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07/11/2013

San-Antonio / Le dragon de Cracovie

SAN-ANTONIO : « Le dragon de Cracovie »

Editions France Loisirs – 1999.

328 pages – 24,5 x 16,5 cms – 550 grammes.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu rouge bordeaux + jaquette couleurs.

Quelques petites traces de stockage et de manipulation sur la jaquette, ainsi qu’une « pastille rouge » autocollante dans le coin supérieur droit…  

Sans quoi il est nickel, comme neuf !

>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Frédéric Dard a utilisé le pseudonyme San-Antonio pour signer un certain nombre de romans qui n'ont aucun rapport avec les aventures de San-Antonio et de Bérurier. C'est le cas pour ce roman, écrit en 1998. Point, donc, de commissaire, ni de Bérurier, pour nous aider à mener l'enquête…

 

C'est un imberbe et frêle Autrichien qui, en 1988, va conduire la danse, les danses plutôt, parce qu'il est spécialement doué pour les torgnoles et les effacements en tout genre. Pour connaître son ascendance, il faut remonter au 19 novembre 1937, à l'issue d'une longue journée de négociation entre Lord Halifax et le maître de l'Allemagne nazie. Une migraine tenaillait ce dernier et il fit appel aux services de l'infirmière de nuit. Cet homme qui « pensait les dents serrées pour être certain de ne pas se livrer », s'abandonna aux mains de la gretchen, puis entre ses cuisses, après avoir appris qu'ils descendaient tous deux de la même souche des « Hitler ».

La semence chancelière, neuf mois plus tard, se matérialisa en un Richard qui, lui même, procréa un fils, en 1970. La grand-mère Frida, certaine d'être l'unique femme à assurer la continuité terrestre de son exceptionnel amant d'une nuit et soucieuse d'immortaliser l'origine du gamin (qu'elle avait su garder secrète), exigea qu'il se prénomme Adolf.

1988… Adolf a dix-huit ans. Orphelin, il vit chez sa grand-mère.

« Le dimanche, pour peu que le temps ne fût point hostile, il aimait à flâner par les hauts lieux touristiques de la ville (Vienne), non qu'il prisât la foule, mais elle attisait en lui un étrange sentiment de haine qui le fortifiait ».

C'est une altercation violente avec un sexagénaire photographe qui scelle son destin : le vieil homme doit verser, pour son agression, une amende d'un million de schillings au jeune homme, au titre des dommages et intérêts. Adolf quitte Mutti Frida, pour s'installer à Munich… Ce n'est que le début d'un périple, parsemé de cadavres de tous poils, qui s'achèvera à Cracovie. Chaque nouveau chapitre présente un rebondissement et jamais on ne peut prévoir où nous emmène San-A, ni chez qui ! Et la chute est pour le moins inattendue.

Pour les aficionados, point n'est besoin de détailler davantage cette épopée ; l'art de l'extermination est développé à grands renforts d'éléments tous plus « san-antoniesques » les uns que les autres. Et il est fécond, le bougre !

Bien sûr, le vocabulaire est savoureux : « J'ai fait carrière, dit Frédéric Dard, avec un vocabulaire de 300 mots. Tous les autres, je les ai inventés ».

Une pauvre femme paralytique sera traitée de tas de ferraille. Lola, la femme-singe, n'était qu'une guenilleuse. Certains ont le cœur chamadeur. Alfonso avec sa tête à impériale, n'a de cesse que de chausser sa voisine…

Fouinez, fouinez dans les pages… vous allez savourer ces vocables succulents !

Un petit bijou pas assez connu !

 

( http://livresouverts.canalblog.com/archives/2010/07/01/18462384.html )

 

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31/10/2013

NéO - Le miroir obscur

Nouvelles Éditions Oswald

Suspense Insolite Mystère – Collection « Le miroir obscur »

La célèbre collection aux couvertures signées Jean-Claude CLAEYS.

 

( N°1 ) - Howard FAST : « L’ange déchu »

Au cours d'une panne d'électricité qui plonge un immeuble entier de New York dans l'obscurité la plus totale et laisse ses occupants « aussi désemparés, aussi isolés que le fut jamais l'homme au commencement du monde  », Charles Calvin, une haute personnalité américaine, est précipité dans le vide d'une fenêtre du 22° étage, cependant qu'un autre homme, David Stillman, entreprend à pied la descente de ces 22 étages. A mi-chemin commencera le calvaire de David, soudain traqué par les créatures de Vincent, personnage diabolique qui, de l'ombre, tire les fils d'une entreprise criminelle. Mais qui est Vincent, quel rôle Calvin a-t-il joué dans le puzzle, pourquoi Stillman est-il l'objet d'une telle chasse à l'homme  ? David lui-même est incapable de répondre à ces questions  : frappé d'amnésie, c'est un homme sans mémoire qui se débat au milieu de pièges mortels surgis d'un passé qu'il ne peut préciser. « L'ange déchu  » est un suspense mené de main de maître par l'un des plus grands écrivains américains du XXème siècle.

NéO, Collection Le Miroir Obscur.

206 pages / 14 x 21 cms / 305 grammes

Edition originale de 1979 – N°1 !!! 

Infimes accros sur haut de couv’ et bas de tranche…

Mais quoiqu’il en soit : état bon tirant sur le très bon ( pour un NéO de 1979 ).

>>> 7 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

( N°8 ) - Kenneth FEARING : « Le grand horloger »

   Traduction de Boris VIAN.

Le Grand Horloger se compose de 7 récits entrecroisés faits par :

- George Stroud, rédacteur en chef des "Voies du Crime"

- Son patron le magnat de la Presse : Earl Janoth

- Steve Hagen, bras droit et confident de Janoth

- Edward Orlin, journaliste

- Georgette Stroud, femme du héros

- Emory Mafferson, journaliste

- Louise Paterson, artiste peintre dont l’un des tableaux est au coeur du drame.

Chaque récit reflète la personnalité de son auteur, chaque acteur se définit lui-même tout en contribuant à l’action. Un univers étouffant, un drame feutré en lieu clos, une seule issue la mort ! Ce livre est un modèle de psycho-thriller, satyre sardonique des milieux de la presse à sensation. Poème désespéré sur le destin écrit en forme de roman policier.

La révélation ( et la traduction ! ) de ce roman est / sont due(s) à Boris VIAN.

( La première édition française date de 1947 ! )

NéO, Collection Le Miroir Obscur n°8 / 1980.

189 pages / 14 x 21 cms / 280 grammes.

Très bon état / Quasi-parfait !!! >>> 7 €uros. / Vendu !

 

( N°9 ) - G.J ARNAUD : « Tel un fantôme »

« Olga Pradier mène une vie misérable dans un pavillon de banlieue. Un jour, elle décide d’en finir, mais n’a pas le courage de se suicider. Elle peut pourtant « tuer Olga » pour renaître en une autre femme, ailleurs. Sans oublier de se venger de son mari en montant une bien terrible machination…

Mais on ne balaie pas facilement son passé et Olga hante cette Edith Runel qu’elle est devenue. Ce fantôme la pousse à revenir sur les lieux de son ancienne vie, comme une coupable… qu’elle est peut-être !? »

G.J Arnaud, l’un des maître du roman policier français, construit ici une intrigue savante sur les troubles et les ambiguïtés de la personnalité. Un « polar » sans crime. Un personnage double. La vie quotidienne envahie par le fantastique : « Tel un fantôme » oscille ainsi entre le roman policier, le thriller et le livre d’épouvante. Pour le grand plaisir du lecteur…

Le livre est précédé d’une « préface-interview » où G.J Arnaud, interrogé par Bernard Blanc, y parle du livre, mais aussi de sa conception du roman policier… et suivi d’une postface inédite de l’auteur. Une réédition indispensable et attendue d’un des meilleurs romans policiers du créateur de « La compagnie des glaces » !

NéO, Collection Le Miroir Obscur n°9 / 1980.

184 pages / 14 x 21 cms / 310 grammes.

Etat = très bon… tirant sur le parfait >>> 7 €uros. / Vendu !  

 

( N°22 ) - Nancy RUTLEDGE : « La Mante Religieuse »

De la chambre d’hôtel de New York où il est sauvagement « interrogé », Douglas Trevor trouve, au cours de quelques instant de répit, la force de téléphoner à son ami Curt Hilton à Chicago, mais son message est incompréhensible. Le lendemain, Curt recevra un télégramme lui annonçant à la fois la mort de Douglas et son mariage récent. Curt, tout autant que Barbara Sandline, la fiancée de Douglas, ignoraient tout de ce mariage. Et pourtant, c’est bien une nouvelle épousée qui accompagne le corps…

A leur chagrin va bientôt s’ajouter l’angoisse, puis le soupçon. Car si Ricki est belle, fragile, et même aveugle, elle n’en est pas moins inquiétante. Et plus encore le soit-disant oncle qui l’accompagne, un vieillard doucereux, lui-même escorté d’un secrétaire si particulier qu’il a plutôt l’aspect d’un garde du corps.

Peu à peu l’horrible machination se dévoile à nos yeux : « l’oncle » est en fait le chef d’une organisation secrète d’inspiration néo-nazie que Douglas était sur le point de démasquer… et dont il a subtilisé l’emblème, une mante religieuse en or ; sans laquelle leur chef perd son pouvoir absolu. Toute l’action tourne dès lors autour de la récupération de cet objet magique, que Douglas a sans doute fait parvenir à Curt ou à Barbara.

Enlèvements, bagarres et séquestrations sous la garde de chiens féroces se succèdent tout au long d’un récit haletant. Curt se pose deux angoissantes questions : pourquoi a-t-on tué Douglas ? et Ricki, la belle aveugle dont il est tombé amoureux, est-elle complice ou victime des tueurs ?

NéO, Collection Le Miroir Obscur n°22 / 1981.

200 pages / 14 x 21 cms / 325 grammes.

Etat bon… tirant sur le très bon >>> 7 €uros. / Vendu !

 

( N°28 ) - David GRAHAM : « Opération balai »

« Douze camionnettes blindées, munies de gadgets de sécurité ultra modernes, conduites par des chauffeurs entraînés à parer à toute attaque, disparaissent en plein jour ! Ces camionnettes, dispersées aux quatre coins de Londres, sont toutes portées manquantes au même moment, sans que la moindre alerte n’ait été donnée. Elles transportaient trois millions de livres sterling. Quel est le cerveau génial qui a pu réaliser un coup aussi magistral !? L’effervescence règne à Scotland Yard… car un tel homme serait capable de mettre en péril les fondements même de la société britannique. »

Un « instantané » de l’Angleterre mal remise de l’affaire du train postal Glasgow-Londres ( N.d.R : le récit a été écrit en 1965 ! ). Une Angleterre un peu réactionnaire, certes, mais où les fantômes frappent discrètement à la porte de l’imaginaire. Ainsi peut-on deviner, dans ce halo culturel dont bénéficie indirectement le livre, la musique pop à ses débuts, les films réalistes du type « Sporting life » ou le « roman social » illustré par Sillitoe avec « La solitude du coureur de fond ». Ce qui est clairement indiquer le sens absolument moderne du récit et montrer combien il avait naturellement sa place dans cette collection « Le miroir obscur »

NéO, Collection Le Miroir Obscur n°28 / 1981.

188 pages / 14 x 21 cms / 300 grammes.

Quelques petites marques d’usage >>> 5 €uros. / Vendu !

 

( N°91 ) - H. Mc CLOY : « Une poignée de main avec la mort »

« Un recueil de six nouvelles ( dont la plus longue, qui donne son titre à l’ouvrage, est en fait un court roman ) qui raviront les fanatiques des anthologies de Hitchcock… celui-ci ayant d’ailleurs très souvent « emprunté » des histoires d’Helen Mc CLOY, célèbre auteur américain de romans policiers noirs et de thrillers. Une nouvelliste exceptionnelle, dont les récits originaux ont toujours des chutes stupéfiantes et inattendues ! »… Helen McCloy est né en 1904.  Elle est une des meilleurs auteurs féminins américains.  Vingt-cinq romans depuis 1938, dont pas un n'est indifférent et dont une dizaine ont pour détective un psychiatre, Basil Willing, qui rencontre de par sa profession, des cas plutôt insolites relevant parfois de la parapsychologie.  Bonnes intrigues, solides arguments au point de vue de la détection criminelle et style qui témoigne d'une haute culture.

Sommaire :

Une poignée de main avec la mort ( Shake Hands With Death, 1960 )

Derrière le rideau ( The Other Side Of The Curtain, 1950 )

Chinoiseries ( Chinoiserie, 1948 )

Ta sœur la mort ( Thy Brother Death, 1958 )

Les Losanges chantants ( The Singing Diamonds, 1951 )

L’Informateur muet ( The Silent Informer, 1959 )

NéO, Collection Le Miroir Obscur n°91.

Edition originale de 1984 – Limitée à 4000 ex.

190 pages / 14 x 21 cms / 240 grammes.

Marques d’écritures « par contact » sur couv’…

Et pliures de lecture sur tranche – Etat moyen >>> 3 €uros. / Vendu !

 

( N°113 ) - Howard FAST : « Alice »

C’est à New York, par une froide soirée de mars, sur le quai du métro, que la vie d’un jeune dessinateur en architecture bascule dans l’horreur… quand un vieillard terrorisé s’accroche à lui avant de tomber sous la rame et d’y être affreusement déchiqueté.

Il devra tout remettre en question pour assurer sa simple survie, mais aussi celle de sa fille et de sa femme ( Alice, la véritable héroïne du roman ). Il devra échapper aux tueurs impitoyables qu’une puissance étrangère ( à toute humanité ! ) a lancé à leurs trousses… pour leur arracher un secret qu’ils ignorent.  Mais également – et surtout – comprendre qu’il ne pourra plus jamais regarder sa femme de la même façon… tant cette aventure va la révéler à lui sous un jour vertigineusement inattendu !!!…

NéO, Collection Le Miroir Obscur n°113.

189 pages / 14 x 21 cms / 250 grammes.

Edition originale de 1985 – Limitée à 4000 ex.  

Marques d’usage sur couv’ et 4ème + Pliure sur tranche et étiquette prix sur couv’

Etat moyen+ >>> 3 €uros. / Vendu !

 

( N°128 ) - Charlotte ARMSTRONG : « Appel de nuit »

« La mort d’un chien », « Au loup ? », « Qu’auriez-vous fait ? », « Au bord du danger », « Appel de Nuit » : cinq nouvelles de celle, qui, avec d’autres grands auteurs féminins - comme Helen Mc Cloy ou Patricia Highsmith - a porté à ses plus hauts sommets l’art du suspens psychologique. De celle qui joint, à la froide intelligence d’un « chirurgien des âmes », une sensibilité exacerbée… et de remarquables dons d’écrivain ! Pour elle, le roman policier n’est pas un simple jeu intellectuel : « il doit être fondé sur une succession de notations fines et pénétrantes ».

Dans pratiquement tous ses romans et nouvelles, dès les premières lignes, on connaît la situation, la position des divers personnages et jusqu’au nom du meurtrier… mais, malgré cela, on dévore ses pages lourdes d’angoisse et de menace tragique…

La nouvelle « la mort d’un chien » a remporté le prix du concours annuel de « Ellery Queen Mystery Magazine »… et Charlotte Armstrong ( 1905 / 1969 ) s’est également vu décerner le prix le plus important qui soit donné par les « Mystery Writers of America » : le « Edgar Allan Poe Award » ! Son génie de l’intrigue et son art consommé du suspense lui ont valu d’être l’une des scénaristes de télévision les plus prisées par Alfred Hitchcock. ( Anthologie présentée et établie par Stéphane BOURGOIN. Bibliographie des nouvelles à la fin du volume ).

NéO, Collection Le Miroir Obscur n°128 / 1986.

172 pages / 14 x 21 cms / 230 grammes.

Quelques petites et légères marques d’usage, bon état.

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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 NéO-Suspense-Insolite-Mystère-02.jpgNéO-Suspense-Insolite-Mystère-03.jpgNéO-Suspense-Insolite-Mystère-04.jpgNéO-Suspense-Insolite-Mystère-05.jpg 

22/04/2013

Harlan COBEN

Harlan COBEN : « Innocent »

Ces téléphones portables avec fonctions photo et vidéo, Matt n’en voulait pas. Mais l’enthousiasme d’Olivia a emporté ses dernières réticences.

Pour filmer le bébé qui va bientôt arriver, a-t-elle dit.

Trois jours plus tard, un message de son épouse, en voyage d’affaires à Boston. Sur l’écran, un film de quinze secondes. La vue volée d’une chambre d’hôtel. Un inconnu allongé sur un lit en galante compagnie. Un coup de poing dans l’estomac. Cette femme, c’est Olivia.

Pocket Thriller – 2007 – 518 pages – 290 grammes.

Etat = quelques petites marques de lecture(s) & manipulation(s) sur plats, mais rien de bien notable… Tranche non cassée / intérieur comme neuf, l’ensemble n’est pas loin du très bon !

>>> 2,20 €uros. / Vendu !

 

Harlan COBEN : « Rupture de contrat »

Sale temps pour l’agent sportif Myron Bolitar. Ex-champion de basket, ex-agent du F.B.I, il est pourtant habitué aux coups durs. Sauf que là, c’est vraiment tordu : son poulain, le prometteur Christian Steele, est sous le choc. Il vient de recevoir par la poste une revue porno dans laquelle son ancienne petite amie Kathy pose langoureusement dans le plus simple appareil. Problème : Kathy, mystérieusement disparue depuis des mois, est aujourd’hui considérée comme morte.

Plus étrange encore, elle n’est autre que la sœur de la romancière Jessica Culver, grand amour de Myron. En pleine négociation de contrat, l’agent sportif croit d’abord à une technique d’intimidation de la part de ses concurrents.

Mais la réalité se révèle autrement plus sordide…

Pocket Thriller – 2004 – 349 pages – 170 grammes.

Etat = quelques assez nettes marques de stockage et manip’ sur plats, mais rien de très grave…

Tranche non cassée / intérieur comme neuf, l’ensemble est entre bon et bon+…

>>> 1,70 €uros. / Vendu !

 

Harlan COBEN : « Peur noire »

Myron est dans une mauvaise passe. La nouvelle que lui assène Emily, son amour de fac mariée à Greg, son éternel rival, va pourtant éclipser tout le reste : son fils, Jeremy, a besoin d’une greffe de moelle osseuse. Sinon, il mourra.

Mais le seul donneur compatible a disparu. Emily a besoin de Myron pour le retrouver. Jeremy a besoin de son père pour être sauvé. Son vrai père…

Pocket Thriller – 2010 – 414 pages – 220 grammes.

Etat = quelques petites marques de lecture(s) & manipulation(s) sur plats, mais rien de bien notable… Tranche non cassée / intérieur comme neuf, l’ensemble n’est pas loin du très bon !

>>> 2,20 €uros. / Vendu !

 

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Site officiel de Harlan Coben, en français :  

http://www.harlan-coben.fr/site/accueil_harlan_coben_&1.html

29/01/2013

Jacques Sadoul / Carol Evans

Les enquêtes de Carol EVANS

 

Jacques SADOUL : « La chute de la maison Spencer »

« Un enfant erre seul sur une petite route déserte de Californie. Carol Evans le découvre dans la lumière de ses phares et s'arrête pour le prendre en stop. Au même instant, on tente de les abattre. Sur les pas du petit garçon, Carol va pénétrer dans l'immense ranch où règne d'une poigne de fer le vieux Mat Spencer, à la fois craint et respecté. Pourquoi donc veut-on tuer Billy, son unique petit-fils ? »

Dans ce roman à l'atmosphère lourde, troublante et sensuelle, nous retrouvons en action Carol Evans, l'héroïne de L'héritage Greenwood. Tour à tour elle sera la meurtrière, le détective, le juge et le bourreau. Mais comment le coupable peut-il ne pas être l'assassin ?

Editions J’ai Lu poche – 1984 – 222 pages – 145 grammes.

Etat = quelques petites marques de stockage (petits chocs) sur quatrième, sans quoi il est très bien, intérieur propre et sain, vernis bien brillant, tranche non cassée, etc…

Tout à fait bon pour le service ! >>> 2 €uros. / Vendu !

 

Egalement disponible, un autre exemplaire ( même année / même édition )…

 

Editions J’ai Lu poche – 1984 – 222 pages – 145 grammes.

Etat = Quelques (inévitables) petites traces de stockage et/ou manipulation sur plats, ainsi que deux fines cassures sur tranche et une petite pliure en bas de quatrième… il est moins bien que le précédent, mais l’intérieur est nickel et si vous n’êtes pas un collectionneur maniaque désirant des tranches impeccables pour sa bibliothèque, il est fait pour vous ! >>> 1,70 €uros. / disponible.

 

Sadoul_Maison-Spencer.jpg 

Kurgan : La série des « Carol Evans » met en scène une agente de la CIA bien brutale et un tantinet déjantée (elle est en congé forcé pour « folie homicide ») qui se trouve mêlée à des enquêtes crapuleuses par hasard ou via son attirance pour les belles jeunes femmes que le destin met sur sa route… puisqu’elle est – en sus – lesbienne ; et ce jusqu’au bout des ongles !

Carol est tout sauf une spécialiste de la réflexion façon héroïnes d’Agatha Christie and friends… mais plutôt une adepte de l'action pure et dure, elle flingue, poignarde et casse des membres… tabasse et torture allègrement ! 

1m 75, 95 cm de tour de poitrine et 67 kilos d’ultra-violence !!!!

Une série façon « pur OVNI de chez pur OVNI »… à la sauce Maître Jacques.  

15/12/2012

Jean-Paul BOURRE

Jean-Paul BOURRE : « L’élu du Serpent Rouge »

 

Quel secret recèle le cours de la Bièvre, cette rivière enterrée au cœur de Paris sous l'église Saint-Médard, ancienne place forte mérovingienne aux origines plus lointaines encore ? Quelle guerre livrent les « mousquetaires du Président », spécialistes des tables d’écoute et des éliminations discrètes, en recherchant le manuscrit maudit du « Serpent rouge » ? Luttent-ils contre l’organisation qui a poussé l’Élu du « Château » à procéder au marquage occulte de Paris par des monuments dont la disposition répond au plus dangereux rite d’initiation ?

Ministres, aventuriers, journalistes se livrent, entre les sites sacrés de Paris, de Venise ou de la Haute-Égypte, à une course impitoyable pendant que le monarque de la République reçoit à sa cour astrologues, mages et devins dans l’attente d’une réponse des Dieux.

 

Les Belles Lettres - 2005.  

303 pages / 24 x 15,5 cms / 460 grammes.

Etat = Quelques (inévitables, mais infimes) traces de stockage/manip’ sur plats… mais O.K. Intérieur sain et propre, état général entre bon+ et très bon !   

>>> 13 €uros. / Vendu !  

 

Prix neuf / indiqué sur le livre – quatrième de couv : 17 €uros.

 

Jean-paul BOURRE, L’élu du Serpent Rouge, ésotérisme, occultisme, mystère, mystères, polars, politique, complot, aventure

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03/09/2012

SERIE NOIRE – En vrac !

SERIE NOIRE – En vrac !

 

Bon, les aminches…

(Ah ben ouais quoi, c’t’une note Série Noire ici, on va pas causer comme des locdus ! Faut du style, d’la classe, donner dans la défouraille verbale façon « Messieurs les Hommes » font la tournée des Grands-Ducs ! Le beau verbe et la jactance de luxe façon Jo l’Trembleur f’sant du gringue à Lulu la Nantaise !)

Les aminches (donc)…

On va faire dans l’simple, pour c’qu’en est d’cette note…

Le tant et tellement basique que même un maître étalon (arf!) diplômé ès connerie d’la Sorbonne arriverait à piger sans trop de mal le concept général du bidule.

Parc’que bon, pour c’qu’en est des books présentés z’ici, z’avez juste à mater les photos jointes au topo pour piger qu’y’a rien à r’dire ! Qu’c’est d’la qualité number ouane… du flambant neuf, du bien brillant façon carrosserie d’belle américaine lustrée à la peau d’chamois par un garagiste amoureux des œuvres d’art montées 8 cylindres !

Et qu’du coup… on va pas s’faire chier à vous les casser avec du menu détail à la con…

On va pas s’emmerder à vous estimer tel book à 2,93 €uros parce qu’il y a une infime petite pliure de 0,2 mm en bas de quatrième de couv’… et tel autre à 3,08 €uros parce qu’il compte très exactement 19 pages de plus que le précédent. 

On va tous vous les faire à 3 €uros pièce / prix unique… et hop, roulez jeunesses !

Rien à fichtre que tel site propose un McBain (d’occase) à 2,80 €uros et un autre le premier J.P Manchette à 10 €uros… le prix moyen d’une Série Noire en bon état se situe entre 4 et 5 €uros… et on vous propose donc nos « comme neufs » à 3 €uros ; histoire de rester en accord avec nos autres notes consacrées à ladite Série Noire… et d’être une nouvelle fois les meilleurs !

C’est bon, z’avez tout bien tout pigé ou faut qu’on vous débloque la comprenette à grands coups de sulfateuse Thompson modèle standard, chargeur camembert 50 bastos.

Yeah !

Série-Noire_Vrac-02.jpg 

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N° 1295 – Ed McBAIN : « La rousse »

« Monsieur Cowper, directeur des Parcs et Jardins municipaux sera abattu demain soir, si je ne reçois pas 5 000 dollars avant midi. » Ce coup de fil anonyme, l’inspecteur Meyer le reçut un beau matin à son arrivée au commissariat du 87ème.

Pas autrement ému, Meyer en fit part à ses collègues qui tous dirent : « Encore un fumiste ! » Mais cette communication fut suivie de bien d’autres ; et quand le maître chanteur passa à l’exécution, ce fut la ville, Monsieur le Maire en tête, qui eut la chair de poule.

( Traduit de l’américain par D. May )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 295 pages – 185 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 1350 – Ed McBAIN : « Mort d’un tatoué »

L’homme était couché derrière la porte, replié dans la position d’un fœtus. Le visage entier et la plus grande partie du crâne étaient en bouillie. Son pouce appuyait sur la détente du fusil de chasse qu’il étreignait encore d’une main. Le canon voisinait avec ce qu’il restait de sa mâchoire. Une seule douille était sur le parquet près de sa tête ouverte, entourée par plusieurs petits objets blancs. Il fallut un moment à Steve Carella pour reconnaître des morceaux de dents.

( Traduit de l’américain par Alain Chataignier )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 224 pages – 140 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.    

 

N° 1394 – J.P MANCHETTE & J.P BASTID :

« Laissez bronzer les cadavres »

Si la jeune mariée n’avait pas eu l’idée idiote de monter au village avec le gosse qu’elle avait kidnappé, on serait restés bien tranquilles, assis sur notre or. 

Mais du coup les gendarmes sont montés la chercher. Et tout un jour et toute une nuit, on s’est battus, à l’aveuglette, dans la pierraille et la garrigue. Pendant qu’une vieille peau complètement saoule riait à chaque fois qu’on faisait mouche.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 249 pages – 160 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 1611 – Jean VAUTRIN : « A bulletins rouges »

A bord de nos gros cubes, nous autres, les Beuark, on sème la panique dans les cités-dortoirs où les gens n’ont plus guère le temps de roupiller. Boulot, bistrot, moto… On est très occupés vu qu’on joue aux agents électoraux pour les prochaines législatives.

Ca y va sec, la châtaigne, lors des séances d’affichage contre les adversaires.

Mais c’est surtout pour le sport, parce que les convictions politiques, on s’en tape joyeusement. Et même sans nous prendre au sérieux, on est efficaces, puisqu’il y a un mort en ballottage.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 179 pages – 120 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 1674 – Jean VAUTRIN : « Billy-ze-Kick »

Il y a Chapeau, le flic qui se prend pour un super-flic.

Il y a sa fille, Julie-Berthe, étrangement sage et folle pour ses dix-sept ans.

Il y a Hippo, l’adolescent schizophrène. Il y a Alcide, le vieil homme, qui pleure la mort de la campagne et déteste les banlieues bétonnées. D’autres encore qui souffrent, rigolent, forniquent. Et il y a le tueur de jeunes mariés : Billy-ze-Kick. Le mystérieux. Qui serait un mythe enfantin si le sang qu’il verse n’était pas réel. Qui mourra peut-être par égard pour la morale. Mais qui ressuscitera peut-être.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 217 pages – 140 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 2007 – Jean AMILA : « Au balcon d’Hiroshima »

Que faire quand le complice d’un hold-up fiche le camp avec le magot pour aller s’établir à Tokyo, dans les machines à sous ? On traverse le globe pour aller lui causer du pays. Même si le commun des mortels est occupé par une guerre mondiale. Question d’honneur ! Mais les militaires ont aussi des comptes à régler. Dissuasion rédemptrice, les innocents paieront ! Comme toujours !…

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 178 pages – grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 2434 – M.A PELLERIN : « La bourde »

Y avait don’ point d’loi pou’ c’t avorton !

Des lois, il en avait jamais connu que deux. Celle du plus fort, qu’il avait dû subir jusqu’à en perdre l’envie de vivre. Celle du plus fin, qu’il avait trouvé dans la forêt.

Ce soir, portant le plus beau trophée jamais braconné, Bec-de-Lièvre coupait au plus fin à travers le sous-bois délayé de lune. Derrière lui, s’ordonnait la chasse à l’homme.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 221 pages – 135 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2436 – Andreu MARTIN : « Jésus aux Enfers »

Jésus Alque dort chez lui dans un village perdu de Catalogne lorsque son beau-frère l’appelle de Barcelone pour lui annoncer au milieu des éclats de rires et des tintements de verres que sa sœur a claqué le mois dernier. Jésus descend donc en ville à la recherche de la vérité. Il la trouvera au milieu du vice, de la violence, du mensonge et de la séduction de la ville des merveilles.

( Traduit de l’espagnol par Georges Tyras & Jean-François Carcelen )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 351 pages – 210 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

N° 2438 – Serge PREUSS : « Le programme E.D.D.I »

Interdire aux SDF, aux clodos, aux malchanceux de la vie de se rassembler sur nos belles places publiques, ça ne suffisait pas. Il fallait à nos dirigeants quelque chose de plus fort, de plus définitif… Quelque chose qui chasse enfin de nos yeux de nantis l’insupportable spectacle de la misère…

Ils ont trouvé : c’est le programme E.D.D.I.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 139 pages – 95 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2439 – Hervé LE CORRE : « Les effarés »

Prenez trois types bêtes et méchants. Très méchants. Présentez-leur une belle fille qui n’a pas inventé la minijupe. Très belle. Faites zoner mollement deux jeunots amoureux d’elle. Très amoureux. Arrangez-vous pour que les flics fixent les rendez-vous avec le tact qu’on leur connaît. A l’heure dite, il y aura trop de monde, fatalement. Et ça va mal se passer. Très mal.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 233 pages – 145 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

N° 2440 – Ray RING : « Rêves pèlerins »

Un  bird-napping c’est un peu comme un kidnapping sauf que les oiseaux enlevés sont ici beaucoup plus rares que des gosses. Un couple de faucons pèlerins a disparu et Henry Dyer, flic des eaux et forêts, va remuer le désert et le grand ciel d’Arizona pour les retrouver.

Du temps de Dashiell Hammett, on volait des statues de faucons, à la veille du XXIème siècle, ce sont les oiseaux eux-mêmes qui valent de l’or.

( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 296 pages – 190 grammes. 

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

N° 2442 – COLLECTIF : « Les treize morts d’Albert Ayler »

Quatorze improvisations sur la mort de celui qui fut l’un des plus grands saxophonistes de jazz : Gilles Anquetil, Patrick Bard, Yves Buin, Jean-Claude Charles, Jérôme Charyn, Max Genève, Michael Guinzburg, Jean-Claude Izzo, Jon A. Jackson, Thierry Jonquet, Bernard Meyet, Michel Le Bris, Jean-Bernard Pouy et Hervé Prudon.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 285 pages – 180 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2444 – Alain GAGNOL : « Les lumières de frigo »

Comment faire pour persuader sa femme qu’on est vraiment un tueur à gages alors qu’elle croit qu’on est représentant en chaussures ? La battre jusqu’au coma ?

Commence alors un vertige nauséeux qui, de tueur,  vous change en victime et qui vous entraîne de plus en plus bas… jusqu’à l’espoir, et pourquoi pas, jusqu’à la rédemption.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 164 pages – 115 grammes. 

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2446 – William HJORTSBERG : « Nevermore »

Situé dans le New York des années 20, Nevermore commence avec la découverte macabre d’un double meurtre particulièrement horrible dans le quartier de Hell’s Kitchen. La police patauge jusqu’à ce que, de crime en crime, une évidence s’impose : le meurtrier met chaque fois en scène une nouvelle d’Edgar Allan Poe. Il ne faudra rien moins que les efforts conjugués d’Houdini et de Sir Arthur Conan Doyle pour venir à bout du mystère.

( Traduit de l’américain par Philippe Rouard )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 381 pages – 235 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

N° 2447 – Sylvie GRANOTIER : « Sueurs chaudes »

Ca devait être une promenade de santé. La libido en coma dépassé, je voulais juste trouver un homme qui remette le moteur en marche. Un homme qui couche. Quelques cadavres plus tard, j’étais en cavale, la police à mes trousses, des tueurs de chaque coin de New York, capitale de la parano, ne reculant devant rien pour justifier de sa réputation. Croyez-moi, quand tout le monde s’en mêle, les voies du désir sont drôlement impénétrables.

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 228 pages – 150 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible. 

 

N° 2448 – John STRALEY : « Les curieux s’en mordent les doigts »

Revoilà Cecil W. Younger et sa gueule de bois chronique et existentielle. Cette fois-ci c’est sur le viol, puis le meurtre d’une employée d’une compagnie minière en Alaska qu’il enquête.

Mais, comme toujours avec Younger, les apparences sont trompeuses et l’horreur va bien au-delà du simple crime. ( Traduit de l’américain par Jean Esch )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 326 pages – 200 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.   

 

N° 2449 – Jamie HARRISON : « La crête des fous »

Il ne se passe pas grand-chose à Blue Deer, Montana, et Jules Clément, ex-archéologue devenu shérif, se la coule plutôt douce. Jusqu’au jour où on tire sur un vieux scénariste un peu alcoolo, qu’on flingue sa femme et sa petite amie. Il faudra alors que Jules le shérif fasse appel au talent de Jules l’archéologue, parce que sur une terre aussi vieille que le Montana, la vérité se trouve souvent très loin dans le passé.

( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 390 pages – 245 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

N° 2450 – Ronald LEVITSKY : « Cet amour qui tue »

Dans une petite ville de Virginie, à la suite du meurtre d’une femme vietnamienne, c’est un avocat juif et membre d’une organisation de gauche qui est chargé de défendre le suspect, un raciste impénitent, membre d’une organisation d’extrême droite. Paradoxe ? Pas si sûr. Un avocat n’est-il pas chargé de défendre les victimes… Toutes les victimes ?

( Traduit de l’américain par Vera Osterman )

Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 366 pages – 225 grammes.

Nickel >>> 3 €uros. / disponible.

 

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13/04/2012

Isaac ASIMOV / Part.2

Isaac ASIMOV / Part.2

Les romans Policiers.

 

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Isaac ASIMOV : « A table avec les veufs noirs »

 

Quatrième de couv’ : Avant d'écrire Le Club des veufs noirs, Asimov a-t-il lorgné du côté de Chesterton ? Il n'en dit rien dans sa préface, préférant citer Hercule Poirot et ses petites cellules grises. En lisant son livre, on ne peut cependant que songer au créateur du père Brown. C'est peut-être pour cette raison que le plaisir qu'on en éprouve a quelque choses de joyeux.

 

On entre dans la lecture du Club des veufs noirs parce que l'on aime Asimov, avant tout. Ici, pas de robots, de Spaciens, pas de cavernes d'acier ni d'Elijah Bailey: nous sommes dans un lieu cosy, où un groupe d'amis, pas forcément veufs ni célibataires, un peu âgés se réunit pour boire un coup et fumer le cigare, sous la présence bienveillante d'un majordome discret, mais attentif. Le livre est conçu comme un groupe de nouvelles, chacun décrivant une soirée de réflexion des veufs noirs autour d'une énigme apportée par un invité, souvent criminelle mais pas seulement. L'énigme est soumise aux veufs, et leur réflexion collective fait avancer vers la solution. A chaque fois, le majordome, le moindre des membres du club mais pas le moins sage, éclaire la conversation et la fait pencher vers la solution logique, il chasse les incohérences, et la vérité triomphe.

On est entre Hercule Poirot et Rouletabille, l'ambiance est calme, studieuse, sombre et gourmande – et parfois, comme lorsque l'énigme concerne l’œuvre de Gilbert et Sullivan, qui travaillèrent sur des opéras comique au XIXème siècle, on est un peu perdu, mais globalement, les 60 textes du cycle des veufs noirs (en plusieurs tomes) sont des vraies petites perles délicieuses à déguster – avec le même recul que l'on doit adopter lorsque l'on lit les aventures d’Hercule Poirot, ou Jonathan Strange et Mr Norrell, il y a beaucoup de second degré.

Asimov a toujours dit que de son vivant il ne cesserait de publier des veufs noirs.

Il a réussit à nous surprendre à chacun des volumes.

Pour les inconditionnels du style policier de Asimov et à découvrir si on aime réfléchir.

Les commentaires de l'auteur à la fin de chaque histoire sont à eux seuls un régal.

( http://www.amazon.fr/table-avec-veufs-noirs/dp/2264014318 )

 

Collection 10/18 – 1989 - 321 pages – 185 grammes / Etat =  une assez nette cassure sur tranche sans quoi le reste est tout à fait ok, entre bon et bon+.

>>> 2 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Isaac ASIMOV : « Une bouffée de mort » 

« C'est à l'Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C'est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c'est le choc alors éprouvé qui l'incite à s'informer en marge de l'enquête officielle. Il ira d'émotion en surprise. »…

Avec ce premier roman policier, Isaac Asimov, déjà considéré comme un des maîtres de la science-fiction, se range d'emblée parmi l'élite de cette autre discipline.

Collection « Les grands maîtres du roman policier », François Beauval éditeur.

Luxueuse reliure façon « cuir et dorures » / Nombreuses illustrations hors texte.

1975 – 270 pages – 315 grammes / Etat = Un petit choc sur tranche ( rien de grave, c’est parce qu’on est titilleux ! ) sans quoi il serait comme neuf, nickel ! 

>>> 4 €uros. / disponible.

 

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26/03/2012

Arthur CONAN DOYLE / Part.1

Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…

Mois du livre de poche !


 

CONAN DOYLE Arthur : « La vallée de la peur »

Un crime mystérieux à Birlstone, une énigme de plus à résoudre pour le maître des détectives : le fameux Sherlock Holmes, accompagné de son fidèle Watson. Une enquête qui va les mener jusque dans la lointaine Amérique, sur les traces du roi du crime, le professeur Moriarty.

Le livre de poche policier – 1965 – 254 pages – 135 grammes. 

Etat = marques de stockage et manip’, de petites pliures sur plats, mais tout à fait bien pour du 1965, bon pour le service ! : 1,80 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.

 

Egalement disponible dans la version :

Le livre de poche policier – 1979 – 254 pages – 130 grammes.

Etat = marques de stockage et de manipulations sur plats mais tranche OK et intérieur sain et propre, bon pour le service !

>>> 1,80 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.

 

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CONAN DOYLE Arthur : « Les aventures de Sherlock Holmes »

Un fiancé disparaît le matin même de son mariage; un meurtre est commis dans la campagne anglaise; une photo compromettante doit être récupérée. Relatées par le fidèle Watson, douze affaires captivantes, aux écheveaux les plus inextricables, que le célèbre détective Sherlock Holmes réussit à dénouer grâce à ses dons d'observation aigus, sa logique implacable, ses méthodes subtiles autant que hardies.

Le livre de poche – 1995 – 438 pages – 215 grammes.

Etat = quelques petites marques de stockage / manipulations, mais très bon état, intérieur sain et propre, tranche non cassée.

>>> 2 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.

 

CONAN DOYLE A./ CARR J.D. : « Les exploits de Sherlock Holmes »

L'aventure des sept horloges, du chasseur d'or, des joueurs en cire, du miracle de Highgate, du sombre baronnet, de la chambre hermétiquement close, de Foulkes Rath, du rubis d'Abbas, des Anges noirs, de l'horreur de Deptford…

Relatés par le fidèle Watson, douze exploits de Sherlock Holmes, douze affaires captivantes, inextricables, que le célèbre détective réussit à dénouer grâce à ses dons d'observation aigus, sa logique implacable, ses méthodes subtiles et hardies. 

Le livre de poche – 1989 – 376 pages – 180 grammes.

Etat = quelques marques d’usage / stockage sur plats ainsi qu’une fine cassure sur la tranche, mais intérieur propre et sain, tout à fait OK !

>>> 1,80 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.

 

CONAN DOYLE Arthur : « Sherlock Holmes : Le chien des Baskerville »

Une malédiction pèse sur les Baskerville, qui habitent le vieux manoir de leurs ancêtres, perdu au milieu d'une lande sauvage quand un chien-démon, une bête immonde, gigantesque, surgit, c'est la mort. Le décès subit et tragique de Sir Charles Baskerville et les hurlements lugubres que l'on entend parfois venant du marais, le grand bourbier de Grimpen, accréditent d'une façon saisissante la sinistre légende.

Dès son arrivée à Londres, venant du Canada, Sir Henry Baskerville, seul héritier de Sir Charles, reçoit une lettre anonyme : « Si vous tenez à votre vie et à votre raison, éloignez-vous de la lande. »

Malgré ces menaces, Sir Henry décide de se rendre à Baskerville Hall. Consulté, Sherlock Holmes charge son fidèle Watson de l'accompagner. Roman captivant, angoissant, Le Chien des Baskerville est l'une des plus célèbres aventures de Sherlock Holmes du grand Conan Doyle.

Le livre de poche « policiers » – 1966 – 254 pages – 135 grammes.

Etat = très légères marques d’usage et stockage sur plats, tranche OK, intérieur sain et propre, excellent exemplaire : 2 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.

 

CONAN DOYLE Arthur : « Les aventures du brigadier Gérard »

Hardi cavalier, beau sabreur et cœur ardent, tel doit être un hussard de la Grande Armée napoléonienne et tel a été Etienne Gérard, officier fidèle à son Empereur au point de finir dans la peau d'un demi-solde avec pour seule fortune ses souvenirs.

Mais quels souvenirs ! Au temps donc où Napoléon fait un pas de conduite aux ennemis de la France dans leur propre pays, il y a de quoi se distinguer - les Italiens, les Russes, les Espagnols ou les Anglais et les Autrichiens n'étant pas gens à vous ménager quand l'occasion s'en présente.

Ainsi Gérard a-t-il perdu un bout d'oreille pour avoir appris l'italien des lèvres d'une belle Vénitienne et il aurait bien fini dans Saragosse cloué comme chouette sur porte de grange sans son astuce et son sang-froid qui lui permettent de prendre la ville.

Rien de moins? Hé oui, Gérard est un brave et l'avoue avec une parfaite modestie, qu'il sauve une armée au Portugal ou Napoléon à Waterloo, de même qu'il raconte en toute franchise certain noble succès remporté en Angleterre, certaine mise à mort de renard au Portugal ou voyage aller et retour à Minsk, dont l'humour au second degré est irrésistible.

Exploits et périls où se mêlent panache, misères et cocasserie, voilà l'essence de ces récits contés avec un merveilleux talent

Le livre de poche – 1972 – 252 pages – 135 grammes.

Etat = une fine cassure sur tranche ainsi qu’une ( assez nette ) trace de pliure sur couv’ sans quoi OK, propre et sain : 1,50 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.

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12/03/2012

Les grands maîtres du polar...

Chester HIMES : « Le casse de l’oncle Tom »

 

Dans un parking de Harlem, le révérend O'Malley a réuni une centaine de familles pour leur prêcher le retour en Afrique contre un modeste pécule de 1000 dollars. Soudain, sorti de nulle part, un camion conduit par un Blanc fonce dans la foule et embarque le magot de 87000 dollars.

Ed Cercueil et Fossoyeur Jones vont bien sûr courir après l'argent volé, mais dans Harlem, tout peut arriver : des escrocs déguisés en pasteurs, des prostituées en bonnes soeurs et, bien sûr, assez de cadavres pour saturer les services de la voirie.

A propos de l'auteur :

Né en 1909 à Jefferson City, dans le Missouri, Chester Himes fait ses études à l'Université d'Ohio State. En 1953, il quitte définitivement les Etats-Unis pour s'installer en Espagne. Il est décédé à Alicante le 12 novembre 1984.

Note de Kurgan :

Ce roman est également paru sous le titre : « Retour en Afrique ».

 

Coll. « Les grands maîtres du roman policier » – François Beauval.

Nombreuses illustrations ( jean Kerleroux ) hors texte.

1977 – 269 pages – 18 x 11,5 cms – 300 grammes

Couverture imitation cuir et dorures / Etat = excellent ! : 5 €uros. / disponible.

 

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Auguste LE BRETON : « Le clan des Siciliens »

 

Roger Sartet, dit Mouche de Mai, dit le Petit Gros du Vendredi, apparut menotté, encadré par deux gardes républicains. Tout juste si les treize mois de ratière l'avaient marqué. Un peu plus de bedaine peut-être ! Mais en prison, avec l'air confiné, le manque d'action… Plus que jamais il méritait son surnom de Petit Gros du Vendredi. Un agaçant sourire était accroché à ses lèvres que la détention avait rougies, et derrière les runelles faussement indifférentes stagnait la vigilance.

A propos de l'auteur :

Son père Eugène Monfort est un acrobate et un clown, un auguste ( d'où le prénom de son fils ) qui meurt lors de la Première Guerre mondiale en septembre 1914. Sa mère « l'oublie » sur son parcours. Il sera adopté par les Pupilles de la Nation, et de la ferme bretonne où il garde les vaches, on le conduit, à huit ans, dans un orphelinat de guerre. Épris de liberté et d'aventures, il s'en évade à onze ans, puis à douze pour aller en Amérique combattre les Indiens. Rêve d'enfant…

À quatorze ans, ces évasions lui valent d'être transféré dans un Centre d'Éducation surveillée, à l'époque endroits implacables. Cette enfance et cette adolescence particulières, il les racontera dans Les Hauts Murs et La loi des rues.

Ensuite, les choses ne s'arrangent pas : il est couvreur, terrassier, il fréquente la pègre. Là, il noue de solides amitiés avec les voyous de Saint-Ouen qui, logiquement le baptisent « Le Breton ». C'est le témoin d'une époque aujourd'hui révolue, il racontera plus tard : « Maurice la Gouine, il avait même fait mettre un diam' dans la canine de son chien. Du folklore, oh la la, c'est pas aujourd'hui qu'on trouverait ça à Paris ! ».

Lorsque la guerre survient, puis l'occupation, il fait le bookmaker, possède des parts dans des tripots, affronte parfois les gangsters de la Gestapo française. À la libération, on lui attribue la Croix de Guerre, mais non ce qu'il recherche : pouvoir pénétrer dans les orphelinats et maisons de correction pour s'informer et voir. Il reprend ses activités de bookmaker clandestin.

( Il raconte cette biographie sous l'Occupation dans 2 sous d'amour ).

Puis, en 1947, il a 34 ans, naît sa fille Maryvonne. Il décide alors de tenir le serment qu'il s'était fait lorsqu'il dormait contre les grilles de métro pour bénéficier de sa chaleur fétide : « Si un jour j'ai un enfant, j'écrirai la mienne d'enfance, pour qu'il comprenne, pour qu'il reste humble et propre toute sa vie et devienne un homme ». Ce sera une fille, mais qu'importe, Auguste a toujours été un homme de parole : il prend la plume…

 

Editions Famot – Collection « Les grands maîtres du roman policier ».

Nombreuses illustrations ( Jean Cheval ) hors texte.

1974 – 265 pages – 18 x 12 cms – 335 grammes.

Belle reliure imitation cuir et dorures / Etat = excellent ! : 5 €uros. / disponible.

 

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Les Grands Maîtres du Roman Policier est une collection éditoriale créée en 1972 par les Éditions de Crémille, à Genève. Elle fut poursuivie par d'autres maisons d'éditions, telles les Éditions Famot à Genève et les Éditions de Saint-Clair à Neuilly-sur-Seine… La collection se réédita elle-même par l’intermédiaire de ces trois maisons. Les livres étaient vendus en France par souscription, par les Éditions François Beauval à La Seyne-sur-Mer.

Ce sont des ouvrages de bonne facture, bien reliés, bien imprimés. Dans ces années-là, ils se vendaient environ 40 francs pièce, ce qui représentait une belle somme. À la fin de chaque ouvrage, l’éditeur délivre une notice bibliographique sur l’auteur. De plus, il y a quelques illustrations originales pour chaque ouvrage.

Tous ces ouvrages sont par définition, des classiques du roman policier et présentent une qualité d’écriture et d’intrigue au-dessus de la moyenne. Il y a une certaine parenté entre le roman policier et le fantastique et parmi les auteurs des livres de cette collection, Aveline, Collins, Conan Doyle, Leblanc, Levin, Simenon, Véry sont aussi connus pour leur production en littérature fantastique. Asimov, autre auteur de cette collection, est l’un des plus grands auteurs de science-fiction en plus que d’être un maître du roman policier. Il mélange parfois les deux genres, comme dans son livre « Les robots » pur ouvrage de science-fiction mais aussi roman policier.

 

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09/02/2012

FRANCK & VAUTRIN - La dame de Berlin

FRANCK & VAUTRIN :

La dame de Berlin

( Les aventures de Boro, reporter-photographe ).

 

« Plus tard tu seras l'oeil qui surveille le monde », prédit un soir d'automne 1931 à Paris une gitane au jeune reporter photographe Blèmia Borowicz, dit Boro.

Une photographie compromettante d’Hitler, un amour fou pour Maryika, la jeune étoile montante du cinéma allemand… et voilà notre héros placé au centre d'un inquiétant ballet de croix gammées.

Une course endiablée à travers l'Europe des années 30 commence. Suspense, passion, humour : un des plus grands romans d'aventures du siècle est né.

 

N.d.Kurgan : je n’irai pas perso’, jusqu’à le classer dans « les plus grands romans d’aventure du siècle » ( faut quand même pas déconner ! N’ont vraiment peur de rien les mecs qu'écrivent les « résumés de quatrième » pour les maisons d’éditions !?! ), mais c’est clair que ça se lit très bien, que ça à un p’tit côté Hugo Pratt… et que si vous êtes – comme moi – passionnés par les années 30, c’est une petite friandise fort bien documentée dont vous auriez tort de vous priver !

( Même si, bien entendu, très « politiquement correcte » )… 

 

France Loisirs – 1988 – 665 pages – 21 x 13,5 cms – 660 grammes.

Couverture cartonnée recouverte d’un tissu bleu avec titre et nom d’auteur en doré sur plats et tranche + jaquette couleurs – Marques d’usage sur jaquette & un léger plat en haut de tranche, sans quoi il est très bien, sain et propre : 3 €uros.

 

Disponibilité = deux un exemplaire en stock…

 

FRANK et VAUTRIN - Boro 01.jpg http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Dame_de_Berlin

 

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En 1931, Blèmia Borowicz a 22 ans, est hongrois par sa mère et français par son père et vit à Paris criblé de dettes mais riche d'un toupet incroyable. Pour l'heure, il est grouillot pour le compte d'Alphonse Tourpe, patron de l'agence Iris : « Un oeil sur le monde». En attendant de devenir photographe pour de vrai, il se contente de développer en chambre noire les clichés des autres.

Indéfectiblement lié à sa cousine Maryika Vremler - auprès de qui il a grandit en Hongrie - il ne rêve que de la retrouver.

Maryika, émigrée à Berlin, est en passe de devenir une star du cinéma allemand, et Boro la rejoint pour la première du film qui va la consacrer. Par un pur hasard, Boro prend des clichés de Hitler - qui n'est pas encore la vedette qu'on connaît - rendant visite à sa maîtresse.

Rapidement, des forces obscures cherchent à récupérer les épreuves, et leur acharnement à poursuivre Boro et Maryika ne peut s'expliquer par la seule présence des illustres amoureux sur du 24x36.

Boro s'interroge donc sur le caractère compromettant de ces images, et se lance dans une enquête qui va le conduire dans les arcanes de l'ordre de Parsifal, à une époque où l'Europe résonne déjà de bruits de bottes inquiétants. Il est « celui qui ira regarder les hommes jusqu'au fond de leur nuit, mais qui devra se méfier de ne pas mourir d'une balle en plein front ».

Boro s'inscrit dans un contexte historique tumultueux, auquel sa verve, ses idéaux et sa passion de l'image collent parfaitement. Difficile à toucher, le reporter est un parangon d'élégance et de provocation mêlées. Il traverse le temps avec une grand classe, avec un sens de la répartie à la manière d'un Arsène Lupin.