29/10/2012
Erwan BERGOT - Bataillon de Corée
Erwan BERGOT :
« Bataillon de Corée : les volontaires Français 1950-1953 »
Destin unique que celui de ce bataillon, crée au mois d’août 1950 par le gouvernement français pour aider les Nations Unies à rétablir la paix et la sécurité en Corée du Sud, envahie depuis juin par les forces communistes du Nord et qui, en trois ans, va devenir l’une des unités les plus décorées de cette campagne. Destin injuste pourtant. Célébré partout Outre-Atlantique, le bataillon français est resté méconnu dans son propre pays où son histoire complète n’avait encore jamais été écrite !
Et pourtant, quelle épopée ! En trois années de présence en Corée, de 1950 à 1953, ses combats se comptent par dizaine – Twin Tunnels, Chipyong-ni, la cote 1037, Crèvecœur, le « T »Bone, Arrow-Head, Kumhwa, etc. – des morts, des blessés, des disparus par centaines. Un long martyrologe que le lecteur suivra, le cœur serré. Bataillon de Corée est une histoire tragique et grandiose, une geste héroïque que les Français devaient connaître et dont ils peuvent être fiers.
France Loisirs – 1983.
296 pages – 24,5 x 16 cms – 580 grammes.
Reliure cartonnée entoilée de noir, titre et nom d’auteur en blanc sur tranche + jaquette couleurs.
16 pages de photographies hors-texte + plans, cartes et schémas in-texte.
La jaquette présente de nombreuses petites marques/traces de manipulation(s) et/ou stockage (tels des bords inférieurs et supérieurs légèrement « frottés », souffrant de quelques « micro » accros), mais la reliure et l’intérieur sont très bien… et l’ouvrage peut – sans aucun problème – être classifié « bon+ » !
>>> 4,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
15:19 Publié dans Erwan Bergot, Guerres et guerriers, Histoire, Indochine & Algérie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : erwan bergot, bataillon de corée volontaires français 1950-1953, guerre de corée, guerre, guerriers, histoire, armée française, histoire de france, livres historiques, récits de guerre
23/10/2012
Jean MARKALE : Gisors et l’énigme des Templiers
Octobre - décembre 2012 :
Trimestre de l'apocalypse ! ( J-59 )
L'ombre du Baphomet…
Jean MARKALE : « Gisors et l’énigme des Templiers »
Pourquoi Philippe le Bel a-t-il ordonné la destruction de l’ordre du Temple ?
Quel rôle ont joué les Templiers à Gisors ? Des secrets, un trésor sont-ils enfouis dans les souterrains de l’ancienne forteresse ?
Quels buts poursuivaient ces « pauvres chevaliers du Christ » ?
Avaient-ils une mystérieuse mission et, si oui, laquelle ? Quel était l’inavouable secret pour lequel ils sont morts ? Pourquoi, tout en se prétendant chrétiens, reniaient-ils Jésus ? A quelles pratiques et rites pervers se livraient-ils ?
Dans le respect le plus total des sources historiques, Jean Markale s’efforce d’éclairer le lancinant mystère des Templiers en isolant les faits irréfutables des hypothèses trop souvent avancées sans fondement.
France Loisirs – 1987 – 317 pages – 23 x 14,5 cms – 550 grammes.
( Le plus grand des deux, à gauche sur la photo )
8 pages de photographies et reproductions (N&B) hors-texte. Reliure cartonnée bleue avec titre et nom d’auteur en blanc sur tranche + jaquette couleurs.
Etat = Excellent ! Sain et propre, jaquette en très bon état, c’est du tout bon !
>>> 5 €uros. / disponible.
------------------------------
Egalement disponible dans la version 2006 :
Jean MARKALE : « Gisors et l’énigme des Templiers »
Le mystère de la destruction de l’ordre du Temple décidée par Philippe le Bel, il y a près de sept siècles, n’a jamais cessé d’obséder les esprits. Mais depuis une vingtaine d’années, le problème soulevé par son anéantissement a rebondi et donné lieu à diverses interprétations, parfois sensationnelles, notamment à propos de Gisors et de son étrange château. Faisant œuvre d’historien, mais ne négligeant aucune source d’informations, Jean Markale traque l’énigme de Gisors et de ses occupants : qui étaient ces pauvres chevaliers du Christ ?
Quels buts poursuivaient-ils ? Avaient-ils une mystérieuse mission et, si oui, laquelle ? Quel était l’inavouable secret pour lequel ils seraient morts ?
Et surtout, pourquoi le serment des Templiers les obligeaient-ils à renier le Christ ?
France Loisirs – 2006 – 313 pages – 22 x 13,5 cms – 420 grammes.
8 pages de photographies et reproductions (N&B) hors-texte. Reliure cartonnée noire avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleurs.
Etat = Un tout petit « choc » (2mm) en bas de tranche, ainsi que quelques assez nettes marques de stockage et manip’ sur la jaquette. L’extérieur est un petit poil moins bien que le précédent (la version de 1987), mais il est tout de même très bien, sain, propre, et tout et tout… bref : bon pour le service !
>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Jean MARKALE
19:00 Publié dans Esotérisme / Occultisme, Histoire, Jean Markale, Moyen Âge, Mystères, Religions / Spiritualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean markale, gisors et l'énigme des templiers, templiers, mystère, mystères, moyen-âge, ésotérisme, occultisme, histoire, histoire de france
08/10/2012
Roland VILLENEUVE / Gilles de Rais
Octobre – décembre 2012 :
Trimestre de l'apocalypse ! ( J-74 )
Magie Noire… et barbe bleue.
Roland VILLENEUVE : « Gilles de Rais »
Le personnage de Gilles de rais est un personnage de légende – cela, aujourd’hui, ne fait aucun doute. Mais derrière la masse d’écrits sérieux, suspects ou scandaleux qui lui ont été consacrés, il y a une réalité historique à proprement parler bouleversante. Roland Villeneuve l’examine ici, dans un livre vivant, appuyé sur une documentation considérable et dont l’autorité ne pourra échapper à personne.
Table des matières : Thèses en présence – Jeunesse et mariage – Sainteté et bravoure – Portrait du sire de Rais – Collégiale et prodigalités – Assassins et complices – Menaces de ruine – Recherches alchimiques – Appels aux Ténèbres – Sadisme et sacrilège – Sodomie et satanisme – Arrestation – Procès – Aveux et châtiment – Epilogue – Pièces justificatives.
Editions de Crémille / Génève – 1989.
Collection « Les personnages maudits de l’histoire ».
Belle reliure éditeur façon cuir noir + dorures / Nombreuses illustrations et photographies hors-texte. 364 pages / 20x13 cms / 425 grammes.
Etat = Deux minuscule « frottis » (1 mm) en haut et bas de tranche, sans quoi il est très bien. Reliure en excellent état, intérieur sain et propre, tout à fait bon pour le service !…
>>> 6,50 €uros. / Vendu ! temporairement indisponible.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_de_Rais
Ailleurs = 12,75 €uros sur abebooks.fr
De 6 à 23 €uros ( moyenne à 10 €uros ) sur priceminister,
selon les états… et les vendeurs.
17:11 Publié dans Biographies, Esotérisme / Occultisme, Histoire, Moyen Âge, Mystères, Roland Villeneuve | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roland villeneuve, gilles de rais, barbe bleue, sorcellerie, magie noire, occultisme, ésotérisme, mystères, mystère, histoire, moyen-âge
14/06/2012
Pierre SCHOENDOERFFER
Pierre SCHOENDOERFFER : « Le crabe tambour »
Quatrième de couverture : Déraciné d'Asie où il a exercé vingt ans la médecine, Pierre, le narrateur, ne s'est plus senti de place en France et six mois lui ont suffi pour décider de se rengager dans la Marine. Là au moins il aura sa voie tracée, droite et sûre jusqu'à la fin, il ne courra pas le risque de se désintégrer à la façon de cet ancien camarade d'Indochine retrouvé à Paris – Dubourg ou Babourg ? – peu importe, un mort en sursis.
Tout le monde ne sait pas lutter contre les mauvais hasards, tout le monde n'a pas l'audace et la fermeté nécessaires pour garder l’âme fière et le sourire aux lèvres. Une âme prête à l'aventure comme Willsdorff, surnommé le Crabe-Tambour. Sur la passerelle de l'Éole, l'aviso affecté à l'assistance à la Grande Pêche qui l'emmène vers le Nord, le toubib ne résiste pas au désir de raconter la charge au clairon menée sur le fleuve indochinois par l'enseigne Willsdorff, son ami. Willsdorff qu'il a perdu de vue et dont le commandant lui apprend la présence là-bas en pêche sur le Damoclès.
Comment le Crabe Tambour en est-il venu à se faire patron de chalutier ? D'un souvenir à l'autre - mêlés au présent impérieux vibrant des échos de la vie en haute mer – tout ce que le narrateur ignorait de son ami prend forme : une question aussi obsédante que la parabole des talents dont la leçon court en filigrane dans ce récit fort et profond, couronné par le Grand Prix du roman de l'Académie française.
Le livre de poche – 1978 – 311 pages – 155 grammes.
Quelques petites marques de stockage et manipulations sur les plats, mais très bon état général, intérieur propre et sain, tranche non cassée !
>>> 2,50 €uros. / disponible.
---------------------------------------------
Pierre SCHOENDOERFFER : « La 317ème section »
Quatrième de couverture : C'est la saison des pluies au Laos. L'eau tambourine jour et nuit sur la jungle montagneuse où s'est mise en marche la 317, section : 41 supplétifs laotiens commandés par 4 Européens qui ont reçu l'ordre d'abandonner le poste de Luong Ba, menacé d une offensive du Viet-Minh.
La colonne amorce son repli le 23 avril. Le sergent Roudier tombe avec sa patrouille dans une embuscade. Pour le jeune chef Torrens, il n'est pas question d'abandonner les blessés. La marche reprend, ralentie par les civières, vers Tao Tsaï, par la ligne de crête de la cote 924.
L'ennemi, c'est le Viet-Minh, d'une habileté démoniaque à la guérilla, mais aussi les moustiques, les sangsues, la boue et la jungle impénétrable, la fièvre ou la dysenterie. Malgré tout, la colonne progresse avec assez d'allant pour attaquer à son tour quand l'occasion s'en présente. A ce jeu, elle use sa vie et ses forces, mais les hommes de la 317e section ne le regrettent pas : ainsi le veut la guerre – la guerre d'Indochine, dont ce récit décrit de façon authentique et prenante un visage peu connu.
Le livre de poche – 1966 – 253 pages – 140 grammes.
Plusieurs fines cassures sur la tranche attestent du fait que le livre a été lu et re-lu… mais les plats sont comme neufs et l’intérieur nickel ! Tout à fait bon pour le service !
>>> 2 €uros. / Vendu !
18:35 Publié dans Aventures, Guerres et guerriers, Histoire, Indochine & Algérie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pierre schoendoerffer, le crabe tambour, la 317ème section, indochine, guerre, guerriers, histoire, histoire de france, aventures, aventuriers
12/06/2012
Vingt ans de grogne et de gloire...
COIGNET Jean-Roch :
« Vingt ans de grogne et de gloire avec l’empereur »
« Aux vieux de la vieille ! Souvenirs de J.-R Coignet, soldat de la 96ème demi-brigade - Soldat et sous-officier au 1er régiment des grenadiers à pied de la garde - Vaguemestre du petit et du grand quartier impérial - Capitaine d’état-major en retraite - Premier chevalier de la Légion d’Honneur - Officier du même ordre – 1851 »
« J'avais soixante-douze ans. Une perte récente et cruelle me laissait dans l'isolement le plus complet. La tristesse et l'ennui m'accablaient. Je rappelai, pour me distraire, le souvenir de temps déjà bien éloignés, et j'en composai le récit qu'on va lire. Si quelques erreurs ont pu s'y glisser, elles sont involontaires. Que mes lecteurs me les pardonnent, en faveur de ma bonne foi et de ma sincérité. Je n'ai pas reçu, dans mon enfance, la moindre éducation. À trente-trois ans, je ne savais ni lire ni écrire. Deux vélites de la garde (nommés Gobin et Gallot… je me rappellerai toujours leurs noms !) furent mes maîtres d'école. C'était en 1808, entre Friedland et Wagram. »
( Jean-Roch Coignet )
Walter Beckers éditeur – Collection du XXème siècle / 1969.
( Edition de luxe, « Collection Club », sur papier spécial, typo Helvetica ).
Reliure éditeur façon cuir (gris-beige marbré) + tête et titre dorés sur dos à 6 nerfs, plat illustré en dorure. Illustrations hors-texte.
Un tout petit choc (à peine visible) sur un premier plat présentant une légère patine suite à quelques frottements, et une ou deux petites traces de stockage sur quatrième, sans quoi il est très bien, sain, propre et pour le moins fort beau !
276 pages / 21,5 x 14,5 cms / 550 grammes.
>>> 6 €uros. / disponible.
Jean-Roch Coignet
17:26 Publié dans Guerres et guerriers, Histoire, Mémoires / Autobiographies, Premier Empire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-roch coignet, vingt ans de grogne et de gloire avec l’empereur, histoire, napoléon 1er, premier empire, histoire de france, guerres, guerriers, guerres napoléoniennes
24/05/2012
Staline
Jean ELLEINSTEIN : « Staline »
Quatrième de couverture :
Comment un militant révolutionnaire clandestin, emprisonné et déporté, devient-il un des tyrans les plus sanguinaires de l'histoire ? Quelle est la part du système et celle de l’homme dans ces événements ? Quelle fut vraiment la vie de celui qui fut adulé comme le Vojd ( le guide ) de l’Union Soviétique ? Avec passion et rigueur, sans complaisance, Jean Elleinstein tente de répondre à ces questions.
La révolution de 1917, la guerre civile, la NEP, la collectivisation des terres, l’industrialisation, la terreur de masse contre les communistes, tous les peuples de l’URSS et toutes les catégories sociales, le pacte germano-soviétique, la seconde guerre mondiale, Stalingrad, Téhéran, Yalta et Potsdam, la fondation d’un Empire, la guerre froide, la reconstruction, à nouveau la terreur : tels sont les épisodes d’une vie qui est au cœur de l’histoire contemporaine.
Jean Elleinstein n’hésite pas, à ce propos, à comparer la vie et l’œuvre des deux grands dictateurs du XXe siècle : Hitler et Staline qui, s’il n’a pas créé Auschwitz, a créé des centaines de Buchenwald et de Dachau, et a fait tuer des millions de Soviétiques.
Ce livre irritera peut-être certains lecteurs qui restent reconnaissants à l’Union Soviétique d’avoir aidé à libérer l’Europe. C’est la ruse de l’Histoire que l’un et l’autre points de vue soient vrais. Comme disait Marx : « les faits sont têtus ». Staline restera à la fois comme le vainqueur de Stalingrad et le fondateur du goulag.
FAYARD / 1984.
568 pages / 21,5 x 13,5 cms / 600 grammes.
Quelques cartes en noir et blanc, hors texte.
Broché ( reliure souple ). Plusieurs fines cassures sur une tranche légèrement incurvée attestent que l’ouvrage a été lu et relu… mais hormis quelques traces de manip’ (donc), une petite marque de pliure en haut de la quatrième et des coins légèrement « heurtés »… l’exemplaire est sain, l’intérieur propre et l’ensemble tout à fait O.K !
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = Entre 5 et 12 €uros ( bon à très bon ) sur priceminister
( Si l’on ôte – bien sûr – de la liste les exemplaires « restaurés au scotch » à 2 €uros et les voleurs le proposant à 25 ou 37 €uros !?!?!! )
5 €uros ( occasion « satisfaisante » ) sur abebooks.fr
12 ou 14,90 €uros sur galaxidion.com
14:17 Publié dans Biographies, Histoire, Politique / Géopolitique & économie, Russie / Monde slave, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean elleinstein, staline, communisme, union soviétique, russie, biographie, histoire, politique
09/05/2012
Napoléon Ier / Premier Empire.
La Campagne de France – Du Rhin à Fontainebleau 1814.
Mémoires du Général Comte de Ségur ( de l’Académie Française )
Aide de Camp de l’Empereur Napoléon Ier
La campagne de France est la fin de la guerre liée à la Sixième Coalition, qui se déroule de janvier à avril 1814, et pendant laquelle Napoléon tente d'éviter ou d'arrêter l'invasion de la France et de conserver son trône. Après l'entrée des troupes prussiennes et russes dans Paris, il abdique et part en exil à l'île d'Elbe.
Editions Famot – Genève 1974.
Reliure éditeur, simili cuir rouge et demi-percaline noire. Titres dorés.
Nombreuses illustrations hors-textes ( fond de la Bibliothèque Nationale de Paris ).
255 pages / 18 x 12 cms / 295 grammes.
Etat = Comme neuf !!!
Austerlitz
Raconté par les témoins de la Bataille des Trois Empereurs
Tout est dit dans le titre ! Une multitude de témoignages issus/tirés des mémoires de protagonistes de chacun des camps en présence, pour l’ouvrage le plus complet et détaillé que j’ai pu lire sur le sujet ! Excellent !
Textes réunis, compilés et présentés par Henriette Ozanne.
Editions Famot – Genève 1974.
Reliure éditeur, simili cuir vert et demi-percaline noire. Titres dorés.
Nombreuses illustrations hors-textes ( fond de la Bibliothèque Nationale de Paris ).
245 pages / 18 x 12 cms / 290 grammes.
Etat = Comme neuf !!!
Les 2 volumes ( 585 grammes ) >>> 10 €uros. / Vendus !
14:52 Publié dans Biographies, Guerres et guerriers, Histoire, Premier Empire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : napoléon ier, premier empire, campagne de france, austerlitz, comte de ségur, histoire, guerre, guerres napoléoniennes
07/05/2012
Maréchal PAULUS - Stalingrad
Maréchal PAULUS : « Stalingrad »
Vie du Feldmaréchal-Général Friedrich PAULUS
Lettres et documents inédits rassemblés par Walter GÖRLITZ.
Avant-propos d’Ernst Alexander PAULUS.
Librairie Arthème Fayard / 1961.
315 pages / 22 x 14 cms / 460 grammes.
Reliure cartonnée recouverte d’un tissu jaune, titre et nom d’auteur en noir sur premier plat et tranche, nombreuses cartes et photographies hors-texte, très bon état, si ce n’est un petit choc en bas de couv’ >>> 7 €uros. / Vendu !
« Devant l’histoire, Friedrich Paulus reste à jamais le vaincu de la bataille de Stalingrad. Contrairement à d’autres chefs de guerre comme le Maréchal Model, il préfère la captivité au suicide, et le personnage ne sort pas grandi de sa confrontation avec le destin impitoyable. D’autant que les Soviétiques allaient obtenir de lui qu’il prenne position publiquement en août 1944 contre ses compatriotes qui s obstinaient a continuer un combat, même sans espoir, pour leur patrie. Pourtant, Paulus n’est jamais apparu comme un opposant à la politique de conquête d’Adolf Hitler, n’ayant jamais cessé d’être, jusqu’à Stalingrad, un subordonné obéissant et respectueux.
Né à Breitenau, dans la Hesse, en 1890, il songe d’abord à faire une carrière d’officier de marine, puis se lance dans des études de droit avant de se décider finalement à entrer dans l’armée de terre. En 1910, à vingt ans, il est aspirant dans un régiment d’infanterie badois à Rastatt. Sous-lieutenant l’année suivante, il épouse une comtesse roumaine et semble destiné à mener une vie de garnison sans histoires.
La guerre éclate. Le sous-lieutenant tombe malade. Guéri, il est affecté aux chasseurs de montagne. Il se bat alors à Verdun et en Roumanie, gagne ses deux croix de fer et termine la guerre comme capitaine. Il servira alors à l’Ouest dans un état major puis à l’Est après l’armistice.
Paulus reste dans la Reichswehr et sera détaché au ministère pour y suivre différents cours, car cet officier est sans nul doute un intellectuel. Professeur de tactique et d histoire militaire, c’est un esprit brillant, mais un peu schématique, sans grand contact avec la troupe. Cela n’empêche pas un avancement assez rapide : major en 1931, lieutenant-colonel en 1933 et colonel en 1935. Il se passionne pour la motorisation, ce qui correspond bien aux vues militaires du nouveau régime.
Friedrich Paulus est promu général le 1er janvier 1939 et se distingue comme chef d’état major dans un corps d’armée, puis dans une armée que commande le général von Reichenau. Il met au point les plans d’invasion de la Pologne, puis travaille aux projets d’attaque sur le front de l’Ouest. A la fin du mois de mai 1940, il est le premier quartier-maître-général à l’Oberkommando des Wehrmacht avec le grade de général de division. Il reste un homme d’état major, froid, efficace, méthodique.
Paulus joue indéniablement un grand rôle lors de l’élaboration du plan Barbarossa, celui de l’attaque contre l’Union Soviétique. A cette époque, il ne songe pas à se monter antinazi. Bien au contraire, il est de ceux qui suggèrent qu’Adolf Hitler prenne le commandant des forces armées et celui de l’armée de terre. Nommé général de corps d’armée, Paulus reçoit le commandement de la 6e armée. Son sort est scellé.
Il va se battre dans le cadre du groupe d’armées Sud et se retrouvera sur la Volga, en avant-garde des troupes allemandes et alliées.
Le 17 juillet 1942 commence la bataille pour Stalingrad. La ville tombe presque entièrement aux mains des troupes du Reich, mais les soviétiques résistent avec acharnement. La mauvaise saison arrive. A la mi-novembre, alors que la Volga charrie des glaces, l’Armée rouge prend l’offensive. Les alliés roumains sont bousculés. Avant la fin du mois la 6e armeé est pratiquement encerclée. Le corps d’armée expéditionnaire italien est lui aussi disloqué. Les tentatives allemandes pour briser l’encerclement échouent les unes après les autres. D’impitoyables combats de rues se déroulent dans les ruines de Stalingrad. Von Manstein, qui commande le groupe d’armée du Don, ne peut plus rien faire.
Le 26 décembre, les troupes placées sous les ordres de Paulus sont coupées en deux. C’est le commencement de la fin. Le 30 janvier, Paulus est nommé maréchal, mais ce geste honorifique n’est sans doute qu’une invitation à emporter son bâton de commandement dans sa tombe. Le lendemain, le commandement de la 6e armée décide de se rendre.
150 000 de ses hommes ont été tués au combat, près de 100 000 ont été faits prisonniers, dont 24 généraux. Bien peu reviendront de captivité. Paulus ne sera libéré qu’en 1954, dix ans après une proclamation au peuple allemand où il rejetait sur Hitler toute la responsabilité du désastre de Stalingrad. Il mourra en 1957, à Dresde. »
( www.39-45.org )
« Voici un livre très intéressant sur la vie de Frédéric Paulus, Général-feldmaréchal de la VIéme Armée, défaite à Stalingrad… personnage qui de part son indécision et son esprit d'obéissance totale au Führer, se laissa enfermer avec toute son armée dans la poche de Stalingrad, ex-Tsaritsine, surnommée le Verdun Rouge pour la violence de ses combats...
Ce livre est tiré des notes du Maréchal lui-même et réunies par son fils, Ernst-Alexander Paulus, officier dans la Waffen-SS et blessé au début de la campagne de Stalingrad. En 1957, il confia ces dernières à l'historien militaire allemand Walter Görlitz qui avec l'aide d'autres archives retrace la vie de Paulus de l'opération Barbarossa à Stalingrad, puis jusqu'à sa mort, à Dresde, en 1957.
A lire, car la personnalité de Paulus et la bataille de Stalingrad y sont traitées bien plus en profondeur, grâce aux notes de ce dernier, que dans bien des livres sur le sujet. »
( histoquiz-contemporain.com )
« Il ne s’agit ni des mémoires posthumes du maréchal ni d’une simple biographie écrite par un tiers, mais bien d’un ouvrage sur lui, qui procède à la fois de l’un et de l’autre »…
( auxcentmillebouquins.fr )
Ailleurs = entre 8 et 14,90 €uros sur priceminister
( http://www.priceminister.com/offer/buy/89437678/paulus-ma... )
11 €uros sur livre-rare-book.com
( http://www.livre-rare-book.com/book/5472977/AGDL110035/fr )
17:19 Publié dans Biographies, Guerres et guerriers, Histoire, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maréchal paulus, stalingrad, walter görlitz, friedrich paulus, ernst alexander paulus, troisième reich, ww.ii, seconde guerre mondiale, front de l'est, histoire, guerre, guerres
20/04/2012
Quinto NAVARRA
Quinto NAVARRA : « Valet de chambre chez Mussolini »
Avant-propos / page 7 :
« Quinto Navarra fut huissier de Mussolini depuis la conférence de Cannes jusqu’au 25 juillet 1943. A partir de cette date il dut, pour raisons de santé, renoncer à son service effectif, mais des motifs de famille l’obligeant à séjourner dans le nord de l’Italie, il put suivre de très près l’activité de Mussolini jusqu’au 25 avril 1945.
Le but poursuivi par Navarra en publiant ses souvenirs est de détruire les nombreuses légendes qui courent sur Mussolini. Il relate fidèlement, dégagé de toute influence politique ou partisane, ce qu’il a pu observer. Ce n’est pas pour écrire en sa propre faveur un plaidoyer, dont son honnêteté et sa conscience n’ont nul besoin, mais seulement pour servir la vérité. »
Editions Bader Dufour (Traduction de Jean-Marie Rozé) / 1949.
295 pages / 18,5x12 / 220 grammes.
Lu (comme l’attestent quelques fines pliures sur une tranche légèrement « choquée » à ses extrémités) mais dans un excellent état pour un livre de cette époque.
Exemplaire sans jaquette >>> 14 €uros. / disponible.
17:45 Publié dans Biographies, Histoire, Politique / Géopolitique & économie, Seconde guerre mondiale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quinto navarra, mussolini, histoire, fascisme, années 30, seconde guerre mondiale, témoignage, politique
10/03/2012
La papesse Jeanne
Dona CROSS : « La papesse Jeanne »
Quatrième de couverture : Comment, au IXe siècle, une femme a-t-elle pu se faire élire pape sans que personne ne soupçonne son véritable sexe ? La papesse Jeanne a vraiment existé, et son nom figure dans les registres du Vatican.
C'est son surprenant destin, plein d'aventures extraordinaires, d'intrigues et d'amours, que retrace cet étonnant roman, fondé sur des données historiques indiscutables. Née en France en 814, d'un père sévère et rigide, Jeanne est révoltée contre les préjugés et les interdits qui pèsent sur son sexe. Elle apprend à lire et à écrire en cachette, et parvient à se faire admettre à l'école de Dorstadt grâce à ses connaissances en latin et en grec. Ne pouvant loger à l'école avec les garçons,
elle habite chez son tuteur, Gerold, et l'épouse de celui-ci, dame Richild.
Mais Gerold et Jeanne tombent amoureux l'un de l'autre… Ainsi, commence l'étonnant et authentique destin de celle qui parviendra à s'introduire au Vatican pour soigner le pape malade, et finira par se faire élire sur le trône de Saint Pierre sans que personne découvre son véritable sexe. Jusqu'à ce qu'un événement inattendu vienne tout bouleverser…
France Loisirs – 1997.
20,5 x 13,5 cms – 584 pages - 620 grammes.
Couverture cartonnée façon cuir bleu + dorures + jaquette couleurs.
Quelques marques de stockage sur la jaquette + un petit choc / léger « plat » en haut de tranche,
sans quoi il est très bien, propre et sain : 4 €uros. / Vendu !
17:55 Publié dans Histoire, Moyen Âge | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dona cross, la papesse jeanne, histoire