux sur du 24x36.

Boro s'interroge donc sur le caractère compromettant de ces images, et se lance dans une enquête qui va le conduire dans les arcanes de l'ordre de Parsifal, à une époque où l'Europe résonne déjà de bruits de bottes inquiétants. Il est « celui qui ira regarder les hommes jusqu'au fond de leur nuit, mais qui devra se méfier de ne pas mourir d'une balle en plein front ».

Boro s'inscrit dans un contexte historique tumultueux, auquel sa verve, ses idéaux et sa passion de l'image collent parfaitement. Difficile à toucher, le reporter est un parangon d'élégance et de provocation mêlées. Il traverse le temps avec une grand classe, avec un sens de la répartie à la manière d'un Arsène Lupin.

08/02/2012

Docteur Whouse…

Docteur Whouse…

 

Désolé pour ces quatre looooongues journées d’absence !

( Si si… ne le niez pas, je suis sûr qu’elles vous un tout de même un peu manqué, mes petites notes journalières ! )…

Mais il m’est tombé sur le coin de la gueule ce qui me tombe sur le coin de la gueule une fois tous les 21 ans et demi ( ben oui, 2 fois en 43 ans, ça fait une fois tous les 21 ans et demi ! ), à savoir : une bonne vieille grippe des familles !!!…

40° de fièvre, 4 jours au plumard à compter les insectes, dragons volants et autres serpents à papattes qui couraient au plafond… bref : que du bonheur !

 

Enfin bon… les quatre meilleurs docteurs que je connais se sont relayés à mon chevet…

 

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Aidé en cela par mon infirmière personnelle…

 

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Et pas d’lézards ( enfin… « plus d’lézards » ) me voici à nouveau d’attaque…

Et de retour !

Donnez-moi juste la journée pour répondre aux 83 mails qui se sont accumulés dans ma boîte à maimails pendant le week-end, et dès demain, on ré-attaque !

 

Cordialement : Kurgan. 

14:49 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : grippe

03/02/2012

Julius EVOLA - Symboles et mythes...

Julius EVOLA :

« Symboles et « mythes » de la tradition occidentale »

 

Le présent recueil se compose d’études ( et d’articles ) dont la rédaction remonte à une époque qui couvre un espace de temps assez vaste : des « Symboles héroïques de la tradition romaine » de 1929 aux « nouvelles réflexions sur le mythe de Mithra » de 1950, reprises par la suite en 1972. La plupart remontent aux années 1930-40, une des périodes les plus fécondes de l’auteur. Tous ces textes sont centrés sur les symboles de la tradition occidentale et sur ses mythes. Par « mythe » l’auteur entend non seulement le sens qu’il a communément, mais aussi celui plus particulier d’idée-force, « d’une idée issue comme force momentanée d’existence à un moment particulier de l’histoire du monde occidental », et, comme l’écrit Julius Evola dans la préface d’un de ses ouvrages : « en disant mythe… nous entendons une idée qui vaut par la force d’évocation qu’elle condense, donc par sa capacité finalement à se traduire en action ».

( Eunet S. / Amazon.fr )

 

Sommaire : Symboles héroïques de la tradition romaine / Symboles aristocratiques romains et la défaite de l’Aventin / La doctrine romaine de la victoire / Virilité spirituelle / La voie de réalisation du soi selon les mystères de Mithra / Les origines de Rome / La vision romaine du sacré / Rome contre Tusca / Janus / Noël solaire / La Hache / L’Aigle / La Navigation comme symbole héroïque / Signification du « Guerrin Maschino » / Le Treize et l’Elu / Les mystère des « Cours d’Amour » / La doctrine aryenne du combat et de la victoire / Romulus / La légende du Graal et le « mystère » de l’Empire / Lettre de René Guénon à Julius Evola.  

 

Traduction française de H.J Maxwell – Bibliothèque de l’Unicorne.

La Tradition : textes et études – Série française – Volume quinzième.

Arché – Milan – 1980 – 201 pages – 20,5 x 16,5 cms – 250 grammes.

Un portrait de l’auteur en frontispice – reliure souple / deux marques de pliure en haut à droite du premier plat, ainsi que quelques petites salissures sur 4ème, sans quoi bon état, intérieur propre et sain : 24 €uros.  / Vendu ! 

 

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Extrait : Quelques notes sur les mystères de Mithra

 

E. Renan écrivit : « si le christianisme eût été arrêté dans sa croissance par quelque maladie mortelle, le monde eût été mithriaste»,le monde aurait donc embrassé la religion de Mithra, car il est reconnu que le mithraïsme fut le plus redoutable antagoniste du christianisme. Il pénétra à Rome vers la moitié du premier siècle avant notre ère, et connut son apogée vers le troisième siècle, se propageant dans les plus lointaines provinces de l'Empire, attirant surtout les légionnaires et les vétérans colonisateurs qui le trouvaient conforme à leur éducation militaire et virile. Des Empereurs comme Hadrien, Commode et Aurélien se firent initier à ses mystères. Le mithraïsme, vers la fin du second siècle, fut reconnu officiellement comme une religion de l'Empire.

Mithra fut regardé comme « le protecteur et le soutien de l'Empire » ( fautorii imperii sui ). Son culte s'était fondu avec celui du Soleil, Hélios, puissance divine sou­veraine et invincible. La date d'une de ses fêtes les plus importantes, qui en célébrait le retour ( dies natalis Solis invicti Mithra ) fut fixée au 25 décembre ( solstice d'hiver ). Elle fut d'ailleurs reprise par le christianisme qui en fit la fête de Noël. Il est dit que Constantin aurait hésité entre Christianisme et Mithraïsme, alors que l'empereur Julien fut initié aux mystères de Mithra. Ce souverain, s'attacha à la métaphysique néoplatonicienne et aux traditions de mystères en particulier, au mithraïsme dans sa noble et courageuse tenta­tive de restauration des cultes romains pour enrayer la progression du chris­tianisme.

Cependant il faut faire quelques réserves à propos de la thèse soutenant que le monde antique aurait pu être mithriaque au lieu d'être chrétien. Pour combattre le christianisme, le mithraïsme aurait dû s'abaisser; restant tel qu'il était, il aurait pu difficilement s'attacher les couches populaires, où la religion de Jésus, avec sa doctrine de salvation, basée sur le sentiment, s'était essentiel­lement implantée. Emanation de l'antique mazdéisme iranien, le mithraïsme en reprenait le thème central, la lutte entre les puissances de la lumière et celles des ténèbres et du mal. Il pouvait avoir des formes religieuses exotériques mais son noyau central était constitué par les Mystères, par une initiation au sens strict ; ce qui le limitait, tout en contribuant à en faire une forme traditionnelle plus complète. Par la suite, il se produit une séparation de plus en plus nette entre la religion et l'initiation.

Ici, nous étudierons les Mystères du mithraïsme et nous chercherons à en indiquer la nature d'après les témoignages qui nous sont parvenus: infor­mations prises dans les auteurs anciens et dans les monuments figurés retrouvés sur les lieux, centres de ce culte et de ces Mystères. Ces témoignages, réunis par Franz Cumont dans ses ouvrages désormais classiques, peuvent également  être complétés par le Rituel mithriaque du Grand Papyrus magique de Paris intitulé Apathanatistnos.

Pour le but que nous nous sommes proposés, il faut avant tout considérer, dans son sens profond, le mythe de Mithra figuré par un grand nombre de sculptures et de bas-reliefs, certains d'une facture admirable. Il ne faut pas oublier que ces mythes étaient les dramatisations des expériences que l'initié devait connaître, par une sorte d'identification avec le dieu dont il devait répéter la geste.

Dans le mythe, Mithra naît d'une pierre ( theos ék pétras, petrogénôs Mithra ), il est engendré par une pierre ( petra genetrix ), comme une mani­festation de la lumière ouranienne originelle, au bord d'un « fleuve » : naissance miraculeuse remarquée seulement par les « gardiens » cachés sur les sommets des montagnes.

A propos de ces derniers, on pourrait se référer aux « Maîtres Invisibles », non sans relation avec les êtres des origines qui, selon Hésiode, ne seraient jamais morts, mais, comme les « Dormants », continueraient à vivre dans les âges successifs.

Les « eaux » d'une part, la « pierre » de l'autre pourraient être une allu­sion à la dualité constituée par le courant du devenir et le principe qui la désigne. Il y a différentes interprétations de la pierre. Elle figure dans de nombreuses traditions. On serait tenté d'établir une analogie entre la genèse de Mithra et un thème du cycle arthurien où figure une épée qu'il faut arracher d'une pierre qui flotte sur les eaux. D'ailleurs, en jaillissant de la pierre Mithra tient d'une main une épée et de l'autre une torche, symboles de la force et de la lumière, d'une puissance illuminante.

Dans la « pierre » on pourrait également voir le symbole d'une force inébranlable et d'une fermeté intérieures, qualités requises chez le néophyte, essentielles pour sa renaissance. Selon Nonnus le Mythographe, dans les mystères de Mithra les néo­phytes devaient traverser le feu et l'eau, résister au froid, à la faim et à la soif, ces épreuves faisant partie de l'initiation. Selon d'autres sources, pour éprouver l'impassibilité du futur initié, on l'obligeait à assister au simulacre de la mise à mort d'un homme. Il se peut que tout cela soit en relation avec le symbole de la « pierre génératrice » et l'une des conditions de la renaissance initiatique.

Quoiqu'il en soit, les qualités requises semblent bien être celles qu'illus­trent les développements du mythe de Mithra, puisque celui-ci doit résister à un vent furieux qui le cingle et flagelle son corps nu. Cependant Mithra se dirige vers un arbre, se couvre de ses feuilles et se nourrit de ses fruits. Etant donné le sens initiatique de l'arbre, on pourrait, ici, penser à un arbre assez voisin de celui sur lequel Adam aurait voulu mettre la main pour devenir « semblable à l'un de nous » ( à un dieu ), mais dont l'approche lui fut interdite par le Jéhovah de l'Ancien Testament.

Cette signification pourrait être confirmée par un autre épisode du mythe qui semble concerner un rapprochement entre Mithra et le Soleil, l'Eon flam­boyant, et qui se conclue par leur alliance, faisant de Mithra le dépositaire de la force souveraine de cette divinité.

Il s'agit du hvarenô de l'antique tradition mazdéenne ( iranienne ), de la « Gloire » conçue comme un feu surnaturel, attribut des divinités célestes, mais qui descend pour auréoler les souverains, les consacrer et les proclamer par la victoire. Le souverain sur lequel descen­dait cette « Gloire », était élevé au-dessus des hommes et considéré par ses sujets comme un immortel. C'est ainsi qu'en assimilant Mithra au Soleil, tou­jours victorieux des ténèbres, il put être choisi comme protecteur et soutien de l'empire romain.

Cette dignité est aussi en relation avec l'épisode central du mythe de Mithra : l'immolation du taureau. Mithra guette le taureau et dès qu'il sort d'une « caverne », il lui saute dessus, le chevauche en s'accrochant à ses cornes. Le quadrupède prend le galop, enlevant Mithra dans une course furieuse. Mithra ne lâche pas prise, se laisse transporter sans se faire jeter à bas jusqu'à ce que l'animal, épuisé, rentre dans la caverne d'où il était sorti. Alors Mithra le tue avec son épée.

Il s'agit ici d'un parallèle entre la force élémentaire « inférieure » de la vie et sa transformation par celui qui l'a assumée dès son apparition ( chevau­cher le taureau ) et l'a domptée.

En effet, le sang qui coule de la blessure du taureau se transforme en « épis », et, en touchant terre, produit des « plantes ». Il faut seulement empêcher que les bêtes immondes, sitôt accourues, n'en boivent le sang ( on les voit sur les représentations figurées du mythe ) — ce qui implique également une signification ésotérique. Si le héros, ou l'initié futur, n'était pas « pur », ce qui reste en lui de nature inférieure se trouverait accru par l'énergie libérée; non seulement il n'y aurait pas transfiguration, mais le résultat pourrait être destructeur ( danger qui a été aussi indiqué par un symbolisme différent dans les textes de l'hermétisme alchimique ). Selon une variante du mythe, le sang du taureau se transforme en vin : allusion possible aux effets d'une sorte d'ivresse magique.

Cet épisode revêt une telle importance qu'il a donné lieu à un rite de l'initiation aux mystères de Mithra : le baptême du sang. Les mithréums, lieux où se célébraient les mystères, comprenaient une partie supérieure et une partie inférieure ( presque toujours souterraine, ce qui n'était pas sans signification ). Dans la partie basse se trouvait le néophyte qui avait satisfait aux épreuves préliminaires ; sa nudité était arrosée par le sang d'un taureau immolé rituelle­ment dans la partie haute du sacellum par le hiérophante. Un ensemble d'expé­riences particulières, destinées à le rendre propice, devaient être en relation avec ce baptême du sang, qui se substituait au baptême chrétien.