15/12/2012
Jean-Paul BOURRE
Jean-Paul BOURRE : « L’élu du Serpent Rouge »
Quel secret recèle le cours de la Bièvre, cette rivière enterrée au cœur de Paris sous l'église Saint-Médard, ancienne place forte mérovingienne aux origines plus lointaines encore ? Quelle guerre livrent les « mousquetaires du Président », spécialistes des tables d’écoute et des éliminations discrètes, en recherchant le manuscrit maudit du « Serpent rouge » ? Luttent-ils contre l’organisation qui a poussé l’Élu du « Château » à procéder au marquage occulte de Paris par des monuments dont la disposition répond au plus dangereux rite d’initiation ?
Ministres, aventuriers, journalistes se livrent, entre les sites sacrés de Paris, de Venise ou de la Haute-Égypte, à une course impitoyable pendant que le monarque de la République reçoit à sa cour astrologues, mages et devins dans l’attente d’une réponse des Dieux.
Les Belles Lettres - 2005.
303 pages / 24 x 15,5 cms / 460 grammes.
Etat = Quelques (inévitables, mais infimes) traces de stockage/manip’ sur plats… mais O.K. Intérieur sain et propre, état général entre bon+ et très bon !
>>> 13 €uros. / Vendu !
Prix neuf / indiqué sur le livre – quatrième de couv : 17 €uros.
16:49 Publié dans Aventures, Esotérisme / Occultisme, Polars, Politique / Géopolitique & économie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-paul bourre, l’élu du serpent rouge, ésotérisme, occultisme, mystère, mystères, polars, politique, complot, aventure
19/11/2012
Cizia ZYKË
Cizia ZYKË : « Maléfices »
« Ils avaient violé les tombeaux. Ils avaient forcé et fouillé les douze sarcophages.
Ils les avaient laissés défoncés, le ventre ouvert au ciel. Je leur avais dit de ne rien toucher. Les Dieux sont témoins que j’ai tenté de leur expliquer.
Je savais, moi, qu’il y a des morts qu’on ne doit pas déranger. »
Tuan Charlie, le héros de cette série, est un aventurier, au physique comme au moral. Il vit en marge dans un monde différent parcourant le globe à la recherche de l’action.
Média 1000 – 1989 – 219 pages – 135 grammes.
TUAN CHARLIE : Une collection devenue plutôt dure à dénicher !
Etat = Nombreuses petites marques de manipulation, mais tranche non cassée (bien qu’aux bords légèrement frottés / Cf photographie) et intérieur sain et propre. Tout à fait O.K !
>>> 3,30 €uros. / Vendu ! temporairement indisponible.
Ailleurs = entre 5 et 8 €uros sur amazon.fr / 4,99 €uros sur shopzilla.fr
Entre 4,50 et 9,50 €uros en achat immédiat sur ebay.
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Cizia ZYKË : « Amsterdam zombie »
Amsterdam, pont du Shippergracht. Sous l’arche de pierre enjambant le canal, à deux pas du quartier des touristes, quelques dizaines de paumés attendent la mort à laquelle les voue l’héroïne.
Il y a là Susan, séropositive, qui, pour se procurer de la poudre, accepte les plus répugnantes formes de prostitution. Lola, le travesti de quinze ans qu’elle a pris son aile. Carole et Toby, les dealers qui rêvent de lointains voyages… et Zak, journaliste à la dérive, qui a accepté de plonger, le temps d’un reportage-choc.
L’auteur de Sahara et d’Alixe décrit, dans sa misère et sa violence nues, l’enfer des toxicos. Mais au rebours de toute complaisance, c’est un sentiment authentique de tendresse et de fraternité qui émane de ce récit terrible.
Le livre de poche – 1996 – 192 pages – 110 grammes.
Etat = Nombreuses petites marques/traces de stockage et manipulations sur plats, ainsi qu’une fine cassure sur tranche… mais rien de bien grave, l’intérieur est sain et l’ensemble tout à fait bon pour le service !
>>> 2 €uros. / Vendu ! temporairement indisponible.
Cizia ZYKË : « La Ferme d’Eden »
« Ici Mullia Police… Le gang Davies a attaqué la Commonwealth Bank , à Mount Isa… Huit innocents tués. Davies se dirige vers vous… »…
La vie était immobile, jusque-là, sous l'implacable soleil du Queensland australien, dans la ferme où vivaient pieusement le pasteur Fennymore, Rebecca sa douce femme, Grandma l'aïeule, et les trois enfants. Mais tout va changer avec l'irruption du terrible Lou Davies et de son équipe. Des envoyés du Diable, à coup sûr…
L'auteur d'Oro et de Buffet campagnard nous entraîne au cœur d'une Australie qu'il connaît bien, rude, archaïque, encore proche de celle des pionniers, dans une histoire de suspense, de mort et de désir. Un excellent Cizia Zykë !
Le livre de poche – 1993 – 218 pages – 115 grammes.
Etat = Quelques p’tites traces de manip et/ou stockage, mais rien de bien notable…
Intérieur propre et sain, bon état général, tout à fait O.K !
>>> 2,30 €uros. / Vendu ! temporairement indisponible.
18:46 Publié dans Aventures, Cizia Zykë, Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cizia zykË, tuan charlie, aventures et aventuriers
09/11/2012
Frédéric Dard / San-Antonio
SAN-ANTONIO : « Les soupers du prince »
Edouard Blanvin, dit Doudou, est un garagiste de banlieue passionné par les vieilles voitures et un peu receleur. Il a le choc de sa vie quand il apprend de sa mère qu’il est en fait le rejeton naturel du prince de Montégrin. Parti pour la Suisse où la cour s’est exilée, il découvre que ce père est mort mais que sa grand-mère naturelle, la princesse Gertrude, aussi exquise qu’extravagante, l’adopte aussitôt et lui donne son rang.
Devenu Edouard 1er, Doudou va mener grand train.
Il va donner des fêtes somptueuses et ne pas oublier d’inscrire au menu de ses fastueux soupers du prince les gaillardises auxquelles le prédispose son tempérament ardent et vorace. Une trop belle vie qui va tourner court mais donner à Doudou un nouveau départ très imprévu…
France Loisirs – 1994.
412 pages – 24,5 x 16cms – 660 grammes.
Reliure éditeur cartonnée (rouge « marbré ») + jaquette couleurs.
Une trace de pliure ainsi qu’un tout petit accro’ (3mm) en bas de la quatrième de jaquette, sans quoi il est très bien… sain, propre et en excellent état !
>>> 4,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
SAN-ANTONIO : « Le mari de Léon »
Baptisé « l’Illustre », Boris est un metteur en scène très célèbre auquel rien ni personne résistent. Il vit à cent à l’heure dans le culte de son génie, doué d’un féroce appétit de vie et animé par un égoïsme forcené.
Léon vit dans son ombre et lui voue une amitié passionnée sans ambiguïté.
Tour à tour conseiller, cornac, chauffeur, garde du corps, Léon ne demande qu’à être indispensable à Boris. Et il l’est. Jusqu’au jour où Nadège, une jeune femme décidée qui n’a pas froid aux yeux, s’est mise en tête de séduire et d’épouser Boris en se servant de Léon. Ce calcul va non seulement briser une étrange complicité virile mais aussi déclencher un drame…
France Loisirs – 1991.
342 pages – 24,5 x 16 cms – 600 grammes.
Reliure éditeur cartonnée (rouge « marbré ») + jaquette couleurs.
Quelques petites (et quasi-inévitables) marques de stockage/manip’ sur la jaquette, sans quoi il est très bien ! sain et propre, tout à fait bon pour le service !
>>> 4,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Frédéric Dard a utilisé le pseudonyme San-Antonio pour signer un certain nombre de romans qui n'ont aucun rapport avec les aventures de San-Antonio et de Bérurier… et c'est le cas pour ces deux roman. Point de commissaire, ni de Bérurier, pour nous aider à mener l'enquête (donc), mais rassurez-vous la verve et le très jouissif talent de môôôôssieur Dard sont tout de même de sortie ! Oh que oui !
16:51 Publié dans Polars, San-Antonio / F. Dard | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : frédéric dard, san-antonio, les soupers du prince, le mari de léon
03/09/2012
SERIE NOIRE – En vrac !
SERIE NOIRE – En vrac !
Bon, les aminches…
(Ah ben ouais quoi, c’t’une note Série Noire ici, on va pas causer comme des locdus ! Faut du style, d’la classe, donner dans la défouraille verbale façon « Messieurs les Hommes » font la tournée des Grands-Ducs ! Le beau verbe et la jactance de luxe façon Jo l’Trembleur f’sant du gringue à Lulu la Nantaise !)
Les aminches (donc)…
On va faire dans l’simple, pour c’qu’en est d’cette note…
Le tant et tellement basique que même un maître étalon (arf!) diplômé ès connerie d’la Sorbonne arriverait à piger sans trop de mal le concept général du bidule.
Parc’que bon, pour c’qu’en est des books présentés z’ici, z’avez juste à mater les photos jointes au topo pour piger qu’y’a rien à r’dire ! Qu’c’est d’la qualité number ouane… du flambant neuf, du bien brillant façon carrosserie d’belle américaine lustrée à la peau d’chamois par un garagiste amoureux des œuvres d’art montées 8 cylindres !
Et qu’du coup… on va pas s’faire chier à vous les casser avec du menu détail à la con…
On va pas s’emmerder à vous estimer tel book à 2,93 €uros parce qu’il y a une infime petite pliure de 0,2 mm en bas de quatrième de couv’… et tel autre à 3,08 €uros parce qu’il compte très exactement 19 pages de plus que le précédent.
On va tous vous les faire à 3 €uros pièce / prix unique… et hop, roulez jeunesses !
Rien à fichtre que tel site propose un McBain (d’occase) à 2,80 €uros et un autre le premier J.P Manchette à 10 €uros… le prix moyen d’une Série Noire en bon état se situe entre 4 et 5 €uros… et on vous propose donc nos « comme neufs » à 3 €uros ; histoire de rester en accord avec nos autres notes consacrées à ladite Série Noire… et d’être une nouvelle fois les meilleurs !
C’est bon, z’avez tout bien tout pigé ou faut qu’on vous débloque la comprenette à grands coups de sulfateuse Thompson modèle standard, chargeur camembert 50 bastos.
Yeah !
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N° 1295 – Ed McBAIN : « La rousse »
« Monsieur Cowper, directeur des Parcs et Jardins municipaux sera abattu demain soir, si je ne reçois pas 5 000 dollars avant midi. » Ce coup de fil anonyme, l’inspecteur Meyer le reçut un beau matin à son arrivée au commissariat du 87ème.
Pas autrement ému, Meyer en fit part à ses collègues qui tous dirent : « Encore un fumiste ! » Mais cette communication fut suivie de bien d’autres ; et quand le maître chanteur passa à l’exécution, ce fut la ville, Monsieur le Maire en tête, qui eut la chair de poule.
( Traduit de l’américain par D. May )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 295 pages – 185 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1350 – Ed McBAIN : « Mort d’un tatoué »
L’homme était couché derrière la porte, replié dans la position d’un fœtus. Le visage entier et la plus grande partie du crâne étaient en bouillie. Son pouce appuyait sur la détente du fusil de chasse qu’il étreignait encore d’une main. Le canon voisinait avec ce qu’il restait de sa mâchoire. Une seule douille était sur le parquet près de sa tête ouverte, entourée par plusieurs petits objets blancs. Il fallut un moment à Steve Carella pour reconnaître des morceaux de dents.
( Traduit de l’américain par Alain Chataignier )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 224 pages – 140 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1394 – J.P MANCHETTE & J.P BASTID :
« Laissez bronzer les cadavres »
Si la jeune mariée n’avait pas eu l’idée idiote de monter au village avec le gosse qu’elle avait kidnappé, on serait restés bien tranquilles, assis sur notre or.
Mais du coup les gendarmes sont montés la chercher. Et tout un jour et toute une nuit, on s’est battus, à l’aveuglette, dans la pierraille et la garrigue. Pendant qu’une vieille peau complètement saoule riait à chaque fois qu’on faisait mouche.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 249 pages – 160 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 1611 – Jean VAUTRIN : « A bulletins rouges »
A bord de nos gros cubes, nous autres, les Beuark, on sème la panique dans les cités-dortoirs où les gens n’ont plus guère le temps de roupiller. Boulot, bistrot, moto… On est très occupés vu qu’on joue aux agents électoraux pour les prochaines législatives.
Ca y va sec, la châtaigne, lors des séances d’affichage contre les adversaires.
Mais c’est surtout pour le sport, parce que les convictions politiques, on s’en tape joyeusement. Et même sans nous prendre au sérieux, on est efficaces, puisqu’il y a un mort en ballottage.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 179 pages – 120 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 1674 – Jean VAUTRIN : « Billy-ze-Kick »
Il y a Chapeau, le flic qui se prend pour un super-flic.
Il y a sa fille, Julie-Berthe, étrangement sage et folle pour ses dix-sept ans.
Il y a Hippo, l’adolescent schizophrène. Il y a Alcide, le vieil homme, qui pleure la mort de la campagne et déteste les banlieues bétonnées. D’autres encore qui souffrent, rigolent, forniquent. Et il y a le tueur de jeunes mariés : Billy-ze-Kick. Le mystérieux. Qui serait un mythe enfantin si le sang qu’il verse n’était pas réel. Qui mourra peut-être par égard pour la morale. Mais qui ressuscitera peut-être.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 217 pages – 140 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2007 – Jean AMILA : « Au balcon d’Hiroshima »
Que faire quand le complice d’un hold-up fiche le camp avec le magot pour aller s’établir à Tokyo, dans les machines à sous ? On traverse le globe pour aller lui causer du pays. Même si le commun des mortels est occupé par une guerre mondiale. Question d’honneur ! Mais les militaires ont aussi des comptes à régler. Dissuasion rédemptrice, les innocents paieront ! Comme toujours !…
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 178 pages – grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2434 – M.A PELLERIN : « La bourde »
Y avait don’ point d’loi pou’ c’t avorton !
Des lois, il en avait jamais connu que deux. Celle du plus fort, qu’il avait dû subir jusqu’à en perdre l’envie de vivre. Celle du plus fin, qu’il avait trouvé dans la forêt.
Ce soir, portant le plus beau trophée jamais braconné, Bec-de-Lièvre coupait au plus fin à travers le sous-bois délayé de lune. Derrière lui, s’ordonnait la chasse à l’homme.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 221 pages – 135 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2436 – Andreu MARTIN : « Jésus aux Enfers »
Jésus Alque dort chez lui dans un village perdu de Catalogne lorsque son beau-frère l’appelle de Barcelone pour lui annoncer au milieu des éclats de rires et des tintements de verres que sa sœur a claqué le mois dernier. Jésus descend donc en ville à la recherche de la vérité. Il la trouvera au milieu du vice, de la violence, du mensonge et de la séduction de la ville des merveilles.
( Traduit de l’espagnol par Georges Tyras & Jean-François Carcelen )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 351 pages – 210 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2438 – Serge PREUSS : « Le programme E.D.D.I »
Interdire aux SDF, aux clodos, aux malchanceux de la vie de se rassembler sur nos belles places publiques, ça ne suffisait pas. Il fallait à nos dirigeants quelque chose de plus fort, de plus définitif… Quelque chose qui chasse enfin de nos yeux de nantis l’insupportable spectacle de la misère…
Ils ont trouvé : c’est le programme E.D.D.I.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 139 pages – 95 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2439 – Hervé LE CORRE : « Les effarés »
Prenez trois types bêtes et méchants. Très méchants. Présentez-leur une belle fille qui n’a pas inventé la minijupe. Très belle. Faites zoner mollement deux jeunots amoureux d’elle. Très amoureux. Arrangez-vous pour que les flics fixent les rendez-vous avec le tact qu’on leur connaît. A l’heure dite, il y aura trop de monde, fatalement. Et ça va mal se passer. Très mal.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 233 pages – 145 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2440 – Ray RING : « Rêves pèlerins »
Un bird-napping c’est un peu comme un kidnapping sauf que les oiseaux enlevés sont ici beaucoup plus rares que des gosses. Un couple de faucons pèlerins a disparu et Henry Dyer, flic des eaux et forêts, va remuer le désert et le grand ciel d’Arizona pour les retrouver.
Du temps de Dashiell Hammett, on volait des statues de faucons, à la veille du XXIème siècle, ce sont les oiseaux eux-mêmes qui valent de l’or.
( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 296 pages – 190 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2442 – COLLECTIF : « Les treize morts d’Albert Ayler »
Quatorze improvisations sur la mort de celui qui fut l’un des plus grands saxophonistes de jazz : Gilles Anquetil, Patrick Bard, Yves Buin, Jean-Claude Charles, Jérôme Charyn, Max Genève, Michael Guinzburg, Jean-Claude Izzo, Jon A. Jackson, Thierry Jonquet, Bernard Meyet, Michel Le Bris, Jean-Bernard Pouy et Hervé Prudon.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 285 pages – 180 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2444 – Alain GAGNOL : « Les lumières de frigo »
Comment faire pour persuader sa femme qu’on est vraiment un tueur à gages alors qu’elle croit qu’on est représentant en chaussures ? La battre jusqu’au coma ?
Commence alors un vertige nauséeux qui, de tueur, vous change en victime et qui vous entraîne de plus en plus bas… jusqu’à l’espoir, et pourquoi pas, jusqu’à la rédemption.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 164 pages – 115 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2446 – William HJORTSBERG : « Nevermore »
Situé dans le New York des années 20, Nevermore commence avec la découverte macabre d’un double meurtre particulièrement horrible dans le quartier de Hell’s Kitchen. La police patauge jusqu’à ce que, de crime en crime, une évidence s’impose : le meurtrier met chaque fois en scène une nouvelle d’Edgar Allan Poe. Il ne faudra rien moins que les efforts conjugués d’Houdini et de Sir Arthur Conan Doyle pour venir à bout du mystère.
( Traduit de l’américain par Philippe Rouard )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1996 – 381 pages – 235 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2447 – Sylvie GRANOTIER : « Sueurs chaudes »
Ca devait être une promenade de santé. La libido en coma dépassé, je voulais juste trouver un homme qui remette le moteur en marche. Un homme qui couche. Quelques cadavres plus tard, j’étais en cavale, la police à mes trousses, des tueurs de chaque coin de New York, capitale de la parano, ne reculant devant rien pour justifier de sa réputation. Croyez-moi, quand tout le monde s’en mêle, les voies du désir sont drôlement impénétrables.
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 228 pages – 150 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
N° 2448 – John STRALEY : « Les curieux s’en mordent les doigts »
Revoilà Cecil W. Younger et sa gueule de bois chronique et existentielle. Cette fois-ci c’est sur le viol, puis le meurtre d’une employée d’une compagnie minière en Alaska qu’il enquête.
Mais, comme toujours avec Younger, les apparences sont trompeuses et l’horreur va bien au-delà du simple crime. ( Traduit de l’américain par Jean Esch )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 326 pages – 200 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2449 – Jamie HARRISON : « La crête des fous »
Il ne se passe pas grand-chose à Blue Deer, Montana, et Jules Clément, ex-archéologue devenu shérif, se la coule plutôt douce. Jusqu’au jour où on tire sur un vieux scénariste un peu alcoolo, qu’on flingue sa femme et sa petite amie. Il faudra alors que Jules le shérif fasse appel au talent de Jules l’archéologue, parce que sur une terre aussi vieille que le Montana, la vérité se trouve souvent très loin dans le passé.
( Traduit de l’américain par Elisabeth Guinsbourg )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 390 pages – 245 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
N° 2450 – Ronald LEVITSKY : « Cet amour qui tue »
Dans une petite ville de Virginie, à la suite du meurtre d’une femme vietnamienne, c’est un avocat juif et membre d’une organisation de gauche qui est chargé de défendre le suspect, un raciste impénitent, membre d’une organisation d’extrême droite. Paradoxe ? Pas si sûr. Un avocat n’est-il pas chargé de défendre les victimes… Toutes les victimes ?
( Traduit de l’américain par Vera Osterman )
Gallimard – Collection « Série noire » / 1997 – 366 pages – 225 grammes.
Nickel >>> 3 €uros. / disponible.
18:00 Publié dans Polars, Série Noire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : série noire, ed mcbain, j.p manchette, jean vautrin, andreu martin, jamie harrison, polars, policiers, meurtres, enquêtes
13/04/2012
Isaac ASIMOV / Part.2
Isaac ASIMOV / Part.2
Les romans Policiers.
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Isaac ASIMOV : « A table avec les veufs noirs »
Quatrième de couv’ : Avant d'écrire Le Club des veufs noirs, Asimov a-t-il lorgné du côté de Chesterton ? Il n'en dit rien dans sa préface, préférant citer Hercule Poirot et ses petites cellules grises. En lisant son livre, on ne peut cependant que songer au créateur du père Brown. C'est peut-être pour cette raison que le plaisir qu'on en éprouve a quelque choses de joyeux.
On entre dans la lecture du Club des veufs noirs parce que l'on aime Asimov, avant tout. Ici, pas de robots, de Spaciens, pas de cavernes d'acier ni d'Elijah Bailey: nous sommes dans un lieu cosy, où un groupe d'amis, pas forcément veufs ni célibataires, un peu âgés se réunit pour boire un coup et fumer le cigare, sous la présence bienveillante d'un majordome discret, mais attentif. Le livre est conçu comme un groupe de nouvelles, chacun décrivant une soirée de réflexion des veufs noirs autour d'une énigme apportée par un invité, souvent criminelle mais pas seulement. L'énigme est soumise aux veufs, et leur réflexion collective fait avancer vers la solution. A chaque fois, le majordome, le moindre des membres du club mais pas le moins sage, éclaire la conversation et la fait pencher vers la solution logique, il chasse les incohérences, et la vérité triomphe.
On est entre Hercule Poirot et Rouletabille, l'ambiance est calme, studieuse, sombre et gourmande – et parfois, comme lorsque l'énigme concerne l’œuvre de Gilbert et Sullivan, qui travaillèrent sur des opéras comique au XIXème siècle, on est un peu perdu, mais globalement, les 60 textes du cycle des veufs noirs (en plusieurs tomes) sont des vraies petites perles délicieuses à déguster – avec le même recul que l'on doit adopter lorsque l'on lit les aventures d’Hercule Poirot, ou Jonathan Strange et Mr Norrell, il y a beaucoup de second degré.
Asimov a toujours dit que de son vivant il ne cesserait de publier des veufs noirs.
Il a réussit à nous surprendre à chacun des volumes.
Pour les inconditionnels du style policier de Asimov et à découvrir si on aime réfléchir.
Les commentaires de l'auteur à la fin de chaque histoire sont à eux seuls un régal.
( http://www.amazon.fr/table-avec-veufs-noirs/dp/2264014318 )
Collection 10/18 – 1989 - 321 pages – 185 grammes / Etat = une assez nette cassure sur tranche sans quoi le reste est tout à fait ok, entre bon et bon+.
>>> 2 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
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Isaac ASIMOV : « Une bouffée de mort »
« C'est à l'Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un meurtre ? La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre. C'est lui qui a découvert le cadavre de son élève Ralph Neufeld et c'est le choc alors éprouvé qui l'incite à s'informer en marge de l'enquête officielle. Il ira d'émotion en surprise. »…
Avec ce premier roman policier, Isaac Asimov, déjà considéré comme un des maîtres de la science-fiction, se range d'emblée parmi l'élite de cette autre discipline.
Collection « Les grands maîtres du roman policier », François Beauval éditeur.
Luxueuse reliure façon « cuir et dorures » / Nombreuses illustrations hors texte.
1975 – 270 pages – 315 grammes / Etat = Un petit choc sur tranche ( rien de grave, c’est parce qu’on est titilleux ! ) sans quoi il serait comme neuf, nickel !
>>> 4 €uros. / disponible.
16:28 Publié dans Isaac Asimov, Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : isaac asimov, à table avec les veufs noirs, cycle des veufs noirs, veufs noirs, une bouffée de mort, polars, romans policiers
04/04/2012
CRIMES et ENQUÊTES
Collection CRIMES et ENQUÊTES
Les livres de cette ( maintenant recherchée ) collection se négocient généralement autour de 6 à 9 €uros ( et plus ), que ce soit sur le net ou chez les bouquinistes… et ce, même lorsque leur état n’est pas très bon !
( Ils sont d’ailleurs très durs à dénicher en bon / très bon état !?! )…
Mais bon, vous nous connaissez… on fait tout pour rester les meilleurs ! Ha ha…
BUGLIOSI V. & HENDERSON B.B. :
« Meurtre sur une île déserte : l’affaire Jennifer Jenkins »
Été 1974. Palmyre, un atoll perdu au milieu de l'océan Pacifique. Au mouillage, un splendide voilier, le Sea Wind. Mac et Muff Graham ont décidé de passer là quelques mois en amoureux. Mais bientôt ils voient arriver un vieux rafiot, le Lolae. A bord, Jennifer et Buck, deux marginaux qui fuient la police. Mac et Muff, Jennifer et Buck…
Deux couples que tout sépare et qui vont devoir se côtoyer, jour après jour. Méfiance, jalousie… Quelque temps plus tard, le Sea Wind, repeint et débaptisé, fait son entrée dans une baie de Hawaii. A bord, Jennifer et Buck. Que sont devenus les Graham ?
Quand, des années plus tard, on découvre sur une plage de Palmyre un crâne et des ossements humains, la police inculpe Buck et Jennifer. Pour assurer sa défense, Jennifer choisit Vincent Bugliosi. Un défi pour ce ténor du barreau : peut-on innocenter un suspect que tout accuse ?
J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 504 pages – 275 grammes.
Quelques assez nettes marques de stockage / manipulation (notamment sur quatrième de couv’), mais tranche O.K et intérieur sain et propre, tout à fait bon pour le service !
Photos hors-texte >>> 3 €uros. / Vendu ! - Temporairement indisponible.
FINSTAD Suzanne :
« La maîtresse du diable : l’affaire Richard Minns »
Barbra Piotrowski est blonde, belle, sportive. Elle a 24 ans quand elle rencontre Richard Minns, un milliardaire texan de 48 ans.
Avec ce pygmalion, elle connaît l'amour fou. Liaison passionnée, vie dorée…
Quatre ans plus tard, c'est la rupture. Barbra découvre alors la vraie nature de Minns. Violent, il la frappe et lui fracture le nez. Elle quitte la maison où il l'avait installée à Houston, emporte les meubles et les bijoux qu'il lui avait offerts. Elle est jeune, elle peut refaire sa vie.
Sa vie ? Quatre coups de feu vont la détruire : par un bel après-midi d'octobre, deux inconnus lui tirent dessus à bout portant. Minns aurait-il commandité des tueurs ?
Barbra ne meurt pas mais reste paralysée. Elle multiplie les procès pour tenter d'obtenir réparation. Mais Minns est en Suisse, ne se présente jamais au tribunal. Combien d'années devra-t-elle lutter pour que justice soit faite ?
J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 377 pages – 210 grammes.
Quelques ( assez nettes ) marques de stockage / manipulation, ainsi que de fines cassures sur tranche, mais intérieur sain et propre, tout à fait O.K !
Photographies hors-texte >>> 3 €uros. / Vendu ! - Temp. indisponible.
FRANKLIN E. & WRIGHT W. :
« Les péchés du père : l’affaire George Franklin »
1969, Foster Cité, Californie. Susan Nason et Eileen Franklin, huit ans, sont les meilleures amies du monde. Le 22 septembre, c'est le drame. Susan a disparu. On ne retrouvera son corps que quelques jours plus tard.
1989. Par un bel après-midi, Eileen Franklin joue avec ses deux enfants. Un regard, un geste de sa petite fille : la scène qu'elle avait enfouie en elle pendant plus de vingt ans resurgit. Susan, qui se débat ; la silhouette menaçante d'un homme brandissant une pierre. Cet homme, c'est son père…
Et les images atroces de son enfance reviennent la hanter…
Comment vivre avec un passé si lourd ? Osera-t-elle dire toute la vérité ? Affronter sa famille ? Déchirée, elle finit par dénoncer son père. Mais pour la justice, son témoignage est-il recevable ? Ses souvenirs sont-ils des réminiscences de faits réels ou des affabulations ?
J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 378 pages – 200 grammes.
Quelques (assez nettes) marques d’usage sur plats, tranche cassée et abîmée (même si restaurée de façon assez grossière) sur le haut et le bas, l’extérieur est plutôt moyen, mais l’intérieur est – lui – tout à fait O.K !
Pour la lecture, à défaut d’être « de collection »…
Photographies hors-texte >>> 1,50 €uros. / Vendu ! - Temp. indisponible.
HARRIS Ellen :
« Mariage mortel : l’affaire Dennis Buloch »
6 mai 1986. Un pavillon de banlieue prend feu. Les pompiers maîtrisent l'incendie, et découvrent dans le garage le corps carbonisé de Julie Bulloch. Ligotée sur un fauteuil. L'autopsie révèle qu'elle est morte étouffée avant que le feu ne se déclare. Crime sadique ? Pratiques sadomasochistes ?
On soupçonne vite son mari, Dennis, séduisant, obsédé par l'ascension sociale et l'argent. Arrêté, il déclare que Julie est morte au cours d'une séance de bondage. Or, aux dires de tous ses amis, Julie était une jeune femme « très comme il faut… » et avait une bonne assurance-vie.
Au procès, pour des raisons propres au système juridique américain, l'accusation ne peut faire valoir les preuves qui accablent Dennis. Et la défense parvient à donner de Julie l'image d'une femme dépravée. Le jury est clément. Que penser d'une justice qui dépend uniquement des arguties juridiques des avocats ?
J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 376 pages – 210 grammes.
Quelques petites marques d’usage / stockage sur plats, mais tout à fait bien pour ce qui en est du reste, que ce soit la tranche ou l’intérieur !
Photographies hors-texte >>> 3,50 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.
Egalement disponible, un autre exemplaire ( même année, même collection ) :
HARRIS Ellen :
« Mariage mortel : l’affaire Dennis Buloch »
J’ai lu – Collection « Crimes et enquêtes » / 1993 – 376 pages – 210 grammes.
Nombreuses et très nettes marques de pliures sur couv’ et quatrième + tranche cassée : l’extérieur est franchement « moyen moins »…
Et franchement, si cette collection n’était pas autant recherchée, je ne l’aurais pas pris !!! Mais bon, l’intérieur est sain et propre… et comme je sais qu’il y a vraiment des « die hard fans » de cette série, qui recherchent désespérément les N° qu’ils n’ont pas encore lu ; on vous le propose quand même ! Mais attention : « pour lecture uniquement »… pas pour collection !!!
>>> 1,50 €uros. / disponible.
18:37 Publié dans Crimes et enquêtes, Polars | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : collection crimes et enquêtes, crimes, enquêtes
26/03/2012
Arthur CONAN DOYLE / Part.1
Du lundi 26 mars au lundi 30 avril 2012…
Mois du livre de poche !
CONAN DOYLE Arthur : « La vallée de la peur »
Un crime mystérieux à Birlstone, une énigme de plus à résoudre pour le maître des détectives : le fameux Sherlock Holmes, accompagné de son fidèle Watson. Une enquête qui va les mener jusque dans la lointaine Amérique, sur les traces du roi du crime, le professeur Moriarty.
Le livre de poche policier – 1965 – 254 pages – 135 grammes.
Etat = marques de stockage et manip’, de petites pliures sur plats, mais tout à fait bien pour du 1965, bon pour le service ! : 1,80 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.
Egalement disponible dans la version :
Le livre de poche policier – 1979 – 254 pages – 130 grammes.
Etat = marques de stockage et de manipulations sur plats mais tranche OK et intérieur sain et propre, bon pour le service !
>>> 1,80 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.
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CONAN DOYLE Arthur : « Les aventures de Sherlock Holmes »
Un fiancé disparaît le matin même de son mariage; un meurtre est commis dans la campagne anglaise; une photo compromettante doit être récupérée. Relatées par le fidèle Watson, douze affaires captivantes, aux écheveaux les plus inextricables, que le célèbre détective Sherlock Holmes réussit à dénouer grâce à ses dons d'observation aigus, sa logique implacable, ses méthodes subtiles autant que hardies.
Le livre de poche – 1995 – 438 pages – 215 grammes.
Etat = quelques petites marques de stockage / manipulations, mais très bon état, intérieur sain et propre, tranche non cassée.
>>> 2 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.
CONAN DOYLE A./ CARR J.D. : « Les exploits de Sherlock Holmes »
L'aventure des sept horloges, du chasseur d'or, des joueurs en cire, du miracle de Highgate, du sombre baronnet, de la chambre hermétiquement close, de Foulkes Rath, du rubis d'Abbas, des Anges noirs, de l'horreur de Deptford…
Relatés par le fidèle Watson, douze exploits de Sherlock Holmes, douze affaires captivantes, inextricables, que le célèbre détective réussit à dénouer grâce à ses dons d'observation aigus, sa logique implacable, ses méthodes subtiles et hardies.
Le livre de poche – 1989 – 376 pages – 180 grammes.
Etat = quelques marques d’usage / stockage sur plats ainsi qu’une fine cassure sur la tranche, mais intérieur propre et sain, tout à fait OK !
>>> 1,80 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.
CONAN DOYLE Arthur : « Sherlock Holmes : Le chien des Baskerville »
Une malédiction pèse sur les Baskerville, qui habitent le vieux manoir de leurs ancêtres, perdu au milieu d'une lande sauvage quand un chien-démon, une bête immonde, gigantesque, surgit, c'est la mort. Le décès subit et tragique de Sir Charles Baskerville et les hurlements lugubres que l'on entend parfois venant du marais, le grand bourbier de Grimpen, accréditent d'une façon saisissante la sinistre légende.
Dès son arrivée à Londres, venant du Canada, Sir Henry Baskerville, seul héritier de Sir Charles, reçoit une lettre anonyme : « Si vous tenez à votre vie et à votre raison, éloignez-vous de la lande. »
Malgré ces menaces, Sir Henry décide de se rendre à Baskerville Hall. Consulté, Sherlock Holmes charge son fidèle Watson de l'accompagner. Roman captivant, angoissant, Le Chien des Baskerville est l'une des plus célèbres aventures de Sherlock Holmes du grand Conan Doyle.
Le livre de poche « policiers » – 1966 – 254 pages – 135 grammes.
Etat = très légères marques d’usage et stockage sur plats, tranche OK, intérieur sain et propre, excellent exemplaire : 2 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.
CONAN DOYLE Arthur : « Les aventures du brigadier Gérard »
Hardi cavalier, beau sabreur et cœur ardent, tel doit être un hussard de la Grande Armée napoléonienne et tel a été Etienne Gérard, officier fidèle à son Empereur au point de finir dans la peau d'un demi-solde avec pour seule fortune ses souvenirs.
Mais quels souvenirs ! Au temps donc où Napoléon fait un pas de conduite aux ennemis de la France dans leur propre pays, il y a de quoi se distinguer - les Italiens, les Russes, les Espagnols ou les Anglais et les Autrichiens n'étant pas gens à vous ménager quand l'occasion s'en présente.
Ainsi Gérard a-t-il perdu un bout d'oreille pour avoir appris l'italien des lèvres d'une belle Vénitienne et il aurait bien fini dans Saragosse cloué comme chouette sur porte de grange sans son astuce et son sang-froid qui lui permettent de prendre la ville.
Rien de moins? Hé oui, Gérard est un brave et l'avoue avec une parfaite modestie, qu'il sauve une armée au Portugal ou Napoléon à Waterloo, de même qu'il raconte en toute franchise certain noble succès remporté en Angleterre, certaine mise à mort de renard au Portugal ou voyage aller et retour à Minsk, dont l'humour au second degré est irrésistible.
Exploits et périls où se mêlent panache, misères et cocasserie, voilà l'essence de ces récits contés avec un merveilleux talent
Le livre de poche – 1972 – 252 pages – 135 grammes.
Etat = une fine cassure sur tranche ainsi qu’une ( assez nette ) trace de pliure sur couv’ sans quoi OK, propre et sain : 1,50 €uros. / Vendu - Temp. indisponible.
20:05 Publié dans Arthur Conan Doyle, Grands classiques, Polars | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : arthur conan doyle, sherlock holmes, docteur watson, chien des baskerville, brigadier gérard, polars, suspense, enquêtes
12/03/2012
Les grands maîtres du polar...
Chester HIMES : « Le casse de l’oncle Tom »
Dans un parking de Harlem, le révérend O'Malley a réuni une centaine de familles pour leur prêcher le retour en Afrique contre un modeste pécule de 1000 dollars. Soudain, sorti de nulle part, un camion conduit par un Blanc fonce dans la foule et embarque le magot de 87000 dollars.
Ed Cercueil et Fossoyeur Jones vont bien sûr courir après l'argent volé, mais dans Harlem, tout peut arriver : des escrocs déguisés en pasteurs, des prostituées en bonnes soeurs et, bien sûr, assez de cadavres pour saturer les services de la voirie.
A propos de l'auteur :
Né en 1909 à Jefferson City, dans le Missouri, Chester Himes fait ses études à l'Université d'Ohio State. En 1953, il quitte définitivement les Etats-Unis pour s'installer en Espagne. Il est décédé à Alicante le 12 novembre 1984.
Note de Kurgan :
Ce roman est également paru sous le titre : « Retour en Afrique ».
Coll. « Les grands maîtres du roman policier » – François Beauval.
Nombreuses illustrations ( jean Kerleroux ) hors texte.
1977 – 269 pages – 18 x 11,5 cms – 300 grammes
Couverture imitation cuir et dorures / Etat = excellent ! : 5 €uros. / disponible.
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Auguste LE BRETON : « Le clan des Siciliens »
Roger Sartet, dit Mouche de Mai, dit le Petit Gros du Vendredi, apparut menotté, encadré par deux gardes républicains. Tout juste si les treize mois de ratière l'avaient marqué. Un peu plus de bedaine peut-être ! Mais en prison, avec l'air confiné, le manque d'action… Plus que jamais il méritait son surnom de Petit Gros du Vendredi. Un agaçant sourire était accroché à ses lèvres que la détention avait rougies, et derrière les runelles faussement indifférentes stagnait la vigilance.
A propos de l'auteur :
Son père Eugène Monfort est un acrobate et un clown, un auguste ( d'où le prénom de son fils ) qui meurt lors de la Première Guerre mondiale en septembre 1914. Sa mère « l'oublie » sur son parcours. Il sera adopté par les Pupilles de la Nation, et de la ferme bretonne où il garde les vaches, on le conduit, à huit ans, dans un orphelinat de guerre. Épris de liberté et d'aventures, il s'en évade à onze ans, puis à douze pour aller en Amérique combattre les Indiens. Rêve d'enfant…
À quatorze ans, ces évasions lui valent d'être transféré dans un Centre d'Éducation surveillée, à l'époque endroits implacables. Cette enfance et cette adolescence particulières, il les racontera dans Les Hauts Murs et La loi des rues.
Ensuite, les choses ne s'arrangent pas : il est couvreur, terrassier, il fréquente la pègre. Là, il noue de solides amitiés avec les voyous de Saint-Ouen qui, logiquement le baptisent « Le Breton ». C'est le témoin d'une époque aujourd'hui révolue, il racontera plus tard : « Maurice la Gouine, il avait même fait mettre un diam' dans la canine de son chien. Du folklore, oh la la, c'est pas aujourd'hui qu'on trouverait ça à Paris ! ».
Lorsque la guerre survient, puis l'occupation, il fait le bookmaker, possède des parts dans des tripots, affronte parfois les gangsters de la Gestapo française. À la libération, on lui attribue la Croix de Guerre, mais non ce qu'il recherche : pouvoir pénétrer dans les orphelinats et maisons de correction pour s'informer et voir. Il reprend ses activités de bookmaker clandestin.
( Il raconte cette biographie sous l'Occupation dans 2 sous d'amour ).
Puis, en 1947, il a 34 ans, naît sa fille Maryvonne. Il décide alors de tenir le serment qu'il s'était fait lorsqu'il dormait contre les grilles de métro pour bénéficier de sa chaleur fétide : « Si un jour j'ai un enfant, j'écrirai la mienne d'enfance, pour qu'il comprenne, pour qu'il reste humble et propre toute sa vie et devienne un homme ». Ce sera une fille, mais qu'importe, Auguste a toujours été un homme de parole : il prend la plume…
Editions Famot – Collection « Les grands maîtres du roman policier ».
Nombreuses illustrations ( Jean Cheval ) hors texte.
1974 – 265 pages – 18 x 12 cms – 335 grammes.
Belle reliure imitation cuir et dorures / Etat = excellent ! : 5 €uros. / disponible.
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Les Grands Maîtres du Roman Policier est une collection éditoriale créée en 1972 par les Éditions de Crémille, à Genève. Elle fut poursuivie par d'autres maisons d'éditions, telles les Éditions Famot à Genève et les Éditions de Saint-Clair à Neuilly-sur-Seine… La collection se réédita elle-même par l’intermédiaire de ces trois maisons. Les livres étaient vendus en France par souscription, par les Éditions François Beauval à La Seyne-sur-Mer.
Ce sont des ouvrages de bonne facture, bien reliés, bien imprimés. Dans ces années-là, ils se vendaient environ 40 francs pièce, ce qui représentait une belle somme. À la fin de chaque ouvrage, l’éditeur délivre une notice bibliographique sur l’auteur. De plus, il y a quelques illustrations originales pour chaque ouvrage.
Tous ces ouvrages sont par définition, des classiques du roman policier et présentent une qualité d’écriture et d’intrigue au-dessus de la moyenne. Il y a une certaine parenté entre le roman policier et le fantastique et parmi les auteurs des livres de cette collection, Aveline, Collins, Conan Doyle, Leblanc, Levin, Simenon, Véry sont aussi connus pour leur production en littérature fantastique. Asimov, autre auteur de cette collection, est l’un des plus grands auteurs de science-fiction en plus que d’être un maître du roman policier. Il mélange parfois les deux genres, comme dans son livre « Les robots » pur ouvrage de science-fiction mais aussi roman policier.
16:12 Publié dans Polars | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les grands maîtres du roman policier, auguste le breton, le clan des siciliens, chester himes, le casse de l’oncle tom, polars
09/03/2012
Georges SIMENON - Maigret
Georges SIMENON : « La première enquête de Maigret »
Paris, 1913. Jules Maigret, jeune secrétaire du commissaire du quartier Saint Georges, reçoit en pleine nuit la déposition d’un flûtiste. Celui-ci affirme avoir vu une femme crier « au secours ! » par la fenêtre d’un hôtel particulier, puis entendu un coup de feu à l’intérieur, tandis qu’une voiture en stationnement devant la porte démarrait brutalement. Malheureusement, cette maison est celle d’une famile riche, influente, dont certains membres sont des amis proche du commissaire lui-même… C’est pourquoi Maigret se voit confier une enquête informelle où il est prié d’être très discret. Sa toute première enquête, où il va se frotter aux grand de ce monde…
Edito-Service S.A Genève / 1974 / 18,5 x 12 cms / 165 pages.
( Avec la reproduction d’un portrait de Maigret par Bernard Buffet en frontispice ).
Etat = comme neuf.
Georges SIMENON : « Maigret chez le ministre »
Le commissaire Maigret est ici confronté à une sombre affaire politique - un monde qu'il n'a jamais aimé. Un sanatorium pour enfants s'est écroulé par suite d'un glissement de terrain, causant des dizaines de morts. Peu de temps après le drame, la rumeur court qu'un rapport technique avait nettement mis en garde les pouvoirs publics contre le danger. Ce rapport a été remis à Auguste Point, nouveau ministre des Travaux publics, mais le document lui a été volé la nuit suivante. Ses adversaires politiques l'accusent déjà de l'avoir fait disparaître afin de protéger les responsables du désastre. Il fait officieusement appel à Maigret pour retrouver le rapport. Parlementaires corrompus, presse de chantage, cynisme des puissants…
Le commissaire explore de sinistres coulisses.
Ce tableau de mœurs n'a pas vieilli, et le drame d'Auguste Point - un homme intègre, dévoué à son pays, légèrement naïf et piégé - rappellera aux lecteurs des affaires plus récentes.
Edito-Service S.A Genève / 1974 / 18,5 x 12 cms / 168 pages.
Etat = comme neuf.
Georges SIMENON : « Maigret à New York »
Paisiblement retiré à Meung-sur-Loire, le commissaire Maigret se laisse convaincre par un tout jeune homme, Jean Maura, de l'accompagner à New York. maura s'inquiète pour son père, un homme d'affaires d'origine française, qui semble en proie à de graves soucis. Maigret va se trouver aux prises avec une ténébreuse affaire. Le jeune Maura disparaît inexplicablement.
Bien des années plus tôt, maura père a débarqué à New York avec un ami, Daumale, violoniste de son état. Qu'est-ce qui les a séparés ? Qu'est devenu l'enfant mis au monde par Jessie, à l'époque la maîtresse de Maura ? Un lourd secret expliquerait-il que l'homme d'affaires soit victime d'un chantage ? L'affaire sera élucidée, mais le commissaire, sur le bateau qui le ramène en France, se demandera ce qu'il est allé faire, au juste, dans la métropole américaine qui ne l'a guère emballé…Edito-Service S.A Genève / 1974 / 18,5 x 12 cms / 165 pages.
Etat = comme neuf.
Les 3 volumes ( poids total = 665 grammes ) >>> 12 €uros. / Vendus !
12:06 Publié dans Georges Simenon, Polars | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : georges simenon, maigret, commissaire maigret
09/02/2012
FRANCK & VAUTRIN - La dame de Berlin
FRANCK & VAUTRIN :
La dame de Berlin
( Les aventures de Boro, reporter-photographe ).
« Plus tard tu seras l'oeil qui surveille le monde », prédit un soir d'automne 1931 à Paris une gitane au jeune reporter photographe Blèmia Borowicz, dit Boro.
Une photographie compromettante d’Hitler, un amour fou pour Maryika, la jeune étoile montante du cinéma allemand… et voilà notre héros placé au centre d'un inquiétant ballet de croix gammées.
Une course endiablée à travers l'Europe des années 30 commence. Suspense, passion, humour : un des plus grands romans d'aventures du siècle est né.
N.d.Kurgan : je n’irai pas perso’, jusqu’à le classer dans « les plus grands romans d’aventure du siècle » ( faut quand même pas déconner ! N’ont vraiment peur de rien les mecs qu'écrivent les « résumés de quatrième » pour les maisons d’éditions !?! ), mais c’est clair que ça se lit très bien, que ça à un p’tit côté Hugo Pratt… et que si vous êtes – comme moi – passionnés par les années 30, c’est une petite friandise fort bien documentée dont vous auriez tort de vous priver !
( Même si, bien entendu, très « politiquement correcte » )…
France Loisirs – 1988 – 665 pages – 21 x 13,5 cms – 660 grammes.
Couverture cartonnée recouverte d’un tissu bleu avec titre et nom d’auteur en doré sur plats et tranche + jaquette couleurs – Marques d’usage sur jaquette & un léger plat en haut de tranche, sans quoi il est très bien, sain et propre : 3 €uros.
Disponibilité = deux un exemplaire en stock…
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Dame_de_Berlin
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En 1931, Blèmia Borowicz a 22 ans, est hongrois par sa mère et français par son père et vit à Paris criblé de dettes mais riche d'un toupet incroyable. Pour l'heure, il est grouillot pour le compte d'Alphonse Tourpe, patron de l'agence Iris : « Un oeil sur le monde». En attendant de devenir photographe pour de vrai, il se contente de développer en chambre noire les clichés des autres.
Indéfectiblement lié à sa cousine Maryika Vremler - auprès de qui il a grandit en Hongrie - il ne rêve que de la retrouver.
Maryika, émigrée à Berlin, est en passe de devenir une star du cinéma allemand, et Boro la rejoint pour la première du film qui va la consacrer. Par un pur hasard, Boro prend des clichés de Hitler - qui n'est pas encore la vedette qu'on connaît - rendant visite à sa maîtresse.
Rapidement, des forces obscures cherchent à récupérer les épreuves, et leur acharnement à poursuivre Boro et Maryika ne peut s'expliquer par la seule présence des illustres amoureux sur du 24x36.
Boro s'interroge donc sur le caractère compromettant de ces images, et se lance dans une enquête qui va le conduire dans les arcanes de l'ordre de Parsifal, à une époque où l'Europe résonne déjà de bruits de bottes inquiétants. Il est « celui qui ira regarder les hommes jusqu'au fond de leur nuit, mais qui devra se méfier de ne pas mourir d'une balle en plein front ».
Boro s'inscrit dans un contexte historique tumultueux, auquel sa verve, ses idéaux et sa passion de l'image collent parfaitement. Difficile à toucher, le reporter est un parangon d'élégance et de provocation mêlées. Il traverse le temps avec une grand classe, avec un sens de la répartie à la manière d'un Arsène Lupin.
17:46 Publié dans Aventures, Polars, Politique / Géopolitique & économie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : franck & vautrin, jean vautrin, la dame de berlin, les aventures de boro, blèmia borowicz, boro, hitler, troisième reich, polars, aventures